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JONATHAN & BENJI
► WAVES OF PAST
The wind blew strongly and made high waves
The wind blew strongly and made high waves
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Ce qu'il m'a raconté lorsqu'on s'est vu pour la première fois, n'est pas totalement vrai. Il vient de se confesser, de m'avouer avoir menti et si, normalement, ça m'aurait fait frustré qu'il me prenne pour un imbécile et me fasse marcher dans ses bobards, là, ça ne me fait pas vraiment réagir. Probablement, parce que ça ne change pas réellement grand chose. Les questions reste les mêmes. J'en ai simplement quelques unes de plus à poser à "Oncle Stephan", mais je suis à peu près certain qu'il ne me dira rien si je n'ai pas de preuve sur lesquels m'appuyer. Il a déjà arguer que si mon père n'avait pas repris contact avec moi, c'est qu'il était malade et qu'il s'était coupé de la société. Se retirant comme le font les grands oiseaux. Sauf que, si je ne doute pas nécessairement que Frederick se soit retiré, je doute cependant que ce soit l'unique raison qui fasse que je n'ai pas eu de ses nouvelles. Pas tandis qu'il m'a tout légué.
- Je t'aurais probablement pris pour plus cinglé que tu ne l'es si tu me l'avais dit comme ça, avouais-je à Jonathan.
Parce que sans savoir l'histoire des explosions et de son accident, je me serais dit qu'un amnésique avait probablement peu de chance de se souvenir d'une conversation qui ne le regardait pas et qui ne le concernait en rien. C’est donc même peut-être mieux qu’il ne m’aie pas présenter le tout comme il vient de le faire. Qui plus est, on ne serait pas à Miami si je l’avais pris pour un cinglé.
- C’est pas à prendre en exemple, mais, pour cette fois-là, c’est peut-être mieux de la façon dont ça s’est passé. Sinon, j’aurais pas accès à tes talents de fouine, affirmais-je. Et comme, jusqu’ici t’as fait tes preuves…
Parce que ce qu’il m’a rapporter sur mes contacts de Fairbanks, je pouvais - et je les ai - vérifié. Une partie de ce qu’il m’a dit pour mes contacts ici collaient aussi. Donc, je considère que son talent est prouvé. Safe.
- Faut que t’apprennes à relaxer par moment, lui fis-je remarquer. Et sans Adderall, précisais-je.
Parce que le mec amorphe qu’il devient, c’est pas nécessairement une manière de se relaxer. Et pour l’instant, j’ai surtout pas besoin qu’il aie autant de tonus qu’une galette. Un coup d’oeil à ma montre, puis d’un trait, je vide mon gobelet.
- T’as fini et on y va où t’as encore besoin de temps? demandais-je en faisant un bref signe de tête vers la rue.
C’est l’heure d’aller poser des questions. Je sais qu’il va faire son entêté et vouloir venir, alors autant le demander direct. J’ai pas envie de me prendre la tête avec lui pendant une demi-heure à argumenter.
- Je t'aurais probablement pris pour plus cinglé que tu ne l'es si tu me l'avais dit comme ça, avouais-je à Jonathan.
Parce que sans savoir l'histoire des explosions et de son accident, je me serais dit qu'un amnésique avait probablement peu de chance de se souvenir d'une conversation qui ne le regardait pas et qui ne le concernait en rien. C’est donc même peut-être mieux qu’il ne m’aie pas présenter le tout comme il vient de le faire. Qui plus est, on ne serait pas à Miami si je l’avais pris pour un cinglé.
- C’est pas à prendre en exemple, mais, pour cette fois-là, c’est peut-être mieux de la façon dont ça s’est passé. Sinon, j’aurais pas accès à tes talents de fouine, affirmais-je. Et comme, jusqu’ici t’as fait tes preuves…
Parce que ce qu’il m’a rapporter sur mes contacts de Fairbanks, je pouvais - et je les ai - vérifié. Une partie de ce qu’il m’a dit pour mes contacts ici collaient aussi. Donc, je considère que son talent est prouvé. Safe.
- Faut que t’apprennes à relaxer par moment, lui fis-je remarquer. Et sans Adderall, précisais-je.
Parce que le mec amorphe qu’il devient, c’est pas nécessairement une manière de se relaxer. Et pour l’instant, j’ai surtout pas besoin qu’il aie autant de tonus qu’une galette. Un coup d’oeil à ma montre, puis d’un trait, je vide mon gobelet.
- T’as fini et on y va où t’as encore besoin de temps? demandais-je en faisant un bref signe de tête vers la rue.
C’est l’heure d’aller poser des questions. Je sais qu’il va faire son entêté et vouloir venir, alors autant le demander direct. J’ai pas envie de me prendre la tête avec lui pendant une demi-heure à argumenter.
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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
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(Invité)