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C'est le 14 juillet 1989 à Los Angeles, que les membres de la famille Jackson m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Ange Cameron. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle à préférence femme et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de sociologue OU je travaille en tant que barman dans une boite de nuit depuis 5 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy House ou les Dunster House. Ange Cameron Jackson | Questionnaire Plutôt... Plutôt fêtard ou pantouflard ? Ni l’un, ni l’autre, un peu des deux. Je suis quelqu’un qui adore les fêtes a ne pas se tromper mais parfois, je préfère rester tranquillement chez moi à me reposer. Plutôt coquet(te) ou négligé(e) ? Coquet, j’ai beaucoup de mal à sortir mal habillé, je fais toujours très attention à moi et mon image. Elle correspond à ce que je veux et il y vrai que je ne dois pas plaire à tout le monde mais on m’aime ou pas, c’est à vous de voir. Plutôt assidu(e) ou sécheur(se) pro ? Assidu, contrairement à ce que beaucoup pensent à cause de mon style, j’ai beaucoup travailler pour en arriver là où j’en suis aujourd’hui. Donc si il faut travailler quatre heure non-stop alors que tout le campus fais la teuf du siècle à l’étage du dessous, je resterai coller à mes livres. Plutôt romantique ou réaliste ? Réaliste, je ne dis pas que l’amour n’existe pas. Mais il faut savoir garder les pieds sur terre quoi qu’il arrive. Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? Sympathique ! Je suis le genre de mec qui vous vois seul, il viendra vous emmerder. Mais pas méchamment, c’est juste que je veux m’assurer qu’il ne se passe rien de grave. Bien que je me fasse rembarrer pas mal de fois ! Mais je suis du genre têtu, à ne pas en douter. Plutôt altruiste ou égoïste ? Altruiste, je suis d’un milieu plutôt pauvre et j’ai appris qu’il fallait s’entre aider. Peu importe la couleur de peau ou la façon de voir les choses, je suis limite le genre de personne à héberger un clochard pendant une semaine et à l’aider à trouver un emploi. Plutôt optimiste ou pessimiste ? Optimiste, il le faut bien ! Si je n’étais pas de ce genre-là, je ne pourrai pas être ce que je suis actuellement. C’est vrai, la vie n’est pas rose. Donc je dirai que je suis quand même assez réaliste de la vérité du monde actuel. Mais j’essaye toujours de garder le sourire. Plutôt extraverti ou introverti ? Extravertie bien sûr, il le faut bien ! Je vous l’ai dis, je suis du genre à parler à tout le monde. Peu importe l’âge, la couleur, la préférence sexuelle même si vous aimez les chameau #PAN#... Bon la, y’a dû soucis à se faire quand même. Plutôt sucré ou salé ? Je n’ai pas de réelle préférence parce que je suis toujours en train de grignoter quelque chose, ça dépend des moments je dirai. Plutôt pacifiste ou j'te-défonce-la-gueule-connard ? Je suis un peaceman moi. Je n’aime pas les bagarres puis on peut pas dire que j’ai une carrure qui effraie beaucoup de monde. Plutôt Justin Bieber ou Rebecca Black ? Je n’ai rien contre l’un ou l’autre, c’est pas vraiment le genre de chose à laquelle je m’intéresse. Physique... Style vestimentaire J’ai propre style à moi, qui plaise ou non, mais j’aime bien avoir la classe. C’est un de mes péches mignons. Il faut bien des défauts hein ? Bah moi, c’est la mode. Piercing Pour le moment, les piercings ne sont pas réellement ce qui m’intéresse, donc je n’en met pas. Tatouage Sur pratiquement tout mon corps. Je ne passe pas inaperçue, même mon cou est tatoué. Je crois... Aux fantômes ? Oui. À l'apocalypse ? Non. Aux coups de foudre ? Oui. À l'amitié fille/garçon ? Oui. Aux sexfriends ? Oui. À une religion ? Non. À la magie de Noël ? Non. Au destin ? Non. Aux fins heureuses ? Oui mais sans tomber dans le film d’amour. Je/j'ai... Déjà fait un threesome Non. Une voiture Non. Bois de l'alcool Oui. Fume Oui. Prend de la drogue Oui, de la weed. Veux me marier Pourquoi pas. Mais pour le moment, non. Veux des enfants A voir, je n’y es jamais pensé. Une maladie grave Non. Un lourd secret Oui. J’ai tué mon père car il était trop violent. C’était un accident, j’ai juste voulue défendre ma mère quand j’avais treize ans, après, je ne sais pas si c’est un lourd secret, mais je ne dis pas que j’ai un QI de 154. Mens souvent Non, sauf quand c’est vraiment nécessaire. Beaucoup d'expérience au lit Je ne suis pas un Don Juan, je suis normal. Beaucoup d'expérience en amour Pas vraiment. Eu beaucoup de déception en amour Non. Eu beaucoup de déception en amitié Non. De la facilité à me faire des amis Oui. Des envies de meurtres Plus comme j’en es eu envers mon père. Peur du noir Non. Peur de la solitude Oui. De bonnes notes Oui. Ma maison... Ce qui ferait de moi un membre parfait de Quincy House je suis quelqu’un qui se donne a fond pour les gens, je suis un grand humaniste ! J’aime l’être humain avec ses qualités et ses défauts. Je donne beaucoup de mon temps pour aider les autres, pour n’importe quoi tant que c’est pour l’humain. Moi-même venant d’un quartier pauvre, j’essaye d’aider ses jeunes à se réinsérer dans la société, si ils ne sont pas bon à l’école, à leur trouver des jobs qui leurs plaises. Je sais ce que c’est que de vivre dans la misère et la difficulté et des gens m’ont aidé. A moi de prendre la relève. ou de Dunster House j’ai une âme plus ou moins de leader, j’essaye de faire de mon mieux. Malgré ce qu’on peut croire, je suis loin d’être idiot et naif. J’ai d’excellentes notes, ce qui me permet beaucoup de liberté et je fais partie de ses gens qui montrent que la différence ne veut pas dire qu’on est mauvais. |
Pseudo/Prénom Ashwan Âge 17 ans Pays/Région France Où as-tu connu le forum ? Par hasard. Tes impressions Le design est vraiment superbe, j’aime beaucoup. Puis je dois avouer que jouer sur un forum européen, je n’ai pas l’habitude, je voulais tester. J’espère que vous aimez les gens délurés ! Crédits Ashwan Avatar Wiz Khalifa Scénario ou PI ? PI. Facilité à s'intégrer ? 5/10 comme je suis un peu timide sur les forums, j’ai du mal à demander des liens sans avoir l’impression de m’imposer ou de déranger. Mot de la fin Je suis pas méchante et Cameron n’ont plus, au plaisir de RP rapidement avec vous :D ! |
Histoire
« Ange ! Ange lâche ça… Je t’en supplie honey. »
Le petit garçon tiens au bout de ses mains un objet lourd. Très lourd pour lui. Même trop lourd. Mais il ne peut pas lâcher. C’est impossible. Son regard est rempli de terreur mais aussi de détermination. Personne n’a voulue l’écouter. Il voulait juste que maman aille mieux. Il ne voulait plus la voir pleurer alors qu’elle cachait sous son maquillage un œil au beurre noir. Qu’elle est encore une fois un bras cassé parce qu’elle voulait le protéger de la violence d’un seul homme. Comment pouvait-il se permettre de toucher une femme, une femme qu’il avait aimée. Comment osait-il par la suite s’en prendre à l’enfant qui était du même sang que lui ? Sa chair. Bien qu’il tienne a deux mains le colt à six coups, il n’arrivait pas à appuyer. Mais il savait que s’il ne tirait pas, l’homme allait s’en prendre à eux.
La femme regarde tour à tour les deux hommes. Ils ne se ressemblaient en rien physiquement mais ils avaient le même regard. Bien que son tout petit avait rarement un regard aussi sombre. Il tremblait. C’était à elle de tenir l’arme. Pas à lui. Elle se passa une main sur le visage, approchant doucement de son fils alors que son conjoint continuer de regarder l’enfant. Le mouvement de sa mère, celui de son père l’attrapant par les cheveux… S’en était trop pour lui.
Les gens s’arrêtent dans le quartier. Un coup de feu vient d’être tiré. Ils regardent partout autour d’eux avant que quelques visages ne s’arrêtent vers la maison des Jackson. Des amis de la famille se rapproche et rentre dans la maison. A terre, dans l’entrée, l’homme adulte est étalé. Les yeux ouverts, une tâche rouge sur sa poitrine imbibe ses vêtements. Sa mère prend le pistolet et serre son petit garçon comme jamais. Se balançant doucement en s’excusant et en disant que c’était elle qui avait tiré. Qu’il n’y était pour rien. Il ferme les yeux et finit par laisser ses jambes céder à la peur. Il n’arrivait plus à parler. Il voulait juste dormir… Juste, s’endormir.
Le juge les déclara non coupable pour cas de légitime défense. Le témoignage des voisins sur la violence du père, les nombreux allez et venue à l’hôpital pour toute sorte de coup venant du garçon et de la mère. Il n’en fallut pas plus pour pouvoir convaincre la justice pour les laisser finalement en paix.
Pendant plusieurs mois, l’enfant ne décrocha plus un seul mot. Il retourna à l’école comme n’importe qui après un déménagement dans le même quartier. Ils ne pouvaient plus vivre dans la même maison. Pas avec tous ses souvenirs. Finalement, un nouveau Cameron vit le jour. Il pouvait vraiment être lui à présent. Quelqu’un de joyeux et toujours en train de rire quoi qu’il arrive. On découvrit vers ses quinze ans après des test qu’il avait un QI très élevé. Il pouvait aller dans de meilleures écoles, travailler et montrer de quoi il était capable malgré ses origines. Il n’avait pas peur des brimades, il avait était élevé à la dur et riait plus aux insultes qu’à autre chose. Et grande surprise, Harvard lui ouvrait ses portes avec plaisir.
Finalement, peut-être qu’il allait croire aux contes de fées.
Le petit garçon tiens au bout de ses mains un objet lourd. Très lourd pour lui. Même trop lourd. Mais il ne peut pas lâcher. C’est impossible. Son regard est rempli de terreur mais aussi de détermination. Personne n’a voulue l’écouter. Il voulait juste que maman aille mieux. Il ne voulait plus la voir pleurer alors qu’elle cachait sous son maquillage un œil au beurre noir. Qu’elle est encore une fois un bras cassé parce qu’elle voulait le protéger de la violence d’un seul homme. Comment pouvait-il se permettre de toucher une femme, une femme qu’il avait aimée. Comment osait-il par la suite s’en prendre à l’enfant qui était du même sang que lui ? Sa chair. Bien qu’il tienne a deux mains le colt à six coups, il n’arrivait pas à appuyer. Mais il savait que s’il ne tirait pas, l’homme allait s’en prendre à eux.
La femme regarde tour à tour les deux hommes. Ils ne se ressemblaient en rien physiquement mais ils avaient le même regard. Bien que son tout petit avait rarement un regard aussi sombre. Il tremblait. C’était à elle de tenir l’arme. Pas à lui. Elle se passa une main sur le visage, approchant doucement de son fils alors que son conjoint continuer de regarder l’enfant. Le mouvement de sa mère, celui de son père l’attrapant par les cheveux… S’en était trop pour lui.
Les gens s’arrêtent dans le quartier. Un coup de feu vient d’être tiré. Ils regardent partout autour d’eux avant que quelques visages ne s’arrêtent vers la maison des Jackson. Des amis de la famille se rapproche et rentre dans la maison. A terre, dans l’entrée, l’homme adulte est étalé. Les yeux ouverts, une tâche rouge sur sa poitrine imbibe ses vêtements. Sa mère prend le pistolet et serre son petit garçon comme jamais. Se balançant doucement en s’excusant et en disant que c’était elle qui avait tiré. Qu’il n’y était pour rien. Il ferme les yeux et finit par laisser ses jambes céder à la peur. Il n’arrivait plus à parler. Il voulait juste dormir… Juste, s’endormir.
Le juge les déclara non coupable pour cas de légitime défense. Le témoignage des voisins sur la violence du père, les nombreux allez et venue à l’hôpital pour toute sorte de coup venant du garçon et de la mère. Il n’en fallut pas plus pour pouvoir convaincre la justice pour les laisser finalement en paix.
Pendant plusieurs mois, l’enfant ne décrocha plus un seul mot. Il retourna à l’école comme n’importe qui après un déménagement dans le même quartier. Ils ne pouvaient plus vivre dans la même maison. Pas avec tous ses souvenirs. Finalement, un nouveau Cameron vit le jour. Il pouvait vraiment être lui à présent. Quelqu’un de joyeux et toujours en train de rire quoi qu’il arrive. On découvrit vers ses quinze ans après des test qu’il avait un QI très élevé. Il pouvait aller dans de meilleures écoles, travailler et montrer de quoi il était capable malgré ses origines. Il n’avait pas peur des brimades, il avait était élevé à la dur et riait plus aux insultes qu’à autre chose. Et grande surprise, Harvard lui ouvrait ses portes avec plaisir.
Finalement, peut-être qu’il allait croire aux contes de fées.
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