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Shakespeare McGuiness fiche; terminée C'est le 01 janvier 1991 à Dublin, que la famille McGuiness m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Shakespeare. Je suis Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Bisexuel et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale Moyenne. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en Français (Majeure) , Anglais (Mineure) depuis maintenant Trois ans je travail comme Hote de Caisse. (Caissier quoi). Et pour terminer, je fais partie des Dunster House. |
Études Shakespeare étudie le français car c'est une langue qu'il apprécie tout particulièrement. Toute sa famille maternelle est française, et sachant qu'il n'a pas eut le plaisir de la connaitre, apprendre et parler le français, c'est un peu comme lui rendre hommage. Shakespeare est du genre à jurer en cette langue, parce que pour lui, c'est plus poétique. Ensuite, il étudie l'anglais car c'est la seule langue qu'il se sentait étudier en dehors du français. Et puis c'était un choix de facilité, sachant qu'il est anglais. Il aime beaucoup la littérature, vu qu'il passe la majorité de son temps à lire quand il ne chante pas, qu'il ne travaille pas ou quand il n'est pas en soirée. Il travaille aussi, dans une grande surface comme caissier...Enfin, hôte de caisse, pour pouvoir payer ses études et son appartement en centre ville. Ca ne lui plait qu'à moitié, mais il n'a pas vraiment le choix, puis il a une bonne relation avec ses colégues de travail donc ça passe. | Caractère Il est du genre à faire des blagues, tout le temps, dés qu'il le peut. C'est un peu sa façon à lui de briser la glace et de se mettre à l'aise avec les gens ou de tout simplement être lui même. Il a de grandes idées pour son avenir, c'est son côté ambitieux. Il veut devenir professeur de français pour les élèves du secondaire et ne changera pas d'idées. Surtout que son père lui a toujours fait comprendre que quand on a une envie, il faut tout faire pour la réaliser. Shakespeare est profondément gentil. Il lui arrive rarement de s'énerver, mais quand il le fait, il ne le fait pas à moitié. Il est gentil mais pas niais. Il sait que tout le monde a un mauvais fond, et il s'en méfie. Il est aussi cultivé et touche à tout. Il a tout essayé, la musique, le chant, le théâtre. C'est un fétard, il passe ses week-ends en soirée et ne dit jamais non à une bonne teuf, tout en veillant à travailler quand il sait qu'il doit le faire. Il passe beaucoup de temps à aider les autres bénévolement, comme les personnes agées ou handicapés dans la maison de retraite de son oncle. C'est un peu sa façon d'aider autrui. Il n'a peur de rien, et fait preuve d'un courage énorme. Shakespeare peut se montrer très sarcastique parfois, ou ironique. Il aime bien envoyer les gens chier en étant horriblement sarcastique, mais les gens peuvent penser qu'il les prends de haut alors que pas du tout. Il se méfie des gens, surtout depuis que sa mère est morte. Il n'a confiance en rien ni personne et si il se rapproche de quelqu'un, même si elle devient la personne la plus importante de sa vie, il continuera de se méfier d'elle. Il passe son temps à manger, ce qui en soi, n'est pas un défaut. Il aime le vent et la pluie, il n'aime pas sa buraliste même pas aimable qui fait toujours la gueule, Il aime le whisky et la bière irlandaise parce que ça lui rappelle son pays d'origine qui lui manque parfois, il n'aime pas se lever tôt ou être en retard, il aime l'odeur de l'alcool à bruler, de l'essence et des allumettes, il n'aime pas faire la vaisselle mais il n'a pas assez d'argent pour acheter un lave vaisselle, il aime dormir à la belle étoile, il n'aime pas les filles superficielles, il aime lire les mots écrits sur les murs des toilettes des bars, il n'aime pas les lundis matins, il aime la glace à la tarte tatin, il n'aime pas les enculés qui se garent sur les places handicapés parce qu'ils ont la flemme de chercher une place, il aime le bruit que fait son chat quand il éternue. |
Everyone Has Their Own Story
Je me rappelais tout ce qu’on avait vécu dans cette maison. Notre arrivée d’Irlande il y a dix ans, suite à la mutation de mon beau-père. J’avais dix ans et je m’étais fermement opposé à ce déménagement, jusqu’à même me cacher dans un placard pour retarder le retard. Je ne voulais pas quitter l’Irlande car c’était mon pays, ma vie était la bas. On partait tellement loin de tout ça, de mes amis, de mon école et de mes souvenirs d’enfants. Mais je n’avais pas le choix, j’étais trop jeune pour qu’on m’écoute en donnant une importance à mes paroles. J’avais fait chier ma mère tout le long de l’avion, tellement que j’avais passé le reste du voyage avec les hôtesses à manger de la salade sans sauce, radinerie de la compagnie aérienne. On est arrivé à Tallahassee après onze putain d’heure avions et sept salades dégueulasses et j’ai découvert cette maison que je détestais il y a encore quelques mois. Elle était blanche, avec un énorme jardin et une piscine dans le jardin arrière. Trois chambres, deux salles de bain. Je la détestais, tout comme je détestais ce pays. J’ai mis des mois à m’habituer à vivre ici. Je me faisais quelques amis, très peu. J’ai toujours été le type qu’on laissait de côté à l’école, tout simplement parce que j’étais tout le temps tout seul dans mon coin, à jouer avec des cailloux ou quand je suis devenu plus grand, à jouer avec ma guitare. J’attirais les filles, ce qui me plaisait, j’étais un peu la risée des garçons parce que je ne m’intéressai pas à la même chose qu’eux. Le foot et la weed-guitare, ce n’était pas à mélanger. A l’école, mes relations n’étaient pas au beau fixe, et à la maison, entre ma mère et mon père ce n’était pas mieux. Tellement catastrophique que ma mère partie avec un autre un beau matin. Je me souvenais quand j’avais appris que mon père avait tué ma mère… C’était le lendemain de Noël que j’avais passé chez mon oncle, la seule personne de ma famille que j’avais dans ce stupide pays. Mon père avait été absent la journée précédente, mais je n’y avais attention, la magie de noël voyez. La police était venue annoncer la mort de ma mère à mon père. Ce mec était vraiment le meilleur acteur du monde, vu qu’il avait feigne la tristesse en pleurant. Que c’était beau quand j’y repense. Jusqu’à ce qu’il passe comme principal suspect et que sa culpabilité soit avérée. L’image du père fort et protecteur ? Détruite. J’avais toujours aimé mon père, de tout mon être, même si ma famille était détruite, j’avais aimé mon père et il était mon modèle comme chaque père est le modèle de son fils. Là, je n’avais plus rien… sauf Ezra, ma sœur. Heureusement qu’elle est encore là d’ailleurs ma grande sœur. J’entendis toquer à nouveau, ce qui me fit sursauter. Ezra me fit remarquer qu’on devait y aller pour ne pas rater… ça. Je me levais, lui fit un sourire triste. On ne se parla pas de tout le chemin, en réalité, je pense qu’on n’avait rien à se dire. Lorsqu’on arriva devant la prison, elle se mit en face de moi et me dit d’une voix douce : " How many time ? – Seven minutes. It’s a lethal injection. – After that we will… go away from here. Massasuchets. You've been selected for Harvard, haven't you? – Yes, I have. – So, we will go away. New beginning. – Ezra? – Hm? – I love you sis. Never let me alone " Je lui souriais avant de pousser la porte de la prison.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - staa ↬ ÂGE - dix-neuf ans ↬ PAYS/RÉGIONS - nancy ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - sur prd :) ↬ TES IMPRESSIONS - J'adore absolument tout. Sauf la couleur du fond, mais ça va avec le reste alors c'est sublime :) ↬ CRÉDIT(S) - tumblr de lewis ↬ AVATAR - Lewis Watson ↬ SCÉNA' OU PI ? - Personnage inventé. ↬ LE MOT DE LA FIN - |
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