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Valerie M. Z. Watson fiche; terminée C'est le 27 décembre 1989 à Toronto, que la famille Watson m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Valerie Maxine Zahra. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en musique comme majeure et en arts visuels comme mineure depuis maintenant un an je travail comme livreuse de pizza. Et pour terminer, je fais partie des Dunster. |
Études Je n'ai pas eu vraiment le temps d'exploiter mon potentiel étant enfant. Les moyens financier de ma mère et de mes grand-parents ne me l'ont pas permis. C'est donc très tard que je découvris ma passion, qui deviendra mon domaine d'étude. Suite au drame que j'ai vécu, c'est la musique qui m'a permis de m'évader, de sortir tout ce que je gardais en moi. Je n'ai jamais été très loquace, mais lorsque l'on me met ne serait-ce qu'une brosse à cheveux ou une bouteille d'eau dans les mains et que l'on me demande de chanter, tout ce qui me ronge sort. Je joue également de la guitare et du piano, deux instruments qui sont tout aussi thérapeutiques pour moi. Sans musique, je serais morte depuis deux ans. | Caractère « Maxine est une jeune fille discrète, réservée, introvertie et peu bavarde. Compte tenu de ses antécédents, c’est tout à fait compréhensible. Elle est très renfermée, solitaire et cache sa sensibilité sous une carapace. Elle veut faire croire à tout le monde qu’elle est forte, que rien ne l’atteint, mais c’est faux. Elle ne veut pas que les gens autour d’elle la voient pleurer. Cette jeune fille est sans contre dit une battante qui peut surmonter à peu près toutes les épreuves que la vie mettra sur son chemin. On ne peut pas dire, pourtant, qu’elle est quelqu’un d’optimiste. Elle est plutôt du genre à voir les choses telles qu’elles sont, sans toujours rechercher ce qu’il y a de bon dans chaque situation. » ─ Dr. Beauchemin, psychologue « Maxine, c'est quelqu'un de complexe. Je veux dire, elle peut avoir l'air excentrique avec ses tatouages, son side, mais au fond, tout le monde sait qu'elle est plutôt timide. Ça n'empêche pas qu'elle soit quelqu'un de très attachant. Elle a toujours le coeur sur la main, prête à aider son prochain. Elle est généreuse, rêveuse, passionnée et digne de confiance. Elle est cependant imprévisible, il faut être sur ses gardes lorsqu'on lui parle pour la première fois. Elle est franche et n'hésite pas à parler quand quelque chose lui déplait. Bien qu'elle aie quelques défauts, Maxine reste quelqu'un qu'il faut absolument apprendre à connaître. Elle est une amie loyale, fidèle et attentive.» ► J'ai plusieurs tatouages. Un sur le genoux représentant un pansement, parce que je suis excessivement maladroite. J'en ai un sur le doigt, une flèche, qui me guide toujours vers la bonne direction. J'ai en aussi sur le pied, mais ils s'effacent tranquillement. Voyez, mon corps est une oeuvre d'art. |
Everyone Has Their Own Story
« Donc. C'est lors d'un voyage d'une durée d'un mois en Afrique, comme bénévole pour un groupe humanitaire, que Holly Watson a rencontré Tarik Seye. Ce ne fut pas le coup de foudre, loin de là. Au départ, Clair trouvais que Tarik était arrogant, trop sûr de lui et fendant. Il était tout ce qu'elle n'aimait pas. De son côté, il la trouvait trop fleur bleue à s'offusquer à la moindre remarquer et il la trouvait trop peu aventureuse. Chat et chien. Leur histoire n'était en rien un conte de fée et n'avait rien de très magique. C'était plutôt la guerre constante. Le pire c'était que ça partait souvent en vrille pour peu de choses.
« C'était pas cette route qu'il fallait prendre. »
« Si, on est sur la bonne voie. On devrait arriver à l'hôtel dans quelques minutes. »
« Non, j'te dis, ce n'est pas par ici qu'on devait passer. »
Et encore une dispute pour presque rien. C'était la sixième de la journée. Ça faisait déjà une semaine et demie que ça durait. Constamment chercher des poux à l'autre, chercher le truc qui fera qu'il s'énervera. Cette dispute ne fit pas exception à la règle. Tarik s'énerva et Holly commença à paniquer, comme toujours. Il était du genre à garder son sang-froid et elle, à prendre peur dès que l'avenir n'était plus comme elle l'avait planifié. Peut-être qu'il avait raison et qu'ils étaient perdus ? Elle s'imaginait les pires scénarios, comme toujours. Pourtant, ce fut bien la première fois que Tarik se calma et tenta de réconforter la jeune femme.
« On est perdu, on va mourir. »
Oui, avec Holly, c'était toujours tout ou rien. Soit on va sortir vivant, soit on meurt. Tarik poussa un soupire avant de prendre la parole.
« On ne va pas mourir. On a juste à rebrousser chemin et on suit mon idée. »
La française poussa un soupire avant d'acquiescer d'un signe de la tête. Les jours ont passé et évidemment, ils ont été forcés à se côtoyer tous les foutus jours de ce mois. Ils ne passaient pas vingt-quatre heures sur vingt-quatre ensembles, fort heureusement. Ils ont cependant dû apprendre à vivre ensemble et à s'apprécier un minimum. Mais n'est-ce pas la façon dont on tombe amoureux ? En passant du temps avec une personne ? Reprenons, donc. Les jours défilèrent soudainement à une vitesse folle. Avant même qu'ils n'aient le temps de s'en rencontre compte, le voyage tirait à sa fin... et tous deux étaient en amour. Ils durent cependant se séparer. Holly devait rentrer en France. Après tout, elle avait des études à terminer. Tarik lui, ne pouvait pas abandonner sa famille sur un coup de tête. Une chose était certaine, ils se reverraient.
Lorsque Holly revint chez elle, évidemment, elle parla de son voyage, à quel point elle avait aimé son expérience et tout ça. Elle ne mentionna pas, cependant, Tarik. Si son père apprenait qu'elle était tombée amoureuse d'un africain, sa vie était finie. En effet, papa Watson était de la vieille école, il n'avait jamais vu d'immigrant de sa vie jusqu'à récemment. Il disait que ces gens allaient venir voler les emplois des travailleurs comme lui qui avaient donné leur vie pour la compagnie dont il faisait partie. Il mettait toujours tout sur la faute des immigrants et surtout des arabes. Si la vie allait mal, c'était la faute des arabes. Si on avait plus d'électricité à la maison, les arabes encore. Vous voyez le tableau ? Bien.
Elle ne put cependant pas le cacher bien longtemps. Elle et Tarik étaient bien décidés à garder contacte de toutes les façons possibles. Ils évitaient de s’appeler, parce que forcément ça couterait les yeux de la tête. Les SMS étaient une très bonne option, mais tous deux avaient convenus que les bonnes vieilles lettres écrites à la main étaient encore le meilleur moyen de communication. C’est donc deux semaines après son départ que le moment fatidique arriva. Denise Watson, la mère de Holly, revint à la maison, du courrier dans les mains. Parmi les missives, une lettres d’un dénommé Tarik Abiad. La femme, pensant que c’était une erreur ou une arnaque laissa cette lettre de côté avec la ferme intention de la jeter plus tard. Pourtant, alors qu’elle avait le dos tourné, Holly prit la lettre avec subtilité et monta dans sa chambre, lire ce que lui avait écrit son amoureux.
Elle venait à peine de terminer sa lecture qu’elle entendit toquer à la porte. La tête encore dans les nuages, elle accueillit sa mère, un sourire béat sur le visage. Madame Watson se doutait bien que sa fille lui cachait quelque chose, pourtant elle ne voulait pas la forcer à parler. Un silence régna donc dans la pièce pendant un moment avant que Holly ne décide d’ouvrir son cœur et tout raconter à sa mère. Elle ne négligea pas un seul détail. Elle lui raconta leur rencontre, leurs nombreuses disputes, sa première impression. Aucun détail ne fût négligé. Holly termina son récit par un « N’en parle pas à papa s’il te plait! » parce qu’elle craignait bien trop sa réaction.
À partir de ce jour, la relation entre Tarik et Holly était un secret bien gardé entre une mère et sa fille. Ils continuèrent de s’écrire et Tarik vint même en France. À cette époque, il avait vingt-et-un ans et elle en avait vingt. Les rencontres se firent en cachette. Holly, vive d’esprit, prétexta une rencontre avec des amis, devoir rentrer travailler ou d’autre raisons de la sorte. Cependant, papa surprit sa fille à embrasser cet homme, qu’il ne considérait même pas comme tel, lorsqu’il sortir de l’édifice ou il travaillait. Quel choc ce fut! Il ne fit rien, mais bouillait de l’intérieur. Il attendrait qu’elle rentre à la maison pour avoir une bonne discussion avec elle.
Choses promise, chose faite. Le père eut une discussion avec sa fille. La mère ne désirant pas s’impliquer dans cette conversation au sujet épineux resta en retrait, mais voyant que sa fille laissa tomber, monta dans sa chambre, les larmes aux yeux, elle ne put s’empêcher de tenter de résonner son mari. Il accepta bien de le rencontrer le jour suivant, lui donner une chance. Miracle!
Comme convenue, Holly invita Tarik chez elle. Elle l’avertit tout de même qu’il risquait de se montrer hostile et peu bavard. Tarik soupira mais il était tout de même heureux de pouvoir rencontrer les parents de sa bien-aimée. La journée se déroula sans anicroche, papa affichait son air le plus fermé, maman quant à elle était aux petits soins pour les deux tourtereaux et les jeunes adultes étaient aux anges, enfin réunis sans devoir se cacher. Monsieur Watson dû se rendre à l’évidence. Cet homme faisait le bonheur de sa fille. C’était tout ce qui comptait au final. Lorsque Tarik quitta la maison, il discuta avec sa fille et lui dit qu’il ferait des efforts pour l’accepter. Bonheur!
Bien que tout aille pour le mieux, Tarik dut rentrer chez lui. Ce n’était que le temps d’obtenir les papiers nécessaires, car il comptait bien s’installer en France afin de pouvoir vivre avec celle qui détenait la clé de son cœur. Un an plus tard, il posa le pied sur le sol de son pays d’adoption. Il trouva un petit appartement et rapidement, Holly aménagea chez lui. Ils avaient trop attendus, ils voulaient vivre ensemble, maintenant. Leur vie ne fut pas toujours facile, mais les embûches ne rendirent leur couple que plus fort. C’est lorsque Holly avait vingt-trois ans qu’un événement inattendu se produisit. Nausées, fringales, les signes ne pouvaient pas mentir. Un test vint le prouver, elle était enceinte. Pourtant, à l’annonce de cette nouvelle à son partenaire, la vie de Holly s’écroula. Un soir, elle rentra à l’appartement et elle ne trouva que les meubles. Plus rien. Il était parti. Pas même un mot ne trainait sur la table. Rien. Elle savait très bien la raison de son départ.
Voilà qui allait ravir papa. Malgré tout, elle tenait à garder cet enfant. Ses parents ne la laissèrent pas tomber. Ils ne payaient pas tout, mais l’aidèrent à ce qu’elle puisse acheter le strict minimum. Et voilà que neuf mois plus tard,Valerie Maxine Zahra Watson vit le jour. »
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