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Waves of Past

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JONATHAN & BENJI

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The wind blew strongly and made high waves

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Trop tôt. J'ai mal calculé et j'ai fait un mouvement trop en avance. Il vient de comprendre que je ne sais pas ce qui s'est passé ce soir là. Pas après que qu'on m'ait fait rentré en salle pour me faire mon plâtre. Encore heureux que je ne voulais rien savoir des injections de calmant que tout le monde voulait me donner! Le plâtre fini, j'avais eu droit de quitter après avoir signer des papiers. Et ma mère m'a rejoint au comptoir médical alors que je paraphais le dernier formulaire et qu'on me filait ma prescription. Tranquillement, on est descendu chercher les médocs, puis on a pris un taxi pour revenir à l'appart. Pas de panique, pas de dégâts. ...jusqu'à ce qu'on arrive. Dans le temps de le dire, on faisait nos bagages, remplissait deux ou trois caisses de trucs, embarquait tout sur le plateau du camion, sanglait la cargaison, fermait la toile et bonjour la route à nouveau!

Y'a pas un papier qui était bien signé ou bien rempli à l'hosto et avant qu'ils rappellent normalement, on a environ deux heures de tranquillité. Là, ça avait été moins. Parce qu'on ne savait pas combien de temps il retiendrait Tommy et Duff. Stew, c'était pas un problème, vu la débarque que je lui avais fait prendre, il en avait pour un ou deux jours en observation. Mais si les deux autres rappliquaient, j'aurais eu du mal à les contenir à nouveau. Alors on est parti. Comme d'habitude. On a piqué vers le sud-ouest de la Floride, le premier arrêt à été à Moulin Rouge pour trouvé un nouveau cellulaire pour ma mère, mettre du gaz dans le camion, trouver de quoi bouffer… En repartant, Christine a balancé son ancien téléphone par la fenêtre. J'ai fait pareil, mais j'ai gardé la carte mémoire du mien. On a fait le sud des États-Unis, un temps. J'ai fait changer mon plâtre pour de la fibre de verre dans une clinique privé un peu louche qui posait pas trop de questions, puis, on est remonté en passant par les déserts, jusqu'aux montagnes. On a failli s'installer au Canada, dans le Yukon, mais on a retraversé la frontière pour s'arrêter à Fairbanks.

Ça c'est ma version. Ce que moi, j'ai vécu. Ce que moi, j'ai su. Et il me manque sa partie à lui apparement, alors il s'amuse, parce qu'il a capté ça. Capté que j'ai pas la "vraie" version de ma mère. Moi, ça promet un autre appel. Un "Tu devineras jamais où je suis, m'man. À Miami. Je viens de parler à Duff. T'aurais pas un truc ou deux à m'avouer?" Je déteste faire ça. Mais depuis que j'ai reçu ce coup de fil en avril, ça arrive de plus en plus souvent.

Mon regard est rivé sur Duff. L'imbécile. Il s'amuse de la situation. Joue à "je sais plus que toi et je te dirai rien". J'ai la main qui me démange de le lui en coller une. Mais si je le fais, il aura le dessus et ne parlera plus. J'essaie de rester calme, de paraître limite insensible à ses conneries et si je suis plus tendu, si mes nerfs sont plus crispés, je sais pas si, lui, l'a remarqué avec son taux d'alcoolémie avancé. J'aimerais bien me faire craquer les jointures. Un minimum. Mais si je le fais, de un, je me trahis, de deux… le coup de poing risque de partir tout seul. Alors, je ronge mon freins et essaie de paraître comme si je m'emmerdais réellement lorsqu'il m'informe que quelqu'un est venu les payer pour leur silence. Un mec en costard. Je reprends la liasse de billets, joue négligemment avec.

- Si quelqu'un t'as déjà payé pour ton silence, alors ça vaut pas trop la peine que je casque pour savoir les questions que t'as posé ou ce que tu sais, fis-je comme une déduction avant de lui couler un regard.

Je remets le paquet dans ma poche et me relève doucement.

- J'ai plus rien à faire ici, je crois.

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”Bad cop/ Bad cop with pees”


Ils jouaient.
Tous les deux jouaient. Où valsaient. Ou je ne sais pas … ping pong.
Benji le comprenait tellement que j’en fus surpris.
Oh non ! Je ne le prenait pas pour un con loins de là …Il est vrai que je ne considère pas tout le monde intelligent avant de voir ce dont ils sont capable. Lui il l’était Il me l’avait prouvé à maintes reprises … et dès le début, même avec son mutisme, j’avais compris.
Il avait su faire parler mon père, il avait compris ma condition sans que je ne lui réexpliquer et la… tout de suite il menait cet interrogatoir à merveille.
Duff avait sentit l’avantage qu’il avait quand Benji lui a fait miroiter une liasse de billets, montrants par la même occasion qu’il avait des lacunes dans ses souvenirs… Quand il s’en était rendu compte, il s’est vite repris avec la meilleur des tactiques : Faire en sorte que l’autre n’ait plus d’avantage. Plus de choses à troquer.
Lui faire comprendre qu’il est “useless”

J’en souris sous mon sachet de petits pois.

...

Duff ne voulais même plus parler. C’en était jouissif. Je détestais tellement cet homme que je n’aurait pas protesté si Benji lui en avait collé une.

Non attends!

Hum vas y ! Aboule !

C’est pas tout ! Le mec était venu pour nous payer pour pas porter plainte.

Ouai ça on le savait

Mais Tommy a voulu avoir plus … il a demandé à ce que …

Plus un souffle

Un  bruit dans la serrure se fait entendre. Le silence dans la pièce devient quasi religieux, D’un coup d’œil à Benji, je vois à la périphérie de mon regard qu’il est exactement dans le champs de vision du couloir . Exactement en face de celui qui allait ouvrir. Je recule lentement jusqu'à être éloigné de ce champ , et demande silencieusement à Benji de faire de même, vers l’autre coin.
Tout cela ne prends même pas une fraction de seconde que je regarde Duff et voit son changement d’expression comme au ralentit, il inspire, sourit, et ouvre la bouche pour peut être hurler à celui qui va ouvrir la porte qu’on est la.
Mon réflexe est immédiat. Il ne faut pas qu’il nous grillé, je passe la main dans mon dos et sort … Le pistolet que j’avais trouvé dans le congélateur avec le sachet de petits pois.
Je le sors de mon jean et le pointe sur Duff, postant mon index sur ma bouche et lui demandant de se taire.

Je me retourne vers Benji. Le pistolet pointé sur Duff.

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Je me suis grillé et il a deviné. Comme un con, j'ai joué trop tôt une carte que j'aurais pu garder dans ma manche et je lui refiler l'avantage. Mais quand il parle qu'un homme en costard est déjà passer pour leur silence, je saisi l'argument qu'il m'offre sur un plateau. Si on l'a déjà payé pour son silence, alors je ne pourrai pas acheter ses paroles. N'est-ce pas? Bien sûr que si, je pourrai. Ça sera même particulièrement facile. Suffit qu'il croit que j'en ai plus rien à cirer de lui. Alors, je fais le mec qui part.

Ce qui est bien avec les pourritures dans son genre, c'est qu'ils changent rarement. Quand ils ont une tare, ils la gardent. Et la tare de Duff, c'est le fric. Il ferait n'importe quoi pour du pognon. Alors il me laissera pas franchir la porte en sachant que j'ai une liasse aussi importante dans les poches. Impossible. Je ne fais que quelques pas dans la pièce et, régler comme du papier musique, j'entends une exclamation de sa part. Pour me retenir. Il veut ce fric. Ça va en devenir une fixation.

Il repart dans son récit, comme un disque rayé, reprends sa dernière phrase. Mais l'intonation à changée. Il est pressé de le dire. Seulement, j'ai pas l'impression que c'est juste parce qu'il ne veut pas voir autant de billets lui filer entre les doigts. Si Tommy apprends qu'il m'a parlé, ça risque de valser entre les deux. Ça serait pas nécessairement pour me déplaire. Ça m'assurait qu'ils ne décident pas de remonter jusqu'à Boston. Même si, le siège social de Skelton Intercorp. est à Toronto et donc techniquement, s'ils suivent la piste de mon nom, c'est là que ça les conduirait. Et là-bas, y'en a pas un qui donnerait une information à des mecs comme eux. Qui plus est… je sais pas si ça serait réellement bien pour eux de franchir les douanes, vu les casiers qu'ils se traînent. Même si Jonathan a dit ne rien trouver sur Tommy. C'est certain que y'a quelque chose.

J'attends la suite, mais un bruit distinctif coupe tout et jette un silence dans la pièce, nous rendant tous les trois hyper attentifs. La clé dans la serrure. Quelqu'un entre. En espérant que ce ne soit qu'une seule personne. Le mouvement de Jonathan attire mon regard et je constate qu'il recule, semblant me demander de faire pareil. Ouais, tu peux compter que je vais bouger! Parce que c'est pas stratégique où je me trouve. En entrant, je serai probablement le premier truc que le nouveau venu verra. Silencieusement, je me glisse vers Duff et le voit se préparer à gueuler. Cependant, avant que je ne fasse quoi que ce soit, le son qu'il s'apprêtait à faire reste coincé dans sa gorge et je dois tourner la tête pour voir pourquoi. What the f*ck!? Men! Mais il sort ça d'où, lui!? Jona se tient là, flingue en main, le pointant sur notre "hôte". Mais, bordel, d'où il sort ce putain de pistolet!? Je le fixe, tentant de comprendre, sauf que le bruit de la porte qui s'ouvre m'oblige à bouger et je lui laisse la surveillance de l'imbécile, me glissant plutôt à côté de l'embouchure du couloir pour intercepter qui arrivera. Encore heureux que Duff soit hors du champ de vision et que son champ de vision ne donne pas non plus sur ce couloir en question! Il aurait pu nous griller en un regard.

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”Bad cop/ Bad cop with pees”


Le regard de Benji me déstabilise mais je ne montre rien. Il faut rester concentré sur ce qu’on est entrain de faire… je lui expliquerais plus tard, c’est pas ce qu’il parait. On verra.
Il se faufile dans l’autre coin du couloir et je reste l’arme braqué sur Duff. Le corps légèrement tourné vers l’entré du salon, pour voir la personne qui entre.

Duff !

La voix est lasse, le gars demande juste ou si son ami est à la maisons. Ne recevant pas de réponse il soupire et continue son ascension vers le salon. fourrant les clé dans son jean apparement, vu qu’il regarde légèrement en bas quand il passe devant moi, relève la tête vers son colocataire … le vois enchaîné …

Mais qu’est ce que t’as encore foutu ?

Comme si cette situation n’est pas la première où il entre et le trouve attaché . Il est surpris... mais du genre “quoi encore?”.
Il n’a pas à attendre longtemps, il suit le regard apeuré du mec attaché, un regard pointé sur moi. Lève les mains en l’air.
Il est vraiment surpris la.
Il s'attendait certainement à une connaissance, un dealer, un gangster ou un autre criminel auquel Duff aurait pu se fritter... pas à un maigrichon à crête tout droit sortit d’un boys band sous le label : “Mignon romantique” .
Vous savez ? dans les boys band y a toujours le Leader, le sportif, le badboy, et l’intello et/ou le romantique. Cette dernière fonction revient à un mec qui n’est pas du tout musclé, et qui a une coupe plus ou moins fils à papa. Des vêtements insipides.
Mais qu’est ce qui me prends d’analyser les groupes pop des année 90.
Peut être parce que son look me renvoyait dans cette époque.

Qu’est ce que tu fais la? Qu’est ce que tu veux ?

Je n’ai pas le temps de lui répondre, qu’il remarque Benji, et se met à crier

TOI!

Rugit il

ESPÈCE DE FILS DE PUTE !!

Il hurle.
Sa réaction est beaucoup plus exagéré que son colocataire.
Il se met à jurer, à trépigner !
Même mon arme ne le dissuade plus

...CONNARD ! DIS A TA PUTE DE MÈRE QUE JE VAIS LA RETROUVER ET LUI FAIRE LA PEAU !

Mauvaise idée mon gars. Benji n’aime pas qu’on parle comme ça de sa mère!

LA CONNASSE !!! ET TOI !!! TOI T’AS ENCORE LE CULOT DE VENIR ICI ?

Qu’est ce qui s’est passé ?? d'après Duff tout s’est bien passé … Un mec en costard viens les payer, et ils portent pas plainte !

C’EST PAS PARCE QU’ELLE A DES CONNAISSANCES HAUT PLACÉ QUE JE VAIS AVOIR PEUR !!

Mais qu’est ce qui arrive putain? Pourquoi est ce qu’il a autant la haine. Je le pointe de mon pistolet, mais il ne semble pas tellement impressionné .
Duff un peu plus loins ne parlais plus, il regardait juste la scène légèrement recroquevillé .

CETTE CONNE !! JE VAIS LA ….


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Une voix monte du couloir, interrogative et lasse. Malgré les quatres ans qui se sont écoulées, je reconnais encore la voix de Tommy. Considérant qu'il squattait le plus souvent le salon de notre appart, c'est pas tellement étonnant que ça fasse un clic. Je le laisse passer devant moi alors qu'il fourre ses clées dans ses poches. Pas besoin de bouger encore, mais je reste à portée. Il finit par relever la tête, voit Duff attaché sur sa chaise et ne semble pas particulièrement étonné. Le mec qui cumule les emmerdes depuis des années, combien de fois il a dû le sortir du pétrin? Mes avis que c'est pour ça que Stew a finit par se retirer : vanné de subir les problèmes des autres et avec sa carrures, de jouer au doorman ou au chien de garde. Parce que c'est pas mal à ça qu'il servait à Tommy : garde-du-corp. Lié par les liens familiaux, Stew lui refusait pas grand chose. À croire qu'il a une conscience qui lui a poussée quelque part.

Le regard de Tommy finit par capter la présence de Jona et il a le réflexe de lever les mains en voyant le fusil. Encore pas si mal. La tête du brun lui dit certainement rien, alors il prend probablement des précautions. ...du moins, jusqu'à ce qu'il me voit. Là, les fils se touchent et les étincelles se font quelques part dans son cerveau. Il hurle. Il m'a pas oublié apparemment. Il gueule, jure, m'insulte et insulte ma mère et étrangement je le laisse finir son cirque, les muscles bandés, les poings serrés. Je tique sur l'histoire des connaissances haut placé, mais essaie de ne pas le montrer. Je reste sur place, m'assurant simplement qu'il ne plonge pas vers Jonathan ou qu'il ne fasse pas de stupidité. Mais pour l'instant, sa rage passe encore sur moi et ma mère. Je suis qu'un connard, elle est une conne, une pute… ouais, ouais, change de disque. Je finirai bien par lui faire regretter ses paroles, mais si je lui descend un coup de poing, je mettre le feu aux poudres. Alors, je me retiens. Mais je lui collerais tellement une gauche!

- Alabama, lançais-je calmement. Elle est en Alabama, fis-je en haussant les épaules.

Mensonge en plein. Mais il est pas obligé de le savoir. J'espère juste que Jonathan ne me trahira pas avec une vague d'étonnement. Où ça passera peut-être pour de l'étonnement face à une certaine - fausse - trahison de ma part. Je tente le mec détaché qui a plus rien a foutre de rien. Testant si ça va le calmer, s'il va s'ouvrir la gueule encore pour tout déballer. Peu importe les décibels, je veux des réponses.

- Tu comptes lui faire quoi? lui demandais-je, feignant une légère indifférence - ça arrivera pas de toute façon. La dernière fois que je l'ai vu, elle me criait par la tête que le dernier qui l'avait emmerdé en lui posant des questions sur mon père, il y avait goûter. Donc que je devais pas faire comme lui, fis-je avec un signe de tête vers Duff. Je remonte à la source, vu qu'elle veut rien me dire. Tu sais comment elle est, elle ment comme elle respire.

N'importe quoi pour le faire parler. Quitte à lui faire croire que je me suis tellement pris la tête sévère avec ma mère que j'en ai rien à foutre de la trahir. Que je cherche même peut-être à faire copain-copain. Elle est pas en Alabama : elle déteste cet état. Et, pour ma part, j'ai toujours pensé que c'est parce qu'elle y était probablement née. Mais si après, il veut aller chercher au milieu des prés pour retrouver Christine… Have fun, men! Parce que je crois pas non plus qu'elle porte encore son nom de jeune fille. Donc zéro piste, zéro consonance, que dalle. Et ma mère aura la paix à Fairbanks.

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”Bad cop/ Bad cop with pees”


L’arme toujours à la main, je la tends devant moi. Un dissuasif, de la kryptonite pour Tommy pour ne pas qu’il saut sur Benji.
Ou alors, est ce qu’il a peur de l’homme en face de lui, plutôt que de mon pistolet. Je ne fais pas vraiment peur, même si cette arme et ses soeurs font parties de celles que je maîtrise. Merci papa pour les cours de skeet shooting quand j’étais gamin.
Je sais tirer en l’air et toucher des plats en argil. Je saurais tirer à bout portant sur la main ou la jambe de quelqu’un. Non pas que cela risquait d’arriver.
Je dirais même que ça n’arrivera pas du tout.


Le froid de l’arme contre ma main me ramène à la réalité, je ne suis même pas étonné quand Benji parle de l’Alabama. J’entre dans mon personnage, je ne sais pas ce qu’il prépare, mais je ne le montre pas.
Tommy fulmine mais… beaucoup moins.  

Alabama hein … Dis lui qu’elle pourra espérer une visite de ma part.

Il ne semblait pas vraiment convaincu en disant cela… Certainement que la connaissance haut placé avait ressurgi dans son esprit … ou juste qu’il ne faisait que lancer des menaces en l’air avant, et maintenant qu’il a la possibilité de les réaliser il ne pouvait pas.


Benji se remet à parler

Tu comptes lui faire quoi? La dernière fois que je l'ai vu, elle me criait par la tête que le dernier qui l'avait emmerdé en lui posant des questions sur mon père, il y avait goûter. Donc que je devais pas faire comme lui,

Il regarde Duff

Je remonte à la source, vu qu'elle veut rien me dire. Tu sais comment elle est, elle ment comme elle respire.

Dès que Benji finit de parler, Tommy se retourne vers Duff, ce dernier secoue la tête de gauche à droite, négation à ce une accusation muette que son colocataire lui lançait

Non ...non je leurs ai rien dit!

Duff murmure, pendant que Tommy regarde le sol, comme déçu par le comportement de Duff, il ne le croyait pas, peut importe ce qu’il était en train de nier, Tommy ne le croyait pas.
A croire que quand Benji avait jette un regard complice a Duff en parlant de la source… il l’avait incriminé.
Le mec debout devant moi se décompose à vue d’oeil.  

Cette fois par contre elle ne mens pas… J’en suis la preuve !

Qu’est ce qu’il veut dire, j’en ai marre de ne plus comprendre... Il se passe la main sur le visage

Après tout ce qu’ils m’ont fait pour pas que je parles, pour plus que je les recontacte, ou que je reprenne contact avec toi…. c’est toi qui le fait!

Il soupire

Après leurs deuxième visite j’ai compris que j’allais plus rien demander. C’est bon!

Il se retrouve vers moi cette fois, pose les yeux sur l’arme, et je la tien aussi assurément que possible.

Pars Benji. J’ai assez eu de problèmes.


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Il mord à l'hameçon. Du moins, légèrement. Juste assez pour que ça le calme. J'ai plus une caisse de dynamique branchée à manipuler. Plutôt comme un seul bâton de TNT. Moins dangereux, mais il peut quand même s'avérer explosif. Il menace d'aller payer une visite à ma mère en Alabama, j'hausse les épaules. Vas-y, mec, tu vas t'amuser à la chercher là-bas! J'en rirais. Pauvre con.

- Je lui parle plus, affirmais-je nonchalamment. Je posais trop de questions, elle a pas aimé. Tu lui feras la surprise.

Ouais, bonne chance pour ça! Je sors une histoire bidon, flanquant rapidement Duff dans la merde aux yeux de Tommy si je me fis à son regard. Mais c'est encore une version "crédible" de ce qui pourrait m'amener ici. Crédible si on me connait aussi peu qu'ils peuvent me connaître. Je trahirai jamais ma mère. Et je crois pas me prendre la tête avec elle assez sévèrement pour qu'elle se mette à proférer des menaces à mon égard. Y'a une base de respect mutuel et un genre d'amour mère/fils protecteur qui nous lie. Ni un ni l'autre n'ira planter un couteau dans le dos de l'autre. On prendra des coups plutôt que de dire une vérité incriminante.

Les deux mecs s'enlignant, Duff ne soutient pourtant pas et s'écrase, murmurant qu'il a rien dit. Bordel, il est plus pathétique qu'avant. Tommy, lui passe par plusieurs stade avant de me de finalement me dire qu'elle n'a pas menti cette fois. No kidding! Seulement il continue sur sa lancée et finit pas déblatérer comme quoi il avait arrêter de chercher contact avec tout le monde, qu'il se tenait tranquille, à carreaux. Quand il me dit de partir, je le fixe longuement.

- Raconte l'histoire et t'entends plus jamais parler de moi, promis-je.

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Je devenais de plus en plus sur les nerfs. Non pas que ça se voyait, mais intérieurement l’incompréhension me rongeait. Je regarde Benji, calme, il n’est pas du tout affecté, ou peut être qu’il l’est mais il reste calme.
Et comme tout à l’heur, il trouve quoi répondre.  

Quelqu’un aurait pu te suivre.

 lui dit Tommy avec un rictus

Fort probable qu’on t’as vu entrer ici. Je suis certainement observé.

Cela semblait … vraiment extrême…
Le genre de choses qu’on ne voyait vraiment que dans les films. Personne ne nous a suivit, j’en était à peu près sur. L’un de mes tics étant d’observer les voitures, dans les rétroviseurs, ou devant moi.
M’enfin bref.
Suivons sa logique.

Et toi tu …

Il émet un rire sarcastique

.. Tu me dis que ta mère ne sait même pas que t’es la?

Donc au début, il pensait que c’était elle qui l’avait envoyé? Quand il menaçait de lui faire sa fête, il avait … peur? c’était une dernière rebuffade avant de se calmer et devenir aussi docile qu’un chien ?
eh ben.
Je le suit des yeux, et descends le bras, le pistolet avec, Il ne présente plus aucun danger de mon point de vue.
Il se dirige vers une chaise et s’assoit.

Sors Benji. Je n’ai rien à te dire! Je veux plus avoir affaire à ta famille!


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Je suis un peu sur le cul. Je m'attendais pas à le voir retomber comme ça. On est passé d'une rage flamboyante à un tas de cendre. Y'a plus de réponses. Il se mure dans un mutisme résigné. Il est où le mec trop bavard qui se tappait la gueule d'être un petit caïd? Et même si je cherche à le menacer de le cogner, ça servira à rien. Il me reste deux cartes. Une plus dangereuse que l'autre. Et c'est cette carte que je tente sur ce coup-ci. Voyons voir s'il a l'égo aussi chatouilleux qu'avant…

- He ben! Lançais-je. Si je m'attendais à ça! Le grand Tommy Trash Barrow qui plie l'échine à la simple mention de ma mère! Affirmais-je, arrogant, avec un sourire en coin.

Ouais, je le provoque. Brillant hein? Je sais pas si ça le fera réagir, mais je joue avec la corde sensible. Ça risque d'être comme flanquer une allumette dans un bidon d'essence, mais s'il explose, il parlera. Ça se fera en bataille, mais il parlera. Malsain mon truc, je sais. Tranquillement, ne voulant pas trop que ça se voit de la sorte, je bouge, dégageant Jonathan de la première ligne si ça vient à sauter. Au fil de mes paroles, je me rapproche de Tommy.

- Ça va, toi? demandais-je toujours sur le même ton. Avec une colonne aussi molle maintenant, tu dois souvent te faire remettre à ta place. Y'a pas trop de tes anciens sous-fifres qui sont venu te l'enfoncer bien profond maintenant que t'as plus rien dans le ventre?

Encore une corde sensible. Homophobe jusqu'au plus profond de ses tripes, ça le dégoutait de savoir que j'étais bisexuel. Je crois qu'il tenait son cul volontairement loin de moi. Jamais il m'aurait tournée le dos. Parce que c'est évident que si les mecs m'attirent aussi, bah je saute tout ce qui bouge. C'est comme maladif. L'un va pas sans l'autre, voyons. Dans le genre de pensées stupides, il en tient bien des couches, j'invente rien.

- Nah, mais pour peu, bientôt ce sera les talons et le vernis et t'iras voir les Montoya!

Plus je parles et plus je vois Duff blêmir, me regardant comme si j'étais le pire des cinglés à provoquer son grand pote. Allez Tommy, tu fais tic-tac, j'attends juste que tu fasses boom!

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Je pensais que c’était fini, je m'apprêtais vraiment à sortir. J’attendais cependant un signe de Benji.
Un signe qui ne vient pas.
Au contraire il reprends la parole, et tout les yeux se tournent vers lui.
Les miens se retrouvent bien vite sur son dos, puisqu’il passe devant moi, s’interposant entre moi et Tommy… Et il parle. Il continue à provoquer le mec qui semblait tellement docile.
Au début je tique sur le choix de ses mots. Aucun “homme” de la trompe de Tommy Trash Borrow accepterait qu’on prétende qu’il a peur d’une femme. Surtout d’une femme que les deux présents méprisaient ouvertement à forces de “putes” et “connasse”
C’était suicidaire.
Ensuite, et plus il continue sur sa lancé, plus je suis son raisonnement. Parce que, même si j’avais un grand gaillard qui faisait mur entre lui et moi, je me met de côté pour étudier les réactions de l’accusé : les poings de Trash se referment sur ses genoux et il envoie vers Benji un regard haineux.
Je penses, que ce fut à l’évocation de l’enfoncement de quelque chose bien profond quelque part, que le mince fil, qui le retenait assis sur la chaise, cassa.
Finalement la dernière réplique fut le coup de grâce! Il se relève, charge, et fonce vers nous. Un peu trop lent le mec. Mon réflexe fut de ramener le pistolet devant moi et de revenir à coté de mon ami, un peu en retrait.  Il ne m regarde même pas mais il s’arrête devant Benji, sifflant entre ses dents sa rage contenue

PERSONNE N’OSERA JAMAIS … TU M’ENTENDS !!

Il continue à fulminer

TA MERE NE ME FAIT PAS PEUR

Encore une fois Trash! Avec plus de conviction!
J'émet un son moqueur, ses yeux se retournent vers moi . Il me juge encore une fois et rajoute pour faire taire mes yeux condescendant.

Même quand elle a envoyé ses larbins une seconde fois! j’ai pas eu peur !

Il se met à parler, pour prouver qu’il n’a pas peur.

Même quand ils m’ont menacé, j’ai pas flanché !

Il ouvre les mains et continue

Et tu vois même quand ils ont effacé toutes les informations me concernant partout dans le monde, j’ai réussi à rester en vie !

QUOI ???
J’ai un mouvement de surprise, et il le remarque

Ouai ! Ils ont tout effacé ! J’ai juste demandé qu’on me rende clean, qu’on efface mon casier ! et ces fils de putes enlèvent jusqu'à mon numéro de sécurité sociale… Rien NADA !

Trash claque les mains l’une dans l’autre

C’est pas comme si j'avais demandé la lune… Hein Duff… T’avais oublié ton grand ami quand ils t'ont demandé ce qu’il te fallait pour te taire? Hein? Tu leurs a demandé 20.000 balles …. Mec!!!  SON COSTUME VALAIT PLUS QUE CA !

Tommy se retourne vers son ami attaché et continue

Et t’as oublié ma part ! n’est ce pas ! t’en a profité que je sois à l'hôpital pour négocier tout seul !”

Pendant tout ce discours, Duff s’était mis à murmurer. Un seul mot qu’il répétait tandis que l’autre continuait ses accusations.

Ferme ta gueule Ferme ta gueule Ferme ta gueule Ferme ta gueule ...FERME TA GUEULE! On serait pas dans ce foutu pétrin si t’avait pas ETE AUSSI GOURMAND ! Après qu’ils nous aient payé CHACUN 20.000 balles Fallait que tu la ramène n’est ce pas ?!  Fallait que tu les rappelle pour plus d’argent et un appartement ? Quand ils ont accepté, t’as cru que tout t’étais permis ! Regarde ce qu’il ont fait ! TU VIS A MES CROCHETS, parce qu’en réalité TU N’EXISTE PAS !!

A TES CROCHETS ? Espèce d’ingrat ! CONNARD ! ”

Et il se jette sur lui.


Je regarde Benji

On fait quoi?


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