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Jupôme + come light me up and maybe I'll let you on it

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« Putain Côme ! Pourquoi je suis un boulet pareil ! »

Tu fais un tour sur toi-même, l'air un peu dépité. Cela va faire moins de vingt-quatre heures que l'avion s'est posé et déjà ta suite ressemble à un dépotoirs. Tu jettes un dernier regard d'ensemble... Et toujours rien. Un peu désespéré, tu décides de mettre un terme à cette traque qui risque de ne jamais prendre fin et de regagner la salle de bain. Les yeux comme hypnotiser par le reflet du miroir, tu t'inspectes chaque centimètre de peau, car ce soir, tu nourris l'envie secret d'être le plus beau dans le but de briller à ses yeux. Pourtant, tu n'es pas sûr que cela soit une bonne idée. Depuis vos retrouvailles, tu sens que tout va bien entre vous. C'est même mieux que tu ne l'aurais espérer. Mais, une grande partie de toi en veut plus, car tu l'as sentis, cela pourrait être un magnifique début pour tous les deux. Tu détaches enfin les yeux du miroir et décides de repartir à la recherche du cellulaire perdu. Tes mains fouillent à tâtons, mais toujours rien. Enfin, tu décides de plonger la main gauche sous une couche de vêtement que tu ne porteras pas. Ta main glisse contre une surface froide. Le reconnaissant immédiatement, tu le tires jusqu'à toi. Sans réellement relire ce que tu lui écris tu appuies sur le bouton envoyer. Tu regardes ton portable pour être sûr de l'itinéraire et tu prends ton besace porte bonheur. Besace comprenant une bouteille de rhum, une autre de vin et des serviettes.

Sur la route, ton esprit ne cesse de penser à ton ami retrouvé et secrètement, tu espères que cette crique à l'écart des autres étudiants lui fera comprendre ce que tu ressens pour lui. Tu essaies tant bien mal de te souvenir du chemin. Finalement, tu arrives sur une crique déserte. Face à toi l'océan. Au-dessus de ta tête, des millions d'étoiles brillent. Un peu abasourdi tu t'assoies comme pour mieux les observer. Des bruits de pas se font entendre. « Jupiter, c'est bien toi ? »
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Côme & Jupiter

En apesanteur, le corps qui flotte au fil des heures, l'alcool qui s'écoule dans mon corps, qui le prend à tord et déleste les peurs. Je me sens comme la plume qui vient caresser avec cette passion dévorante les grains du papier, qui vient marquer d'ecchymoses le blanc vierge qui s'étend comme ces décors profonds sur les hauts des tableaux dans les musées. Antalgique puissant, la tequila qui se noie dans les vagues fruitées qui cognent la paroi de verre qui les retient, aussitôt administrée à la réception du message, de son message. Le corps sculpture, ancré au tabouret face au bar, un sourire se sculpte aux rives de mes lèvres humides. D'une pression exercée de la paume qui enlace le bord de la surface qui porte à son dos les cocktails, je m'éloigne, attrape une petite veste que j'enfile pardessus mon t-shirt blanc et rejoins l'extérieur. Je ne sais pas où je vais, ni même à cet instant où je marche hâtivement dans une direction qui me semble encore inconnue à ce jour, ni même avec Côme. Sa présence plus qu'auparavant m'octroie ce sentiment de bien-être, il est un alcool à lui seul qui se consomme sans modération. Il est de ceux qui d'un salut sur l'écran verrouillé de mon iPhone dresse le coin de mes lèvres jusqu'à mes oreilles. Il est de ceux avec qui j'ai envie de partager mille et une expérience folles aux allures d'aventures, de risques et de péripéties. Il est de ceux sur lesquelles je veux pouvoir compter, parce qu'il a cette valeur que ma vie lui attribue, il a cette âme qui m'apaise, cette innocence, cette fragilité qui m'attendrie, qui me rappelle que les tyrans ne sont au fond que des victimes de leur propre pensée étroite, amoindrie par cette société qui ne cherche qu'une chose, contrôler. Traînant des pieds, égaré dans une parcelle aux folies végétales, aux bruits de sable trempé, de feuillages qui valsent sous les néons du ciel, je remarque Côme alors je m'arrête un instant, laisse le silence régner, mes yeux se reposer sur son visage en alerte. Une respiration, un souffle, je traverse le mur de branches et de feuilles. « Jupiter, c'est bien toi ? » Je me dresse face à lui tout en balayant d'une main mes vêtements pour me débarrasser de tous ces résidus qui se sont déposés à mon passage. « Je crois que c'est moi. » Un soupire moqueur, je glisse ma main dans une large poche de mon short. « Alors comme ça, tu préfère passer ta soirée avec moi plutôt que de t'amuser avec tous les autres ? » Mes yeux viennent s'étaler sur le sac qu'il tient fermement. « Dis moi que tu as de quoi fêter, parce que j'ai envie de vivre ce spring break à fond. »
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[color=#c92cc2] L'air marin flotte dans les airs et vient fouetter ton visage e petit parisien expatrié. Non loin de toi, une vague s'écrase et se dissous en une myriade de fines gouttelettes d'eau salée qui viennent éclabousser. Tu inspires cet air si pur, si frais et surtout si différent de l'air de Boston. L'espace d'un instant, tu te sens seul dans ce monde plein de magie et autant dire que cela ne te dérange pas vraiment. Bien au contraire. Tu as envie d'y rester et l'idée que Jupiter vienne te retrouver te provoque un frisson d'excitation. La sonnerie de ton portable te sors de ta rêverie. Fouillant l'intérieur de ton sac, tu pries silencieusement pour que ce soit son nom qui s'affiche sur l'écran. Bingo! L'apparition de ce nom t'arrache un sourire des plus radieux. Tu pianotes sur ton clavier et ranges ce petit bijou de technologie. De nouveau seul face à la mer, tu songes à cet homme. Cet ami. Depuis que tu sais qui il est, tu meurs d'envie que les choses avancent avec lui. D'une, il est cet ange gardien qui t'a permis d'aller mieux lorsque tout autour de toi partait en sucette. De deux, tu sais qu'il fera toujours tout pour te protéger de tes démons. De trois, tu te sens tellement bien en sa compagnie que plus rien n'a d'importance.

« Je crois que c'est moi. » Sa voix résonne dans la nuit. Sa voix te fait frissonner de tout ton être. Tu te retournes pour lui faire face. Un sourire moqueur se dessine sur son visage. Dieu qu'il est sexy et cela même en short. « Tu sais, j'ai eu peur l'espace d'un instant que ce soit un psychopathe... Et qu'il me fasse disparaître au fin fond de la mer des Caraïbes." Tu te tais. Encore, une fois, tu te sens comme une petite lycéenne stupide et intimidée. « Alors, comme ça, tu préfères passer ta soirée avec moi plutôt que de t'amuser avec tous les autres ? » De base, si tu as prit la décision de venir au Spring Break c'était pour tout oublier l'espace d'une semaine entourée par d'autres étudiants d'Harvard... Mais c'est vrai que tu as toujours préféré la présence de Jupiter à celle des autres. T'essaies alors, de reprendre confiance en toi. « Tu ne vas pas me dire que tu as pas envie qu'on s'amuse un peu qu'à deux ? Histoire de rattraper tout ce temps perdu ? » Ce soir, tu te sens d'humeur taquin. Tu te sens plus sûr de toi qu'à Boston. Tu te sens prêt à perdre le contrôle et à te laisser aller. « Dis moi que tu as de quoi fêter, parce que j'ai envie de vivre ce spring break à fond. » A dire vrai, tu n'as pas encore eu la chance de le voir ivre ou même de le voir s'amuser tout simplement. L'espace d'une seconde, tu te sens tout exciter à l'idée de passer toute une soirée de débauche en sa compagnie. Tu sors la bouteille de rhum ambrée. « Tu m'as pris pour qui ? Mais avant ça, je meurs d'envie de piquer une tête, tu me suis ? » Sans attendre sa réponse, tu poses ta besace sur le sol, enlèves tes vêtements et cours en boxer vers l'océan.

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Côme & Jupiter

« Tu m'as pris pour qui ? Mais avant ça, je meurs d'envie de piquer une tête, tu me suis ? » Il file comme ces étoiles qui parsèment mes yeux à l'instant où ils se perdent dans ses sourires tirés, étendus comme ces draps sur les filets au coin de ces jardins dans les beaux quartiers. Il m'échappe, prend le devant, laisse glisser ses vêtements sur sa peau assoiffée et hâtivement s'éloigne vers les ressacs salés. Je le regarde faire, spectateur attentif dans les hauteurs des tribunes sans laisser le moindre mot s'échapper de la cage que forme ma dentition. Son corps devient point de peinture sur un tableau aux dimensions majestueuses. Je retire mes vêtements, abordant une tenue d'Adam plus moderne, composée d'un supplément, d'un boxer noir fraîchement enfilé, sur le point d'être trempé, complètement fripé. Je fonce à mon tour, m'enfonce dans le liquide aux températures frisquettes. Je fais face à Côme, je lui fais face, vêtu d'un sourire, seul atout qui dépasse encore entièrement de l'eau qui enlace mon épiderme. Je plonge la tête, entre-ouvre mes lèvres, y laisse la flotte s'y engouffrer comme seule porte de secours dans un bâtiment en flamme et sans prévenir, comme toutes ces choses dans la vie qui viennent heurter le quotidien, la routine singulière qui dirige respectivement la vie de chacun, je relève le visage, crache sur le sien sans la moindre pitié. Un jeu d'enfant, deux âmes dans l'eau, deux innocents, un peu de temps, du bon temps, quelques sentiments qui s'égarent comme la fumée des cigares, des sourires éphémères, la magie qui opère, les problèmes habillés de bouées crevées, noyés. Des rires qui s'évadent, prisonniers de ce sérieux trop présent qu'on s'impose constamment pour être conforme à ce schéma de l'être, du peuple, de la société. « Tu vas boire la tasse, attention » Derniers mots, prévention, je lui saute dessus avec hostilité, le plonge tête la première à mes côtés dans la phase aqueuse avant de lâcher prise pour le laisser remonter. Chien mouillé, je secoue la tête, laisse des gouttelettes voler tout en le regardant avec cet air sur la face qui murmure secrètement ces élans de folies silencieuses.
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Certainement comme tous les enfants du monde, tes rêves étaient peuplés de créatures mi-humaine et mi-poisson. Très souvent, tu espérais qu'un jour, à ton tour, tu pourrais toi aussi devenir un homme sirène. Mais en grandissant, tes rêves de fonds marin ce sont transformés en tragiques cauchemars dans lesquels tu voyais ton père qui sombre dans les tréfonds abyssales. Après sa disparition en mer, tu as choisi de ne plus jamais être en contact avec ce monde qui est à l'origine de son trépas. Grâce à cette rencontre, ou plutôt, ces retrouvailles, avec ton ange gardien, tu as choisi de te préoccuper que de ton présent. Le tien porte un nom. Celui d'une planète. Celui de cet ami qui fait battre ton cœur et qui offre à tes yeux une ribambelle d'étoiles scintillantes dans tes yeux. Tu te tournes vers le rivage, ce dernier se déshabille et avance droit vers toi. L'eau t'arrive à présent au bas de ton menton et ton ami te fait face. Puis, il enfuit sa tête sous l'eau et la ressort en propulsant l'intégralité de sa bouche au visage... Et comme un gosse, tu te mets à rire de tout ton cœur. C'est ce que t'aimes avec Jupiter, tout est simple... Tous vos instants à vous sont des petits moments de magie perdu dans un espace temps qui est exclusivement votre. Tu te recules et décides de l'éclabousser en frappant dans les vagues. De nouveaux éclats de rire se perdant dans l'immensité de l'océan. Cela te fait tellement de bien que vous passiez du temps ensemble, ici. « Tu vas boire la tasse, attention » Tu le regardes et avant que tu n'aies eu le temps de comprendre, tu te retrouves la tête sous l'eau à communiquer avec les poissons. L'eau emplie peu à peu ta bouche. Et l'espace de quelques secondes, tu penses à ton père... Tu remontes à la surface et lui souris comme jamais auparavant. En même temps, tu meurs d'envie de lui sauter dessus. « Dis Super Mâle, ça te dit qu'on regagne le rivage ? Y a deux bouteilles qui nous attendent ? » L'eau salée t'a un poil irrité la gorge et tu as besoin d'enlever ce sale goût de sel.
Sorry Jupipid'amour:
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