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I hate being sick

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BENJONA

► I HATE BEING SICK
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Raccrochant, je reste un moment à fixer mon cellulaire avant de le poser sur la table basse du salon. Je n'aurais pas dû l'appeler. C'était égoïste de ma part de le déranger pendant qu'il étudiait. Ce n'est pas que je veux qu'il soit aux petits oignons avec moi. Je suis pas particulièrement habitué à ça. Ma mère est pas nécessairement la plus tendre des infirmières et j'ai hériter de ses méthodes. Mais là j'ai eu… un moment de faiblesse? J'avais besoin d'entendre la voix du brun et j'ai pris le téléphone. A+B=C. C étant qu'il sera là dans 30 minutes finalement. Et qu'il a dit que même s'il amènerait ses bouquins ça ira pas avant demain. Et aussi gaga que ça puisse sembler, ça me tire un léger sourire, sa présence prochaine me fait plaisir. Il verra s'il veut vraiment rester ou non en constatant mon état. J'ai déjà été pire, mais je suis rarement malade. Là, je suis juste cerné parce que je suis fatigué, même si je passe mon temps à dormir. Et je bouge au ralenti. Qui plus est, ça me bouffe mon énergie nettement plus rapidement que d'habitude. Alors juste de me lever du canapé pour aller débarrer la porte pour que Jona n'aie pas à le faire, ça me fait soupirer en retombant sur le divan. Il sait où se trouve la clé de secours, c'était pas obligé que j'y aille. Juste habituel. Je déteste être comme ça, merde! Autant de puissance qu'un mollusque flasque! Allongé sur le dos, une jambe sur les coussins, l'autre au sol, je pose mon bras sur mon front. D'accord, j'ai peut-être un restant de fièvre aussi. Décidant cependant de ne pas trop me concentrer là-dessus, somnolant encore légèrement, j'essaie de trouver ce qu'on pourra bien faire une fois que ma fouine sera là. Un film peut-être? Ça demande pas trop d'énergie et il ne m'en veut pas en général si je ne porte pas extrêmement attention. Le plus souvent, j'écoute ses commentaires au lieu de focusser sur l'écran. Mouais. Peut-être ça.

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”In Sickness and Health...”


"J'attendrai le vrai, si te dérange pas."
Je raccroche. Et stupidement je continue à sourire de ces dernières paroles, avant de me rappeler ma promesse de 30 minutes. Je me diriges vers la table où j’étais installé prends mes affaires, et sors de la bibliothèque.
Bizarrement, je sens comme un poids en moins, dès que je me met les pieds dehors.
***
Les marches des escaliers vont avoir raison de moi. Quand j’ai pénétré dans le hall, après avoir tapé le code de l’entré externe, j’ai regardé les portes de l'ascenseur se refermer, et la cabine commencer à bouger. Alors j’ai sortis ma cap de superman sportif, et me suis dirigé vers la cage d’escalier … avec tous les sachets que je porte. J’étais quand même passé par l’épicerie, par le traiteur, par la pharmacie, et je suis maintenant essoufflé par le trajet.
Cela m’a pris plus que 30 minutes, mais j'espérais vraiment que Benji n’avait pas mis un chronomètre.
Benji.
Je ne sais pas ce qu’il a réellement. Il a tenu sa maladie secrète, je crois. Pendant les quelques jours qui viennent de passer et où on n’a convercé que par SMS, j’ai été beaucoup trop absorbé par la révision pour prendre le téléphone et l’appeler… prendre de ses nouvelles… Je ne savais pas, et je me sentais vraiment coupable de pas l’avoir su.
Je n’avais pas pensé qu’il pourrait me cacher quelque chose de ce genre. En fait je n’avais pas pensé que quelque chose de ce genre pouvait lui arriver a lui. Il a toujours dégagé un tel sentiment de force, que j’avais omis qu’il pouvait tomber malade.
Oui c’est con. C’est certainement juste un rhum...
Pour être tout à fait exact… je ne sais même pas ce qui lui arrive. Tout ce que je sais c’est que sa voix me paraissait beaucoup trop traînante au téléphone. Beaucoup trop enroué, et peut être a t il toussé une fois ou deux.   Ce n’est que quand il m’a avoué qu’il était malade que j’avais réagit. Déjà parce qu’il l’a avoué , chose ne le ferait pas en temps normale. Avouer une faiblesse.
J’arrête d’analyser la situation, alors que je n’en connais que les quelques mots que j’ai partagé avec lui.
Sortant de Harvard, je suis passé par la pharmacie et j’ai demandé à ce qu’on me donne tous les types de médicaments qui peuvent servir pendant l’hiver. Ces pilules, vitaminés, sirops qu’on prends quand on sent un rhume ou une toute autre maladie tout aussi chiante. J’ai pris un thermomètre, une bouillotte, du vix. Bref tout pour avoir une belle boite à pharmacie dans la salle de bain de mon petit ami. en prévision de ce que j’allais trouver à l’appartement.

Arrivé devant la porte de son appartement, je fais tourner la poignet. Il a toujours l’habitude de la laisser débarré quand il sait que je viens. Il m’a déjà dit ou je pouvais trouver la clé de secours, et je l’aurais utilisé si je n’avais pas réussi à ouvrir la porte dès le premier coup. Je ne l’aurais fait bouger pour rien au monde.
Faisant quelques pas dans l’appartement, j’essaie d’accommoder mes yeux a la pénombre, pour m’y retrouver. Il ne fait pas trop chaud, mais l’air est oppressant, l’appartement sent la maladie. Constatation qui me tords l’estomac…
J’aurais du m’en rendre compte avant!
Je continue à bouger, entrant, au début, à la cuisine ou je dépose toutes les courses. M’approche de la chaudière, j’augmente légèrement la température …
-”Benji !” Criais je pour annoncer ma venue.
J'enlève mon manteau, et passe à nouveau au salon
-”Ben ?” Commençais je à nouveau, avant de voir ses jambes dépasser du canapé.
Putain, faut que j’arrête de faire des trucs inconsidéré comme par exemple réveiller un malade du sommeil… Je continue mes mouvements, cette fois plus silencieusement. Enlève complètement mon manteau que je jette quelque part dans la pièce, avant de m’agenouiller à côté du brun endormis sur le canapé.
Il dort encore.
Ayant toujours eu le sommeil léger, que mes cris ne l’aient pas réveillé prouvent à quel point il est fatigué. Les poches sous ses yeux, son teint cireux, et sa respiration difficile le prouvent tout autant. Je lui touche le front. Brûlant.
Je me penche sur lui, effleure son front d’un baiser, ramène sa couverture sur lui, et le regarde encore un instant dormir.
La culpabilité me ronge.

DEV NERD GIRL

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Un faible grognement d'insatisfaction s'échappe de mes lèvres alors que je me réveille sans même avoir eu conscience de m'être endormi. Je déteste ça. Une main à mon front, je me frotte les yeux et me redresse pour me retrouver assis sur le canapé, faisant glisser la couverture. … La couverture? J'ai pas pris de couverture. Ouvrant finalement les yeux je mets quelques instants à m'habituer à la légère obscurité qui règne au salon. Les sources de lumières provenant des lampadaires, plutôt bas sur la rue et la lumière à la cuisine. Entendant un bruit, je tourne la tête en cette direction pour me rendre compte que je ne suis plus seul, mon boyfriend s'activant à faire je ne sais quoi. Je suis dans un état encore plus lamentable que je ne le croyais. Pour ne pas l'avoir entendu entrer et qu'il aie été capable de me couvrir d'un drap sans que je ne bronche et ne me réveille, c'est que je suis vraiment dans le cirage! Zéro réflexe. L'instinct à off. Ça ne me plaît pas. Mais pas du tout. Je relâche rarement ma garde. J'ai pas été habitué comme ça. Je me décourage. Vivement que ça me lâche ce truc de merde!

M'appuyant au dossier du canapé, je regarde le brun faire encore un moment, avant d'ouvrir la bouche.

- Hey ma fouine, le saluais-je.

La voix enrouée, grave, limite rocailleuse. Charmant! Saloperie! Toussant légèrement, je me racle la gorge, tentant de récupérer un timbre plus normal.

- Navré, de ne pas avoir été réveillé à ton arrivé, m'excusais-je.

Pas fort mon truc. Il sort de ses révisions pour faire un saut, prends sa fin de journée en dehors de ses bouquins pour passer me voir et, au final, je dors quand il arrive. Pitoyable. Mais la dernière chose que je me souviennes c'est que j'étais en train de réfléchir à ce qu'on pourrait faire quand il sera là.

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”In Sickness and Health...”


Je reste encore un instant à le regarder dormir.
Non ce n’est pas creepy ! C’est mon petit ami. Et je m'inquiète pour lui. Quelques minutes plus tard, je me rends compte que je n’avais pas du tout bougé depuis plusieurs minutes, que je passais mes doigts dans ses cheveux, et que je le regardais juste dormir.
Il parait paisible… malade, mais paisible. Ou alors je divague, et souris pour aucune raison.
Ouai ça doit être ça.
Remettant le drap en place, je me lève pour aller à la cuisine, voir les courses, m’occuper de les ranger. Trier les médocs, et ne garder que ceux que je jugeais nécessaires… Je rangerais les autres dans la salle de bain plus tard.
Sortant les soupes que j’ai ramené du traiteur, je les déposes dans des bols, et m’occupe de les réchauffer. Je  devrais reveiller Benji, même si j’ai pas envie de le déranger, sauf que je ne sais pas depuis quand il n’a pas mangé... il doit s’hydrater ... je dois vérifier sa température, et savoir ce qu’il a pris ou n’a pas pris en médicament.
Je jugerais la s’il a besoin d’un docteur ou pas. Peut importe ce qu’il me dira… Faudra qu’il me laisse faire.

Vérifiant la température de notre dîner, mettant la dernière touche à notre plateau repas, je rajoute le thermomètre, deux ou trois boîtes de la sélection de pilules que j’ai fait, et m'apprête à revenir au salon, quand sa voix … me surprends, me faisant presque tomber le plateau.
Je le repose sur le comptoir de la cuisine, et revient vers le brun, maintenant assis sur le canapé.
-”Babe ! ”
Je me dirige vers lui, et m’assoie sur la table basse , qui lui fait face.
-”Comment tu vas babe? ”
Demandais je, ignorant presque ses excuses
-”T'inquiète j’ai fais comme chez moi”
Ma main se pose sur sa joue, et je lui souris, en glissant ma paume fraîche sur son front.
-”Comment tu te sens? Tu veux boir? Je nous ai préparé à dîner. Ne bouge surtout pas! ”
Je n’attends même pas qu’il me réponde, non ce soir je prends le lead, je vais jouer les infirmier, et quand je ramène le diner vers le salon , je m’installe à côté de lui, et annonce la couleur
-”Alors t’as le choix, Tu manges, ou je te donnes à manger … ”

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Il fait comme chez lui. Je m'attends pas vraiment à moins de sa part. Vu le nombre d'heures qu'il a déjà passé ici, je serais devenu fou s'il avait fallu qu'il me demande pour tout et n'importe quoi au lieu de fouiller quand il a besoin. Les armoires, le frigo, ça me dérange pas du tout, c'est même préférable. Là où ça vient un peu plus délicat, c'est quand il s'agit de fouiller dans mes trucs personnels. Malgré que ça, il semble l'avoir assez bien compris sans que je n'aie réellement besoin de lui dire. Comme bien d'autres choses en fait.

Sa main se pose sur ma joue puis glisse à mon front et je ferme les yeux. C'est frais, ça fait du bien. Les questions fusent et je mets un délai à répondre, soulevant mes paupières pour le regarder, mais il est déjà debout.

- Ça a déjà été mieux, finis-je par dire alors que je le vois revenir avec un plateau contenant deux bols fumants et d'autres trucs.

Je replis mes jambes, m'asseyant en indien, tandis qu'il se pose à côté de moi. Et tandis qu'il m'énonce les choix, je fronce les sourcils. Il est pas sérieux quand même?

- Je suis malade Jona, pas quadraplégique, lui fis-je remarquer.

Un moment, mon regard se porte sur le contenu du plateau et c'est à ce moment que je réalise qu'en plus des bols de soupe, y'a tout un bazar médicale. Mes yeux remonte à lui et je le fixe, m'approchant puisque je pose mes coudes sur mes cuisses.

- Tu comptes pas sérieusement me demander d'avaler tout ça? le questionnais-je, pas trop convaincu.

Les médicaments que j'ai prit le plus religieusement ça reste encore les anti-douleurs quand je me suis cassé le bras. Sinon, je sais pas s'il compte vraiment me faire gober plusieurs de ces trucs, mais c'est pas gagné.

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”In Sickness and Health...”


Je souris à sa remarque et précise
-”Non babe c’est pas ce que je voulais dire. ”
Pendant un bol de soupe et une cuillère, je les lui passe.
-”Tu DOIS manger, si tu ne manges pas, c’est la que je vais te forcer.”  
Me posant à coté de lui, un peu dans la même position, sauf que , décalé pour le regarder, et m’adosser sur l’accoudoir, la ou sa tête se tenait un instant plus tôt, je prends mon propre bol, et commence par souffler sur la cuillère avant de goûter une gorgé.
-”Mmmmm. ”
Je me passe la langue pour cueillir une goute au coins de mes lèvres, et réouvre les yeux, pour le voir regarder les médicaments.
C’est pas comme si je voulais qu'il prenne tous ces médicaments. Pour la plupart, y a 2 exemplaires du même type. Je suis juste super organisé, et je me dis que peut être il préfère un type de médicaments à l’autre
-”Je savais juste pas ce que tu voulais avoir, alors j’ai tout pris. Pour rhum, pour mal de gorge, pour la migraine... des antibiotique, de l'aspirine... En fait La plus part à le même effet, mais j’en ai pris dans tout les types : Poudre à dissoudre dans l’eau, pilule, comprimé, sirop … et … ”
Mon sourire devient taquin, quand je prends une boite que je lui montre
-”On m’a donné ça … des suppositoires . ”
En vrai je n’ai pris ça que parce que ça me semblait drôle, ce switch de rôle.
-”Tu devrais peut être me laisser te … le mettre . ”
Ajoutais je ne trouvant pas la choses exact à dire.

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Il sourit, comme si je n'avais pas compris et c'est sensiblement le cas, puisqu'il me précise que je dois me nourrir et que ce n'est que si je refuse qu'il usera de sa force. Ça pourrait être marrant à voir. Et rien que pour ça, j'aurais envie de résister pour voir ce que ça pourrait donner. Mais ce soir, il me flanquerait peut-être au tapis. Une autre fois, pour rire, peut-être que je le provoquerai. Mais pas là. Mon estomac va finir par gronder, j'ai presque rien avaler de la journée.

- T'inquiètes, je vais manger, lui assurais-je en prenant le bol et la cuillère. J'ai faim.

Me calant confortablement, je goûte la soupe et approuve son exclamation Le bouillon, puisque c'est sensiblement tout ce que j'ai goûté, est vraiment bon. Mais là ça me pose problème. Il a fait de la soupe pendant que je dormais ou il l'a acheté? J'ai quand même pas dormi si longtemps que ça qu'il aie eu le temps de tout faire en cuisine? Un coup d'oeil à mon poignet pour me rendre compte que je n'ai pas mis ma montre en me levant. Laissant tomber mon bras, mon regard se pose sur ce qu'il reste dans le plateau et je constate qu'il a une sélection de boîtes de médicaments. Pas totalement convaincu de tout son attirail, je le questionne s'il pense me faire avaler tout ça. La réponse est non. Il ne savait simplement ce qui m'est le plus facile à avaler.

- Tant que ce n'est pas de la poudre, ça va, l'informais-je. Ça me colle au palais.

Ouais ça paraît con à dire, mais une dose de médicaments écrasés et je suis certain de m'étouffer. Allez savoir ce qui fonctionne pas. Tandis que le reste, ça va. Même si les gélules ont normalement un goût merdique. Je croyais que c'était le pire. Jusqu'à ce qu'il me montre une autre boite et m'explique ce que c'est...

- Tu tiens ces trucs loin de moi, grognais-je. Il est hors de question que j'enfile ça!

No fucking way! Je préfère encore être sur le carreau pendant une semaine!

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La soupe était tellement bonne que je faillit la renverser en me précipitant pour la seconde cuillère, vérifiant du coin de l’oeil le mouvement de sa cuillère. J'ai pas envie de me retrouver écrasé sous son poids s'il s'évanouit.
Ou plutôt ...
J'ai juste pas envie qu'il s’évanouisse.
-”Alors on met la poudre de coté !”
Je continue à le charmer en proposant des suppositoire. Oui je suis romantique. Sauf qu'il n'accepte pas, et ça me fait autant rire de voir sa réaction, que de l'entendre définitivement décliné mon offre.
-”Bien” dis je ”De toute façon je préfère l’inverse” Ajoutais je en reposant la boite sur la table. Les yeux pétillant d’une malice qui m’avait fait oublié mon inquiétude initiale.
Ce n’est rien qu’un Rhum, ou qu’une grippe… je ne sais pas différencier entre les deux. Mon homme ne fumait pas, ne buvait pas, il était sportif. Quelques antibiotiques, une ou deux soirée de repos, une nuit de sommeil et il se réveillera guérit.
Au pire, et seulement si ça empire j’appellerais Bambi, l’étudiante en médecine, que je commençait à considérer comme une très bonne amie, et je lui demanderais de passer pour une visite de “courtoisie”. Puisque, je sais, que mon grand ami ici n’acceptera jamais de médecin.
-”Gélules ce sera mon chéri ”
Encore l’utilisation de ce surnom. Cette fois c’était fait exprès, pour le taquiner, et mon clin d’oeil le montrait bien.
Reposant mon bol de soupe sur la table basse, je me lève pour ramener un verre et de l’eau, et préparer les quelques comprimés qu’il devrait avaler. J’avais un thermomètre prêt quelque part sur le plateau, que j’utiliserais après avoir installé mon malade.
J’aurais peut être dû lui donner a manger après l’avoir installé…
Je ne sais pas. C’est la première fois que je m’occupe de quelqu’un. Je ne me suis même jamais occupé de moi même alors… Déposant l’eau sur la table, je remarque qu’il n’a pas encore terminé son déjeuner, et en profite pour le laisser encore un peu, et ramener un drap et un oreiller de sa chambre, les déposant sur un des fauteuils.
Voila, j’avais normalement tous les ingrédient nécessaires à un bon infirmier, et il semblait avoir fini son bol. Me penchant sur lui je le lui prends des mains, et le range sur le plateau.
-”T’as besoin d’autre chose Babe?”
Demandais je en m’approchant et m'agenouillant devant lui. Attendant sa réponse, je passe la main sur son front, et ma paume rencontre sa peau bouillante, me ramenant à la réalité de la situation. Il doit se reposer.
-”Allonge toi je change ton drap et je mesure ta température, après on décidera pour les médicaments. ”

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Je suis passer d'un boyfriend à un infirmier aux petits soins. Le connaissant, ça ne m'étonne que plus ou moins qu'il aie prit 36 sortes du même médicaments. Il a tendance à faire beaucoup et quand il est nerveux, c'est encore pire. Et là, il me prouve que j'aurais pas dû l'appeler. Il m'en aurait peut-être voulu par la suite, par contre. Mais bon, c'est fait, alors autant vivre avec. C'est pas comme si on pouvait reculer le temps. Et puis, y'a pas un cocktail de médicaments à n'en plus finir. Déjà tout ce qui est poudre, on élimine, je suis pas capable. Mais quand il me présente les suppositoires, je me renfrogne : ça, c'est hors de question! Il m'approche pas avec ça! Mon dégoût déclenche son hilarité et, moqueur, il me répond, me tirant un vague sourire, mais surtout me calmant quand je le vois poser ces trucs plus loin.

- Tu profites du fait que je sois malade pour m'appeler "mon chéri", avoue, lui lançais-je en le regardant se lever, secouant légèrement la tête, le sourire toujours présent au coin de mes lèvres.

Question rhétorique, parce que ça semble particulièrement l'amuser, clin d'oeil à l'appui. Mais je préfères largement le voir déconner que de le voir s'inquiéter pour moi. Y'a pas réellement de raison de le faire. J'irai mieux dans quelques temps. D'ici là, je déteste simplement mon état, parce que je suis à peu près bon à rien.

Il s'affaire à préparer tout ce qui semble être son petit kit de l'infirmier modèle. Où du moins, c'est ainsi que je le juge. Continuant de manger, je ne m'interpose pas. Je ne crains pas réellement grand chose et, à dire vrai, qu'il veille à tout me garantit plus de délicatesse dans le traitement que n'importe quel que j'ai pu avoir.

-T’as besoin d’autre chose Babe?

Je le fixe un moment sans répondre. Cliché si je lui dis "Toi."? Sauf que c'est la seule réponse qui me vienne en tête rapidement. Pas dans mes habitudes. Alors si je lui réponds ça, j'ai des chances de le faire paniquer. Mes yeux ferment à demi lorsqu'il pose à nouveau sa main sur mon front et je ne reviens à la réalité que lorsqu'il me sort le planning à suivre. Je me retiens de soupirer sous les ordres. Il fait tout ça pour m'aider après tout. Alors, me pliant à sa volonté, je fais mon gentil patient et envoie le drap qui me couvrait plus tôt sur le dossier du canapé. Me calant un peu mieux contre les coussins, je suis des yeux ses mouvements. Je prendrai les médicaments qu'il me donne si ça peut lui faire plaisir, mais...

- Jona… viens là, lui intimais-je, captant ses doigts pour l'inciter à s'installer sur moi. Ton alaskien a froid, expliquais-je avec un petit sourire en coin, tentant d'être léger dans mes propos pour ne pas l'alarmer.

C'est peut-être pas la bonne idée pour lui de s'exposer, surtout qu'il est en période d'études pour une série d'examens à venir, mais c'est pas mal ce que j'avais en tête quand je l'ai appeler. Ce que j'avais envie. Il va finir par se dire que la maladie me fait délirer et agir bizarrement, ça n'a pas de sens.

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Chéri.
Mon chéri est un grand brun qui aime jouer les Bad boys. Au fond c’est un homme tout ce qu’il y a de plus droit, gentil … et qui n’aime pas qu’on l’appelle Chéri. J’en profite pour le taquiner, et il m’accuse de le faire parce qu’il est malade.
C’est un peu vrai.
Juste un peu.
Si je l’appelle ainsi, c’est qu'à certain moment, son surnom habituel n’est plus assez éloquent. Quand tout ce que je veux faire c’est le prendre dans mes bras, l’enlacer, et rester ainsi pendant plusieurs heures, près de lui, à suivre sa respiration et m'imprégner de son calme, j’ai l’impression que “chéri” lui va beaucoup mieux . Même si je l’ai dit pour le taquiner… et pour ne pas dire autre chose ….

Lui souriant de toutes mes dents je lui réponds d’un simple “oui” à sa question que je devine rhétorique, et me lève pour m’occuper de mon petit ami malade.
Un peu d’eau, un alignement de pilules, de nouveaux draps, et un oreiller, je regarde le tout et me demande si j’ai raté quelque chose. Alors je lui demande à lui, s’il a besoin d’un plus.
Il ne réponds pas, certainement trop fatigué pour le faire!
Passant mes doigts sur son front, je me rends compte qu’il a de la fièvre, ou que mes doigts sont très frais. J’allais même atteindre le thermomètre, quand il m'a la main et m'a ramené à côté de lui. Sur lui. Bien sure j’aurais facilement pu me défaire, il n’a plus sa force habituelle , même s’il n’a jamais usé de force avec moi. Juste... sa poigne manquait de fermeté, alors que de sa voix traînante il me captivait : “TON alaskien”

Cette possessivité.
J’en souris encore et abonde dans son sens, me retrouvant à califourchon sur lui, après avoir éloigné les draps pour les rabattre sur moi. Sur nous, puisque je m’allonge jusqu'à n’être qu'à quelques centimètres de lui. Je dépose mes lèvres sur sa mâchoire au début, sur son menton, sur ses lèvres.
-”Mon Alaskien m’a pour le réchauffer”  
Je n’avais pas peur . Tomber malade n’était pas dans mes plans, vu que mon docteur jugeant mon corps beaucoup trop susceptible de subir les affres du changement de température, m’a déjà fait une injection anti-Rhum et anti plein de trucs au début de l'hiver. Et si je tombes malade, j’aurais mon infirmier personnel.
N’est ce pas?

Me détachant de Benji, je le fixe, passant mes yeux sur ses cernes, sur ses joues creuses, puis de nouveaux vers ses yeux
-”Babe, tu devrais dormir.” chuchotais je contre ses levres 
Un mouvement vers la droite, et je me retrouve allongé à côté de lui dans ce canapé toujours aussi étonnamment grand.
-”Je te laisserais pas. Et si t’as besoin de quoi que ce soit, je serais la” Lui tournant le dos, je le ramène derrière moi, pour qu'il me spoon, en m'enlaçant.

DEV NERD GIRL

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