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SOLAL MCKENZIE ► thom morell

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Solal
McKenzie
feat Thom Morell
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Nom ; McKenzie, nom qui met en lumière mes origines écossaises dont je ne suis pas peu fier. Et ouais, mes cousins se baladent en kilt avec des cornemuses.  Prénom ; Solal. Parait que c'est hébreux. Parait surtout que ma mère est une prof de littérature et que Solal est un héros culotté et rusé de roman qui finit en dieu solaire. Ca l'a inspiré à l'accouchement...   Age ;  24 ans. A l'aube de la jeunesse. orientation sexuelle ; Purement et subtilement attiré par les femmes. statut social ; Célibataire, ça réduit bon nombre de soucis, et facilite grandement la vie. date et lieu de naissance ; 7 Février 1993 à Los Angeles. Et ouais, I'm made in Hollywood. nationalité ; Américaine, comme le souhaitaient profondément mes parents études majeures ; Je sais c'que j'veux faire de ma vie à peu près depuis que j'suis en capacité de l'exprimer. Je veux être journaliste. Donc, tout naturellement, journalisme. études mineures ; Sociologie, parce que c'est toujours plus intéressant de comprendre les gens pour en faire ce que l'on veut. groupe #1 ; Dunster House groupe #2 ; Winthrop House crédits ; Prométhée


GROUPE 1.
L'ambition et la détermination sont presque des mots qu'on pourrait mettre à côté d'mon nom dans le dictionnaire. Depuis gamin, je sais ce que je veux faire de ma vie, je mets tout en place pour y parvenir et je sais que j'y arriverai. Le journalisme me fait rêver, dans toutes ses facettes, dans toutes ses possibilités, pour son ouverture sur le monde et sa capacité à faire entendre sa voix. Je n'ai pas peur des heures de travail, des projets longs et fastidieux à monter, ni même des stages au fin fond du monde pour me perfectionner. Je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour arriver à mes fins. Mon cursus mineur en sociologie ? Comment amadouer les gens, les faire parler et s'exprimer correctement si on ne passe pas un peu par la case socio ? Impossible. La Dunster House est faite pour moi.
  
   GROUPE 2.
Et pourquoi pas la Winthrop house ? Elle correspond un peu moins à mes motivations professionnelles et à mes projets d'avenir mais elle colle tout à fait avec ma vision du monde et de ma vie actuellement. La fraternité, le soutien, la camaraderie, le sport. Tout ça fait partie de moi. Et puis soyons honnêtes, comme un mec avec ma gueule d'ange et mon corps d'Apollon pourrait ne pas avoir sa place dans la confrérie masculine par excellence ? Je m'y sentirai sans doute tout à fait à l'aise aussi, au milieu de ces élans de testostérone en recherche de chair fraiche.
 
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
  J'ai eu la chance, si on peut appeler ça une chance vu le contexte, de ne pas être touché personnellement par ces agressions aussi inhumaines qu'inacceptables. Bien que touché uniquement de loin dans cette histoire, j'ai passé ces mois révolté contre le monde entier, à épier les moindres gestes des mecs un peu louches et à surveiller de très près mes "amies" féminines. Amies entre guillemets parce que l'entièreté de la gente féminine m'intéressait à cette époque. Je n'suis pas du genre héros qui veut sauver le monde mais je n'ai jamais pu m'enlever de la tête l'idée que cela aurait pu être ma sœur. Et ça, je ne l'aurais jamais supporté.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Je n'étais pas à Harvard pendant ce printemps 2016, je parcourais le monde à la recherche de sensations fortes et de projets d'avenir. Mon année sabbatique. Mon année de pause. Mais j'ai bien sur des amis qui y étaient, des proches qui en sont ressortis profondément marqué. Je n'ai pas été mis au courant tout de suite, on ne pense pas forcément aux vieux potes dans ces moments là et c'est tout à fait normal mais je me rappelle avoir tenté comme je pouvais de leur changer les idées. Moyennement efficace j'vous l'accorde mais bon, l'intention y était.
TON ADMISSION A HARVARD
Mon admission à Harvard remonte maintenant à un bon moment étant donné que j'ai débarqué ici du haut de mes 18 ans et que j'en ai aujourd'hui 24. Disons que mon dossier n'a pas vraiment eu de mal à passer. Entre le compte en banque à rallonge de papa, la bourse pour le sport et mon dossier scolaire, j'vois mal comment ils auraient pu se passer d'un élément comme moi. Prétentieux ? Non, juste réaliste et il faut savoir l'être des fois. Les SATs, l'essai et l'entretien se sont bien sur passé sans encombre, dès qu'on semble avoir une bonne confiance en soi et de quoi étaler sa culture et ses expériences devant le jury, ces braves hommes ne trouvent jamais rien à redire. Me voilà donc à 18 ans, inscrit à l'autre bout du pays qui m'a vu naitre dans une université qui me fait rêver.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Pandallen et j'ai 21 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à la fiche de pub sur Bazzart.  J'ai trouvé le forum accueillant, vivant, et puis j'ai craqué sur un scénario  SOLAL MCKENZIE ► thom morell 3338944726 alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Thom Morell comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Prométhée. Je fais environ 500 mots par rp et mon personnage est un personnage de scénario crée par Soledad Levis la magnifique.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar
si scénario:
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7208]►[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t72308-m-you-re-my-window-to-the-sky#2553800]►[/url] <span class="pris">THOM MORELL</span> ♦️ “ SOLAL MCKENZIE ”[/size]


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CHAPTER ONE
Commençons par le commencement -et par la phrase bateau par excellence-... J'ai vu le jour en plein mois de Février, une semaine d'avance sur la saint Valentin, dans la belle ville de Los Angeles. Si j'ai poussé mon premier cri là où les stars font entendre les leurs, ce n'est pas par hasard. Mon père, réalisateur qui sera plus tard reconnu, voulait vivre son rêve américain. Et son rêve américain passait par moi, je crois. Son fils sera américain. Son fils naitra sur le sol américain, au pays des grands rêves et des grands films. Et ainsi soit il, petit Solal voit le jour proche d'Hollywood. Tout comme sa sœur cadette, trois ans plus tard. Et voilà une belle petite famille unie et bien assortie en apparence. Une famille de bouclettes. Une famille de belles gueules. Papa réalisateur, maman prof de langues, le p'tit gosse qui joue dans des films avant même de comprendre le principe et la p'tite dernière mannequin pour couches culottes. M'sieur McKenzie a réussi son rêve : lui et sa famille se sont fait un nom sur Hollywood Boulevard ! Mais est-ce un rêve et une vie partagée par toute la tribu ? Voilà la vraie question. Question que le chef de famille ne semble pas vraiment se poser. Question que malgré mon jeune âge, je me posais déjà. Pourquoi est-ce que j'étais obligé de prendre des cours avec un prof particulier, d'avoir des copains de dix ans de plus que moi ou cinq ans de moins, tout ça pour apprendre des textes par cœur et sourire à la caméra ? Je n'en avais rien à faire de sa caméra, moi. Strictement rien à faire. J'voulais m'amuser, tout comme les autres gamins d'mon âge. Mais comme tous les autres gamins d'mon âge, j'voulais aussi rendre mon père fier. Et ce deuxième souhait a longtemps pris le dessus sur le premier. Longtemps mais pas éternellement.


CHAPTER TWO
Onze ans. Il m'a fallu onze ans pour oser dire quelque chose, et particulièrement dire ce que j'en pensais. Je voulais aller à l'école avec les adolescents de mon âge. Je voulais rencontrer des gens normaux. Je voulais avoir une amoureuse. Je voulais en fait tout simplement vivre normalement. Comment est-ce que j'ai pu avoir un tel recul avec un si petit âge. Grâce à ma mère. Ma mère qui a toujours eu du recul. Ma mère qui n'a jamais rêvé de ce monde là. Mais ma mère, tout comme moi, aimait trop mon père pour s'interposer et lui briser ses rêves. Jusqu'au jour, où à force de les entendre débattre sur le sujet, j'ai fini par changer de camps et me mettre du côté de ma mère. Je voulais rendre le micro pour remettre les pieds sur terre comme elle disait. Et c'est à partir de là que tout a changé. A partir de là que notre famille s'est divisée. Mon père et ma sœur d'un coté, ma mère et moi de l'autre. Non, les parents n'ont pas divorcé. Non, ils ne nous ont pas fait vivre l'enfant. Non, ils l'ont joué intelligemment, ils nous ont protégé jusqu'au bout, mais je me rendais bien compte que ce n'était plus comme avant. Je n'avais plus droit à cette lueur dans les yeux du paternel. Alors je l'ai cherché ailleurs. Dans ceux de mon coach de football - nouvelle passion que je me suis découvert par moi même à l'entrée dans l'école traditionnelle-. Dans ceux des filles, que j'ai également découvert à cette période et que j'ai tout de suite trouvé particulièrement intéressantes, et drôles à découvrir. Dans ceux de ma mère, qui m'a transmis sa passion pour les lettres. Je voulais briller. Je voulais épater. Je voulais retrouver cette admiration que j'avais toujours connu par mon père mais grâce aux choix que je faisais par moi-même. Au fond, je voulais surement toujours le rendre fier, lui, mon père.


CHAPTER THREE
Et j'ai grandi. Bien grandi. Je me suis affirmé. J'ai développé ce côté leader, indépendant, un peu grande gueule mais surtout déterminé à obtenir ce que je désirais. J'ai toujours su où j'voulais aller et je suis bien conscient de devoir tout ça à ma mère. Sans elle, je n'aurais jamais eu ce caractère, cette force en moi. Et c'est d'ailleurs elle, sans le savoir et sans le souhaiter surement, qui m'a éloigné d'elle. Elle m'a éloigné pour mon bien, certes, mais éloigné. Harvard. Elle m'a parlé de Harvard. Elle m'a fait rêver de Harvard en fait. Parce que c'était son rêve, à elle. Là où mon père rêvait de Hollywood, elle rêvait de Harvard. Et j'ai voulu le réaliser. Par ma propre volonté. Pour passer par la meilleure voie. Pour exceller. Pour devenir le meilleur. Pour sortir avec un bagage énorme et des possibilités de carrière magnifiques. Pour devenir journaliste. Pas n'importe quel journaliste. Le meilleur. Celui qu'on s'arrachera dans quelques années. Celui qu'on enverra à la pointe de l'actualité. Celui qu'on enverra faire des reportages sur les terrains en guerre. Celui qu'on enverra négocier avec le gouvernement. Celui qui aura son nom, non pas en haut, mais en bas de l'affiche, au moment de signer l'article de l'année. C'est ça, mon rêve. Mon combat. Mon projet d'avenir. Et c'est à Harvard que j'ai décidé de le concrétiser. Et je suis parti. A 18 ans. Laissant ma mère et ses cours, mon père et ses films, ma sœur toujours dans ses castings et son monde de paillettes. J'ai tout quitté. Amis, proches, amour, famille. Je n'avais que cette idée en tête : réussir. Faire parler de moi. Montrer au monde entier que oui, j'avais réussi. Dans ma voie et par mes propres moyens.


CHAPTER FOUR
Et c'est là que j'ai redécouvert la vie. Que j'ai fait face à tous les plaisirs possibles et imaginables quand on devient, d'un coup d'un seul, étudiant, indépendant et livré à moi-même. Alcool, parfois drogue, soirée, bizutage, sexe, relation d'une nuit, tout y est passé et je ne regrette absolument rien.  Je divaguais, je profitais, je ne perdais jamais mon objectif d'avenir malgré tout mais je ne loupais pas une miette de la vie étudiante. Je dormais peu du coup, bien sur. Et puis un jour elle est arrivée. Elle. Avec son regard bleu océan, ses cheveux blonds platines, son élégance à faire chavirer un aveugle et sa admiration pour moi qui ne pouvait que me rendre fou. Fou amoureux. Pour la première fois. Peut-être pour la dernière aussi, même si je n'en suis bien sur pas conscient au début. Moi, le courageux, l'intrépide, l'indépendant prêt à tout quitter pour sa vocation, va dépendre de quelqu'un. Dépendre émotionnellement de quelqu'un. Lila. Lila elle m'a eu. Elle m'a aimé. Elle m'a fait chavirer. Elle m'a fait planer. Et elle m'a quitté. Comme ça. Froidement. Lâchement. Parce qu'elle était comme moi, Lila. Elle ne vivait que pour elle. Elle était et est toujours passionnée de photo Lila. J'ai été son inspiration. J'ai été sa muse. Et comme toutes les muses, j'ai fini par m'épuiser à ses yeux. J'ai perdu mon intérêt. Et je ne m'en étais jamais rendu compte. Jusqu'à ce jour là. Le jour où elle est partie, me laissant seul dans mon désespoir tel que je ne pensais pas qu'il était possible d'exister. Le vrai désespoir. La vraie remise en question. La vraie remise en cause. Le fond. J'ai touché le fond. Je me suis foutu en l'air. Clairement. Simplement. Et j'ai fini dans ce trou. En thérapie comme ils disent pour ne pas trop mettre de choc à nos petits esprits de dépressifs. Parce que c'est exactement ce que j'étais devenu. Un dépressif. Mais je l'ai trouvé. Elle. Encore une "elle". Encore une femme. Une femme qui me comprenait. Une femme en tous points opposée à Lila. Du moins c'est ce qu'elle me faisait comme effet. Mais elle me faisait aussi peur. Peur de retomber. Peur de flancher encore une fois. Elle me plaisait, elle comblait ce gouffre en moi que Lila a créé mais je sais pertinemment qu'elle pouvait en un clignement d'œil l'agrandir, ce gouffre. Soledad. Solal et Soledad. Signe du destin qui s'fout d'ma gueule ou qui tente de me mettre sur la bonne voie ? Je ne sais toujours pas.



CHAPTER FIVE
Mais j'ai merdé. J'ai fait l'con. Je me la suis joué à la Lila sur le coup. Est-ce qu'on a forcément besoin de refaire subir aux autres les erreurs qu'on a pris dans la figure ? Est-ce par peur de l'avenir, par peur de me reprendre un mur que j'ai préféré jouer avec le feu ? Je ne sais pas et encore une fois, je ne le saurais peut-être jamais. Mais je l'ai perdu. Soledad. Pour Serena. Que j'ai perdu aussi. A cause de Lila. Que je ne reverrai jamais. Je crois décidément que je ne dois pas être compatible avec ce que les autres appellent sentiments, sensations, ressentis, amour. Ce ne sont pas des choses bonnes pour moi. Reste concentré Sol, fais ce que tu sais faire, reste dans ton élément, suis ta voie. Mais surtout, aujourd'hui, pars. Et c'est ce que j'ai fait. Je suis parti. Où ? Dieu seul le sait. Sans prévenir. Sans donner de signe de vie à d'autres personnes qu'à ma mère. Avec mon sac à dos. Mon appareil photo. Mon carnet de note. Mes rêves de journalisme et mon besoin existentiel de me ressourcer. Amérique du Sud, Asie, Océanie, Europe, Afrique, ils m'ont tous vu passer, plus ou moins longtemps, avec plus ou moins d'entrain, avec plus ou moins de souvenirs. Ils ont tous fait parti de ma reconversion, de ma renaissance si on veut utiliser les grands mots. J'en avais besoin. Pas juste envie. Non, besoin. Un besoin vital, mental, psychologique et même physique je pense. Prendre le large pour mieux revenir après...



CHAPTER SIX
Et c'est ce que j'ai fait. Je suis rentré. Plus fort qu'avant, avec les idées en place, avec mon avenir de nouveau en main, avec une vision différente de la vie, avec de nouvelles envies. 5ème année de journalisme, études mineures de sociologie, membre à part entière de l'équipe de football de l'université, une réputation à tenir, des femmes à charmer sans jamais m'attacher, des examens à relever avec succès. Voilà ce qui m'attendait. Voilà ce que je voulais. Voilà sur quelles bases je repartais. Lila, Soledad, Serena ? Je n'ai plus de nouvelles d'elles. Aucune d'elles. Est-ce que j'en voudrais ? Est-ce que je les ai cherché ? Est-ce que je leur en veux ? Je ne sais même plus. Je veux juste vivre. Vivre comme je vivais quand du haut de mes onze ans j'me sentais le roi du monde...

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le beau Thom SOLAL MCKENZIE ► thom morell 4205929361

Bienvenue et bon courage pour ta fiche SOLAL MCKENZIE ► thom morell 2511619667
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Merci Agathe ! SOLAL MCKENZIE ► thom morell 1839924927
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Thom SOLAL MCKENZIE ► thom morell 4205929361 SOLAL MCKENZIE ► thom morell 1779901633
Bienvenue et bon courage pour ta fiche SOLAL MCKENZIE ► thom morell 3850463188
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T'es beau ! Bienvenue SOLAL MCKENZIE ► thom morell 73120010
Bonne chance avec ta fiche SOLAL MCKENZIE ► thom morell 2511619667
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Thom SOLAL MCKENZIE ► thom morell 1656269883 SOLAL MCKENZIE ► thom morell 1656269883
Une vraie bombe SOLAL MCKENZIE ► thom morell 2321506494

Bienvenue et bon courage pour ta fiche SOLAL MCKENZIE ► thom morell 2511619667 SOLAL MCKENZIE ► thom morell 3850463188
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Bienvenue chez toiiiii !!! SOLAL MCKENZIE ► thom morell 1946740601 :oriane: SOLAL MCKENZIE ► thom morell 1881567943
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la bienvenue avec cette beauté SOLAL MCKENZIE ► thom morell 4205929361
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Bienvenue sur le forum ^^
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