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Andrea ♠ You need to live

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Cela a commencé par un texto, cela commence toujours pas un texto à vrai dire, ou un appel téléphonique. Un rendez-vous avec Andrea. La jeune femme frissonne en fermant la page de son téléphone, comme c’est une bonne après-midi qui s’annonce. Elle a toujours plaisir à voir son ami, à profiter de le voir. Elle a toujours si peur que l’instant qu’ils partagent soit le dernier que la vie leur offre…. Se levant de son lit, la brune commence à se préparer en vu de cette rencontre. Rapidement, elle choisit ses vêtements. Pas la peine de passer cinquante ans à faire un choix alors que le résultat ne la satisfera pas, comme d’habitude. Alors elle choisit un peu au hasard et s’empresse de se rendre à la douche pour revenir rapidement s’asseoir devant la coiffeuse. En soupirant, elle réalise son maquillage, «sauve les meuble» comme elle dit toujours.

Fin prête, la jeune femme quitte sa chambre pour prendre la direction de leur point de rendez-vous, après avoir regardé ses messages. Pas d’annulation à l’horizon, elle arbore un sourire ravi et presse l’allure, pour atteindre le local starbuck et prendre une table où elle l’attend. Elle vérifie son téléphone au moins cinq fois, attendant impatiemment l’arrivée d’Andréa. Et quand enfin il se pointe un peu plus loin, elle se lève en affichant un grand sourire, avant de le saluer à la mode française.

«- Comment tu te sens aujourd’hui ?»

Elle pose la question, la même question que d’ordinaire. Elle a toujours peur, si peur que ça n’aille pas, que la vie lui arrache cet être essentiel à la sienne… Lui tendant la carte des cafés, bien qu’elle-même la connaisse par cœur depuis le temps, la brune lui propose de choisir.

«- Alors qu’as-tu fais de fou dernièrement !?» s’informe la brunette pour voir s’il a suivit ses conseils et profite de l’existence, de la chance qu’il a de respirer encore, s’il vie effectivement comme elle le lui a demandé, tant qu’il peut encore le faire.
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Lisa & Andréa
Tu es fatigué du monde, tu es fatigué de tout et pourtant, tu ressens encore ce besoin fondamental de vivre parmi le commun des mortels. De vivre parmi les gens heureux, les vraies personnes. Ta mère t’a toujours dis que vivre parmi le peuple était une qualité pour toi, et aujourd’hui ne fait pas exception. Bien au contraire. Tu portes alors cette chemise bleu ciel, ouverte sur trois boutons, lunettes de soleil sur le nez alors que bien sur, quand tu sors de chez toi, tu as beaucoup de monde en ville. Tu n’es pas agoraphobe, non, tu as juste peur de mourir devant des personnes qui ne sauront pas quoi faire à ce moment-là. Ta dernière crise ? Y’a deux semaines, juste avant de partir en road trip avec la Reine Chloé de Monaco. Qui aurait cru que tu serais aussi sensible. Ton frère, Matt étant parti au SB, tu as paniqué et te voilà mieux maintenant. Tu ne t’attends pas à voir que la SPA est fermée, tu fronces même les sourcils, toi qui d’ordinaire y va toujours à la même heure, tu es presque déçu. Mais tu as dis que tu passerais du temps avec Lisa, alors tu vas le faire, il faut que tu le fasses. Tu mets tes mains dans son pantalon beige clair, t’obligeant à marcher d’un pas lent mais normal. Tu es beaucoup plus fatigué que tu ne l’aurais pensé, mais qu’importe. Une fois devant le café, tu en profites pour passer ta main dans tes cheveux avant de rentrer dans le bâtiment. Adepte ou non du monde, elle a le chic pour les endroits qui respirent le café et l’envie de chocolat. Merde, tu aurais mieux fais de l’emmener dans ta pâtisserie préférée cette après-midi. A sa vue, tu souris, essayant de paraitre normal et moins malade, comme tu fais d’habitude avant de la saluer.   « Vas-tu toujours me poser cette question Lisa ? Je vais toujours bien, tu le sais ça, surtout quand je te vois » Tu lui souris, même tes paroles étaient un ramassis de mensonges que tu déballes toujours pour cacher ta face malade. C’est ainsi, personne ne devra savoir que la maladie te fatigue, te prend ta jeunesse et ta vie, non. Mais pourtant, elle le fait. Tu t’assois lentement, essayant de ne pas trahir tes paroles alors que tu poses tes lunettes sur ton nez pour lui sourire aussitôt. « Et toi alors ? Comment tu vas ? » Lisa est l’une des tes plus proches amis et pourtant, tu as l’impression que rien ne se passe comme tu le voudrais avec elle. Elle représente l’effet petite sœur de la famille, celle qui est toujours là pour toi, mais tu as peur de la décevoir, tu as peur de la perdre, même si cette distance est importante pour toi. Tu ajoutes un rire à sa question. C’est quoi ça encore ? Encore une invention. Omg, quelle idiote elle peut être. « La chose la plus folle que j’ai fait ? Je suis parti pendant deux semaines en Australie avec mère. Très enrichissant, surtout quand j’ai appris que nous ferions du stop, nous serions ni logés, ni nourris. Tellement heureux. Le pire je crois, c’est qu’elle était plus fatiguée que moi » Tu lui souris. Ta mère, cette femme si forte devant les caméras, si impressionnante mais tellement tout le contraire dans la sphère familiale. Tu avais apprécié son sourire, sa détente et son rire durant deux longues et agréables semaines, jamais tu ne pourrais lui dire merci pour ce cadeau. Mais ton regard se pose sur la carte des cafés alors que tu la relèves aussitôt pour affronter le regard de Lisa. Tes yeux fatigués certes, mais elle avait l’air de ne pas le voir, ou elle ne voulait pas le voir. « Alors, qu’elle est le programme de cet après-midi ? » Tu lui souris une nouvelle fois, tu es bien là. Assis, bientôt un café en main avec l’intention de profiter de ton ami.

@Lisa d'Autriche
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Elle sourit à son ami, demande comment il se porte. La réponse qu’il lui fait ne l’étonne pas le moins du monde, il lui fait toujours ce genre de réponse quand elle s’inquiète de sa santé, à croire qu’elle s’en soucis plus que lui. Ou qu’il se donne un genre devant elle, pour ne pas trop l’inquiéter. Il ne lui parle pas souvent de ses crises, si bien qu’elle n’est au courant le plus souvent que de celles auxquelles elle assiste. Cela suffit pour inquiéter la princesse. Cela suffit pour que chaque jour, elle veuille s’assurer qu’il se porte bien. Que cela soit de vive voix ou pas message et tant pis si cela l’embête. C’est pour mieux lui rappeler, chaque fois, de profiter de la vie, de chaque battement de cœur, de chaque caresse du vent sur sa peau.

«- Je te poserai la question aussi longtemps que tu vivras Andréa, aussi souvent qu’il le faudra. Parce que tu sais très bien que j’ai peur… Peur que tu m’abandonne.»

La jeune femme ferme les yeux, elle frissonne. Être l’amie d’un homme qui peut mourir à n’importe quel moment, ce n’est déjà pas évident. Alors ça l’est encore moins quand cette personne est pas seulement une étoile dans ta vie, mais toute une constellation, carrément. Lisa s’inquiète, elle s’inquiétera chaque matin où il mettra un peu trop de temps à décrocher son téléphone, à chaque instant où il sera trop lent pour taper son texto. C’est normal de s’inquiéter pour les amis que l’on a, que l’on aime.

«- Tu sais, des amis d’enfance, des vrais, j’en avais pas beaucoup. Surtout en garçon, je les compte sur le doigt d’une main. Et tu étais aux premières loges pour savoir que Windsor m’a jeté comme une vieille chaussette quand j'avais quoi ? Quatorze ans ? Tout ça parce que j’ai osé, pardon grand-maître, osé m’amouracher de lui. Comme si je l’avais décidé, un beau jour. J’imagine que je n’étais pas assez jolie, pas assez mince, pas assez…. Enfin, du coup…. Des amis que je connais depuis toujours, qui me connaissent presque autant que moi-même, j’en ai pas beaucoup. J’ai toi. Alors oui je m’inquiète et c’est normal, de s’inquiéter pour les gens qui nous sont chers ! Moi je vais bien et moi, on s’en fiche.» lance Lisa.

La jeune femme sourit quand il annonce être parti deux semaines en Australie et elle le trouve chanceux d’avoir put vivre ce genre d’expérience. Elle suppose, alors, qu’il doit son air fatigué à ces deux épuisantes semaines qu’il vient de vivre et rit un peu quand il parle de la fatigue de la Reine. Lisa connaît la mère d’Andréa depuis qu’elle est haute comme trois pommes. Elle la connaît, c’est vrai, surtout dans le rôle de la reine, plutôt que celui de la mère d’Andréa, parce qu’enfant ils se voyaient surtout pour les cérémonies officielles, mais elle a déjà plus rencontrer la reine dans sa vie de famille. Et c’est une femme agréable, que Lisa admire sur plusieurs points.

«- Moi rien d’exceptionnel. Comme d’habitude en quelque sorte. Mais je me suis inscrite pour le spring break en Jamaïque, tu sera débarrassé de moi !»

Elle rit un peu et il sait que non, il ne sera pas débarrassé d’elle, qu’il aura droit à des appels, des petits textos et sûrement des photo. Pas de selfies, ce n’est pas le genre de Lisa. Mais elle lui montrera les paysages, parce qu’elle sait que lui ne part pas et elle sait, aussi, que son ami adore la photo. Et il l’a taquinée plusieurs fois, étant plus jeune, avec cet appareil qu’elle-même fuyait et redoutait plus que tout au monde.

«- On fait ce que tu veux. C’est toi qui décide. Il y a un truc que tu aimerais bien faire et que tu n’as jamais essayé peut-être ? Et que tu voudrais faire là, maintenant ?»



@Andréa L. Grimaldi & @Andrew R. Windsor parce que ça parle de toi Andrea ♠ You need to live 1f60e (c'est pas nécessairement une bonne chose :hanhan:)
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Lisa & Andréa
Lisa était devenue au fil du temps, bien plus qu’une amie. Tu avais vu en elle, la personne douce et adorable, cette belle femme que tout le monde veut être, forte et pourtant si timide. Naturelle et caractérielle à la fois. Tu avais été heureux de la rencontrer, et tu ne pourrais jamais l’enlever de ta mémoire, jamais. Alors bien sur, à ta remarque, que tu te permets de formuler, tu souris aussitôt. Faiblement, mais tu souris. Ta main se pose sur la sienne, et finalement, tu la resserres lentement. Voilà pourquoi tu ne t’attaches à personne, mais finalement, c’est toi qui a l’air d’être idiot de prétendre que tout va bien, tu le sais, mais tu continues. Son monologue te fait du bien, d’ailleurs, tu ne peux pas t’empêcher de sourire un peu plus, surtout quand elle parle de Windsor. « Lisa, moi je m’en fous pas de comment tu vas, sinon je ne te le demanderais pas … » Tu ne sais pas quoi réellement à part ça. Tu déposes ton autre main avec les votres, avant de les resserrer un peu plus fort. Mais bon, vu la force que tu avais, tu étais mal déjà. Mais tu poses tes yeux sur sa main, maintenant dans les tiennes. « Tu sais très bien que rien ne va, et rien n’ira tant que mon cœur continuera de faire des hauts et des bas dans ma poitrine. Tu sais très bien aussi, que je te dis ça pour te taquiner et que quoi qu’il se passe Lisa, quoi qu’il arrive, je serais là ok. Je tu n’abandonnerais jamais, tu le sais ça. Tu as ma parole. » Tes yeux se sont relevés pour la regarder, tu souris un peu plus fortement et plus naturellement. Lisa avait toujours été là pour là et pourtant, tu ne pouvais pas lui mentir. Pas maintenant, surtout quand elle te sort ça. Ses paroles t’ont touchés, tu le sais. Mais pourtant, tu es accroché à elle comme un aimant, vous êtes comme ça. Un message d’elle et tu souris, elle représente la meilleure partie de toi. Tu la regardes alors, pour sourire en coin. « Le Spring Break ? Tu vas y aller ? Prête à te mettre en maillot de bain pour éclaboussez le monde ta beauté féminine, je suis content que tu y ailles. Tu vas bien t’amuser. Et tu penseras à me prendre des photos. » Tu rigoles doucement, pas trop fort, comme toujours pour éviter de tousser, mais quand tu la regards, elle te sourit. « Enfin ! Deux longues et heureuses semaines de pur bonheur sans toi. Merci mon dieu » Tu humectes tes lèvres alors que tu continues de rire, pas trop fort quand même. Mais finalement, c’est avec un sourire que tu accueilles la réponse à sa question. Ce que tu as envie de faire ? Dormir ? Non, c’est nul ça. Tu réfléchis avant de sourire en coin. « Boire ! Mais j’ai pas le droit. Alors autre chose. » Boire, interdit, c’est pire que la drogue et encore, c’est au même stade. Dommage pour toi, tu devras vivre dans l’éternel envie d’une seconde cuite. La première étant le soir de cette fête où tu as couché avec Giulia. Malheureusement pour toi, c’était la première et la dernière de ta vie. Tu souris doucement, pour enchainer « Mais on va quand même boire hein, tu prends quoi ? » Tu n’as pas oublié le fil de la conversation, non loin de là. Tu réfléchis une seconde, puis une autre. Qu’est que tu voudrais faire ? « Et si, on resta là ? C’est bien aussi, ça change non ? Ou tu veux vraiment quitter cette table, dont tu as eu du mal à trouver l’emplacement ? » Un nouveau sourire. A elle de choisir.

@Lisa d'Autriche
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La jeune femme adresse un sourire à Andréa comme ce dernier vient prendre sa main dans la sienne pour la presser légèrement. La brune lève le regard vers lui. Non il ne s'en fou pas de comment elle se porte et l'autrichienne le sait mais en ce qui la concerne elle se fiche pas mal de ça. Parce que ce qui importe la jeune femme c'est la santé de son ami. Ce n'est pas elle qui risque de mourir à n'importe quel moment de sa vie. Ce n'est pas elle que l'on risque d'enterrer un de ces quatre parce que la maladie a prit le dessus, a enfin prit la vie d'une trop jeune personne.

"- Moi je risque pas grand-chose. Même si mon poids finit par déclencher des soucis de santé capables de m'emporter ce ne sera pas avant longtemps. Très longtemps." repond la jeune femme pour s'expliquer.

Regardant l'homme mettre sa deuxième main sur la sienne, la brune soupire avant de lui accorder un sourire. Mais ce sourire se ternit aussitot que son partenaire prend la parole et elle baisse la tête. Evidemment qu'elle sait tout cela, qu'elle sait que l'homme ne va pas bien. Naturellement la jeune femme sait que ça ne peut pas aller dans la mesure où il peut avoir des crises n'importe quand et qu'il se sait malade. Elle soupire encore une fois.

"- Tu ne voudras peut-être pas mais peut-être que tu seras obligé. C'est pas comme si la vie nous donnait le choix. C'est C'est comme si on avait le pouvoir de décider. Je m'attends à ce genre d'appel depuis qu'on a dix ans. Au début je redoutais que maman m'apprenne la nouvelle. Quand on a pu avoir des téléphones j'avais peur d'apprendre... et... à chaque fois que tu es long à répondre aux textos ou décrocher ton téléphone.... j'ai juste... une énorme vague de panique tu vois ?"

La brune palit un peu comme l'homme parle de se mettre en maillot de bain au spring break. Oui c'est le principe de l'événement mais la brune panique rien que d'y penser. Elle le regarde en se mordant la lèvre inférieure.

"- Le jour où tu me vois exposer ma cellulite soit gentil et colle moi une baffe. Tu me rendras service !" demande Lisa en adoptant la mine d'une tragedienne comme elle dit cela et elle vient lui faire une pichenette sur le frond comme il la taquine même si c'est elle qui qui a lancé les hostilités. "Je sais que tu dis ça mais en vrai je vais te manquer !"

Lisa sourit. Elle a envie de faire plaisir à son ami alors elle lui laisse le choix de décider du programme de l'après-midi et elle soupire en entendant qu'il voudrait boire. Parce qu'elle voudrait faire cela pour lui mais que ce n'est pas possible. Elle demande un chocolat Viennois comme il lui rappelle de choisis une boisson et elle se mord la lèvre. Oui ils peuvent rester ici. Ça lui semble bien comme programme et elle n'a pas mieux à lui proposer surtout

"- On peux rester ici oui et on verra si une autre idée vient plus tard. Et tu sais Andy... le jour où on verra que c'est foutu... qu'il n'y en a plus pour longtemps... promis je t'offre la cuite de ta vie." répond la jeune femme en prenant un air sérieux comme elle ignore qu'il en a déjà prit une. "Accessoirement on ira coloniser mars, on fera de la plongée sous-marine et peut-être même que je te laisserais prendre une photo sans râler. La grande classe comme tu vois. Bon sinon on peu aussi s'envoyer en l'air pour finir en beauté tu sera plus là pour cafter." dit-elle sans le moindre sérieux. Lisa est timide oui. Mais pas avec ses proches. Et avec Andréa ? Ce serait un comble !


@Andréa L. Grimaldi au téléphone en espérant avoir limité les fautes.
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Lisa & Andréa
La jeune femme te regarde, tu fais de même, mais d’un côté, tu as envie de la prendre dans tes bras. Même ta mère n’est pas comme ça avec toi et pourtant, dieu seul c’est qu’elle a envie d’y être comme ça. Mais elle te laisse respirer, vivre ta vie, s’occupant du prochain hérité au trône. Tu la regardes dans les yeux avant de froncer les sourcils. « Ton poids est très bien, je vois pas pourquoi tu dis ça Li’. Arrête de dire ça, tu es parfaire, à côté de toi, les squelettes vont tous se rhabiller. »  Direct, peut-être. Mais sérieux. Tu as toujours été très direct avec elle en ce qui concerne son poids. Tu as toujours essayé de lui faire comprendre qu’il n’y avait pas que ça dans la vie. Et encore plus, qu’elle était très mignonne. D’ailleurs, tu essayes de lui prouver encore aujourd’hui que c’est le cas, mais il est difficile pour elle de le comprendre. Tu lui souris un peu. Peu importe ce qu’elle dira, tu la trouvais jolie. Mais bien sur, il fallait que ça change, alors quand tu lui avoues cela. Tu essayas de rester de calme, très calme, mais c’était complexe, trop complexe. Surtout quand tu devais lui dire la vérité. Tu la disais tellement rarement que cela était presque un mensonge pour toi, à croire que toute vérité n’est pas bonne à dire. « Lisa … Ne t’inquiète pas pour ça. Je vais bien. Je suis bien. J’ai quelques spams c’est vrai, c’est compliqué, mais ça va… Tu n’as pas besoin de t’inquiéter comme ça, tout ira bien. Dis toi juste que si ça arrive demain, j’aurais vécu assez longtemps pour pouvoir avoir profiter de chaque moment avec tout le monde, même avec toi. » Tu essayes de détendre l’atmosphère, tu essayes aussi de la détendre. Cela te fait plaisir qu’elle s’inquiète pour toi, bien au contraire. Mais d’un côté, tu es mal, parce que tu sais que tu n’en as plus pour longtemps. Et dire que dans une dizaine d’années, tu n’auras pas le même discours qu’aujourd’hui. Tu t’en veux d’un côté de tous les laisser, mais tu n’as pas le choix. Ton frère bosse comme un dingue pour devenir médecin et te sauver mais il est trop tard, beaucoup trop tard en fait.. Malheureusement. Tu as grandi avec une cage thoracique bien plus petite que la moyenne et ton cœur n’arrive pas à apprécier les battements qu’un adulte doit avoir. Et c’est de ta faute d’un côté. La conversation dévie sur la Jamaique, tu souris à sa remarque alors que bien sur, c’était pour la taquiner, encore une fois. « Arrête Lisa. Tu n’as pas non plus cinq cents kilos de cellulite, et même si tu en avais, tu t’en fous. Jamais je t’en mettrais une, que ce soit parce que tu t’exprimes dans ton corps que parce que tu es devenue totalement folle. Bien au contraire, tu as de la chance que je n’y aille pas à ce Spring Break sinon, je t’aurais poussé à le faire » Tu rigoles avec elle, tu voulais lui faire plaisir une de fois de plus. Lisa avait toujours été complexé, et pourquoi ? Parce qu’elle se trouvait trop grosse ? Plus en forme que certaines personnes. Mais au diable les codes de conduite, tu t’en foutais toi, du moment qu’elle était en pleine santé et heureuse. Mais bien sur, ce n’était pas trop son cas, elle se trouvait trop forte malheureusement et ça, tu ne pouvais pas le changer dans sa tête. Quand la serveuse arriva, tu tournas une seconde la tête vers elle « Et pour moi, un thé citronné jaune avec un demi sucre et du lait entier s’il vous plait » Et merde, habitude de prince aussi. T’as pas le droit au café et encore moins à l’alcool alors c’est sur que le thé c’est parfait, t’en fais même une affaire personnelle. Tu visites toujours d’ailleurs des petites usines de thé de temps en temps, saleté d’habitude. Mais elle te fais quitter ta rêverie. Tu souris à sa remarque « C’est gentil de me remonter le moral, je vais mourir plus vite comme ça. Une boite cuite bien sérieuse et hop le lendemain plus personne. Non merci. »  Tu souris en coin à toutes ses remarques, tu ne peux qu’hocher la tête positivement. « Je vais pas attendre ce moment trop longtemps, je devrais peut-être mourir demain moi alors. » Tu rigoles un peu plus, surtout quand la serveuse revient avec les boissons et qu’elle te regarde bizarrement. Et merde, tu viens de te faire remarquer, tu souris, un petit sourire charmeur pour qu’elle oublie ce que tu  viens de dire, ni vu, ni connu. Et finalement, tu te tournes vers ton amie d’enfance. « Ce jour-là, j’appelle et tu n’aurais pas le choix de tout ce que je veux faire. Cherche pas, je t’attache à moi toute la journée, tu seras obligé d’être prise une cinquante de fois en photos. » Tu souris en coin, alors que tu mets le sachet de thé dans l’eau chaude de la théière. Et une fois prêt, tu verses le contenu dans la tasse qui t’avais été mise à disposition. Tu ajoutes ton lait, trois cuillères et ton sucre, enfin demi sucre, pour ensuite touiller la texture, tu lèves les yeux vers elle. « Les joies de la cour très chère ! Préparez seul son thé en deux leçons, module quatre du parfait Roi. » Tu rigoles une nouvelle fois, pas trop fort pour éviter de tousser devant alors que tu tapes la cuillère trois fois avant de la mettre sur le côté et boire le liquide que tu venais de faire.

@Lisa d'Autriche
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Ils sont si différents et si semblables en même temps. Tout deux complexés par leurs vies, lui pour sa santé qu'il n'aime pas évoquer et elle pour son physique qu'elle déteste. Ils étaient tout deux enfants de têtes couronnées et pourtant aucun des deux n'avait réellement confiance dans l'avenir. D'ordinaire, on dit que les rois, les reines, n'ont pas de soucis. La belle connerie. Andy et Lisa savent mieux que les autres que c'est loin d'être le cas. Ils savent que ce n'est pas parce que l'on porte une tenue de gala et l'écharpe du pays que tout va bien pour autant. Si différents et si semblables en même temps, à avoir peur du lendemain, avoir peur de ce qui peut arriver... et ils s'étaient trouvés. Pour le meilleur et pour le pire aussi, ils étaient entrés dans la vie l'un de l'autre. Et Lisa était décidée à mettre le temps restant à profit pour pousser son ami, lui apprendre à vivre. Pendant que lui essai de lui apprendre à s'aimer.

"- Il n'y a que toi qui dit ça Andy et c'est peut-être parce que tu me connait depuis qu'on a un an. Évidemment que tu ne me dira pas que je suis moche et grosse ! Pourtant c'est exactement comme ça que je suis tu n'as pas besoin de me ménager je sais ce que je suis." la brune soupire avant de le regarder et reprendre la parole. "Si tu me croisais aujourd'hui dans la rue, en admettant que nous ne nous soyons jamais connu... tu te retournerai sur moi ? Pour de bon ?" demande la brune en le regardant le plus sérieusement possible comme pour lui dire qu'il n'a pas intérêt à mentir sur une question aussi épineuse. "T'en vois beaucoup qui de retournent ? Regarde tout les mecs dragueur de l'école... bah même ces daleux ne veulent pas de moi. Donc... Je dis juste une évidence. Cela dit j'en veux pas non plus. D'un daleux."

Son type de mec elle ne le connait pas trop. Peut-être avec un minimum de muscles pour se sentir en sécurité ou sembler moins forte mais c'est tout elle n'est pas bien exigeante. Elle ne s'est jamais trop posé la question parce que ça ne sert à rien dans son cas selon elle. Il n'y a personne pour elle. Pourquoi se torturer à chercher un type ?

"- On devrait eviter de parler de ça." repond la brune pour clore le sujet de la maladie.

Oui c'est elle qui a lancé les hostilités en s'inquiétant pour le jeune homme mais maintenant la brune souhaite passer à autre chose. Et notamment un sujet bien plus amusant. Ce ne doit pas être difficile de trouver quelque chose, un sujet de discussion, qui soit plus amusant que la potentielle mort prochaine d'un ami. Plus amusant que l'épée de Damocles fichée au-dessus de la tête d'Andrea. Ell est dans sa vie pour lui apprendre non pas à craindre la mort mais à aimer la vie après tout et en profiter tant que c'est encore possible.

"- T'aurais toujours pu courir avant que je le fasse. Encore que je veux bien le faire - à reculons - au besoin si tu veux absolument faire un truc et que ça necessite de porter un maillot de bain mais sinon ... ne compte pas trop sur moi pour ça." malgré ses dires elle arbore un sourire. Parce que oui s'il s'il lui demandait pour une raison x ou y elle le ferait. Lisa ne sait pas vraiment refuser quoi que ce soit au jeune homme.

Elle rit devant les manieres de son ami. Elle en a l'habitude en ce qui la concerne : son statut de princesse fait qu'elle a déjà rencontré des gens beaucoup plus pointilleux que ça pour leur thé. Petites manies de têtes couronnées. Alors la brune ne se formalise pas de cela mais la serveuse semble un tout petit peu décontenancé. Elle finit pourtant par aller s'occuper de la commande et Lisa sourit en revoyant la tête en disant qu'il torture cette pauvre fille.

"- Hé ! Ce n'est pas ce que j'ai dis ! J'ai dis le jour où on aura plus d'espoir !" repond la brune. "Ne va pas t'imaginer que j'ai envie de t'offrir un aller simple pour le cimetière ça va pas ! C'est toi qui va m'y envoyer si tu me prend en photo. Je mourrai de honte devant le résultat. Pas pour la qualité du photographe mais pour celle du... modèle. Si j'ose m'appeler de la sorte !" Proteste la jeune femme.

Il n'a pas tout relevé dans son discours mais elle ne le lui fait pas remarquer et préfère préfère focaliser davantage sur l'histoire de ces clichés. Elle sait bien que son ami est un très bon photographe et que c'est principalement parce qu'il aime ce qu'il fait. Pour autant elle n'est pas à l'aise pour prendre la pose même s'il lui a prit untrès beau cliché la dernière fois, qu'elle a même affiché sur instagram. Mais c'est un soucis ancré en elle et si pousser Andrea à vivre est compliqué, pousser Lisa à s'accepter n'est pas plus facile.

"- Mais... si tu me le demandais tu sais bien que je le ferai." Elle soupire gênée. "Comme si j'étais capable de te dire non à toi. C'est arrivé une fois dans nos vies ?" demande la jolie brune en le envisageant. "Parce que je n'en ai pas souvenir tu vois... Je suis trop gentille avec toi !" lance la jeune femme avant de lui tirer la langue, avec humour.


@Andréa L. Grimaldi
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Lisa & Andréa
Lisa était pourtant si adorable à toujours s’inquiéter. Pire que ta mère finalement qui t’appelait tous les deux. C’était disons assez chiant à la longue pour elle et pour toi, mais dans son cœur, tu voyais vraiment qu’elle s’inquiétait. Comme ton amie. Elle était pareil, toujours à t’envoyer un message, à t’appeler ou même à essayer de te convaincre de sortir, même si le médecin te conseillait cela. Mais finalement, tu ne pouvais rien lui refuser, c’était comme ça, Lisa ne pouvait pas, ne pas faire partie de ta vie, parce qu’elle était ta meilleure amie d’enfance, celle qui saura en premier ce qu’il t’arrive. Tu as refusé de le dire à Anja, tu as refusé de mettre dans la confidence ta plus proche amie, ta deuxième meilleure amie et tu le regrettes aujourd’hui, parce que tu es obligé de la voir que dans tes très bons jours. Alors qu’avec Lisa s’était tout le contraire, bon ou mauvais, elle s’en fichait. Comme aujourd’hui. Tu n’étais pas bien, mais pourtant, tu étais assis en face d’elle dans ce café. A sa remarque, tu fronças les sourcils. « Non ! Arrête de dire ça. Tout le monde le dit. Tu es très belle Lis’, y’a pas que moi qui le dit. Essaye de faire dire le contraire durant ma dernière exposition, c’est tout le contraire. Tout le monde t’adulait et tout le monde te trouvait magnifique. » Tu es sérieux. A ta dernière exposition à la galerie Andréa Grimaldi, tu l’avais bien affiché et personne ne s’était moqué d’elle. Personne, même ton père avait décidé de garder une de tes photos dans la galerie privée du palais. A croire qu’elle faisait toute la différence. Tu soupiras. « Tu sais très bien que oui. Je suis comme ça avec tout le monde. Tu as l’âme d’être derrière un appareil photo. Et même si tu ne me crois pas, je m’en fiche, je me retournerai quand même. Et ça. Ce n’est pas un mensonge, loin de là. C’est la pure vérité. » Tu lui souris un peu plus, elle manquait cruellement de confiance en elle, et toi aussi, mais ça se voyait moins. Rassurer tes amis était une chose que tu faisais tous les jours, surtout avec Lisa. Tu ne voulais pas partir tant qu’elle n’assumera pas sa vie actuelle. Quitte à lui faire comprendre par des baffes, tu le feras. Tu lui lèves les yeux au ciel. « On parle des dragueurs ? Ou on parle de toi ? Moi je te parle de Lisa, la petite lisa de 3 ans qui est venu me voir à mon anniversaire parce que nos parents se connaissent. Je te parle de la petite fille que j’ai appris à connaitre petit à petit et qui m’est devenue aussi chère d’une petite sœur. Je te parle de cette Lisa là. Pas des hommes qui pensent qu’à ajouter un nom à leur conquête, à leur tableau de chasse. Et tu sais que j’ai raison. Tu trouveras ce gars là, ce gars qui se retournera vers toi, qui t’observera comme moi je t’observe, mais encore mieux. Tu le trouveras plus rapidement que tu ne crois ma Lisa. » Tu savais qu’avec ce genre de phrase, elle ne pouvait pas te contredire, mais toujours rabâcher, comme elle le faisait. Mais c’était ça votre plus grande force, vous étiez d’accord partout, sauf si un point. Celui que vous avez en commun. Votre non confiance en soi. Mais finalement, tu souris faiblement face à ses paroles. Parler de ta maladie n’est pas le meilleur sujet de conversation et encore, elle n’a pas assisté à un repas entre Grimaldi, c’est pire. Alors bien sur, comme toujours, tu baisses la tête légèrement pour observer la tête. C’est mieux non ? Et puis, qu’est qui pourrait être pire que d’avoir une maladie cardiaque grave ? OK, mourir c’est sur mais bon. Mais sa remarque te fait sourire en coin. « Pourquoi ? Parce que tu n’es pas bien en maillot de bain ? Arrête de dire ça je te dis. » Tu la regardes sérieusement, même si tu souris à ta propre remarque. Quelle idée aussi de te mettre ça dans le crâne. Elle était comme elle était non ? Et puis sérieusement, tu serais capable de frapper toutes les personnes qui osaient dire du mal d’elle, même si tu risquais de te prendre une sacrée raclée après. Tu la regardes, avant d’hausser les épaules. « Bah quoi ? Un thé reste un thé s’il te plait Lis’, et puis j’ai pas le droit à trop de sucre, ni à trop de lait.. » En même temps, t’as le droit à pas grand-chose aussi, tu rigolas néanmoins, avant de te reconcentrer sur ton amie qui est à tes côtés. Elle abuse, tu abuses aussi. D’ailleurs, tu rigoles en hochant négativement la tête.   « Arrête donc dire ça, je vais survivre, ne t’inquiète pas pour ça. » Oui, enfin en même temps, tu as déjà survie à une première cuite, difficile, mais à survit alors pourquoi pas à une deuxième ? Tu ne peux t’empêcher de soupirer. « Lisa ! Stop. Tu arrêtes tes conneries et tes mensonges. Tu es très bien comme modèle, je te l’ai assez prouver non ? Ou tu veux que je recommence un monologue ennuyeux la dessus ? » Tu la mets au défi et tu te connais, tu tiendras parole dès qu’elle te dira la mauvaise réponse. Et niveau speech ennuyeux, tu savais y faire avec ton père. Bien sur, quand tu pris le temps de la regarder, tu lui souris en coin. A ce fameux aveu, tu lui continuas de la regarder, en profiter pour hocher la tête, cette fois-ci positivement alors qu’elle enchaine les paroles. « J’espère que tu le ferais. Tu as intérêt même à le faire sinon t’es mal. » Tu essayes de rester sérieux, même si tu essayes de ne pas rire. Compliqué. Mais finalement, tu rigoles presque naturellement, pas trop fort quand même pour éviter de tousse après. « Une seule fois et finalement tu as cédé, comme une débutante. C’est bête hein. » Tu souris un peu plus alors que tu pris ta tasse entre les mains pour ensuite la boire lentement. Tu en profites pour lever les yeux vers ton amie. « Ne me regarde pas comme ça, on devait avoir 10 ans pas plus, et tu ne voulais pas dormir au palais, ou un truc comme ça. Tu as accepté parce que j’ai dis à mes parents que tu étais d’accord. Donc. C’était pas ma faute. » Tu souris, pour terminer ta petite gorgée et finalement, tu déposas ta tasse sur la coupelle doucement. L’habitude débile des thés à la cour d’Angleterre, merci Ariel.

@Lisa d'Autriche
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La jeune femme soupire et baisse la tête comme ils parlent de son poids et de ses ennuis physiques, son manque de confiance en elle. Un sujet qui tient à cœur. Un sujet sur lequel son ami Andréa n'est pas d'accord avec elle. De la même manière que Lisa est agacée quand son ami ne va pas bien, ce dernier s'agace d'être contredit par la jolie brune. Mais c'est plus fort qu'elle. Ne s'aimant pas elle-même, Lisa a du mal à croire que quelqu'un puisse l'aimer. À quelqu'un puisse s'intéresser à elle.

Comme le prince monégasque parle de sa dernière exposition la brune semble gênée compte tenu du fait que ce dernier n'a pas put s'empêcher d'exposer trois clichés de l'autrichienne. Sans l'informer de cela au préalable bien entendu si bien que la jeune femme l'avait découvert en arrivant elle-même sur les lieux de l'exposition. Elle ne s'était pas trop occupé des commentaires du le coup. Non elle était bien trop occupée à vouloir trouver Andréa pour lui tirer les oreilles quand à son initiative. Même si les clichés étaient magnifiques c'est vrai. Même si elle s'était trouvé jolie. On peut le dire c'est presque un miracle. En fait ça en est un assurément.

"- J'avais un excellent photographe mais il ne m'avait pas prévenu que j'allais être vu par autant de monde au milieu de sa galerie !" fait remarquer la brune en secouant la tête. "Mais bon que veux-tu que j'y fasse ?" demande la jeune femme en accordant un sourire à son ami avant de reprendre la parole. "C'est ça d'être ami avec des princes et princesses. Ils font ce qu'ils veulent après !"

Ce n'est pas un reproche de la part de la jeune femme naturellement mais une simple remarque. D'autant plus que ses amis, elle les a choisi bien entendu. Personne ne les lui a imposé. Et elle ne sait à trop bien la valeur de ceux qu'elle a.

"- Tu sais très bien ce que j'ai voulu dire. Je voulais dire que je ne suis pas le genre de filles jolies que l'on va draguer naturellement. Ma seule chance d'avoir quelqu'un ce serait qu'un ami se découvre des sentiments pour moi mais quelqu'un de lambda ne viendra pas vers moi." repond la brune convaincue avant de tiquer sur quelques mots et interroger alors son ami. "Et toi tu me regarde comment Andy ? Comme une petite soeur ? Ben c'est pas vraiment comme ça qu'on régarde une fille qui nous plait."

Elle rit. Évidemment qu'il survivrait à une cuite mais elle sait aussi que dans la situation du monégasque l'abus d'alcool n'est pas très indiqué. Elle ne sait seulement pas que ce dernier s'en est déjà prit une, une fois. Et que cela l'a amené ce soir là à coucher avec la soeur de son meilleur pote.

"- Ce n'est pas très indiqué dans ton cas. C'est pour cela que je te réserve la cuite et les trucs extrêmes pour le dernier moment. Pour que tu profite de tout ça avant de..."

Mais il vaux mieux ne pas parler de cela car la gorge de Lisa se serre à cette seule pensée et la jeune femme préfère changer de sujet. Alors elle se moque de lui et son côté un peu chiant avec le service du thé qui est pour lui un peu chichi-pompon, légèrement.

"- Donc techniquement je ne t'ai pas dit non puis oui. Techniquement tu m'as prit au piège monsieur Grimaldi !" Dit-elle en souriant.

Elle porte un gobelet à ses lèvres pour boire dedans et elle observe son interlocuteur quelques instants. Elle finit par sourire et caresse la main d'Andy.

" -Si tu te sens on promène après la boisson chaude ?"


@Andréa L. Grimaldi Je corrige au pc. Sur le tel j'ai pas été jusqu'aux 1000 x) j'abuse.
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“You need to live"
Lisa & Andréa
Lisa, Lisa, Lisa. Tu hoches la tête négativement en l’entendant. Nounouille de première tiens. Tu as envie de te lever et de lui en mettre une. Excellent photographe, peut-être mais sérieux. Tu passes ta main dans tes cheveux pour finalement lever les yeux au ciel. « Est-ce que tu te fous de moi là ? » Tu rigoles aussitôt, pas trop fort quand même avant de reprendre. « C’était une toute petite exposition et puis le photographe avait prévenu que la photo sera accrochée. C’est toi qui n’avait pas envie d’écouter. Et je te rappelle que le photographe a eu de très bonne répercussion avec ces photos en sachant qu’en plus, des dizaines d’entre eux ont pu être vendues pour la bonne cause. Alors ne te plains pas, tu étais magnifique ce jour-là. Et tu as voulu venir voir l’exposition. D’ailleurs, je suis même sur que tu as de très bons retours des photos. » Tu souris, heureux de cette exposition. Elle te tenait à cœur d’ailleurs. Pourquoi ? Parce qu’elle représentait ta première exposition dans cette galerie en ton nom. Ta mère avait décidé d’acheter une galerie, la baptiser pour toi, pour être sur, qu’une fois mort, personne n’oublie ton talent pour la photo et surtout que personne ne t’oublie pas. Tu étais même triste rien que dit penser, mais tu balayas l’idée d’un coup pour te concentrer vers ton amie. Tu fronças les sourcils, essayant de comprendre cette femme si torturer par son physique alors qu’il n’y avait pas de quoi. Et alors ? Vous étiez toujours d’accord sur tout finalement, sauf sur son physique. Peut-être que c’était toi qui voyait toujours le bien partout ? Ou alors le contraire ? Qu’est que tu pouvais dire finalement ? Rien ne la faisait changer d’avis. « Mais arrête donc. Tout le monde ne s’arrête pas sur le physique. Certaines personnes insensées sans aucune pudeur pour les gens. Certaines personnes qui sont simplement idiots et qui ne comprennent pas que la beauté, elle est présente à l’intérieur et non à l’extérieur. Tu es une fille géniale Lisa, arrête de dire que tu es trop grosse ou moche tout le temps, tu fais raison à toutes les langues de vipères qui te critiquent. Tu es bien plus, alors enlèves moi toutes ses négativités sur toi et soit quelqu’un que tu as envie d’être. Assumer et entière ! » Tu la regardes, très sérieux mais finalement, tu fronces les sourcils. « Je te vois comme ma petite sœur Lisa, et personne ne fait de mal à ma petite sœur, ne t’inquiète pas pour ça. Personne ne te fera du mal et encore moins ces gros dragueurs de pacotilles. Tu vaux bien plus que ça ! » Tu regardes, très sérieux de la chose. Finalement, tu n’étais pas si calme que ça aujourd’hui. Et même si la fatigue était là, tu essayais d’être très sérieux dans tes propos, tu ne voulais pas qu’elle soit blessée et même pire par quelqu’un qui ne la méritait pas. Le sujet dériva, tu souris avant de rire face à ses paroles. Mais, tu hochas la tête positivement pour ces derniers moments avec elle. « Génial alors. Tout ça pour en finir plus facilement avec moi, j’espère que tu comprendras la douleur de Matt, quand il saura que c’est avec toi que je passe mes derniers instants et non lui. Fais gaffe, il peut être très chiant quand il s’y met maintenant. » Tu rigolas doucement. Mais tu sais très bien comment ça va se passer. Tu vas être sous respiratoire et tu ne pourrais plus bouger du tout, fatigué par tout, même pour manger. Cette idée te brise de l’intérieur de savoir que cette liberté de bouger, de vivre ou même pire, tu ne pourras plus la toucher. Tu te sens même coupable d’infliger cela à tes parents. Mais c’est peut-être la seule solution pour éviter que tout parte en vrille avant.. Tu te connais, tu voudras rentrer au palais et vivre avec Monaco et tes parents les derniers instants de ta vie, jusqu’à te laisser sombrer dans les bras de Morphée à jamais. Tu entends déjà ton chien hurlé. Tu secoues la tête légèrement, pour t’enlever cette image de la tête alors que tu souris presque obligé par la chose. Il faut toujours que tu penses à ça, tu te dis que peut-être cela se passera comme ça ou pas. Mais tu fais mine de bouder à tes paroles. « Jamais. Je ne te prends jamais au piège. Je t’oblige à le faire par la simple conviction de mon sourire, de mes paroles et aussi de ma gentillesse, donc t’es obligé d’accepter. Le seul hic c’est que tu sois ça négativement alors que le point positif, c’est le fait de passer une après-midi avec mon appareil photo et moi. Chose plutôt cool. En plus, à ce qu’il parait, y’a toujours des choses cools à faire dans cette ville, donc je me ferais pardonner toujours pardonner et hop, tu m’en voudras plus de t’avoir forcer gentiment la main » Tu souris en coin, un peu plus en fait face à elle. Tu étais un vrai gamin avec elle. Tu étais toi finalement. Oublier les problèmes de cœur, oublier la courte vie qui s’annonce. Tu pouvais profiter de la vie, t’amuser et vivre grâce à elle. Même si, tu supposes un plan de ta mère, de lui avoir gentiment aider à faire son choix dans les universités américaines et d’avoir ainsi cocher par simple faiblesse, la case d’Harvard. Oui, ta mère est ses plans foireux. Déjà qu’elle avait envoyé Matt pour te surveiller alors ça pourrait être possible qu’elle est fait ça avec Lisa. Mais tu l’aimais quand même ta mère. Tu souris alors. Tu prends ton thé pour le porter à tes lèvres. Ton breuvage te fait du bien, il t’a toujours fait du bien, mais finalement, tu accueilles ses propos avec un hochement de tête. Tu déposes la tasse sur la table, avant d’humecter tes lèvres pour enlever le liquide de ces dernières. « Si tu veux oui. Ca me fera du bien » Ou pas, tu sens rien en fait, mais tu souris doucement. Tu ne veux pas lui dire que tu as passé ta journée dans ton canapé avec Monaco. La pauvre, elle va encore te poser trente mille questions. Mais tu te tais, tu lui souris pour regarder dehors, en plus le temps était propice, c’était parfait.

@Lisa d'Autriche
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