manichée a. nebelheim ► holland roden

C'est le 12 Novembre 1991 à New York, que les membres de la famille Nebelheim m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Manichée Alexandra. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de droit depuis un an. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy ou les Lowell.

Manichée Alexandria Nebelheim

Questionnaire

Plutôt...
Plutôt fêtard ou pantouflard ? Je suis quelqu'un de très sédentaire, tant la foule et le bruit m'insupportent. Je préfère rester chez moi, armée d'un bon livre ou ester sur mon ordinateur portable. J'ai peur de la fête, et comme je ne bois pas, je m'y intègre difficilement. Je préfère ainsi les petits repas entre amis plutôt que les grosses soirées où tout le monde finit la tête dans une poubelle.
Plutôt coquet(te) ou négligé(e) ? Je suis une fille, et j'ai été élevée comme telle, dans le respect du genre que la société m'impose. Ainsi, lorsque je sors, ou lorsque je vais en cours, je reste assez bien habillée et maquillée, malgré le fait que mon armoire ne soit pas pleine à craquer, à la différence de celle de beaucoup de filles. Cependant, quand je suis en service civique, je ne me maquille pas et m'habille de façon très neutre, car j'estime qu'il serait indigne de s'habiller richement devant ces gens qui n'ont rien.
Plutôt assidu(e) ou sécheur(se) pro ? Quoi que l'on puisse en dire, je suis quelqu'un d'extrêmement assidu. J'aime apprendre et je ne désire absolument pas gâcher mon année à coups de fêtes ou de pure flemmardise. je suis une lève-tôt, et aller en cours est pour moi un très grand plaisir, qui casse mon ennui.
Plutôt romantique ou réaliste ? Même si je rêve en secret d'un amour fou et passioné qui m'emmenera au bout du monde, je reste au final assez réaliste quand à l'amour. Il m'effraie et jamais je ne laisserais, en apparence, un doux éphèbe m'embobiner. Même si j'irais contre moi même en faisant cela, je pense qu'ainsi je serais plus heureuse, loin de la douleur.
Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? Je pense être quelqu'un d'assez sympatique. J'aime sourire aux autres et je suis toujours là lorsque quelqu'un a besoin d'aide. Je ne me permettrais jamais d'être méchante avec qui que ce soit, car j'aimerai que la personne en face de moi ne m'écrase pas comme une fragile feuille morte. Les gens désagréables m'insupportent, et me rendent assez triste au fond : j'ai peur qu'un jour ils ne s'en prennent à moi.
Plutôt altruiste ou égoïste ? La gentillesse, selon mon entourage, est ma qualité principale. J'aime aider sans rien demander en retour, je consacre ma vie au bonheur des autres, car j'estime avoir été suffisamment comblée dans ma propre existence. Je participe à beaucoup d'oeuvres de charité, je recueille des dons... Mais j'aime aussi aider les autres dans leurs études ou leur donner un peu d'argent s'ils n'en ont pas assez. Je ne désire que personne n'ait de comptes à me rendre.
Plutôt optimiste ou pessimiste ? Malgré certaines déceptions et ma retenue naturelle, je reste quelqu'un d'extrêmement optimiste quand à la vie et la bonté humaine. Je pense que tout cela vaut le coup d'être vécu, testé, et que personne n'est méchant sans raisons, sans blessures. Même si mes peurs m'empêchent de faire certaines choses, au fond elles ne font que me protéger, et me préservent de la destruction. je me sens à l'aise dans ma petite bulle de naïveté, car je veux croire aux gens, et je le crie sur tous les toits. Car si je ne crois pas en eux, qui le fera ?
Plutôt extraverti ou introverti ? Même si j'aime l'humanité de tout mon coeur, je suis plus introvertie qu'autre chose ! Seulement avec les professeurs avec mes camarades de classe, cela dit. Car lorsque je pars en mission, tout le monde me semble adorable, autant dévoué à la cause que moi et j'aime aider les autres, leur dire qu'il y a toujours de l'espoir. je suis plus timide avec les gens que je côtoie tout le temps qu'avec des étrangers, en réalité.
Plutôt sucré ou salé ? Définitivement sucré. Je suis une fille très gourmande, contrairement à ce que mon physique laisse penser. Je raffole de patisseries françaises, de bonbons et de gâteaux. Je ne refuserais jamais un bon plait, mais mon moment préféré du repas reste le dessert, dessert où je rajouterais toujours un sachet de sucre, car il n'y en aura jamais assez !
Plutôt pacifiste ou j'te-défonce-la-gueule-connard ? Je suis quelqu'un d'extrêmement pacifiste. Tuer tout ce qui vit de mes propres mains me répugne (mais attention, je reste omnivore !). je lutte farouchement contre les guerres et le trafic d'armes, et ce, de nouveau via diverses associations et pétitions, et cela déteint sur ma vie de tous les jours. Je préfère me faire frapper quitte à en être défigurée plutôt que d'user de la violence.
Plutôt Justin Bieber ou Rebecca Black ? Je dirais les deux ! Même si je n'aime pas leur musique, les paroles idiotes me font rire !

Physique...
Style vestimentaire Très coloré ! Composé surtout de robes, de jupes, de couleurs claires ou pastel. Le fait de s'habiller comme quelqu'un d'heureux rend heureux !
Piercing Un à chaque lobe, mais je ne porte de boucles que trè rarement, lors de grandes occasions.
Tatouage Aucun !

Je crois...
Aux fantômes ? Si il fait très noir... Oui.
À l'apocalypse ? Non.
Aux coups de foudre ? Oui, mais pas pour moi.
À l'amitié fille/garçon ? Oui !
Aux sexfriends ? Non, définitivement non.
À une religion ? Non.
À la magie de Noël ? Mille fois oui ! J'aime encore recevoir des cadeaux et manger à m'en exploser le ventre !
Au destin ? Non.
Aux fins heureuses ? Oui.

Je/j'ai...
Déjà fait un threesome Non.
Une voiture Non, hors de question de polluer ma planète !
Bois de l'alcool Non.
Fume Une ou deux par semaine... Très peu, en somme.
Prend de la drogue Non, jamais.
Veux me marier Oui, si je trouve quelqu'un...
Veux des enfants Oui, toute une ribambelle !
Une maladie grave J'ai, très littéralement, le coeur fragile depuis ma petite enfance à cause d'une légère malformation. Je ne le montre pas, mais lorsqu'il s'emballe trop, je peux m'évanouir, voire peut-être en mourir sans secours rapides.
Un lourd secret Aucun.
Mens souvent Non, je reste très honnête.
Beaucoup d'expérience au lit Pas du tout...
Beaucoup d'expérience en amour De même, aucune...
Eu beaucoup de déception en amour Non.
Eu beaucoup de déception en amitié Jamais, car même après une trahison je continue de croire en eux.
De la facilité à me faire des amis Oui, apparemment !
Des envies de meurtres Jamais !
Peur du noir Oui.... Mais je m'en accomode.
Peur de la solitude Oui !
De bonnes notes Oui.

Ma maison...
Ce qui ferait de moi un membre parfait des Quincy Je suis quelqu'un de très gentil ! Ma vie se construit à travers les autres, ceux que j'aide. Il n'est pas de plus grands bonheurs pour moi que de voir le sourire de quelqu'un que j'aurais rendu heureux. Je suis souvent en mission, j'aide les sans-abris, je fais du bénévolat, j'offre des dons à des associations diverses (Greenpeace, WWF...) et durant mes vacances, j'essaye le plus possible d'aller dans des pays en difficulté, afin d'être sur tous les fronts.
ou des Lowell Je possède une très grande sensibilité, je suis très réceptive aux arts, à la musique, à la peinture... J'écris quelques petites choses moi-même, mais je les garde secrètement enfouies dans mes tiroirs.

Pseudo/Prénom Centurychild
Âge Bientôt 17... (a)
Pays/Région Nord de la France !
Où as-tu connu le forum ? PRD !
Tes impressions Très joli forum et j'adore la fiche de présentation !
Crédits Shiya (avatar en haut à gauche)
Avatar Holland Roden
Scénario ou PI ? PI !
Facilité à s'intégrer ? Je ne sais pas encore, je viens d'arriver...
Mot de la fin J'ai hâte de commencer à RP !

(Invité)

Histoire

the life before La jeunesse de Manichée s’est révélée être un formidable cadeau. En effet, la jeune fille était protégée de tout par ses parents, jamais elle n’a eu à souffrir de quoi que ce soit, l’argent créant chez elle un confort extrême. La jolie rousse vivait dans une banlieue très huppé de New York et se destinait à devenir mannequin ou styliste, comme la plupart des petites filles de son âge. Elle possédait déjà les qualités qui font d’elle quelqu’un d’adorable et aimé, mais jamais elle n’avait été attirée par l’humanitaire, ou tout simplement l’aide aux autres. Elle se sentait profondément vulnérable, ayant été trop longtemps couvée par ses parents débordants d’amour. Ses relations avec ses semblables se révélèrent catastrophiques, sa timidité, grandissante. Ses parents s’inquietèrent au plus haut point, et pensèrent que l’école la rendait si timide, sans doute ses petits camarades qui la martyrisaient. Ils décidèrent de fait de la retirer purement et simplement de l’école, qu’elle soit publique ou privée, et firent venir chez eux des professeurs extrêmement compétents, afin de dispenser le meilleur enseignement à l’ange de la maison, et surtout de la maintenir loin de la cruauté du monde. Sa timidité ne fit que s’aggraver, la petite fille ne sortant au final presque jamais de chez elle. Il devint difficile de gérer cela pour ses deux géniteurs. La grosse pomme est une ville gigantesque, qui possède pleins de trésors et d’opportunités à découvrir, or, avec ce comportement, ils craignaient que leur fille n’éprouve jamais la joie de courir dans ces rues, d’aller faire les boutiques avec ses amies, afin de dépenser à tout va l’argent dont regorgeait le compte bancaire qu’ils préparaient pour elle. L’idée vint du père. la mère s’y opposa violemment au début, craignant pour son unique enfant. L’envoyer ainsi dans la nature, au milieu de tous ces gens qui pourraient lui vouloir du mal ! Mais le père réussit finalement à la convaincre, et à lui faire accepter la paranoïa à laquelle ils étaient tous deux en proie lorsqu’il s’agissait de leur fille, et qu’ils lui transmettaient cette peur du monde extérieur, peur qui était accentuée par la maladie au coeur de l’enfant, diagnostiquée peu de temps après ses cinq ans. La jeune mère se résigna, la décision du père était irrévocable. Il décida de l’envoyer dans une « colonie de vacances » un peu spéciale.
the change. Manichée regarda les nuages à travers le hublot de l’avion. Du haut de ses quatorze ans, elle essayait de se faire toute petite. Dans l’oiseau de fer, plusieurs enfants discutaient, riaient entre eux gaiement, heureux de se trouver dans cet endroit inédit. La présence d’autant de gens la mettait mal à l’aise, elle ne désirait absolument pas être ici. Une jeune femme s’approcha, lui fit un petit sourire et prit place à côté d’elle. Elle était très belle, avec une peau sombre et des cheveux noirs crépus. La jeune fille regarda ses propres cheveux. Comme elle aimerait lui ressembler. L’animatrice engagea la discussion. En effet, elle l’observait depuis quelque temps et sa timidit l’inquiétait. Elle lui expliqua le but du voyage, qui était d’aller au Sénégal, afin de construire une école, des puits, de rencontrer de nouvelles personnes et de les aider à vivre une meilleure existence. La belle jeune femme ajouta qu’elle venait de ce pays, et que c’était pour cela qu’elle avait fondé cette association, afin d’aider son pays et ses habitants. La petite rousse écouta avec attention, s’étonnant que cette femme ne l’agresse pas ou ne la méprise pas. Cela la mit en confiance et elle alimenta la conversation jusqu’à leur arrivée à l’aéroport. Une fois là-bas, elle s’émerveilla devant ces contrées jaunes et sauvages, qui la changeait tellement des gratte-ciels de New York, là où l’on ne pouvait plus discerner une seule étoile. Elle respira à pleins poumons l’air pur et chaud. Un sourire, le premier depuis plusieurs années, se fendit sur son visage autrefois désolé. Elle sentait comme une deuxième chance, une façon de revivre toutes ces années perdues. Ce voyage fut pour elle une révélation. Manichée fut la jeune fille la plus assidue du groupe, toujours prête à aider, à soigner ou à s’occuper de quelqu’un dans le besoin, ne rechignant pas les travaux manuels. Il fut toujours difficile pour elle de parler avec les autres jeunes de la «colonie», en revanche il lui fut très aisé d’engager la conversation avec les habitants, partageant sa propre culture et s’imprégnant de la leur. Malgré le fait que sa timidité persistat et que l’état de son coeur ne s’améliorait pas, elle sentit de nouvelles choses germer en elle. la joie et l’envie d’aider les autres, dédier sa vie entière à une cause. Enfin, être heureuse.
the life after. Depuis ce voyage, la jeune fille retourna à l’école, après avoir supplié ses parents. Sa vie devait reprendre. Sa scolarité se passa sans encombres, contrairement à ce que lui rabachaient ses géniteurs. Elle consacrait ses grandes vacances à des projets semblables à celui de la colonie, et put ainsi découvrir qu’il y avait énormément de choses à sauver et à aider sur cette planète. Afin d’être à même de gérer tout cela, la jeune femme, qui était devenue très belle, malgré son visage enfantin qui ne la quitta pas, décida d’entrer à Harvard, la meilleure université du monde. Ses notes excellentes lui accordèrent une voie royale vers cet endroit dont on ne lui a dit que du bien. Qui sait, peut-être sa timidité disparaitra complètement un jour...

(Invité)