C'est le 16 décembre 1933 à Bristol, Angleterre, que les membres de la famille Burgess m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Aloïse Malicia. Je suis mère célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d' économie et de philosophie depuis 2ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy ou les Cabots.
Aloïse Malicia Burgess
Questionnaire
Plutôt... Plutôt fêtard ou pantouflard ? Plutôt pantouflarde. Plutôt coquet(te) ou négligé(e) ? Plutôt coquette. Plutôt assidu(e) ou sécheur(se) pro ? Plutôt assidue. Plutôt romantique ou réaliste ? Plutôt réaliste. Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? Plutôt sympathique. Plutôt altruiste ou égoïste ? Plutôt altruiste. Plutôt optimiste ou pessimiste ? Plutôt optimiste. Plutôt extraverti ou introverti ? Un peu des deux. Plutôt sucré ou salé ? Plutôt sucré. Plutôt pacifiste ou j'te-défonce-la-gueule-connard ? Plutôt pacifiste. Plutôt Justin Bieber ou Rebecca Black ? Aucun des deux ->
Physique... Style vestimentaire Parisien, haute couture. Tatouage Une rose derrière l'oreille droite.
Je crois... Aux fantômes ? Oui À l'apocalypse ? Non Aux coups de foudre ? Oui À l'amitié fille/garçon ? Oui Aux sexfriends ? Non À une religion ? Non À la magie de Noël ? Oui Au destin ? Oui Aux fins heureuses ? Oui
Je/j'ai... Déjà fait un threesome Non Une voiture Oui, une MGA noire Bois de l'alcool Oui Fume Non Prend de la drogue Non Veux me marier Oui Veux des enfants J'en ai déjà un, un petit garçon de 2ans. Une maladie grave Non Un lourd secret Non Mens souvent Non Beaucoup d'expérience au lit Euh... Oui Beaucoup d'expérience en amour Oui Eu beaucoup de déception en amour Oui Eu beaucoup de déception en amitié Non De la facilité à me faire des amis Oui Des envies de meurtres Non Peur du noir Non Peur de la solitude Oui De bonnes notes Oui
Ma maison... Ce qui ferait de moi un membre parfait de la Quincy House. Je suis quelqu'un de très généreux. Penser au bonheur des autres avant le miens, voilà comment je fonctionne. J'aime aidé les autres, être là pour eux. Je ne suis pas du genre à avoir des ennemis, je préfère être apprécie de tout le monde. Il parait que je suis naïve, au fond, parce que je laisse une chance à tous les gens que je croise, qu'ils soient bons ou mauvais.
ou de la Cabot House. On m'a toujours dit que j'étais adorable, que j'avais ce petit truc que peu de filles avaient. Il parait aussi que je suis plutôt agréable à regarder, même si j'ai du mal à y croire. Mes notes sont excellentes, toujours, c'est une sorte de règle que je me suis imposée: toujours avoir de bonnes notes. Encore une fois, j'ai le coeur sur la main et la loyauté n'a pas de secret pour moi.
Pseudo/Prénom PAMPLEMOU'ss Âge 14 ans. Pays/Région Tolosa. Où as-tu connu le forum ? Oula (a) Tes impressions Crédits Retrotrend. Avatar Anne Marie Van Dijk Scénario ou PI ? PI Facilité à s'intégrer ? 7/10 Mot de la fin J'vous kiffe les vieux
Un début, un milieu, une fin. C'est comme ça que la vie se déroule. Un début sans grande importante, une naissance, le fruit de l'amour de deux personnes. La mort est le terminus, le moment où tout s'arrête. Entre ces deux étapes il y a la vie en elle même. Tout ce que l'on peut vivre chaque jour de chaque mois, de chaque année. Il faut apprendre à remplir ce vide par des gestes, des histoires. Le bonheur, la douleur. On ressent tous des émotions différentes, mais au final il ne faut pas oublier le positif, le bon côté de cette chance que l'on a d'être vivant. Il existe toute sorte d'épreuves à surmonter, toutes plus difficiles les unes que les autres. C'est une sorte de jeu vidéo gens, avec de multiples niveaux à réussir. Le dernier niveau, le dernier jour de notre vie.
Le début. Une naissance dans un endroit banal, un hôpital de Bristol. Pas le plus réputé, pas le plus cher, seulement un hôpital quelconque. Ils n'ont pas eu le choix, c'est le premier qui est passé. Le premier qui était susceptible d'accueillir une femme sur le point d'accoucher. La femme, le mari, pénètrent dans l'entrée de l'hôpital au pas de course. Elle a perdu les eaux en plein milieu de la rue, en pleine nuit. Qu'est ce qu'ils foutent là ses amoureux? Une soirée en tête en tête. Le romantisme au rendez-vous, la belle robe de madame qui a fini tachée, le costume de monsieur sur mesure. Une soirée plus que spéciale, leurs fiançailles. Une soirée importante. Leurs yeux brillent d'une étincelle peu commune. Peu de couples s'aiment à en avoir des étoiles dans les yeux quand la main de leur moitié s'unit à la leur. Elle pousse les portes avec violence, le travail a commencé. Ils ne savent pas le sexe de l'enfant, ils ont juste pensé à des noms. Un garçon? Elio. Une fille? Aloïse. La femme est française, elle veut garder un peu de sa culture malgré que son futur mari soit, lui, anglais de pure souche. Une chambre aux murs rosées percée par un rayon lunaire. Des heures de travail et un enfant à la clé. Une fille, une adorable princesse. Ils furent tous sous le charme, dès que les premiers cris furent poussés. Elle était magnifique. On la lava, et on la ramena à sa famille. Sa mère lui murmura son nom à l'oreille. « Aloïse Malicia Burgess... Bienvenue parmi nous... » Ils n'eurent qu'un seul enfant. Mais ils l'aimèrent, un peu plus fort à chaque fois que leurs yeux se posaient sur lui.
Il y a eu ce garçon. Ce fils de compte anglais, ce fils de riche. Depuis toujours Aloïse et lui ont été proches, plus que proches. Une enfance commune, tes parents et ceux du jeune homme étant très amis. Toujours fourrés ensembles, jamais l'un sans l'autre. Une sorte d'amitié fusionnelle. Beaucoup trop proches pour des jeunes enfants. Tes parents lui ont souvent demandé si elle l'appréciais, si c'était plus que ce dont ça avait l'air. C'était une sorte d'idylle amoureuse au temps des bacs à sable. Il était un peu le petit garçon parfait et vous vous entendiez merveille. Tu ne te serais jamais douté qu'il prendrait une place considérable dans ta vie, qu'il chercherait à atteindre ton coeur pour y trouver une place. Tu lui as laissé prendre possession de ton être entier, et tu es tombée amoureuse de lui, bêtement et simplement. Vos parents ont eu un jour l'idée de vous fiancés, mais l'idée ne vous a jamais plu. Vous étiez libres de cette façon. Les sentiments étaient bien présents, pas besoin d'un anneau à un doigt pour le prouver. Ton enfance et une partie de ton adolescence a été bercée par cette relation seine, douce, parfaite. Tu as été heureuse, comme jamais.
On parle de crise de l'adolescence assez souvent. Pour certaines personnes ce n'est que légendes, pour d'autres elle existe bien. Tu l'as vécu. Une sorte de pseudo rébellion à partir de tes 15ans. L'alcool et tout le reste. Les soirées interminables. A croire que le monde mondain ne te tentais plus du tout. Tu voulais du nouveau, quelque chose que tu n'avais jamais exploité. Il t'en a voulu, plus d'une fois. Te voir complément soûle à 23h ne lui faisait absolument pas plaisir. Il n'aimait pas cette personnalité, cette toi qui cherchait à s'évader d'une routine banale. Tu t'es vite calmée. Du jour au lendemain. Surtout après une cuite mémorable durant laquelle tu as frôlé le coma. Boire comme un trou a été ta spécialité pendant plusieurs années, jusqu'à tes 18 ans à vrai dire. Tu n'as jamais pensé aux conséquences de tes actes. Tu faisais le mur, le soir, pour aller aux soirées organisées par ses idiots avec qui tu allais en cours. Tu ne les as jamais trouvé intéressants et pourtant tu passais le plus clair de ton temps avec eux. Quelle logique.
Tu es tombée enceinte. A 18 ans, en même temps que ton entrée à Harvard ( ton père ayant des contacts avec les directeurs et ayant souhaité la meilleure école pour toi) . Enceinte par accident, certes. De qui? De l'homme que tu as toujours aimé. Un simple accident qui est devenu le déclencheur de pleins de choses. Finit les soirées, finit l'alcool à volonté. Il t'a passé la bague au doigt. C'était le moment. L'instant parfait pour celer votre union. On t'a souvent répété que si vous étiez fiancé c'était uniquement parce qu'il t'avait mise en cloque et qu'il voulait se rattrapé. Tu n'as jamais pensé comme eux, aveuglée par l'amour que tu ressentais à son égard. Peut-être que c'était le cas, peut-être qu'il cherchait juste à se rattraper, tu as néanmoins toujours porté ce regard amoureux sur lui et tu sentais le sien sur toi. Ton ventre s'est arrondi, ton amour pour ton fiancé aussi. Tu t'es responsabilisé. T'as pris un appart dans Cambridge, où tu passes le plus clair de ton temps avec l'accouchement. Celui que t'aimes t'as suivi aussi, veilles sur toi. Il y a eu l'accouchement en suite. Dans les mêmes conditions que pour celui de ta mère. Aucune idée du sexe, juste des prénoms en tête. Il s'est avéré que c'était un petit garçon. Vous l'avez prénommé Bradley. Tout se passé merveilleuse bien. Jusqu'au jour où la vie a prit la seule personne que tu n'ai jamais aimé. Un vulgaire accident de voiture qui t'as laissé un gout horrible d'inachevé dans la bouche. Mère célibataire, étudiante d'Harvard.
Le seul échappatoire que t'as trouvé, hormis de faire comme si tu étais une femme forte, a été la danse. La danse classique. Depuis 2ans, tu danses, dès que l'envie t'en prends, dès que le passé refait trop surface pour que tu ne flanches pas. Tu élèves ton fils, tu vas en cours et tu danses. Il parait que tu es douée, que tu fais passé une émotion dans le moindre de tes mouvements. Va savoir si c'est la vérité ou si ce sont juste des commentaires flatteurs pour que tu ne te vexes pas si on te dit que tu es nulle. Tu te fiches pas mal de l'avis des gens sur ta manière de bouger en danse. Tu ressens chaque mouvements, tu laisses parlé ton corps plutôt que de parler inutilement avec des mots tous ornés et parfaitement choisis. Tu ne mens pas quand tu danses, au contraire. Harvard, la danse, ton fils, toute ta vie.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon :
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) : Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●
Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.
deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa