Couché Sparky!

KOBBY & JONA+BENJI

► COUCHÉ SPARKY!
Non pas sur Jona!

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Journée tranquille. Réveillé avec le soleil, Jona et moi, on s'était lancé dans cette routine qui semblait s'être développé entre nous puisqu'il passait le plus clair de ses nuits ici maintenant. Ses journées aussi d'ailleurs. Pas réellement pour me déplaire, je l'accorde. Un truc que certain trouverait chiant et qui, moi, fait parfaitement mon affaire, c'est qu'on ne reste jamais réellement longtemps sans rien faire au réveil. J'ai rien contre les moments de détente, mais je suis plus du genre à profiter de l'aube que de faire la galette dans le lit jusqu'au milieu de l'après-midi. Alors après avoir préparer à déjeuner, manger, nettoyer et ranger, pris une longue douche dans mon cas, j'ai fini par m'installer près de Jona, le laissant m'expliquer un peu ce qu'il avait à faire alors que ses livres et ses notes s'amoncellaient sur la table basse du salon. Cependant, j'ai rapidement déclaré forfait et j'ai fini par piocher dans mes propres bouquins pour m'installer près de lui et lire.

***

Me redressant du canapé, je lui ébouriffe la tête au passage.

- Je me prends un coca, tu veux quelque chose? Le questionnais-je en me levant.

Je me lève du canapé, abandonnant mon bouquin sur le coussin pour ne pas le mélanger à ceux de Jona. Je suis pas certain qu'un document sur les îles du Pacifique lui soit particulièrement utile avec… en vrai, je sais pas exactement ce qu'il étudie. Mais chose certaine c'est que je ne peux pas l'aider. C'est pas dans mon champ de compétences et ses études sont beaucoup plus poussées que celles que j'ai pu faire.

- Je vais faire de la mécanique sur le camion, l'informais-je. Si y'a de quoi, tu me bipes, demandais-je.

J'ai besoin de bouger un peu et comme j'ai des pièces à vérifier sur le camion, je vais en profiter. Vérification de l'huile, des freins, des barres de tensions et de la suspension, parce que je les ai un peu maltraité avec l'hiver. Au pire, ça serait pas con de finalement changer les attaches dans la boîte. Et le nettoyer lui ferait pas de tort non plus. Alors dépendant de ce que donne mon inspection, la liste peut être longue et m'occuper toute la journée s'il le faut. Ça a beau être l'un de mes points d'intérêts premiers, j'essaierai quand même de ne pas y rester jusqu'en soirée. Pour le moment, c'est quand même une solution qui laissera un peu de tranquillité à ma fouine pour passer au travers de liste de travaux. Il en a souvent des masses. Et si souvent, je reste dans la même pièce que lui, là, je sais d'avance que je n'arriverai plus à me concentrer sur un bouquin et encore moins sur les dossiers de mon père. Et faire des exercices on oublie, ça réveillera seulement le côté hyperactif de Jona et il pourra plus focus sur rien.

Me penchant vers lui, je vole un baiser avant de filer, bouteille en main et cellulaire en poche, vers le stationnement intérieur. Traversant le couloir de l'étage, je franchis la porte de la cage d'escalier, mais à peine aies-je descendu un demi-palier que j'entends un cri se répercuter dans l'espace bétonné. Reconnaissant la voix de mon boyfriend, je remonte les marches en quelques enjambés et refait le chemin inverse beaucoup plus rapidement qu'à l'aller. La porte de l'appart grand ouverte, me tire un frisson et j'entre en trombe pour voir… Une grosse boule de poils couché sur le brun. Il a pas l'air agressif, ni rien, alors c'est rassurant. Juste que… il sort d'où ce chien?

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
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@H. Kobby Archcroft
@Jonathan T. Lynch

(Invité)

► Couché Sparky!

”Mais pas sur moi !!”

Le lit de Benji doit être beaucoup plus confortable que le mien. Tellement confortable que je passe plus de temps dessus que sur le mien. Ou alors ce n’est pas le lit qui est confortable, mais les bras entre lesquels je me réveille chaque matin, et m’endors chaque soir ou presque.
Pas sur que la colocataire de Benji aime ça, même si elle n’a rien dit. Elle avait un seul coloc, maintenant elle a un petit ami de coloc qui prends des liberté sur la table de son salon, à s’y installer pour réviser.
Bon jusqu'à maintenant, je ne l’ai jamais gêné, et n’ai jamais sentit que je lui volais son espace vital, les quelques fois ou j’avais ramené mes livres, et avait pris place sur le tapis, adossé sur les jambes d’un Benji assis sur le canapé.
Je fais très attention à ne pas m’imposer. Même si j’ai envie de passer le plus de temps possible proche du brun, qui bouquine sur la mer, son élément.
Je le fixe encore un peu, avant de reporter mon attention sur mes livres, et de le voir bouger du coin de l’oeil, me proposer un Coca.
“-Oui s’il te plait.”
A son retour je tends le cou vers lui, prenant sa main libre je le ramène à ma hauteur pour lui voler un baiser. Il m’explique la suite de son programme, qu’il allait bichonner sa douce, l’autre femme de sa vie: Son camion.
“-D’accord amuse toi bien babe.”
Non je ne suis pas jaloux.
D’ordre général je ne l’ai jamais été, ni avec lui ni avec personne. Et je ne compte pas vraiment l’être d’un tas de ferraille… Même si jamais je n’avouerais, devant lui, que je l’appelle “tas de ferraille”.

Le suivant du regard, je louche sur son jean déchiré et plein de graisse. Ce pantalon aurait, facilement, pu passer pour une oeuvre d’art, vu la mode de cette année. Alors qu’en vrai, c’est le résultat de plusieurs heures de travail manuel éreintant. Je souris en laissant mes yeux s’attarder sur ses fesses, avant de les ramener sur mes cahier.
Hate qu’il revienne prendre sa douche…

Tout à ma concentration, je n’ai pas remarqué que quelque chose clochait. Pas remarqué, qu’il y a pas eu le son de fermeture de la porte, ni le bruit de pattes sur le parquet du loft, encore moins l’ombre qui se dessinait sur le sol. J’ai seulement réagi quand la bête, apparaissant dans mon champ de vision, a commencé à renifler un livre emprunté à la bibliothèque.
“-NON !”
Avais je crié.
Tout s'était passé au ralenti. Mon cri, sa mâchoire pleine de bave qui s’ouvre, mes yeux qui s’écarquillent, mon cri qui continue, et sa mâchoire qui se referme sur le volume.
Merde.
Par instinct, certainement, je me jette sur le livre, et le tire à moi. Le grognement du chien ne me fait pas vraiment peur, au contraire, je ne sais pas pourquoi, moi aussi je grogne, puis crie encore
“-NON ! LACHE CA !”
Relâchant ma prise quelques micro secondes, je veux qu’il ait l’impression d’avoir gagné, sans vraiment lâcher le livre... puis je tire de toutes mes forces. Le chien suit le mouvement.
Finalement, le bouquin n’est plus entre ses dents, il est déchiré et taché de bave, mais l’animal ne l’a plus… Ce monstre se retrouve sur moi, moi allongé sur le sol, hurlant de rire, essayant de reprendre ma respiration, en flattant le cou de cette boule de poil.
“-Benji, nous avons un invité.”
Dis je au brun qui revient dans l’appart’.

DEV NERD GIRL

(Invité)

Jeu 9 Mar 2017 - 1:48

couché sparky
— BenjiJona

Depuis que je m’étais réveillée, je ne savais pas réellement comme gérer la situation. Kehlani ayant quittée la ville, je me retrouvais seule dans mon appartement, et ça, ça me faisait terriblement envie d’hurler sur tout et n’importe quoi. Enfin, sauf sur mon bébé Fidji. Ce gros chien qui me suit partout et qui n’arrête pas de se frotter contre ma jambe pour avoir à manger. Je ne savais pas exactement ce que j’allais faire en sachant que mes deux meilleures amies n’étaient plus dans ma vie, et ça me faisait réellement me remettre en question, surtout quand je n’étais nullement habilité à m’auto prendre en charge. Je descendais les poubelles, sans doute pour ne pas que mon appartement sente la mort si quelqu’un devait passer me voir à l’improviste, et en revenant, je fermais la porte d’un mouvement de main sans m’assurer qu’elle ne soit réellement close. J’en avais marre de tout ce qui se passait en ce moment. Découpant le poulet en de beaux petits cubes, je donnais certains morceaux à la seule personne qui ne m’abandonnerait jamais et qui ne m’avait rien coûté en l’adoptant dans un chenil. J’ai nommée, le monstre plein de poil, Fidji le chenapan. Sauf que je remarquais son absence quand je ne sentais pas ses babines contre la paume de ma main. Ma tête se tournait immédiatement vers l’entrée ou la porte était restée entre ouverte par mes gardes. Je m’y précipitais, regardant dans tous les sens avant d’avancer dans le couloir en disant son prénom. « Fidji ? Fidjii ? Reviens vers maman avant que je te prive de ton émission favorite sale cafard ! » Je m’avançais, encore et encore avant d’entendre un cri, d’un coup mes pas s’accéléraient et j’arrivais face à cet appartement ouvert. J’y voyais rapidement mon chien, couché sur… Une personne ? Non mais je devais rêver. Le pire c’est que c’est exactement le style de chose qu’il me fait à moi, mais je l’imaginais mal sauter sur un étranger pour lui faire un câlin comme ça. Je m’avançais, toquant à la porte, un sourire gêné sur les lèvres avant de me présenter comme il se devait. « Bonjour, je m’appelle Kobby, j’habite dans un appartement pas loin, et… Hum… Je crois que vous avez déjà rencontre Fidji. Mon chien. » La gêne totale. Je ne savais pas comment me sortir de cette honte indéniable qui se faisait sentir sur moi, et encore plus sur ce chien au regard d’ours polaire adorable, la bouche limite souriante à chaque fois qu’il l’ouvrait. « Je suis vraiment désolée, ma porte était mal fermée et… Et disons qu’il aime vadrouiller comme bon lui semble. » Je regardais le garçon toujours sur ses deux pieds avant de poser un regard sur celui qui se trouvait coincé sous le ventre de mon chien. Il n’avait vraiment pas l’habitude de faire ça avec les inconnus, je ne comprenais absolument pas l’idée qui avait pu lui traverser l’esprit. Il avait dû bien aimer sa tête ou ses cheveux, et il a voulu lui faire des bisous. Pire ! Peut-être qu’il voulait lui voler un bout de sandwich, sauf que je ne voyais pas de nourriture dans ses mains, ce qui me paraissait tout d’un coup illogique. Je baissais la tête avant de la relever. « Il n’est pas méchant vous savez… Il est juste un peu trop câlin pour comprendre que ce n’est pas tout le monde qui peut supporter son poids plume. » Je souriais, voulant détendre l’atmosphère. Mon chien se trouvait toujours sur ce pauvre garçon et il commençait à lui lécher les cheveux, comme s’il voulait lui faire sa toilette. Je me retrouvais alors encore plus honteuse qu’au départ, et je n’avais absolument aucune idée en tête pour qu’il se lève sur le champ en laissant ces personnes tranquilles.

@Jonathan T. Lynch @Benji Skelton désolée de mon énorme retard, je viens de sortir de l'hôpital, mais promis ça ne se reproduira plus. :TT:

(Invité)

Sam 11 Mar 2017 - 22:27

KOBBY & JONA+BENJI

► COUCHÉ SPARKY!
Non pas sur Jona!

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La journée avait commencée lentement, bercé entre la nouvelle routine et les révisions de Jonathan, pendant que je me perdais dans un document sur les Îles du Pacifique. Un jour, j'irai faire un tour dans des surfs spots hors de l'Amérique du Nord. Je m'essaierai à vivre la vie de millionnaire et je me paierai une croisière pour visiter un peu. Peut-être cet été. Mon regard accroche la silhouette du brun assis par terre, appuyé sur moi. Je ne sais pas s'il voudrait m'accompagner puisque mon attrait principal serait le surf. Je sais pas s'il y trouverait un véritable intérêt. Je demanderai. Mais pour le moment, j'ai besoin de bouger et pas question de le déranger dans ses études! Je me lève, lui proposant un coca puisque je me sers et, lui apportant, je l'informe de mes plans pour - au moins - quelques heures à venir : mécanique. Je vais faire un peu d'entretien sur le camion, comme ça, il aura la paix et pourra se concentrer. Je réponds à son baiser avant de me relever et de me diriger vers la sortie, traversant le couloir et passant la porte de la cage d'escalier, dressant mentalement la liste de ce qu'il y a à faire, mettant le tout dans un ordre relativement logique. Un cri me sort cependant de tout ça et je redresse la tête. Quatre à quatre, je gravis les marches et reviens sur mes pas. La porte de l'appart ouverte. Jona sur le plancher. ...Un chien couché sur lui.

- Benji, nous avons un invité.
- J'ai cru remarquer, commentais-je avec un sourire en coin en m'approchant assez pour croiser son regard.

Il rit, abreuve la bestiole de câlins. C'est Jona, quoi. En un peu plus baveux vu celui qui répond aux caresses.

- Tu sais d'où il sort? lui demandais-je.

Je me doute que la réponse est non, mais sait-on jamais s'il ne l'a pas déjà vu dans les environs. Moi, j'ai pas souvenance de l'avoir croisé. Des coups cognés sur le battant me font tourner la tête vers celle qui s'avance et se présente, répondant également à la question que je viens de poser à Jona. Elle nous explique que le polar bear couché sur mon copain aime bien vadrouiller un peu partout si on lui en laisse la chance. Et c'est précisément ce qui est arrivé puisqu'elle a laissé sa porte d'entrée entrouverte. Et j'ai probablement fait la même chose en sortant d'ici. Alors il avait beau jeu pour venir rendre visite. Encore heureux que Mac l'iguane n'était pas en liberté. Elle se confond en excuse tandis que Fidji se met en tête de laver la crinière du brun. Riant doucement, j'appuie sur le canapé, passant la main sous le menton de l'animal pour qu'il arrête au moins de faire sa toilette à mon petit ami. J'en profite pour le flatter un peu.

- T'inquiètes pas, rassurais-je la propriétaire. C'est plutôt la surprise de sa visite que de la colère ou de la crainte.

Passant une main sur le flanc poilu, je tente de faire relever Fidji d'une impulsion. Il ne bronche même pas.

- Et pour le relever ton poids plume, on fait comment? m'enquis-je, souriant.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
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@H. Kobby Archcroft T'en fais surtout pas, on a tous une vie IRL et pour ma part, je prends les réponses quand elles passent. Chacun y va à son rythme Couché Sparky! 1508216586

Tant que tu vas bien, c'est l'important Couché Sparky! 2511619667

(Invité)

Sam 18 Mar 2017 - 20:21

► Couché Sparky!

”Mais pas sur moi !!”

Il est beau ! Tellement câlin, tellement baveux ! Le chien hein, pas Benji. Fidji apparemment, du moins c’est le nom inscrit sur le collier qui danse devant mes yeux.
Mon petit ami, l’autre beau, câlin, alerté par mon cri, est revenu en catastrophe dans l’appart pour me trouver allongé sous un chien qui pèse une tonne, et qui doit être plus grand que moi.
“-Non je ne le connais pas, ”
Répondis je quand le brun me demanda si je le connaissais
“-Mais il est trop mignon ! ”
Ajouté-je avec un sourire, affin d’alléger l’inquiétude de mon petit ami. Je ne voulais pas faire peur à mon petit ami. Mon cri n’était rien d’autre qu’un cris de guerre pendant mon combat avec le grand gaillard, qui s’est approprié un livre de la bibliothèque.
L’image de la bibliothécaire, avec son éternelle expression, celle qui me donne constamment l’impression que je l’ai déçu, me revient en mémoire. Quand un coup de langue de cette bête, le chien pas la bibliothécaire, me ramène à l’instant présent, et m’arrache un nouveau rire. Sa maitresse, plus civilisé que lui, toque en demandant la permission d’entrer… Avant de se confondre en excuse.
« Fidji » C’est beau comme nom ! pensais je tout à mon câlinage, tandis que la bête me refait une coiffure, et passé un certain moment, je ne me rappelle même plus que je suis allongé par terre, ou que le poids qui m’écrase est entrain de lentement m’étouffer.
Tout cet amour, ces câlins, cette chaleur !!! Ceux de Benji sont beaucoup mieux, mais … Je crois que je veux avoir un chien comme ça, ou un autre animal à poil! Parce que Mac l’iguane est une brave bête, et je l’aime beaucoup, mais si je le câline il risque de me mordre, ou d’avoir peur de mes cheveux. Oui j’ai déjà essayé, non c’est pas drôle.
“-Oh non ! Laissez le !!! Je l'aiiimeee! ”
eu je l’impression de crier sous cette touffe de poils, quand Benji et Kobby , apparemment notre voisine, décidèrent de le relever.
“-Ou alors non attends, aide moi s'il te plait ”
L’air commence à me manquer considérablement. Faisant attention, je repousse petit à petit le ventre de Fidji, avec une regard suppliant à Benji pour qu’il m’aide.
“-… Je l’aime, mais je penses que je vais mieux l’aimer une fois debout. ”
Ou alors assis sur le canapé.

Enfin debout, mes yeux sont brillants, et mon sourire me fait mal aux joues tellement il est grand.
“-Salut Kobby ! Moi c’est Jonathan, tu peux m’appeler Jona !”

DEV NERD GIRL

(Invité)

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