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C'est le 19/08/1980 à Cambridge, que les membres de la famille Hogdson m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Sam. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis homosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours j'ai fais des études de littérature anglaise ET je travaille en tant que Professeur d'Anglais depuis 2 ANS. Et pour terminer, je voudrais intégrer les CITIZEN. Sam Hogdson | Questionnaire Plutôt... Plutôt fêtard ou pantouflard ? Fêtard, mais parfois pantouflard, selon mon humeur. Plutôt coquet(te) ou négligé(e) ? Coquet, je ne sors jamais sans être sur d'être propre, bien rasé, parfumé, etc... Plutôt assidu(e) ou sécheur(se) pro ? Assidu. Plutôt romantique ou réaliste ? Réaliste. Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? Sympathique avec n'importe quel homme, et plutôt déplaisant avec les femmes trop collante. Plutôt altruiste ou égoïste ? Egoïste. Plutôt optimiste ou pessimiste ? Optimiste Plutôt extraverti ou introverti ? Introverti Plutôt sucré ou salé ? Les deux. Plutôt pacifiste ou j'te-défonce-la-gueule-connard ? Pacifiste. Plutôt Justin Bieber ou Rebecca Black ? Pour la santé de mes oreilles, aucun des deux. Physique... Style vestimentaire Classique. Piercing Aucun. Tatouage Aucun. Je crois... Aux fantômes ? non À l'apocalypse ? non Aux coups de foudre ? non À l'amitié fille/garçon ? oui Aux sexfriends ? oui À une religion ? non À la magie de Noël ? non Au destin ? non Aux fins heureuses ? non Je/j'ai... Déjà fait un threesome oui Une voiture Une BMW. Série, 5 portes. Bois de l'alcool oui Fume oui Prend de la drogue non Veux me marier non Veux des enfants jamais Une maladie grave non Un lourd secret J'ai renversé une jeune femme il y a quelques années. C'est aussi ma raison que je suis revenu à Harvard pour y enseigner. Cette fille c'est Camille M. Parker, mais elle ne le sait pas que c'est moi. Et c'est aussi la seule femme avec qui je fais l'amour. Mens souvent oui Beaucoup d'expérience au lit oui Beaucoup d'expérience en amour non Eu beaucoup de déception en amour non, une ou deux Eu beaucoup de déception en amitié non De la facilité à me faire des amis oui/non, ça dépend des personnes. Des envies de meurtres non Peur du noir non Peur de la solitude oui De bonnes notes oui Ma maison... Ce qui ferait de moi un membre parfait de groupe1 xx ou de groupe2 xx |
Pseudo/Prénom J'ai pas de pseudo, mais je garde le prénom pour moi. Je suis chiant, je sais. Âge 20 ans Pays/Région France. Où as-tu connu le forum ? Camille Tes impressions J'adore la fiche de présentation Crédits Bazzart Avatar Sebastian Stan Scénario ou PI ? Facilité à s'intégrer ? 5/10 Je suis pas très flood et chatbox. Mot de la fin Ferdinand de mon cœur |
Histoire
Mon père est à Cambridge depuis toujours. Ma mère c'est pareil. Mais contrairement à ma mère, mon père vient d'une famille plutôt pauvre. Il n'était pas destiné à venir riche, à rencontrer une riche héritière comme ma mère, mais son amour pour elle fit toute la différence. Mon père devint un grand constructeur de jouets, je ne parle pas des jeux vidéos mais je parle bien de ce qui est resté traditionnel comme les peluches, les jouets en tout genre. Quant à ma mère, elle possédait un compte en banque que l'on pourrait dire illimité. Mais je vous parle d'eux, car ces deux personnes ont fait de moi ce que je suis aujourd'hui. Je ne faisais pas partie des enfants malheureux qui étaient issus de famille riche, sévère et qui ne veut rien écouter, moi mes parents étaient plutôt du genre à vouloir mon bonheur à m'écouter, à être relax quand j'avais des problèmes avec la police ou encore au lycée parce que je m'étais battu avec un autre camarade. J'étais né avec la petit cuillère en or et diamant dans la bouche, avec une famille aimante, mais trop aimante car c'était de l'étouffement. Je ne supportais pas ma vie avec mes parents, quand ils me bassinaient à mes seize ans pourquoi je ne ramenais jamais de petites copines malgré le nombre incalculable de « potes » qui venaient chez moi. La réalité, ma mère la découvrit à mes dix huit ans, lorsqu'elle voulut apporter des cookies à moi et un de mes fameux « amis », elle me surprit nu avec lui dans mon lit, à lui offrir les meilleurs soins du monde – on ne va pas choquer les jeunes enfants qui nous lisent. Vous êtes surs que je n'avais pas mangé de cookies ce jour-là. Mais avec de la chance, je parvins à me rhabiller rapidement et rattraper ma mère pour la supplier de rien dire à mon père. Il avait beau ressembler à un sombre crétin, il n'en était pas moins l'homme le plus raciste, le plus homophobe ou autres idées qui étaient proche peut-être de celles d'Hitler.
Ma mère me protégea durant les années où mon père fut là. Car oui, j'avais perdu mon père il y a peu. En fait, je n'ai pas une histoire comme les autres quand il s'agit de parler de la mort d'un proche , mais proche de celle d'un mec dans un film qui avait marqué mes soirées avec des potes de confréries. Vous vous souvenez de ce film où le mec il tue sa grand-mère avec du sperme parce qu'il se masturbait en pensant que sa famille était partie ? Bah moi c'est la même chose avec mon père sauf qu'il m'a surprit dans la chambre de l'université avec mon colocataire de chambre. Moi je pensais que déjà avec les cris de mon coloc' personne viendrait nous déranger, mais mon père qui était enfin heureux de savoir que j'avais une sexualité, n'avait pas pu s'empêcher d'entrer. Il était tombé raide sur le sol avant même que j'ai pu comprendre ce qu'il m'arrivait. Je me souvenais encore de la tête de ma mère ce jour-là, partagé entre la douleur de la perte de son mari et la gêne qu'elle ressentait dans la façon de l'avoir perdu. Il faut dire que je n'avais vraiment pas de chance d'avoir un père qui avait des problèmes de cœur en plus d'être un sombre crétin. Personnellement, je n'ai jamais éprouvé tellement de peines pour lui car j'avais carrément du mal à exprimer ce que je ressentais pour les gens. Ce qui me valut de ne jamais trouver personne qui durait très longtemps.
J'avais 24 ans à l'époque. Je venais de sortir d'une fête avec des amis, mais j'avais été prudent, j'avais pas bu. Je traversais Cambridge pour aller rejoindre la maison de ma famille qui était à l'opposé de l'université. Il faisait nuit et je ne faisais que me dépêcher pour rentrer au plus vite chez moi. Mon sexfriend venait de me jeter pour un autre à cet époque, j'avais été sur les nerfs et surtout imprudent. Seulement, il faisait nuit et la visibilité n'était pas des meilleures, en plus d'être à cran, je n'avais pas vu cette fille qui traversait, je ne l'avais vu qu'au moment où je captais sa vision où son corps vint fracasser ma voiture. Pour ma part, je n'avais presque rien eu, un simple hématome à la tête, et le genou cassé mais ce n'était rien comparé à ce que j'avais pu voir de la fille. Je venais de renverser un ange, le peu que j'avais pu l'apercevoir, c'était une belle jeune femme, pire, vu la beauté de son être, c'était une femme sortie très récemment de l'adolescence. Pendant que j'étais à l'hôpital, je m'étais informé de son état. On me racontait que cette jeune femme était dans le coma, qu'elle avait perdu la possibilité d'avoir des enfants, et cela par ma faute. Ma mère décida de payer grassement la famille de cette jeune fille pour qu'il ne porte pas plainte contre moi et que je n'ai aucun problème par la suite. Ce fut dur pour moi.
Quelques années plus tard, j'avais obtenu avec brio mes diplômes, étant même devenu major de ma promotion, ainsi qu'en étant Chef des Winthrop cette année là. J'avais obtenu ce qu'un homme pouvait avoir, un diplôme bien mérité, une sortie de l'université magistrale et surtout la possibilité de pouvoir faire ce que je voulais dans la vie. Je suis donc parti plusieurs années en Angleterre dans une prestigieuse université où j'enseignais la littérature anglaise en tant qu'assistant du professeur dans les débuts tout en travaillant dans une énorme bibliothèque universitaire, surement la plus grande d'Europe puis je suis passé un an en tant que véritable professeur avant de décider de revenir à Cambridge auprès de mes parents. C'est en revenant chez moi que je vis cette fille. Je me souvenais parfaitement de ce visage. Il avait été gravé dans ma mémoire. Cette femme était bien vivante, avait grandit, et étudiait même à Harvard. C'était donc elle qui me fit revenir et aussi, devenir professeur à Harvard, ce qui ne fut pas difficile étant donné que j'étais un très bon professeur et en plus de ça, je connaissais déjà Harvard, c'était un plus pour moi de m'y faire engager. Je surveillais donc depuis deux ans, Camille Parker, je faisais en sorte qu'elle ai une vie des plus agréable même si je me trouvais à être souvent en retrait. C'était presque comme ci j'étais son grand-frère et elle ma petite sœur, ce qui est bien étrange pour moi de m'attacher à une personne, et encore plus que ce soit une femme.
Ma mère me protégea durant les années où mon père fut là. Car oui, j'avais perdu mon père il y a peu. En fait, je n'ai pas une histoire comme les autres quand il s'agit de parler de la mort d'un proche , mais proche de celle d'un mec dans un film qui avait marqué mes soirées avec des potes de confréries. Vous vous souvenez de ce film où le mec il tue sa grand-mère avec du sperme parce qu'il se masturbait en pensant que sa famille était partie ? Bah moi c'est la même chose avec mon père sauf qu'il m'a surprit dans la chambre de l'université avec mon colocataire de chambre. Moi je pensais que déjà avec les cris de mon coloc' personne viendrait nous déranger, mais mon père qui était enfin heureux de savoir que j'avais une sexualité, n'avait pas pu s'empêcher d'entrer. Il était tombé raide sur le sol avant même que j'ai pu comprendre ce qu'il m'arrivait. Je me souvenais encore de la tête de ma mère ce jour-là, partagé entre la douleur de la perte de son mari et la gêne qu'elle ressentait dans la façon de l'avoir perdu. Il faut dire que je n'avais vraiment pas de chance d'avoir un père qui avait des problèmes de cœur en plus d'être un sombre crétin. Personnellement, je n'ai jamais éprouvé tellement de peines pour lui car j'avais carrément du mal à exprimer ce que je ressentais pour les gens. Ce qui me valut de ne jamais trouver personne qui durait très longtemps.
J'avais 24 ans à l'époque. Je venais de sortir d'une fête avec des amis, mais j'avais été prudent, j'avais pas bu. Je traversais Cambridge pour aller rejoindre la maison de ma famille qui était à l'opposé de l'université. Il faisait nuit et je ne faisais que me dépêcher pour rentrer au plus vite chez moi. Mon sexfriend venait de me jeter pour un autre à cet époque, j'avais été sur les nerfs et surtout imprudent. Seulement, il faisait nuit et la visibilité n'était pas des meilleures, en plus d'être à cran, je n'avais pas vu cette fille qui traversait, je ne l'avais vu qu'au moment où je captais sa vision où son corps vint fracasser ma voiture. Pour ma part, je n'avais presque rien eu, un simple hématome à la tête, et le genou cassé mais ce n'était rien comparé à ce que j'avais pu voir de la fille. Je venais de renverser un ange, le peu que j'avais pu l'apercevoir, c'était une belle jeune femme, pire, vu la beauté de son être, c'était une femme sortie très récemment de l'adolescence. Pendant que j'étais à l'hôpital, je m'étais informé de son état. On me racontait que cette jeune femme était dans le coma, qu'elle avait perdu la possibilité d'avoir des enfants, et cela par ma faute. Ma mère décida de payer grassement la famille de cette jeune fille pour qu'il ne porte pas plainte contre moi et que je n'ai aucun problème par la suite. Ce fut dur pour moi.
Quelques années plus tard, j'avais obtenu avec brio mes diplômes, étant même devenu major de ma promotion, ainsi qu'en étant Chef des Winthrop cette année là. J'avais obtenu ce qu'un homme pouvait avoir, un diplôme bien mérité, une sortie de l'université magistrale et surtout la possibilité de pouvoir faire ce que je voulais dans la vie. Je suis donc parti plusieurs années en Angleterre dans une prestigieuse université où j'enseignais la littérature anglaise en tant qu'assistant du professeur dans les débuts tout en travaillant dans une énorme bibliothèque universitaire, surement la plus grande d'Europe puis je suis passé un an en tant que véritable professeur avant de décider de revenir à Cambridge auprès de mes parents. C'est en revenant chez moi que je vis cette fille. Je me souvenais parfaitement de ce visage. Il avait été gravé dans ma mémoire. Cette femme était bien vivante, avait grandit, et étudiait même à Harvard. C'était donc elle qui me fit revenir et aussi, devenir professeur à Harvard, ce qui ne fut pas difficile étant donné que j'étais un très bon professeur et en plus de ça, je connaissais déjà Harvard, c'était un plus pour moi de m'y faire engager. Je surveillais donc depuis deux ans, Camille Parker, je faisais en sorte qu'elle ai une vie des plus agréable même si je me trouvais à être souvent en retrait. C'était presque comme ci j'étais son grand-frère et elle ma petite sœur, ce qui est bien étrange pour moi de m'attacher à une personne, et encore plus que ce soit une femme.
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