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sometimes, you just have to smile ( kaya )

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Il voyait le ciel s’assombrir pour s’éclaircir. Le vent ravageait la ville, les arbres sont tombés, les feuilles se rejoignent dans un tourbillon. L’automne est bel et bien arrivé à Boston, le vent prenant un malin plaisir à la fouetter avec une force inconnu pour la plupart des personnes présentes. Il se dirigea vers la MH, pas vraiment concerné par la tempête qui a mis le feu à trois confréries différents. Le plan qu’ils avaient monté avec Ashleigh pour prendre les dossiers des Eliot était partis en fumé, littéralement, avec la tempête. Mais bon, ce sera pour une prochaine fois. Prenant son vélo dans le garage, il alla se prendre un starbuck non loin, et retrouva Kaya devant la maison des Lowell partie en fumée. La rousse avait du reprendre son appareil pour respirer. Elle toussait à la moindre occasion, était plus faible que d’habitude. Il se sentait mal pour elle, mais en même temps, il tentait de garder un air détaché. Il ne voulait pas montrer que ça l’inquiétait de la voir dans cet état. Il revoyait sa mère après son cancer des poumons. Il la revoyait dans son lit, faible et respirant avec difficulté. « Salut Kaya. » dit-il en la voyant devant la maison de sa confrérie à présent brûlé. Il lui donna sa boisson, un léger sourire sur les lèvres. La dynamique entre eux avait changé. Avant, il voulait juste s’amuser avec elle, la faire craquer, la séduire pour mieux la manipuler. Mais depuis l’incendie, il se prenait à son propre jeu, il voyait la faiblesse dans son corps dû à sa maladie et ça le rendait malade. Malade car il a déjà vécu ça, il a déjà eut à aider une personne dans cet état et il ne sait pas s’il peut continuer à le supporter. Mais, s’éloigner était tout autant difficile. Il est une personne pleine de contradiction, pleine de non dit. Il n’est pas bon, il n’est pas mauvais, mais c’est bon côté sont souvent des défauts minimes. « Ça va mieux ? » Il l’avait vu la veille, et la sur veille. En gros, depuis que sa confrérie avait brûlé, il l’avait vu un peu tous les jours. Parfois en coup de vent, parfois un peu plus longtemps. Essayant de ne pas trop montrer qu’il s’inquiète, il reste à une distance raisonnable, pas trop proche, pas trop loin. Assez pour veiller sur elle mais en ne montrant rien. Son bonnet sur son crâne, ayant coupé ses cheveux récemment, il le remit bien en place, le vent s’amusant à le retirer petit à petit. « Bon, petite présidente, tu veux faire quoi aujourd’hui ? Je suppose que le sport est interdit mais le centre commercial n’est pas interdit à ce que je sache. » Il voulait lui faire plaisir pour une fois, faire quelque chose qui lui remonte le moral.

@Kaya Weasley
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Parfois, j'avais du mal à comprendre l'injustice de la vie. Debout devant les résidus de centre où logeait autrefois la maison que j'avais habitude de présider j'me sentais prise d'un élan de nostalgie. Comment ne pas l'être ? Tout était partit en fumée ce soir là. La lowell house ainsi que ma santé déjà considérablement amochée. Et j'étais plus vraiment certaine de réussir à tenir le coup à ce rythme là. Psyhcologiquement, j'étais faible. J'assumais l'être du moins. Un caractère pas très marqué, une tendance à s'effacer devant les autres et surtout un très gros problème de confiance en moi. Les circonstances ne m'aidaient pas. Si j'avais toujours mis un point d'honneur à surjouer la fille qui accepte son sort, ça devenait compliqué quand le destin semblait prendre un malin plaisir à s'acharner. Ma main avait finalement lâché prise sur la bonbonne d'oxygène que j'étais obligée de me trimballer depuis l'incendie. Bonbonne d'oxygène que j'haïssais par dessus tout. Parce qu'elle trahissait ma condition. J'avais jamais voulu avoir l'image de la fille malade, j'voulais pas être plainte ou regardé différement suite à ce que je pouvais me trimballer et maintenant, c'était comme si un panneau en lettre lumineuse clignotait au dessus de mon front. Le genre de panneau alertant tout le monde par un slogan douteux du genre "Hé, regardez, j'suis même plus capable de respirer par moi même." Je détestais ça. Je me détestais d'en être réduite à ça et j'avais du mal à accepter de devoir vivre de cette façon là. « Salut Kaya. » Amare. J'savais plus vraiment pourquoi mais nos rencontres étaient presques devenues une routine depuis quelques temps. Avec un léger sourire, je prenais la boisson qu'il me tendait la portant alors à mes lèvres. C'était douloureux de contempler un tel spectacle et de se sentir si impuissant face à ça. J'étais impuissante et frustrée de l'être. « Ça va mieux ? » Tout dépend de quoi tu parles. De ma vie en générale ? De mon état d'esprit ? De ce que je veux laisser paraître ou bien alors de la triste vérité ? Ca va. Réponse machinale. Presque robotique à ce point là. Mais il est pas dupe Amare, j'sais pas pourquoi mais j'sais qu'il voit quand je lui ment, quand je cherche à cacher ce que je ressent. « Bon, petite présidente, tu veux faire quoi aujourd’hui ? Je suppose que le sport est interdit mais le centre commercial n’est pas interdit à ce que je sache. » J'me décide enfin à détourner le regard pour le poser sur lui. Peut être que je devrais arrêter de faire ça. De me torturer à venir ici jour après jour. Puis quand je le fais, j'interdis à Nicholas de se joindre à moi. Je l'interdis à tout le monde sauf à lui sans trop savoir pourquoi. Va pour le centre commercial alors. J'aurais encore l'air de la bête de cirque supportant les regards des clients, ayant droit à la mine désolée des vendeuses et aux regards curieux des enfants. Paraît qu'ils ont déjà commencés à décorer les vitrines. Et peut être que l'esprit de Noël commençant à se faire sentir pourrait m'aider à m'échapper un peu du reste. De la réalité, de la vie elle même.
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Amare n’est pas un monstre. Il n’est pas un mec sans coeur qui se sert trop souvent des autres sans rien en retour. Il se sert d’eux, certainement, prend ce qu’il veut et part. Mais il fait en sorte de ne jamais les briser jusqu’à la moelle. Il prend un peu, s’amuse, et puis repart sans que la personne ne remarque les damages trop tôt. Non, détruire quelqu’un, c’est pas son kiff. Il préfère largement les rendre un peu fou avant de partir, mais les laisser entier, encore sur leur deux pieds. Il aime rendre les gens dépendant un peu de lui, mais juste assez pour qu’ils croient en lui, avant de partir. Il faut de la confiance pour s’ouvrir aux autres. Parfois il se fait prendre à son propre jeu et fait confiance à celui ou celle qu’il a prit en grippe, parfois non. Avec la jeune Lowell, c’était encore entre deux. Il aime bien passé du temps avec elle, il prend soin d’elle, mais n’a pas encore confiance en elle. En tous cas, il l’apprécie assez pour veiller sur elle depuis que sa maison a pris feu suite à la tempête. Sa bouteille d’oxygène avec elle, sa toux rauque et difficile, elle fait peine à voir, faisant remonter à la surface des souvenirs qu’Amare n’aime pas ressasser. Mais il supporte parce que Kaya n’a rien demandé à personne, comme sa mère. Il lui propose un peu de sortir de leur petit quotidien trop déprimant ces temps dernier. « Très bien jeune fille. Je te préviens, je deviens un peu fou dans les rayons de Noël. Ça me rappelle une bonne époque. » Il aime bien la période de fin d’année. Entre Halloween et Noël, son coeur balance. Et bien qu’il n’allait pas fêter Halloween cette année, il allait se rattraper sur Noël. « Oui, j’ai vu ça sur Instagram. D’ailleurs, je vais sans doute voir ma tête en grand sur les panneaux publicitaires. » Il prit les clés de sa voiture qu'il avait garé pas très loin après avoir déposé son vélo à la MH, ouvrit les portes, et aida Kaya à faire entrer sa bonbonne d’oxygène à l’intérieur. « Je te conseille de te préparer à voir une perfection en portrait géant si j’étais toi. » dit-il en riant doucement. Il prit le volant une fois qu’elle fut correctement installé et se dirigea vers le centre commercial du campus. Ce n’était pas loin, mais il fallait qu’elle évite les efforts physiques à son avis. Alors bon, un peu d’essence en moins n’allait certainement le tuer. Ils arrivèrent en moins de dix minutes et il l'aida à sortir de l'habitacle, comme au départ. « Profite princesse. C’est ta journée. » Oh god, il allait devoir prendre sur lui aujourd'hui.
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Ou alors c'était juste trop présomptueux d'espérer quelque chose comme ça. Après tout, s'évader de sa propre vie n'avait jamais été une mince affaire et si parfois je tentais de laisser mon esprit vagabonder au loin, la réalité finissait toujours par me rattraper. Et bordel ce qu'elle était violente la réalité. J'me surprenais à envier les gens dans la rue. Ceux qui parassait insouciant et heureux. J'me surprenais à détester ceux qui se plaignait pour pas grand chose. Qui criait que la vie était pourri seulement quand il n'avait pas pu obtenir le dernier rouge à lèvre de la collection Kylie Jenner. J'trouvais ça injuste parce quelque part, moi aussi j'aurais voulu pouvoir me plaindre de chose aussi minime. Fallait croire que l'égalité des chances n'existaient vraiment pas. « Très bien jeune fille. Je te préviens, je deviens un peu fou dans les rayons de Noël. Ça me rappelle une bonne époque. » Tant mieux. J'espérais que ta bonne humeur puisse être contagieuse. Au fond, j'demandais juste à rire et faire preuve d'un peu d'insouciance pour une fois. Parce que ça me bouffait d'être dans cet état et je détestais être malheureuse comme ça. « Oui, j’ai vu ça sur Instagram. D’ailleurs, je vais sans doute voir ma tête en grand sur les panneaux publicitaires. » Euh.. Quoi ? J'arquais un sourcil intriguée attendant la suite qui ne venait pas. « Je te conseille de te préparer à voir une perfection en portrait géant si j’étais toi. » Non mais moi je voulais l'explication. Je voulais savoir pourquoi est ce qu'il serait sur les panneaux publicitaires. Tu m'expliques ? Me laisse pas sur ma faim comme ça. T'es quoi ? Une superstar des caleçons ou que sais-je d'autre ? J'finissais par hausser les épaules le suivant jusqu'à sa voiture où il m'aidait à monter à bord. J'avais typiquement l'air d'une handicapée et je haïssais le sentiment. C'était exactement la même chose pour en sortir d'ailleurs et j'poussais un soupir de frustration prouvant mon état d'esprit. « Profite princesse. C’est ta journée. » Ouais, ma journée c'est vite dit. Mais j'apprécie que tu sois là. Que tu prennes soins de moi. Que t'en fasses une mission de me changer les idées. Vraiment, j'apprécie. Je suis désolée si ça s'voit pas. T'en fais pas, je vais pas te traîner dans les magasins de maquillage. C'était le genre de Millie ça, pas le mien. J'étais beaucoup plus soft et pas tellement axée sur la mode. Si tu préfères on peut juste se prendre un truc à manger à un stand. Genre des crêpes ou quelque chose comme ça. Moi ça m'allait très bien, j'avais jamais été du genre à chipoter alors tout ce qu'il pouvait proposer m'irait très bien au final. T'as déjà commencer à acheter les cadeaux ? Parce que ça c'était une plaie aussi. Trouver ce qui conviendrait parfaitement aux autres. Ne pas se tromper. Ouais c'était la merde.
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Aller se promener avec Kaya n’était pas une mauvaise idée. Elle lui prodiguait bon nombre d’informations qu’il met en oeuvre pour ses propres petites affaires, elle est agréable à regarder quand elle ne tousse pas comme une malade - ce qu’elle est - et elle est assez gentille. Bref, il se plaint pas. Au début, il ne lui parlait que pour être dans ses bonnes grâces au cas-où il aurait eu besoin d’elle, car qui n’a pas besoin d’avoir de bonnes relations. Mais plus le temps passait, plus il prenait plaisir à être avec elle. L’arroseur arrosé, même s’il ne perdait pas en vue ses objectifs, parfois douteux. Mais bon, il est là, à côté d’elle, devant la maison de sa confrérie qui a complètement brûlé, deux cafés à la main, et la promesse d’une belle journée. En plus, Noël approchait et les décorations, l’univers, l’ambiance de Noël, ramenait Amare à une époque bénie où tout allait bien, où la vie est belle, où sa mère était encore de ce monde, souriant, accrochant les décorations sur le sapin dans leur petit salon. C’est sans doute la seule période de l’année où Amare peut sourire sans raison apparente et être d’une humeur plus ou moins joviale. « Je suis mannequin. Ouais, on aurait vraiment pas dit. Mais ça paye les études, le loyer et la bouffe. » dit-il en entrant ans la voiture. Il roula pendant quelques minutes sur les routes du campus. Une institution aussi grande qu’Harvard se devait d’avoir son propre centre commercial. Évidemment. Les deux jeunes gens restèrent assez calme dans l’habitacle. En même temps, Kaya se trimballe avec une bouteille d’oxygène, difficile de parler tranquillement sans le bruit que ça fait quand elle respire. Ils arrivèrent tranquillement, et il l’aida à sortir. « J’espère bien. J’en vois assez en shooting pour en plus en voir en période de repos. » Kaya n’était pas de ce genre, cela se voyait. Sa beauté naturelle transparaissait naturellement, sans artifices ni tricheries. « On va définitivement manger. J’ai la dalle. Starbuck ou Donut’s ? » Ils commencèrent à se balader un peu dans les couloirs du centre. Les gens regardaient Kaya mais il s’en fiche Amare, il est avec une amie. Une amie ? Est-ce réellement le statut de Kaya ou un moyen simple pour lui de la cataloguer ? Bref, ils marchent et il entre dans l’enseigne qu’ils ont choisis. « Hum, pas encore. J’en ai pas énormément à acheter en même temps. Des fleurs pour ma mère, un cadeau pour mon frère, un pour Romy, Ory et peut-être Ash. Lucky aussi peut-être. Et puis c’est tout. Et toi ? » Kaya avait l’air très proche de sa famille, alors il ne serait pas surpris qu’elle ait déjà tout préparé et cacher dans sa chambre ou son appart ou peut importe l’endroit où elle vit. « De toute façon, ce sera à la dernière minute. Je suis nul pour ça. » Ils prirent leur commande et ressortit de l’enseigne. Trop de regard à l’intérieur. En sortant, il vit son visage, placarder sur un mur entier. « Ah tiens, me voilà dans ma plus grande splendeur. » dit-il à la Lowell. « Beau gosse hein ? »
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J'adorais offrir des choses aux autres. Je pense que si j'avais été riche, si j'avais eu le droit à un compte en banque illimité, j'aurais sûrement passé pas mal d'argent dans des présents pour mes proches. Parce qu'il n'y avait rien de mieux que de voir l'illumination sur le visage des gens aimés quand on leur offrait quelque chose de plaisant. Mais malheureusement, je n'avais pas ce budget là et dernièrement, j'étais loin d'être la fille positive que j'étais par habitude. Au final, le sort était loin d'être de mon côté et le destin ne cessait de foutre des embûches sur mon chemin visant à me rappeler que j'avais pas le droit d'oublier ma condition. J'trouvais ça sadique au fond. Ne pas avoir le droit au bonheur comme ça. Se ramasser gamelle sur gamelle sans jamais voir d'issu au bout. J'crois qu'au final, ça commençait à se ressentir. Ma peine et mes problèmes. J'étais plus vraiment rayonnante et c'était souvent qu'on me le faisait remarquer. Mais comment pourrais-je l'être au fond ? Tout était trop douloureux dans mon cas. J'arrivais plus à voir le positif des situations et je me laissais couler doucement. « Je suis mannequin. Ouais, on aurait vraiment pas dit. Mais ça paye les études, le loyer et la bouffe. » J'arquais un sourcil esquissant un sourire amusée. Arrête, t'es plutôt beau garçon. Qui pourrait dire le contraire de toute façon ? Bien sûr que je m'y étais pas attendu mais au final, il avait le profil pour. C'était pas si étonnant. « J’espère bien. J’en vois assez en shooting pour en plus en voir en période de repos. » Pas faux. Mais au moins, il pèterait pas les plombs puisque je ne m'amuserait pas à le traîner dans toutes les grandes enseignes en me servant de lui comme testeur de couleurs. Tu préfères que je te traîne dans ceux de lingerie ? Et même là, c'était pas mon truc. Déjà, j'avais bien trop honte pour entrer dans ce genre de magasin toute seule et.. Ouais bon, j'étais définitivement une coincée qui préférait acheter des petites culottes licornes que de la fine dentelle sexy. « On va définitivement manger. J’ai la dalle. Starbuck ou Donut’s ? » Whut ? La question s'pose même pas en fait. Starbuck, tu crois quoi. Je le suivais dans l'enseigne attendant mon tour pour passer commande. Caramel macchiato comme d'habitude et un muffin aux fruits rouges pour accompagner le tout. « Hum, pas encore. J’en ai pas énormément à acheter en même temps. Des fleurs pour ma mère, un cadeau pour mon frère, un pour Romy, Ory et peut-être Ash. Lucky aussi peut-être. Et puis c’est tout. Et toi ? » J'haussais les épaules réfléchissant à la liste de gens à qui je devais offrir des trucs. Mes parents pour commencer, so obvious. Puis mes soeurs aussi, Millie et Margot. Sans oublier Nicholas ainsi qu'Asia, Sacha, Anya, Isahia, Meleya, Lincoln et.. Gosh, fallait clairement que je commence à faire mes emplettes maintenant si j'voulais tout avoir. J'crois que je vais profiter d'aujourd'hui pour commencer à faire tout ça.. J'sais déjà ce que je te prends à toi. Parce que je veux te remercier tu vois. D'être là, de me changer les idées. Tu t'rends pas compte d bien que ça me fait. Nos commandes en main, on sortait finalement du café et j'suivais son regard quand il prenait la parole. « Ah tiens, me voilà dans ma plus grande splendeur. » J'regardais l'affiche quelques instants sans rien dire et il reprenait. « Beau gosse hein ? » Tranquille les chevilles ? J'pouvais pas m'empêcher de rire légèrement secouant mes boucles rousses. J'ai la classe quand même, faire les magasins avec une star c'est pas donné à tout le monde. Ouais allez, je t'envoie un peu de fleur au passage.
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Sans même s’en rendre compte, il s’attache. Enfin, c’est un grand mot. Il se prend d’affection, protège en quelque sorte, mais garde une distance. Kaya est ce genre de personne envers qui sa relation normalement manipulatrice et juste par intérêt, est devenue un peu plus protectrice. Et aussi parce que sa maladie, cette maladie qu’elle porte en elle depuis sa naissance, lui rappelle le cancer de sa mère. Surtout depuis que la petite rousse avait sa bouteille d’oxygène qu’elle traînait derrière elle depuis les incendies. « Oui, je sais que je suis beau, bien pour ça que je fais ce métier. Mais vu mon caractère … quoi que non, je sais trop que je suis beau gosse, ça me va parfaitement. » La modestie ne lui allait pas au teint alors pourquoi prétendre. Pourquoi prétendre être ce que l’on est pas. Amare voyait souvent des personnes de son entourage se forcer à être une personne pour un être aimé, la famille, les amis. Il n’avait pas cette pression lui, et ne la donnait à personne. Sa famille se résumait à Sabian, Milo peut-être, et son connard de père qu’il ne voyait en rien comme son père. Ses amis, Romy, Orysia, Cece, Ash. Que des filles qu’il aime dans leur différence et leur singularité. Quand à l’être aimé, il n’y a eut que Romy et jamais ils ne se sont demandé de changer pour l’autre. Il ria un peu avec Kaya, assez amusé par la situation. « Tu serais étonné. J’ai de très bon goûts en matière de lingerie. » répondit-il du tac au tac. Il aimait bien la mettre un peu mal-à-l’aise. Elle est trop fragile, trop fleur bleu pour qu’un peu de honte ne lui aille pas au teint. Une bonne honte, pas celle qui vous donne envie de vous cacher sous une table. Il fallait qu’elle se bouge, car elle a un grand potentiel, il faut juste l’exploiter. Donnant le choix à la présidente des violets du lieu de déjeuner, il prit les devants et entra dans l’enseigne fameuse partout dans le monde. Mocha blanc pour lui avec double dose d’expresso et une salade de fruit. Ouais, il essaye de garder un peu de health dans son régime alimentaire. Difficile pour lui qui adore un bon DoMac. Ils parlèrent Noël, la fête préféré d’Amare. Étrange qu’il parle de ça avec Kaya, mais ça semblait naturel et normal, comme deux amis qui discutent tranquillement autours d’un café, ce qui est le cas présentement. Ça le troublait la manière dont leur relation a changé de manipulation déguisé à un début d’amitié inattendu. Après tout, ils sont le contraire de l’autre, littéralement. « Je vais t’aider parce que t’as l’air complètement perdu ma pauvre. » qu’il lui dit avec un léger sourire en la voyant ouvrir ses yeux grands comme des soucoupes. « Oh, j’aurais un cadeau ? » Il était étonné et un peu ennuyé parce que du coup, il devra lui offrir un cadeau aussi. Mais ce n’est pas grave, le geste était doux, ce qui n’était pas vraiment le genre du jeune homme, mais il accepte. Sortant du Starbuck, il vit sa belle gueule magnifiquement affiché sur un pan de mur et commenta bien entendu la situation. « Une star ? Ouais, appelle moi magnificence maintenant. » Haussant le menton, il but son café comme une personne de la haute. « Non sérieux, dit toi que le mannequinat n’a rien de glamour une fois qu’on y est. C’est surtout énormément de hasards et de photos à la chaîne. » Buvant doucement son café, il finit sa salade pourtant en moins de deux. « Tu veux qu’on aille s’asseoir pour que tu puisses manger tranquillement ? » Ça ne devait pas être facile de jongler entre le café, le muffin et sa bouteille d’oxygène. Il vit quelques tables vides pas loin et alla vers elle, Kaya a ses côtés. « Alors, dit moi, à qui à part moi et ma magnificence, tu veux offrir des cadeaux cette année ? »
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Après tout, ça ne fais de mal à personne. Je peux bien t'envoyer un peu de compliment et quelque part, ça prouve l'affection que j'ai pour toi. Elles sont bien loin mes résolutions, j'ai l'impression que tout a été chamboulé en peu de temps. J'avais ma famille sur qui je pouvais compter et je refusais les attaches avec le monde extérieur pour me préserver et éviter les dégâts de ma disparation et paf, j'me retrouvais à m'attacher à un tas de personne sans réussir à mettre une distance convenable. J'avais arrêté de me battre, j'avais arrêté de repousser tout le monde puisqu'il était évident que ça ne marchait pas le moins du monde. Quelque part, j'avais peur de tout ce que ça pouvait engendrer. De la peine que j'allais faire ressentir aux autres. Surtout à Nicholas. Oh, tomber amoureuse était un sentiment délicieux mais je ne voulais pas pour autant lui infliger tout ça. Mais j'étais supposée faire quoi maintenant ? J'avais aucune solution. Et si je m'étais bercée d'illusions les premiers mois préférant vivre dans mon conte de fée, la réalité avait finit par me rattraper avec une sauvagerie extrême. Voilà ce que j'étais. Une fille malade sans perspective d'avenir. J'sais pas ce que j'avais pu espérer, au fond, j'avais toujours su que je ne pourrais pas vivre au même rythme que les autres. C'est la vie qui est comme ça. Injuste la plupart du temps, ne donnant pas l'égalité des chances à chacun. « Oui, je sais que je suis beau, bien pour ça que je fais ce métier. Mais vu mon caractère … quoi que non, je sais trop que je suis beau gosse, ça me va parfaitement. » Je souris une nouvelle fois. Ce que j'aime avec toi, c'est la simplicité de nos échanges. Y a rien de surfait, rien de surjouée. C'est la simplicité à l'état pur et au fond, ça fais du bien de pouvoir se contenter des choses simple de la vie. Parler de chose anodine autour d'un café et ne se préoccuper de rien d'autre que la couleur du vernis qu'on pourra assortir à la robe prévu pour fêter la nouvelle année. « Tu serais étonné. J’ai de très bon goûts en matière de lingerie. » J'ai le visage qui vire au rouge, j'en suis certaine. Probablement qu'il se rapproche dangereusement de la couleur de mes cheveux et quelque part, c'est flippant. J'bredouille, baisse les yeux, tourne maladroitement une mèche de mes cheveux autour de mes doigts avant d'inspirer profondément. Mon truc c'est les combis licorne pour dormir, tu devrais te douter que la lingerie c'est le dernier de mes soucis. Puis je suis du genre à privilégier les petites culottes à motif drôle, imprimé pokémon et ce genre de connerie. Niveau sexy on pouvait clairement repasser. « Je vais t’aider parce que t’as l’air complètement perdu ma pauvre. » J'le gratifie d'un nouveau sourire m'arrêtant quelques secondes fatiguée de traîner cette bouteille avec moi. Je suis la nana la plus paumée de tout les temps, t'imagines même pas. J'préfère en rire et faire preuve d'auto dérision. C'est plus simple comme ça et puis je sais que ça me donne un côté sympa. De toute façon, j'ai jamais caché être une nana nature. J'dis les choses comme elles viennent quitte à faire preuve d'un peu trop de maladresse. « Oh, j’aurais un cadeau ? » T'as l'air surpris sans que je ne sache trop pourquoi. Quelque part, ça me semble logique en fait. J'sais pas, c'est ma façon d'agir en fait. J'tiens à te remercier pour tout ce que tu fais pour moi. T'es là, t'es présent et je m'habitue à ta présence un peu plus à chaque fois. Puis je sais pas, j'aime bien cette façon que t'as de te mettre à côté de moi sans jamais poser le moindre regard de pitié envers ma personne. T'imagines pas le bien que ça me fait quand j'ai un peu trop la sensation d'être un monstre de foire. « Une star ? Ouais, appelle moi magnificence maintenant. » Vraiment ? J'hésite quelques instants et clairement, j'aurais été dans un meilleur état que j'aurais probablement tenté la révérence pour pousser l'humour un peu plus loin. « Non sérieux, dit toi que le mannequinat n’a rien de glamour une fois qu’on y est. C’est surtout énormément de hasards et de photos à la chaîne. » Ouais mais c'est sympa. Je suis beaucoup trop timide pour ce genre de vocation et j'assumerais certainement pas de voir ma tête placardée un peu partout mais malgré tout, j'admire ce monde de paillette qui me fascine peut être un peu trop par moment. J'trouve ça impressionnant, j'aurais sûrement l'air hideuse à ta place. C'est le manque de confiance qui parle probablement mais je reste convaincue que je ferais un piètre modèle. Pas de prestance et banale à souhait. Certainement pas l'étoffe d'une mannequin. Loin de là même. « Tu veux qu’on aille s’asseoir pour que tu puisses manger tranquillement ? » MON DIEU. J'crois que ça pourrait limite me sauver la vie. Toi, tu sais comment me parler. Je plaisante le suivant jusqu'à une table de libre m'autorisant finalement à pousser un soupir une fois installée. Clairement, je me sentais mieux et j'en profitais pour porter mon café à mes lèvres me délectant de la chaleur envahissant ma gorge. « Alors, dit moi, à qui à part moi et ma magnificence, tu veux offrir des cadeaux cette année ? » Toujours plus. Je repose le gobelet sur la table plongeant mes yeux vert dans les siens avec un petit sourire. Mes parents pour commencer. Célestine et Meleya mes cousines, ma petite soeur ainsi que ma jumelle. Ca, c'est pour tout ce qui est familiale. Après y avait tout le à côté. Nicholas, mon copain. Asia et Lincoln forcément. Tyler et Isaiha. Et.. Bon ok, je citais peut être un peu trop de prénom pour la peine. T'as le droit de me dire que je parle trop que je concluais finalement. Un vrai moulin à parole quand je commençais.
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« Les combinaisons licornes ? Sérieux. C’est tout mignon ça. » dit-il en riant. Kaya n’est en rien comme on peut l’imaginer. Avec son beau sourire et ses longs cheveux roux, on pourrait penser qu’elle aime être coquette en toute occasion, mais quand on apprend à la connaître, on se rend compte qu’elle est aussi jeune qu’elle en a l’air, qu’elle est innocente et naïve. Si naïve qu’elle a réussi à se lier d’amitié avec un mec comme Amare qui n’est pas du genre que l’on fréquente lorsque l’on est innocente et naïve. Il offre pourtant son aide à la lowell, lui proposant de l’aider pour sa chasse aux cadeaux qu’elle semble ne même pas avoir encore envisager. « Oh, j’imagine très bien, crois moi. » Depuis le peu de temps qu’ils se connaissent, Amare avait déjà remarqué que la jeune femme faisait preuve d’une maladresse défiant l’imagination, que sa naïveté était impossible à juste imaginer et qu’elle est aussi pure qu’une colombe. Rougissant au moindre compliment, tombant à la moindre marche, et croyant tous les petits mensonges qu’il a pu lui dire. Pourtant, malgré la fausseté du jeune homme au début, il s’est petit à petit ouvert à elle, la laissant entrer dans un cercle fermé qu’il pensait ne jamais Noël. Lui donnant droit à un cadeau de Noël de la part de la jeune femme, le forçant donc à lui en offrir un de même. Fallait savoir être réciproque dans la vie. « C’est mignon, Kaya. » Ça l’était. Réellement. Tellement qu’il a failli vomir son déjeuner. En sortant de l’enseigne, il vit son magnifique visage affiché sur le mur d’en face et il se fit un plaisir de gracier Kaya de sa beauté. Ils finirent par discuter de la difficulté d’être un mannequin, ce qui peut l’être lorsque l’on se fait photographier un million de fois pour avoir la photo parfaite. « Mais non. Tiens, je pense avoir trouvé ton cadeau de Noël tiens. » Il allait tout faire pour que la jeune femme regagne un peu de confiance en lui offrant une séance photo digne des plus grandes avec un très bon photographe et ami depuis le début de sa carrière il y a trois ans. Il lui proposa alors d’aller s’asseoir, elle semblait épuisée et embarrassé avec le peu de chose qu’elle avait. « Je pense aussi chère amie. » Il lui demanda alors sa liste de personne à gâter cette année. Une longue liste pour une fille aussi petite et timide d’ailleurs. Il fut étonné d’apprendre qu’elle était en couple d’ailleurs. Avec un certain Nicholas. Ce nom ne lui disait absolument rien. Aucuns de ceux qu’elle nommait ne lui disait quelque chose d’ailleurs. Elle essaya de calmer le jeu sur sa diarrhée verbale, mais il est habitué depuis le temps. « Crois moi, si je devais te dire de te taire, tu l’aurais entendu. » dit-il en prenant une gorgée de son café. « Gosh, c’est trop bon le café. Bon, mange qu’on puisse aller gâter les privilégiés qui partagent notre vie. » Noël le rendait fébrile et heureux. Rare pour un mec qui peine à sourire et qui n’hésite pas à rester seul juste pour ne pas avoir affaire avec des personnes. « Et tu peux continuer à parler. Je ne suis pas une personne qui parle beaucoup comme tu peux le constater. » Il préfère le silence et le calme, mais Kaya a besoin de vivre un peu alors il allait faire un effort.
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C'est ça, moque toi. En même temps, il en avait tout les droits. Le mec faisait des photos exposés dans le centre commercial comme un mannequin et moi je me trimballais en combinaison licorne. N'importe qui avait le droit de rire d'un truc pareil puisque de toute évidence c'était totalement risible. J'crois que j'aurais pu me foutre moi même de ma propre personne à ce rythme là. Mais j'y pouvais quoi si j'étais une grande gamine ? Pas grand chose et au fond, j'aimais avoir ce rôle là. J'préférais me complaire dans les trucs un peu loufoque plutôt qu'avoir la réputation de la nana couchant avec tout le monde et s'exhibant à la moindre occasion. Parce qu'honnêtement c'était plus où moins l'image de la femme de notre génération et non, j'avais pas envie de faire partie de ce lot là. C'est vrai ? J'peux avoir un indice ? J'étais intriguée moi dès qu'il s'agissait de cadeau. Et oui, j'étais totalement le genre à fouiller la maison de mes parents de fond en comble pour trouver les présents. Certes, ça cassait le principe de la surprise mais la curiosité était ma plus fidèle amie et j'étais incapable de résister à la tentation. Enfin installés confortablement à table, sans ma bouteille à traîner et donc bien plus libre je me mettais à déchaîner mon flot de parole quitte à le noyer avec. J'y pouvais rien, je détestais les blancs et pour peu qu'on me lance sur une conversation intéressante j'étais incapable de m'arrêter par la suite. J'serais pas vexée si tu me le demandais. On doit me le répéter une quinzaine de fois par jour. Les babillages incessants c'était un peu mon truc aussi alors forcément, j'avais tendance à agacer par moment. T'en veux un peu ? Je coupais un morceau de ma pâtisserie en glissant un peu dans ma bouche avant de reporter mon attention sur lui. J'vais quand même me contenir, ce serait bête que tu finisses par me fuir pour plus avoir à supporter le son de ma voix. J'riais légèrement renvoyant une mèche de mes cheveux derrière mon épaule. Et sinon, ça se passe bien à la Mather ? Avec tout les étudiants que vous devez héberger ça doit être un peu surpeuplé non ? J'avais de la chance moi, j'avais pu élire domicile chez mon petit ami mais j'savais que bon nombre de Lowell avait du se répartir entre différente maison et ça devait pas spécialement facile de s'retrouver avec autant de personne d'un coup. A moins qu'il n'y ait que moiqui avait tendance à me sentir oppressée par la foule.
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