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HARLEY FOX ► lucky blue smith

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feat. LUCKY BLUE SMITH
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Harley Fox
Nom FOX. C'est un nom qu'il est fier de porter car même s'il signifie "renard", c'est quelque chose qui lui correspond bien finalement.Prénom(s) HARLEY. Un prénom d'fille, mais bon, il s'plaint pas. Puis c'est courant, dans la famille. Y'a qu'à voir son frère, qui s'nomme Hazel.Âge VINGT-QUATRE ANS. Mais sérieux, qu'ce soit physique ou mental, il les fait clairement pas. (en mental il fait souvent cinq ans et demi.)Date de naissance  LE VINGT-SEPT JUILLET MILLE NEUF CENT QUATRE-VINGT DOUZE. Plutôt cool, comme date.Lieu de naissance PARIS. D'ailleurs, même au bout d'quatre ans en Amérique, il a encore c't'accent français qu'les américains adorent.Statut amoureux FIANCÉ. Depuis peu, mais c'gosse est heureux avec cet homme qui l'comble dans tous les sens du terme.Orientation sexuelle GAY. Mais actuellement Jamesexuel.Classe sociale DANS LA MOYENNE. Mais il s'plaint pas. Pis c'est pas parce que son homme est riche qu'il l'est aussi.Études majeures ARTS PLASTIQUES.[/i] Forcément, être peintre, dessiner, c'est son dada.Études mineures écrire ici (facultatif)Job BARISTA au Starbucks. C'est pas l'job rêvé mais ça lui permet d'vivre un minimum.Choix de groupe #1 LOWELL HOUSE. Évidemment.Choix de groupe #2 STUDENTS.

 
LOWELL HOUSE.
    La réponse est assez évidente. Harley est un artiste. Pas seulement parce qu'il peint et qu'il dessine, non, mais aussi parce qu'il a tout d'un artiste. Rêveur, blasé, qui n'aime pas l'monde autour de lui, un peu utopiste aussi. S'il avait c'pouvoir d'tout changer pour faire de c'monde un monde meilleur, il l'ferait sans hésiter. Mais au-delà d'ça, il passe la quasi-totalité d'son temps à peindre, dessiner, et rêver, l'rêve étant la seule chose gratuite dans c'bas monde, il s'en permet plus que d'mesure.

    GROUPE 2.
    Parce qu'Harley n'veut pas qu'on l'mette dans une case s'il n'peut pas aller dans celle où il veut aller. Lui, y veut juste avoir l'choix. Et s'il l'a pas, il veut rien. C'tout ou rien pour lui, mais bon, c't'un choix personnel. Au moins il aura pas choisi une maison par dépit, il aura choisi deux "maisons" qui lui correspondent. Pourquoi pas une autre maison ? Parce que même si certaines lui correspondent aussi quelque peu, ce n'est jamais totalement. Ce n'est pas un leader, alors exit la Dunster. Pareillement, il n'a pas beaucoup d'argent, ce qui efface la possibilité de la Eliot. La Mather aurait certainement pu davantage lui plaire, bien plus que de mesure, mais il a décidé de ne plus être ainsi, alors il ne préfère pas y aller, et laisser ses vieux démons sur le côté. Quant à la Quincy.. C'est plutôt évident. Et puis la Winthrop aussi d'ailleurs.
APRÈS LA BOMBE.
    Harley, il comprend pas c'qui s'est passé. Bon, il comprend c'qui s'est passé concrètement, mais il comprend pas pourquoi. C'est vrai, c't'assez con. Les terroristes, c'est l'mal. Ces gens là, Harley les hait de toute son âme. Il pensait pas qu'ça pourrait arriver à l'université, il en voyait pas l'intérêt. Il en vois d'ailleurs toujours pas l'intérêt. Puis, faire exploser une université par plaisir, c't'un peu con. Harley n'y était pas, mais la peur l'a pris quand il y est revenu. C't'un peu normal en même temps, seuls les inconscients n'auraient pas peur. L'idée d'se prendre une bombe en pleine tronche, y'a d'quoi faire des cauchemars.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
    D'abord les bombes, puis ensuite ça, honnêtement, Harley a beau être peureux, son sentiment de sécurité a désormais disparu complètement. Et concernant la fermeture des maisons, Harley n'a pas kiffé. Mais c'était nécessaire, alors il comprend. Encore une fois, il y était pas. Mais ça l'choque carrément. Jamais ça été arrivé aussi près d'lui. Et il a peur maintenant. Davantage que d'puis les bombes. Alors aller à la fac est d'venu quelque chose d'effrayant pour Harley, même s'il y va, dans sa tête, les questions tournent toujours en boucle. « Est-ce que ça va encore arriver aujourd'hui ? » Ou alors l'fait qu'il est dix fois plus prudent que d'puis qu'il est arrivé.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
    coeur brisé, plus aucune illusion sur la vie. Il est blasé. Il n'aime pas cette Terre. Pas du tout. › Il n'aime pas les gens sur cette Terre. Juste certains, qui adoucissent sa vie. James, celui qu'il aime le plus. Avec son jumeau, bien sûr. Mais James, il le suivrait n'importe où. › Petit con, il était manipulateur. Il aimait détruire la vie de ses pauvres petites victimes trop naïves pour s'en rendre compte. C't'un sale enfoiré, c'était. Petit con, il l'est toujours. › Il fume. Beaucoup. Trop. Mais c'parce qu'il a mal. Il se consume, comme une clope, il trouve la métaphore plutôt jolie. › Malgré tout, il est romantique. Enfin, à sa façon. › Il n'aime pas qu'on lui offre des cadeaux. Mais offrez lui un burger frites, et putain, ce sera le gars le plus heureux de la Terre. › Un artiste, c'est toujours paumé, dans son monde. Harley ne déroge pas à la règle. › C'est un emmerdeur. Mais un emmerdeur toujours souriant. Il hait le monde dans lequel il vit, mais c'est en souriant qu'il l'emmerde bien profond. › Les seules personnes qui le ramènent constamment à la vie sont les personnes les plus chères à son cœur. Touchez les, il vous détruira comme personne. › coeur allumé, il est animé par sa passion et veut absolument en faire son métier. Personne ne comprend ses peintures, mais lui, il les comprend. Le reste, il s'en cale.

 
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la vie n'est qu'un foutu bordel.

Le merdeux.

Un nom d'fille, une gueule d'ange, et pourtant, Harley est bien loin d'être un garçon sage. Trop perturbant, c'gamin-là. Ce p'tit merdeux qui n'fait rien d'autre que d'embêter ses camarades. Ah ça oui, il les emmerde, et bien correctement, j'ai envie d'dire. Toujours l'premier à tout savoir sur tout l'monde, ses oreilles traînent partout où il passe, d'abord silencieux, puis il vient frapper au moment où vous vous y attendez le moins. Comme par exemple, quand vous l'engueulez. « Sale petit voyou ! Tu n'as pas le droit de venir dans mon jardin ! Et certainement pas pour arracher mes fleurs ! » « Mais pourquoi ? » « Parce que ce n'est pas chez toi. » « Oui, mais vous, vous allez bien chez Monsieur Martin et vous lui arrachez des trucs aussi, vu comment il crie ! » Silence. Gêne. Excuses bredouillées. Honte ultime. Un rire enfantin perturbe le silence pesant, celui du petit blond, qui n'est pas mécontent de la voir dans cet état. Une maman inquiète qui a tout vu, tout entendu, et qui ira tout raconter au papa, qui lui se donnera une joie de lui asséner une fessée cul nu devant toute la famille avant le repas. Et l'soir, dans la chambre des jumeaux, Hazel accueille son frère à bras ouverts pour cesser ses sanglots qui peinaient à devenir silencieux. « T'as encore fait le con chez Madame Cloé, pas vrai ? Tu lui as dit quoi, c'te fois ? » « Qu'elle baisait avec le voisin. » Un doux sourire fier, une accolade, et l'pays des rêves qui arrive vite.


Maturité précoce.

L'école, c'est l'seul endroit où Harley est un minimum obéissant, assidu. C't'un endroit où il peut s'permettre de rêver à devenir quelqu'un. Seul'ment, c'pas aussi simple. Des amis, il arrive pas trop à s'en faire. C'était l'gars qui restait sur le bord quand les autres jouaient à l'épervier. C'était c'lui qu'on choisissait en dernier quand il fallait composer les équipes en sport. C'lui qui mangeait tout seul à la cantine, en bout d'table. « T'es trop mature pour les autres. » que la psy lui disait. Trop mature ? Ah ouais ? Qu'le jeu commence. C'est là qu'Harley a commencé à déconner. A prendre les gens pour des cons. A les manipuler. Parce qu'il avait compris, c'gamin. Il avait d'jà compris comment la vie fonctionnait. Loin d'être con, ses parents refusaient d'admettre qu'il était bon. Alors, au fil du temps, il s'démerdait pour être un connard. Pour emmerder les autres, autant qu'eux pouvaient l'emmerder à s'foutre d'sa gueule parce qu'il était tout seul. Ah, il s'en prenait, des tannées. Des mandales dans la gueule. Aussi bien des p'tits branleurs de l'école que d'son père alcoolique. Au moins, il avait sa mère et son frère pour le réconforter.


Les devoirs.

C't'au collège qu'il découvre sa passion pour l'art. Le dessin, la peinture. En Arts plastiques, toujours premier. Les autres matières, un peu moins. Français au top, mais les maths et l'reste l'intéressaient pas, sauf l'anglais. C't'un littéraire en fait. Non. C't'un artiste. L'dessin, la peinture, c'est son échappatoire à sa vie d'merde. Préfère largement dessiner des faces qu'il a vu dans la rue, plutôt qu'd'assister à une dispute violente où sa mère s'prendrait des coups, des crachats dans la gueule, et des insultes à tout va. Mais t'façon, c'son quotidien, ça. Tous les soirs, des scènes violentes, abusives, d'vant ses yeux de gamin qui n'devrait pas voir ça, vivre ça. « T'as fait tes d'voirs ? » « Oui papa. » « Montre. » Zéro confiance. Pourtant ses notes étaient bonnes. Et gare à lui s'il ne connaissait pas par coeur sa leçon du jour. « Pluton, bordel, c'pas compliqué ça ! » « Mais c'est juste une planète.. » « Arrête de chialer ! » Bam, une trempe, manger, au lit. C'comme ça, chez lui. Ca l'a toujours été. On finit par s'habituer. Mais on l'cache, parce qu'on a honte.


Silence.

Quand t'es rejeté, t'as pas trop intérêt à t'faire remarquer. Mais quand t'es gay, en quatrième, et qu't'as limite les hormones qui déraillent, t'balader main dans la main avec un mec dans la cour, c'pas conseillé. C'est là où on vous évite davantage. Quelle merde, le pire, c'est p't'être la situation familiale. C'te tension palpable à des kilomètres qui t'donne envie de te j'ter d'un pont. Pourtant, c'pas c'qu'il a fait, Harley. Non, il a été courageux, Harley. Il s'est taillé la peau, pour s'libérer d'tout c'mal, sans rien dire à personne, sans un mot, Harley. Au lieu d'exploser, de leur j'ter à la gueule leur sale vérité, il s'tait. C'mieux pour tout l'monde, non ? Va pas gâcher la vie des autres. T'aimerais pas qu'on gâche la tienne. Même si y'a plus rien à gâcher, dans ta vie. Pis merde, arrête d'te lamenter, y'a toujours pire que toi. Pense à ces gamins violés, à ces gosses affamées. A ta mère, battue par ton père à peu près tout les soirs, et qui dit jamais rien. A ton frère qu'est beaucoup plus puni qu'toi. Alors souffre en silence, c'mieux.


Liberté factice.

Le lycée, c'te liberté qu'on t'donne. Il peut pas s'en empêcher. Au début, il fait comme avant. Assiduité, bonnes notes. Sauf en maths, et tout c'qui est scientifique. Ca l'intéresse pas d'savoir comment on est né. Comment on vit. On vit, c'est tout. Non, lui préfère s'réfugier dans les choses plus intéressantes. L'esprit des gens, des écrivains, des artistes. Il préfère rêver, plutôt qu'de s'enfermer dans une réalité sordide. Mais c't'en milieu d'année qu'il déconne. Bordel, pourquoi s'enfermer dans des cours qu'on déteste alors qu'il fait beau, qu'on pourrait rire avec nos camarades ? Bah ouais, il s'est fait quelques amis. C'pas les plus populaires, mais il en a. Il s'plaint pas. Il a jamais connu ça. Ca lui fait du bien, d'être libre. Un peu. Il partage sa passion avec eux. C'est plaisant. C'qui l'est moins, c'est c'qui l'attend à la maison, c'est à dire son père en rogne parce qu'il a sécher ses cours, encore. Ah il prend, plus que jamais. Mais il s'en cale. Il s'sent mieux. C'pas l'genre à aller aux soirées d'anniversaire, ni à sortir en ville le week end avec ses potes, parce que son père l'enferme dans ses études, voulant l'façonner à son image, mais l'peu qu'il avait, ça lui conv'nait.


L'erreur.

Au final, c'est Hazel qui craque. Ils rentrent du lycée, font leur devoirs, et s'mettent à table. Comme d'hab, la dispute entre le père et la mère, qui s'fait insulter. Mais Haz, il supporte plus. Alors il prend son assiette, se lève, et l'explose par terre. « J'en ai marre ! On peut pas manger dans l'calme un peu là ? » Quelle erreur. D'un coup, le père l'attrape par la gorge. Le colle contre le mur. Le soulève par la gorge d'au moins une dizaine de centimètres. Haz peut plus respirer, et Harley panique. Il hurle, il pleure, et leur mère essaie tant bien que mal d'les séparer. Elle s'prend un coup, mais ça occupe son mari juste assez pour que Hazel ait le temps d'fuir. Il prend ses jambes à son cou. Et fugue. Il laisse son frère et sa mère seuls. Mais sa mère le soutient, alors Harley l'soutient aussi. « Tu vas revenir, un jour ? » « J'sais pas, Harley. J'suis bien là où j'suis. Mais t'inquiète, j'serai là pour toi. » Quelle merde. Harley n'aime pas ça. Il s'bat quand même un peu pour ses études, mais redouble, comme une merde. S'fait engueuler comme une merde. Puni comme une merde. La trempe de sa vie.


Confrontation.

Il est en première quand son frère est en terminale. Mais après Noël, une dispute plus violente éclate. Et là, c'Harley qui en a marre. Il descend les escaliers, s'installe sur ceux-ci, les écoute. Son père qui l'regarde, qui vient vers lui d'un air ahuri, hors de lui. « Et toi, là, t'en penses quoi ? » Il veut son avis ? Vraiment ? Harley prend son courage. Il inspire, et l'regarde droit dans les yeux. « Moi j'pense que tu devrais arrêter d'gueuler. » Merde. Voilà l'autre qui s'emballe, sous les effets d'l'alcool. « Fais gaffe à c'que tu dis, Harley ! » « J'ai plus peur de toi, papa. » L'mot d'trop. Le père grimpe les escaliers, Harley, tétanisé, n'bouge pas. Il le r'garde toujours dans les yeux. « Tu la veux celle-là ?! » « Vas-y, frappe, t'sais faire que ça t'façon. » Bam. Trop tard. Un coup dans la gueule, Harley tourne la tête sous l'choc. Il est sonné, mais il pleure. Il hurle. Sa mère hurle. C'était trop. Alors pour la nuit, il les enferme, pour pas qu'ils partent en scred. Mais l'lendemain, pendant sa journée d'lycée, Harley reçoit un appel. Sa mère, qui lui dit qu'elle a fait les cartons, de pas rentrer chez eux, qu'elle a trouvé autre chose. Et voilà, le divorce approche.


Abandon, retrouvailles.

Sa première, il l'a fini, à contrecœur. Jusqu'à avoir son bac. Trop malheureux, il vit dans ses dessins, dans sa passion, entouré comme il peut. Il enchaîne les conquêtes, les conneries, sa mère le laisse faire, jugeant qu'il n'a eut que trop peu d'liberté, qu'il le mérite. Son frère quitte le pays pour partir en Amérique, laissant derrière lui un Harley terrassé. Mais ils se parlent. Souvent. Ils s'écrivent, font des skype, n'font qu'ça. Mais Harley en a marre, deux ans après. Alors il travaille dur, fait des économies, et le jour de ses vingt ans, il va frapper à la porte d'chez son frère. « Salut, j'viens t'emmerder parce que par skype c'pas suffisant ! » Haz tourne presque de l'oeil, tant la surprise est énorme. Il le fait entrer, n'y croyant pas. Pourtant, ils habitent ensemble. Pendant neuf mois, avant que Harley s'trouve un appart, dans l'même immeuble. Il s'tape un job bien pourri, mais au moins, il a son chez lui. Rangé comme il le veut, parce qu'il est maniaque, et qu'c'est pas facile d'vivre avec un maniaque.


Le doigt sur quelque chose.

Des relations, il en a eu. Plus ou moins sérieuses. Quand ça l'était, il s'y donnait à fond. Mais finit toujours trompé, battu, ou c'genre de trucs. A croire qu'il est né pour ça. Comme sa mère. Alors il laisse tomber l'amour. Il s'en branle. Il préfère foutre la merde, et baiser à tout va, comme il l'entend. Jusqu'au jour où. Ah oui, c'fameux jour que tout l'monde attend. Ce jour où tout bascule. Une rencontre en soirée, en août 2015, et il s'acharne sur c'mec à qui il fait de l'oeil. Ca finit par payer, il l'a dans son lit. Mais ça lui suffisait pas, il voulait jouer avec lui. Le chantage, c'est tout c'qu'il sait faire d'mieux. Alors il l'fait chanter. Baise moi, ou j'dis à tout l'monde que t'es gay. Et c'gars-là aussi s'amuse avec lui. Il le fait rager, à fond, parce que Harley est jaloux. James est à lui, à personne d'autre. C'est pareil dans l'autre sens, remarque.


La lumière.

Mais c'est ce fameux jour, le 28 février 2015 que tout bascule. Après quelques mois à s'connaître, à jouer ensemble, voilà qu'ils s'avouent leurs sentiments. Après une semaine à ne pas s'parler après une foutue dispute, Harley déambule dans les rues à la recherche d'son James. Il cherche aux fenêtres des bars, et après quelques uns passés, son joint à la bouche, il finit par le trouver en train d'se bagarrer avec le gars d'une meuf qu'il vient d'draguer. Harley le sauve, en s'prenant une quiche au passage, et l'ramène chez lui. Il le soigne, il lui gueule dessus. James découvre sa maladie, Mais aussi ses sentiments. « Mais regarde moi putain ! » « Harley, je ne vois que toi. » S'en suit des je t'aime, des baisers, une partie de jambes en l'air bien plus tendre et amoureuse que les autres. Un mois, deux mois et ils habitent ensemble.


Trop bon, trop con.

Le bonheur a des ombres, parfois. Et c't'un jour, alors que Harley défendait l'une de ses amis contre un bouffon plein d'alcool que ce dernier lui colle une de ces raclées. Inconscient sur le sol, baignant dans son sang, son amie a eu la bonne idée d'appeler James à la rescousse. Et il est pas content, James, d'le trouver comme ça. Il pète un câble, alors que son mec se fait transporter à l'hôpital. C'est aussi là qu'son frère apprend pour sa maladie. Il lui en veut, mais il finit par le pardonner. James le pardonne aussi, et en rentrant d'son séjour à l'hosto, Harley a la surprise de James : un petit chiot labrador blanc, qu'il nomme Lucky. Et ils continuent de filer le parfait amour dans cette baraque luxueuse que Harley appelle « la Bulle ».



NOT OVER.



Carte fidélité.

Avant d'continuer sur la lancée, faut savoir que Harley est malade. D'puis tout p'tit. Quelques mois à peine après sa naissance, on lui a découvert une maladie orpheline rare. La bêta thalassémie. C'te merde, qui lui bouffe les globules rouges. Au début, ça allait. Il n'avait qu'à manger sainement. Mais plus l'temps passait, plus ça s'dégradait. Des transfusions nécessaires une, deux fois par an. Et un p'tit traitement avec. Et puis, voilà qu'il s'est retrouvé avec le stade majeur d'la maladie. Un traitement d'cheval pour réguler son taux de fer, qui s'accroît considérablement à cause de ces transfusions. Transfusions, une par semaine. Au moins. Il l'a jamais dit, à la base, il n'y avait que ses parents pour être au courant. Bah ouais, faut bien payer les soins. Mais Haz, il savait rien. Enfin, jusqu'à la bagarre. James savait rien non plus, jusqu'à leur nuit d'amour.Parce que Harley, il veut pas qu'on s'apitoie sur son sort. Non, Harley, il veut paraître fort. Il veut qu'on voit de lui quelqu'un qui peut tout surmonter. Même s'il fait l'con, même s'il se prend des mandales parfois. Il veut pas paraître faible, même s'il l'est au plus haut point.


Des hauts, des bas.

Il faut bien y arriver un jour. Toute bonne chose a une fin, et c'dicton n'fait pas exception dans la vie d'Harley. Le couple se sépare, en juin, après de longs mois d'bonheur. Harley en souffre. C'était l'seul qu'il avait autant aimé, à qui il avait autant donné d'lui même. L'seul avec qui il voulait faire sa vie. Alors l'oublier était quelque chose dont il n'avait aucune envie. Et puis, il ne peut pas échapper à une confrontation avec James. Alors, deux semaines plus tard, ils se retrouvent lors d'un cours d'anglais, seul cours qu'ils ont en commun. Harley avait pris son traitement de force par son frère, mais il avait perdu l'appétit et en deux semaines, il avait donc eu le temps de perdre pas mal de poids, ce qui avait inquiété James. Ce dernier n'est pas très content d'voir que son copain s'est laissé affamer. Alors il l'emmène au restaurant. Puis il parle de leur bulle. Cette chose si précieuse aux yeux de Harley qui s'imaginait vieillir dedans. Il lui dit qu'il veut plus vivre là-dedans. Qu'il veut la vendre, et leur trouver autre chose, sans mauvais souvenirs. Un nouveau départ. Et Harley, amoureux, il f'rait n'importe quoi pour lui. Alors il accepte, sans conditions.


Un voyage sans fin.

Ca y est, c'est décidé, Harley veut présenter James à sa mère. Ce qui est normal, en soi. Il l'aime, c'l'homme de sa vie. Alors il veut présenter son bonheur à sa mère. Pis à son père, accessoirement. Mais l'voyage s'passe pas comme prévu. Il passe une soirée en boîte avec ses amis, James l'rejoint. Mais l'un des amis de Harley ne l'aime pas. Enfin, c'est Harley qu'il aime pas. Et pour le lui faire comprendre, il l'invite dehors. Harley est con, Harley y va sans prévenir James, qui le découvre en train d'se faire casser la gueule par son "ami". Alors James réfléchit pas, il agit. Il tabasse c'gars-là. Jusqu'au coma. Harley sait pas quoi faire, il est tétanisé par la peur. Il s'réveille quand même, et essaie d'l'arrêter. Il y arrive, quand même. Mais ils se disputent. C'normal, James a failli gâcher sa vie pour lui. Alors Harley s'confond en excuses. Il peut faire que ça. Il l'aime, il veut pas l'voir partir. Il veut r'trouver sa vie avec lui. Tranquille. Et c'est c'qu'ils font. James lui pardonne, et Harley lui en est reconnaissant. Il lui en sera toujours reconnaissant.


Choc.

Mais y'a un jour où tout est foutu en l'air. Le peintre avait assisté à un cours à la fac, et c'est en rentrant qu'il retrouve James sur son canapé, entouré d'ses cartons. Il lui annonce d'but en blanc, sans un bonjour, qu'il a vendu la maison. « Tu as quoi ?! » Ben ouais, c'est pas n'importe quelle baraque. C'était leur bulle, bordel. S'en suit une dispute plus ou moins violente dans les paroles. James comprend son erreur, et Harley le pardonne, parce qu'il veut pas le voir partir. Il veut pas l'perdre à nouveau. Non, jamais. Alors il le pardonne. Et là, James le demande en mariage. Et Harley tombe dans les pommes, trop surpris par la nouvelle. Fatigué, sur les nerfs, il n'a rien mangé d'la journée. Juste un p'tit truc en partant. Alors ça fait un choc, James qui fuyait l'mariage, de l'entendre prononcer ces mots. A son réveil, James est en colère. Furieux. Mais c'normal, Harley n'avait pas bien mangé. Alors il mange c'qu'il lui rapporte. Et tout va mieux.


Une fin, un nouveau début.

Alors, James habite avec Harley. Dans un bel appartement assez gigantesque qu'ils ont trouvé peu de temps après. Harley avait du mal avec les maisons, mais un appartement, c'est très bien, même s'il est aussi grand qu'une maison. Grâce à James, il a repris ses études. Un cursus d'art, pour faire de sa passion son métier. Il doit donc jongler entre ses études et son boulot, parce qu'il est hors de question pour lui qu'il le quitte, vu le peu de moyens qu'il a d'jà, il peut pas s'permettre de plus rien payer dans leur appart. Il s'en voudrait bien trop. Puis ils sont heureux, c'est l'principal. Harley, il aime c'qu'il vit avec lui. Il voudrait jamais d'la vie échanger ça. Pour rien au monde.


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bienvenue :heaart:
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Bienvenue sur ILH !
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche HARLEY FOX ► lucky blue smith 3850463188
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Bienvenue chez toiiii !! HARLEY FOX ► lucky blue smith 1946740601 HARLEY FOX ► lucky blue smith 2511619667
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la rebienvenuuuue HARLEY FOX ► lucky blue smith 2109348208
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Bienvenue parmi nous HARLEY FOX ► lucky blue smith 3850463188
Good luck pour ta fiche and have fun Vic
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Bienvenue à Harvard.
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