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BETH & JONA + BENJI
► BONNE NUIT, DORS BIEN… OU PAS
Ha oui! J'oubliais les présentations!
Ha oui! J'oubliais les présentations!
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Un mouvement et je tourne la clé pour éteindre le moteur. Étouffant un bâillement, je secoue légèrement l'épaule du brun appuyé sur moi. Il dormait déjà avant d'arriver en périphérie de Boston et j'ai pas trouvé nécessaire de le réveiller pour lui demander le chemin jusqu'à chez lui. J'irai le mener demain.
- Jona, l'interpellais-je. Réveilles-toi.
Je peux bien l'attraper et le grimper sur mes épaules, mais je suis pas certain que l'expérience lui serait des plus agréable. Et y'a sa valise et mon sac à monter alors ça serait pas trop mal qu'il tienne un minimum sur ses jambes. Pendant qu'il ouvre les yeux, je sors de la carlingue et m'étire à m'en faire craquer les articulations. Ouais, ça parait autant d'heure dans l'habitacle. Même si on a effectué le retour avec quelques arrêts, contrairement à mon allée. Je n'avais pas d'horaire à respecter. Je préfère nettement ça. Mais même là, et malgré qu'on se soit arrêté dans un motel pour dormir à mi-chemin, je commence à avoir hâte de retrouver mon lit. Déplier les pattes un peu. Il est confo le camion, mais faut pas en demander trop.
Mon sac de sport en bandoulière, la valise de Jona dans une main et l'autre guidant le brun, je l'entraîne en dehors de l'ascenseur et jusqu'à la porte de l'appart.
- Pas de bruits, ma coloc risque de dormir, avisais-je en murmurant.
Il fait nuit noire dehors. Si elle est arrivée à s'endormir sans faire de cauchemars, autant qu'elle en profite! Je referme délicatement la porte derrière nous et, la main à nouveau dans le dos du brun, je lui fais traverser l'aire ouverte seulement éclairée par les lumières de la ville de l'autre côtés des baies vitrées. Porte à droite, ma chambre. Cependant je ne peux m'empêcher un regard vers celle de Beth pour voir si ma blondinette y est, et si possible paisiblement en train de se reposer. Déposant les bagages, je fouille pour trouver un pantalon de jogging à me mettre pour dormir.
- T'as besoin de quelque chose? demandais-je faiblement à Jona.
Sinon, y'a pas à se casser la tête, il fait comme chez lui. Ou comme à Miami. Parce que, de toute façon, je sais qu'il se gênera pas. Alors une fois, changé, je m'installe dans mon lit, sous les couvertures avec lui. Dos à la porte que j'ai laissé entrebâillée.
- Jona, l'interpellais-je. Réveilles-toi.
Je peux bien l'attraper et le grimper sur mes épaules, mais je suis pas certain que l'expérience lui serait des plus agréable. Et y'a sa valise et mon sac à monter alors ça serait pas trop mal qu'il tienne un minimum sur ses jambes. Pendant qu'il ouvre les yeux, je sors de la carlingue et m'étire à m'en faire craquer les articulations. Ouais, ça parait autant d'heure dans l'habitacle. Même si on a effectué le retour avec quelques arrêts, contrairement à mon allée. Je n'avais pas d'horaire à respecter. Je préfère nettement ça. Mais même là, et malgré qu'on se soit arrêté dans un motel pour dormir à mi-chemin, je commence à avoir hâte de retrouver mon lit. Déplier les pattes un peu. Il est confo le camion, mais faut pas en demander trop.
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Mon sac de sport en bandoulière, la valise de Jona dans une main et l'autre guidant le brun, je l'entraîne en dehors de l'ascenseur et jusqu'à la porte de l'appart.
- Pas de bruits, ma coloc risque de dormir, avisais-je en murmurant.
Il fait nuit noire dehors. Si elle est arrivée à s'endormir sans faire de cauchemars, autant qu'elle en profite! Je referme délicatement la porte derrière nous et, la main à nouveau dans le dos du brun, je lui fais traverser l'aire ouverte seulement éclairée par les lumières de la ville de l'autre côtés des baies vitrées. Porte à droite, ma chambre. Cependant je ne peux m'empêcher un regard vers celle de Beth pour voir si ma blondinette y est, et si possible paisiblement en train de se reposer. Déposant les bagages, je fouille pour trouver un pantalon de jogging à me mettre pour dormir.
- T'as besoin de quelque chose? demandais-je faiblement à Jona.
Sinon, y'a pas à se casser la tête, il fait comme chez lui. Ou comme à Miami. Parce que, de toute façon, je sais qu'il se gênera pas. Alors une fois, changé, je m'installe dans mon lit, sous les couvertures avec lui. Dos à la porte que j'ai laissé entrebâillée.
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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
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(Invité)