Honoré A. Gainsbourg ► Jeremy Young

C'est le 31 décembre 1992 à Paris, que les membres de la famille Gainsbourg m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Honoré Auguste. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Neuro sciences et Psychologie. OU je travaille en tant que métier depuis nombre d'années. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Winthrop ou les Dunster.

Honoré A Gainsbourg

Questionnaire

Plutôt...
Plutôt fêtard ou pantouflard ? Plutôt fêtard, j'aime beaucoup profiter de la vie car je considère qu'on a qu'une jeunesse, et surtout : qu'une vie.
Plutôt coquet(te) ou négligé(e) ? HAHA ! Coquet, je dirais. Il est important de prendre soin de sois.
Plutôt assidu(e) ou sécheur(se) pro ? Assidu.
Plutôt romantique ou réaliste ? Un peu des deux. Je crois en l'amour, mais je n'y fonce pas tête baissée, ça ne se finit généralement pas en "Happy End".
Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? Déplaisant dans la forme, sympathique dans le fond.
Plutôt altruiste ou égoïste ? Altruiste, d'ailleurs, les gens égoïstes m'insupporte.
Plutôt optimiste ou pessimiste ? Optimiste.
Plutôt extraverti ou introverti ? Très extraverti.
Plutôt sucré ou salé ? J'adore le mélange des deux, pour tout dire..
Plutôt pacifiste ou j'te-défonce-la-gueule-connard ? Je dirais pacifiste, mais je n'hésiterais pas si on me cherche.
Plutôt Justin Bieber ou Rebecca Black ? JUSTIIIIIINNNNN.... Non, je rie. Aucun des deux.

Physique...
Style vestimentaire Parisien et classique.
Piercing Aucun.
Tatouage Deux, dans le creux de mes bras. Un "C" pour Colombe sur un, ainsi qu'un "S" pour Solweig sur l'autre bras. Erreur..? .

Je crois...
Aux fantômes ? Assez, ça me fait flipper d'ailleurs.
À l'apocalypse ? Plus le 21 décembre 2012, plus ceux qui l'avait prédit se serait trompé de calculs.. La fin du monde serait en 2016. Et une fois 2016, ce sera quoi..? Non.
Aux coups de foudre ? Je ne suis pas si naïf.
À l'amitié fille/garçon ? Oui !
Aux sexfriends ? Oui, j'y crois. Mais ça finit généralement mal.
À une religion ? Non. Je n'ai rien contre l'idée que Dieu pourrait exister, mais bon..
À la magie de Noël ? Plus maintenant.
Au destin ? Le hasard fait bien les choses.
Aux fins heureuses ? Oui.

Je/j'ai...
Déjà fait un threesome Non.
Une voiture Oui. Une F. FOCUS.
Bois de l'alcool Oui.
Fume Oui.
Prend de la drogue J'évite, on va dire..
Veux me marier J'aimerais qu'une fille porte mon nom.
Veux des enfants Un, c'est déjà pas mal, non ?
Une maladie grave Encore heureux, non..
Un lourd secret Un passé douloureux.
Mens souvent Non, je mise tout sur la franchise.
Beaucoup d'expérience en amour Assez.
Eu beaucoup de déception en amour Beaucoup non.
Eu beaucoup de déception en amitié Non.
De la facilité à me faire des amis Pas vraiment, vu comme je peux être désagréable parfois.
Des envies de meurtres Ouais, faîtes gaffe !
Peur du noir Non.
Peur de la solitude Non.
De bonnes notes Oui, sinon, je ne serais pas là.

Ma maison...
Ce qui ferait de moi un membre parfait de Winthrop Je suis quelqu'un de généreux et de serviable. Je suis très aimable et j'ai un QI vraiment supérieur à la moyenne. J'ai des tonnes excellente. Je sais faire la fête comme il faut et je sais bien évidemment être sérieux.
ou de groupe2 Je ne sais pas si je ferais bien d'entrer chez les Dunster, car je suis parfois désagréable voir exécrable, mais doté d'une extrême franchise, la preuve !. Je suis très travailleur et à l'écoute, cependant.

Pseudo/Prénom Asseline.
Âge 17.
Pays/Région Ile de France.
Où as-tu connu le forum ? Je fais beaucoup de RPG et j'ai voulu m'y remettre, alors j'en ai simplement cherché un sympa.
Tes impressions :jawdrop: :yay:
Crédits yound & useless, tumblr.
Avatar sexyhotiohskjhksdjhkizjh JEREMY YOUUUUNG Honoré A. Gainsbourg ► Jeremy Young 4205929361

Honoré A. Gainsbourg ► Jeremy Young 4205929361

Scénario ou PI ? Scénario de Colombe Honoré A. Gainsbourg ► Jeremy Young 2109348208

Facilité à s'intégrer ? 9/10
Mot de la fin Honoré A. Gainsbourg ► Jeremy Young 321341868

(Invité)

Histoire

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Cher journal,

Ma vie fût douloureuse. Paradoxalement confortable, aussi. Du moins, pendant dix-neuf ans. La richesse, les filles, l’insouciance d'une enfance gâtée, la folie de l'adolescence et maintenant MOI. Honoré Auguste Gainsbourg, jeune adulte de dix-neuf ans. J'ai toujours eu ce que je voulais. Mon père était riche, très riche. Il avait à lui seul fait fortune aux Etats-Unis, en mettant au service des plus riches les plus belles de toutes les villas du Monde. Il était du genre à donner aux pauvres et prendre aux riches, en faisant travailler de nombreux latinos sur ses chantiers. Ce que je trouvais fortement dégueulasse. Nous vivions au 16e arrondissement de Paris, l'un des quartiers les plus friqués de toute la capitale. Dans l'une des demeures les plus somptueuses. J'avais tout pour être heureux. Ma mère était une des femmes les plus aimantes qui soit. Elle couvrait ses deux enfants, Juliette et moi même d’innombrables cadeaux, d'excès de baisers et d'amour. C'était une femme délicieuse. Elle a toujours pris soin de ma soeur et moi, sans demander l'aide de qui que ce soit d'autre. (Elle n'a jamais voulu de nourrice ou de servantes pour s'occuper de nous, tu vois ?..). Je me rappelle de ma mère comme de la plus belle des femmes. Mais, quelle femme n'est pas la plus jolie aux yeux d'un petit garçon ?. Elle avait une peau de pèche et les joues souvent roses. Quand il y avait quelques rayons de soleil sur Paris, des petites tâches brunes apparaissaient le long de ses pommettes. Elle avait toujours un sourire ou un mot gentil pour tout le monde. Je n'ai jamais su, comment elle avait pu vivre avec mon père. On ressent ces choses là, vous savez, la tristesse et le désespoir. Même quand on à 8 ans, ou bien 19. Il y'a souvent une connection entre la mère et ses enfants, je l'avais avec qu'elle. Nous étions très proches. Elle a toujours dis de moi que j'étais un garçon extraordinaire, à l’imagination débordante et au coeur incroyablement grand, que même l'Univers entier n'y prendrait pas place entièrement.. Je ne pense pas qu'elle mentait.. Juliette, elle, était une petite fille des plus exquises. Elle avait un cœur de femme, du haut de son jeune âge. Nous avions 1 an d‘écart, simplement. Ma mère disait souvent, que j‘aurais été triste si j‘avais eu un petit frère ou une petite sœur de plusieurs d‘années d‘écart qui nous séparais. Peut-être, que de nouveau, elle n‘avait pas tord. Juliette et moi nous entendions parfaitement bien. La complicité qu‘il y‘avait entre nous était un mélange entre la malice, le désespoir, et l‘amour. Je dis le désespoir, car même si la vie ne m‘a pas non plus ravi, pour elle, elle en a été plus amer. Mon père était un frustré ; la moindre chose ne rentrant dans ses cordes le fichait dans une colère monstre, et il n’hésitait pas à lever la main sur Juliette, ma mère, ou moi-même. Mais Juliette était celle qui avait le plus souffert. Fragile, frêle, toute petite, elle faisait souvent guise de souffre-douleur pour mon père, qui n’hésitait pas à , parfois, retirer la ceinture pour la cingler. Il disait que c’était « L’art d’être bien élevé. » mais qui élève ses enfants de cette façon si ce n’est des monstres..? Je pense qu‘elle m‘en veut à présent, de ne pas l‘avoir assez couverte et protégée. Mais, que voulez-vous faire, devant une armoire à glace de 1m85 quand vous ne faîtes que 1m43 à 8 ans..? C‘était ce genre de vie. On le vivait chaque jour. Encore aujourd‘hui, je hais mon père pour ce qu‘il a pu nous faire endurer. Une enfance douloureuse, lové dans les bras de la seule femme que j‘aimais : ma mère.

A 16 ans, j‘étais un adolescent difficile. Renfermé sur moi-même et peu sociable. Il faut dire que par mon comportement, je m‘en suis pris, des coups. Pourtant j‘étais un très bon élève. J‘avais des amis formidables. Juliette, elle, avait sombrée. Alors qu‘elle faisait son enfant model devant mes parents, moi son frère, savait pertinemment qu’elle en était tout autre. Entre exctasy, cocaïne, crack, beuh… Elle ne ressemblait plus qu‘à une poupée de chiffon. Elle couchait avec tous les mecs qui lui passaient sous la main. Il faut dire que ma sœur a toujours été très jolie. Des yeux claires, les cheveux bruns, la parfaite copie de mon père et de moi même. Peu à peu, on se rends compte qu‘une petite sœur, quand on est un homme, est l‘une des perles rares les plus précieuses qui soit.. Elle était la mienne, et nous sommes tombés en froid en cette période de notre adolescence. Je ne supportais plus de la voir se détruire. A croire que ça lui plaisait de jouer avec la vie. C‘est cette même année que j‘ai rencontré Solweig et Colombe. Deux jeunes filles bien différentes toutes les deux. Lors d‘une soirée mondaine, pour les gens haut placé, nous avions fais la connaissance de l’un et de l’autre. Et, ce qui devait arrivé, arriva… Je suis tombé fou. Dingue. Abruti. Taré. Débile. Puérilement amoureux de Solweig. Sous mes airs de méchants garçons, elle avait complètement craquée pour moi. Il n‘y avait aucun monde sans elle. Et l‘espace béant qui dominait mon cœur selon ma mère, n‘était qu‘emplie que par sa présence. Nous étions totalement immatures, pommés. Deux mômes lancés dans la machine infernale qu‘était l‘amour. Elle était ma première fois, pour tout. Jamais je n‘avais aimé et chéri une fille de la sorte. Malheureusement, notre immaturité nous a perdu, et nous nous séparions. Deux mois plus tard, je déménageais dans le Sud, pour des raisons d’argent. C’est à dix-sept ans que j’ai connu le drame le plus conséquent de toute ma vie : la perte de ma mère. Ce fut une déchirure, une douleur immonde et nauséeuse. Elle est morte d’un cancer. Et je suis certain, que c’était la misère qui l’avait emportée. Sans plus attendre, je repartais sur Paris. Je n’avais aucune envie de finir ainsi et d’être avec cet homme calamiteux qu’était mon père. Juliette ne voulait pas partir avec moi. Elle avait trouvée sa nouvelle vie confortable, aisée, une nouvelle ressource à sa vie autrefois difficile. C’est sans elle et avec le cœur lourd que je remontais, seul, à Paris, sans aucune explication envers mon père. A Paris, je poursuivis mes études et obtint mon diplôme avec mention. Pendant deux ans, j’avais passé la plus part de mon temps avec Colombe, que j’avais retrouvé. Nous étions devenus les meilleurs amis du Monde, elle était la petite sœur que je n’avais plus, elle était ma source d’oxygène et mon bonheur. Seulement, c’est au moment de s’envoler pour les Etats-Unis que je me suis rendu compte que c’était elle, elle depuis le début. Que j’étais entrain de tomber amoureux d’une fille qui s’en allait loin d’ici. J’aurais bien voulu t’en dire plus, journal, mais mon avion va décoller. Harvard m’attends avec impatience et je compte bien retrouver Colombe… Et Solweig…

Honoré.

(Invité)