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JONATHAN & BENJI

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Quittant à pied le secteur du Corson House, je soupire. Il m'énerve cet avocat! Il travaillait pour les intérêts de mon père avant et maintenant... Il vient avec l'héritage, quoi! C'est aussi bien pour tout ce qui est paperasse et tout ça, parce que j'ai jamais gravité là-dedans et que j'ai pas envie de me prendre la tête avec tout ça. Seulement, il est toujours en train de me reprocher de ne pas vivre comme mon père le faisait, de ne pas me comporter comme un héritier industriel. J'ai jamais connu cette vie, et ceux qui se croient tout permis parce qu'ils ont du fric m'ont toujours horripilé! Comment je suis censé agir comme tel alors? Je changerai pas qui je suis et ce que j’ai vécu parce que je viens de me découvrir des ancêtres.

J'ai quand même accepter ce que le gratte-papier m'a demandé, soit aller porter des papiers de successions à l'un des anciens amis de Papa Skelton. Un cadeau offert à un certain Stephan Nathan Lynch. C'était dans ses dernières volontés, alors je peux pas dire non. Question de morale. J'en apprendrai peut-être un peu sur mon géniteur en rencontrant le bonhomme. De ce que j'en sais, le paternel ne m'a connu que quelques mois avant que ma mère ne fiche le camp comme à son habitude. Faut croire qu'il m'a jamais oublier par contre, vu ce qu’il m’a laissé. Mais niveau sentimental, j'ai aucune idée de ce que ça donne. Et c'est pas le bureaucrate de service qui va pouvoir m'en causer! Il a autant d'émotions qu'un concombre de mer!

Il a fait livré tous les papiers à ma chambre ce matin par messager, avec une note de l'appeler à la réception de ceux-ci. Il faudra pas que ça lui devienne une habitude ça, sinon il va m'entendre! Mais donc, pour le bon respect de la mémoire de feu Skelton Senior, le fils que je suis doit aller remettre en personne les papiers. Parce que, oh coïncidence, il est dans les parages le mec!

La filière de documents dans une main, je me renseigne à l’accueil avant d’arpenter les couloirs jusqu’à la suite mentionnée. L'autre aurait sûrement voulu que je me déguise en pingouin pour y aller, mais c'est pas trop mon fort, alors jeans et t-shirt simple, voilà tout. Des chances que je passe pour un simple messager, mais bon... Je toque au bon numéro et attends qu'on vienne ouvrir. Avisant la première tête qui se pointe à la porte, je me lance, plus ou moins direct.

- Bonjour. Je viens voir M. Lynch.

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-Sometimes i feel i've got to !! dam dam !! get away i've got tooo


Aujourd'hui est une belle journée pour chanter à tue tête, avec la radio. C'est aussi une belle journée pour faire de l'essayage.
Essayage de quoi dites vous? Mère renouvelle ma garde robe. Je la laisse faire à sa guise, parce que pour commencer, je dois avoir quelque chose à me mettre sur le dos, et deuxièmement j'attends le bon moment pour lui dire que son gout c'est de la merde...
Le bon moment ce sera quand elle aura dépensé une fortune en Gucci et Dior.
Eh puis avouons le, j'adore essayer de nouvelles choses.

Si on y regarde de plus prés, ce costume Dolce n'est pas si moche, le. Je dirais plutôt qu'avec un t-Shit sous la veste et des converses aux pied, c'est le look parfait pour un Samedi soir à faire la fête.
Je me demande comment je m'habillait les années précédentes? Au lycée j'ai toujours eu des uniformes. Et à mon retour, chaque été, chez moi j'avais toujours des short et pulls de petit fils à papa.
Bon, vu que j'ai toujours essayé de déchirer le plus possible de ces vêtement la en ayant des "accident"... au moins, je suis sure qu'une fois indépendant, j'ai changé de style. Du moins je l'espère.

... Tainted loovee !!!

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Eh oui , je n'ai pas oublié les paroles .
Regardant mon reflet dans le miroir, je fis quelques mouvements de hanche à la Travolta, des mouvement amples avec les bras en imitant un ptérodactyle, puis me suis penché en arrière. Avant de reprendre ma position initiale, complètement essoufflé.
Avant l'incident, et surtout a cause de mon trouble du déficit de l'attention, rien ne pouvait m'essoufflait. Rare étaient les fois ou on me voyait tranquil, assis ou allongé. Aujourd'hui, après le coma, ayant perdu 50% de mon poids et 100% de mes muscles, une séance d'essayage suffisait à me couper le souffle...
D'après mon docteur il faut que j'attende encore un peu. Ne pas solliciter mon corps plus que possible... Mouai.

Ding Dong!
Ah oui! J'oubliais que les suites de cet hôtel avait des sonneries, puisque d'habitude c'est Sydney qui s'en occupais.
Aujourd'hui je l'avais congédié, la priant de prendre au moins la matinée pour s'occuper d'autre chose que de moi. Je lui ai certifié que je n'allais pas quitter mon lit. J'ai mentit.
J'eu une minute d'inactivité, avant me rappeler que je devais ouvrir. En costume 3 pièce, Cravate et chemise rose.

Derrière la porte le coursier de l'hotel, apparement, était débout, des papiers à la main.

- Bonjour. Je viens voir M. Lynch.


Comme d'habitude à l'annonce de mon nom de famille, j'avais toujours le sentiment que mon père était dans la même pièce, avant de me rendre compte qu'on s'adressait à moi.

-Lui même.


Et si... On jouait un petit jeu. Je m'ennuie. Et si je faisait semblant d'être un petit aristocrate de la haute société. Disant que j'essaie de jouer le rôle de papa, au risque d'être détesté par l'employé de l'hôtel.
L'acteur en moi se reveille.

Tournant le dos au nouveau venu, je lui jetais d'un ton désinvolte

-Entrez!


Puis pointant une table à côté de la porte je lui dis

-Posez ça ici voulez vous?





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Costume trois pièces, cravate et tout, chemise rose, tête soigneusement ébouriffée. D'accord, je vois le genre. Et je réalise que l'avocat va encore piquer une crise s'il sait que je me suis pointer en jeans et t-shirt. Il va me encore me dire que j'agis comme un prolétaire. J'en ai toujours été un, alors qu'il me fiche la paix. Et puis, je suis techniquement en vacances, tentant de goûter ce nouveau style de vie, alors! Au pire, ça passera pour la garde-robe décontracté. Même si, dans la vie courante, j'accueille pas le monde en complet...  

J'hausse un sourcil à l'annonce de la personne. J'ai un doute. Ça m'étonnerait que ce soit lui l'ami en question que je dois venir voir. Non, honnêtement... il doit avoir mon âge! Alors à moins que mon père aie chercher à se lier d'amitié avec un bambin, je vois pas d'où une amitié de longue date peu s'être fixer en ces deux-là.  

Aussi sec, il se tourne, me disant d'enter, d'envoyer les documents sur la première table venue. En gros, il en a rien à cirer. Et c'est définitif, j'ai la dégaine d'un employé de l'hôtel, pas d'un héritier industriel de la haute, alors je me fais traiter comme tel. N'empêche, je dois les faire signer ses fichus papiers ou du moins m'assurer que je les ai refourgué au bon type. C'est pas comme si, moi, ça me dérangeait particulièrement qui prends succession. Mais je tiens à respecter les dernières volontés d'un défunt. Qui plus aie s'il est de ma famille, même si je l'ai pas connu.

- Skelton, ça te dis quelque chose? Demandais-je, la filière de documents toujours entre les doigts.

Je dépose pas tant que je sais pas. Et j'ai des doutes. À moins qu'il soit le petit protégé et qu'il aie décidé de le prendre sous son aile et de lui laisser de quoi se partir tout seul dans la vie, je crois pas que les documents soit pour lui. Vu la suite, j'ai aussi des doutes sur le côté "besoin de se partir seul", mais bon. En même temps, vu ce qu'il a fait pour moi... Je porte un main à mon front, agacé, pour me frotter l'arrêt du nez. Putain, ça aurait été plus simple si je l'avais connu un minimum le géniteur! Ou si l'autre bureaucrate était réellement capable de me parler de qui était Frederick James Skelton, la personne, pas le fichu porte-feuille!

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Lui tournant toujours le dos, je fis quelques pas en direction du petit salon de la suite. Vers le mini bar pour être plus précis.
Oh, il est vrai que je n'ai pas droit de boire de l'alcool, vu toute les petites pilules que j'ingurgite ces derniers jours, mais mon personnage de Monsieur Lynch , devait se servir du scotch à 3h de l'après midi. Surtout quand celui si était dans une si belle carafe, et que les verres étaient en cristal.

Me retournant vers l'autre personnages, je me repris bien vite sur sa fonction. Il ne pouvais pas être un coursier de l'hotel. Ils portaient tous un uniforme, ou à défaut, les couleurs de l'uniforme en question. Peut être est ce un coursier envoyé par mère? Elle ne m'a quitté que quelques heures auparavant... pour faire certaines courses. Regardant les papiers toujours dans la main de l'homme qui me faisait face, j'essayais d'imaginer ce qu'ils contenaient. Peut être des papier de la banque à cosigner ? Mère avait peut être besoin d'accès à mon compte.
Un sentiment jubilatoire de triomphe se fit sentir, quand, dans mon esprit , j'imaginait mère entrain de me demander de l'argent. Je me reprit bien vite... Concentre toi Jon! Tu joue un rôle.

-Skelton, ça te dis quelque chose?


Oh ! Wow! ça me prends au dépourvu tien.
Son intonation avait quelque chose de ... Un subtil gout d'orgueil... non non ! un gout de pouvoir. L'impératif de sa requête me laissa un instant perplexe. Il ne venait certainement pas de la part de ma mère, elle lui aurait parlé comme à un chien, et il se serait montré beaucoup plus humble en ma présence (surtout ainsi accoutré ) Alors qui était ce ?
Essayant de ne rien laisser paraitre de ma perplexité, et me replongeant dans mon personnage, après qu'une expression insidieuse d'incompréhension ait teint mon visage. Je pris la pince à glace et m'en servit pour gagner un peu de temps.

-Peut être


Dis je finalement, laconique.

Asseyez vous.


Reprise je.
Skelton? je connaissait ce nom de famille. Je savait que c'était un magnat de la finance qui s'est fait des sommes astronomique dans un domaine qui ne m'interésse que moyennement. Mais que père connait.
A bien y penser, je me rappelle avoir rencontrer un Skelton à deux ou 3 reprise. Pendant mon enfance. Oncle Fred. Je me rappelle d'un lac au fond du jardin. De deux gros chiens aussi. Je me rappelle aussi que c'était la période la plus dure pour mon hyperactivité. Et donc je ne me rappelle que des fragments de centaines d'activités que j'ai dû essayer... Rien de concret. Ni qui concerne Skelton.
Tendant le bras, et fixant les papiers, je lui demandais silencieusement de me les donner.


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Il se sert un verre, à l’aise dans son univers, le mec. Pas de quoi se fendre la tête pour un boulot ou n’importe. Les compteurs de la banque continuent de tourner et, lui il est peinard à boire son whisky, ou tout autre, sur glace à trois heures de l’aprèm. Que quelqu’un débarque ou non, ça changera pas ses habitudes… La vie des gens riches et pleins de frics, quoi!  

Je penche légèrement la tête sur le côté, l’observant, alors qu’il me dit de m’asseoir. Je ne bronche pas, préférant rester où je suis, tiquant sur sa réponse à ma question. « Peut-être. » Une question simple qui se répond par oui ou non et il me répond un « Peut-être. » Ça va, il trempait pas parmi les mafiosos mon père que je sache! Y’a pas de quoi risquer de se prendre une balle dans la tête parce que je te pose la question! Y’a pas de tireur embusqué de l’autre côté de la fenêtre! J’en soupire, passant mes doigts à mon front.  

Y’a ça comme problème… J’ai aucune idée de ce qu’il faisait le père, en fait. Gros magnat de la finance, à la tête d’un empire financier, propriétaire d’une multitude de compagnies… Ça pourrait, en fait, qu’il aie été affilié à une quelconque pègre ou de quoi du genre. Il brassait beaucoup d’argent, ses sociétés continuent d’ailleurs d’en brasser. Et moi, je comprends rien de tout ça. Et j’ai aucune idée de quelle vie il me menait. Il ne me reste que actes de propriété, des diplômes fièrement accrochés sur les murs du bureau au manoir à Cambridge - manoir où je n’ai pas encore remis les pieds d’ailleurs - quelques trucs qui traînent ici et là, et un avocat notarié plus renfermé qu’une huître pour me parler de la vie personnelle de mon père. Je sais qu’il a été avec ma mère. Elle ne se souvient que très vaguement de lui. Elle n’a même pas été capable de me le nommer comme il faut, c’est dire! Mais venant d’elle, c’est plus ou moins étonnant… M’enfin, bref. Je sais aussi que je suis censé être le seul héritié de la lignée Skelton, du moins selon les papiers. Mais est-ce qu’il a été avec d’autres femmes? Est-ce j’ai des frères ou soeurs perdus quelque part en ce bas monde dont il ne se souciait pas ou n’était pas au courant? J’ai pas cru comprendre qu’il ait été du genre à faire des portées de petits un peu partout, mais bon… Si oui, alors pourquoi m’avoir tout laissé à moi? J’en sais rien. Mais depuis quelque temps, j’envisage les possibilités. Parce que je me retrouve bazardé dans un univers totalement différent du mien et je balise pas. Mais alors pas du tout. Et c’est quelque chose que je déteste. N’avoir aucun contrôle et me faire dépasser par les évènements.  

Le voyant me tendre le bras, je ne bouge pourtant pas d’un poil, me contentant de le fixer. Ça peut pas être lui. À moins qu’il ait vraiment décidé de jouer au con, si ça en est pas un de nature. Et j’ai pas particulièrement la patience pour ceux qui jouent à ça.  

- Je me suis trompé d’endroit, finis-je par laisser tomber.  

J’ai pas demandé le prénom et c’est lui qui a affirmé qu’il se nommait Lynch après que je l’aie dis. Si c’est bien son patronyme, j’ai des doutes sur le fait qu’il soit véritablement la personne que à qui je dois m’adresser.  

- Je crois pas avoir la bonne personne, expliquais-je, prêt à tourner les talons. Navré pour le dérangement, m’excusais-je, un peu raide, après une certaine hésitation.  

Question de politesse. Marque de respect que je ne donne jamais à moins qu’elle ne soit méritée. Chose qui arrive rarement avec les richards. Allez savoir pourquoi, là ça a glisser tout seul, mê si c'était sec.

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Hum.
Ce n'étais pas normal.
J'avais peut être oublié plein de choses, mais je connaissais la nature des gens.
Les riches se faisaient respecter par les fonctionnaires. Même si cette assertion n'était pas ma préfére. Ce n'est pas de l'orgueil. Ni un quelconque manque de respect. Mais je savais, après l'avoir vu des milliers de fois que le respect des employés se gagnait de deux manières : L'argent, ou le pouvoir.
Bien sure on peut penser que le comportement entre en considération, mais soyons franc, les gens comme mon père se comportait rarement bien avec ceux qui leurs étaient inférieur.
Ou du moins c'était ce que le personnage que je jouais pensait. Puisque, pour ma part, tout les gens sont égaux et blablabla...
Je voulais tellement que l'autre entre dans la peau du personnage que j'avais imaginé!
Mais il  ne semblais pas coopérer. Voila un nouveau challenge inattendu...
Quand je lui avais demandé les papiers qui m'étaient adressé, il m'avait regardé avec un certain dédain, comme pour me juger, avait scanné mon costume, et ses yeux s'étaient arrêté un instant sur le verre que je fis semblant de porter à mes lèvres. Sans boire.
Il ne me les a pas donné.

Je me suis trompé d’endroit

finit il par dire.
Et ça me frappa enfin. La vérité c'est qu'il n'était pas un employé, un coursier ou n'importe qui. Je n'y avait pas fait attention, mais... cette coupe de cheveux joliment en désordre, ces vêtements négligé, pull et chaussures de marque... je n'avais pas non plus remarqué la montre qu'il portait au poignet.
Elle ressemblait à une autre.
La mienne.
Celle, qui d'après les dire de mère m'avait été offerte par mon père, quand j'ai été accepté à Eliot.
Oui la même.

Relevant la manche je la fit nonchalamment jouer autour de mon poignet.

Je crois pas avoir la bonne personne, Navré pour le dérangement

Et il esquissa un mouvement vers la porte.

Monsieur Frederick Skelton, grand magnat de la finance

Dis je à haute voix
Rappel toi ! rappel toi ! rappel toi!

Habite à Cambridge

C'est un peu fin. Allez encore une information. Quand je me concentre bien, j'arrive à me rappeler le plus petit des détails.

Avait deux chiens, Livie et Sam.

Heu ouai, mais ce n'est pas une information très importante.

Diplomé de Harvard.

Lui et père étaient copain de chambré. Je me rappel une bribe de conversation entre eux, un peu après mes 16 ans :
Il avait dit :
"Ne le laisse pas devenir aussi coincé que toi, tu te rappel comment tu étais fourré dans tes livres sans arrêt. Je devais te harceler une journée à l'avance pour que tu me laisse la chambre pour une soirée."
Eh oui, père était un rat de bibliothèque, et d'après oncle Fred, un prude. Il ne l'est plus.
Ce souvenir implique que tout les deux faisaient partie d'Eliot House .

Faisait partie d'Eliot House.

Bon, ça passe ou ça casse. Allait il mordre à l'hameçon?

Je connais Fred Skelton. Par contre Je ne vous connais pas VOUS. Je ne connais pas votre nom ... ni qui vous être ou ce que vous voulez de moi?



Que dit on déjà sur la curiosité et les chats?




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Je me détourne, dans le but de partir. L’autre s’arrangera pour faire revenir quelqu’un ici pour les papiers. Moi je reste pas. J’étais pas la meilleure personne pour faire ça, déjà de base. Alors s’il veut s’amuser à déconner, je ferai pas plus d’efforts. Je veux bien respecter les volontés d’un défunt - même si je l’ai pas connu - mais c’était spécifié nulle part que c’est moi qui devait le faire. Faut juste transmettre le tout, faire parapher d’une signature ou deux. Il gueulera tant qu’il veut le gratte-papier. J’en ai rien à faire : qu’il envoie un messager.

- Monsieur Frederick Skelton, grand magnat de la finance.

Je stoppe et laisse mon regard revenir sur lui, sur le supposé Lynch, alors qu’il parle plus sérieusement. Ça, le fait que Papa Skelton aie été une tête dirigeante de la finance, j’imagine que plusieurs personnes pourront le dire. Il me défile encore quelques informations… Cambridge; outre le temps de verbe, ça colle. Les deux dogs; je sais pas ils datent de quand, mais je sais que l’avocat semblait enchanté qu’il n’y en ait plus et que je n’en possède pas. Le pauvre chou, il déteste ces bêtes et apparement, y’en a toujours eu au manoir. Harvard; j’ai vu les diplômes et mention sur les murs. Pour la Eliot; y’a un ruban de concours présidentiel accroché avec les mentions, alors j’imagine que ça doit être vrai. Distraitement, j’hoche la tête.

Je craque un sourire en coin lorsqu’il affirme connaître mon géniteur. Très bien, j’accepte d’y croire. Il en connait déjà plus que moi, mais ça c’est sensiblement tout le monde… Les infos semblaient couler assez naturellement, alors ça me va. Je marche.  

- Donc, t’étais son petit protégé, si je comprends bien, affirmais-je en lui faisant face de nouveau.

Vu l’âge, s’il est l’ami en question, je vois pas d’autres options. À part peut-être Sugar Daddy, mais j’ai le droit de penser que c’est pas trop ça? Pas que ça me regarde particulièrement de toute façon. Si le père se sentait l’âme à ça, souhaitons que ça lui aie plus! Mais dans ce cas, c’est pas mon nom qui figurerait un peu partout, ça serait le sien. Du moins, selon ce que je peux connaître de la logique du sujet... Je penche donc pour le mentor dans son domaine.

- Benji Skelton, déclinais-je pour m’identifier. Fils de Frederick Skelton.

Ouais. Apparemment. Selon tous les papiers, selon tous les tests que j’ai du passé, au grand découragement de l’avocat : paraît qu’on est lié, que son sang coule dans mes veines. Ça fait quand même vachement spécial de se présenter comme ça! Moi qui n’aie jamais eu que ma mère…

- Mon père a laisser des papiers pour... je marque un temps d'arrêt, pas chaud à l'idée qu'il valide simplement ce que je dis. Ton prénom? Demandais-je simplement.

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Donc, t’étais son petit protégé, si je comprends bien.

Je ne comprenais pas vraiment son affirmation. Je connaissais Oncle Fred oui, mais de la à dire que j’étais son protégé?

Benji Skelton, Fils de Frederick Skelton.



Alors c’était ça “Avoir un flash” ?
C’est d’avoir une remonté d’informations tellement soudaine, ton cerveau la traite si rapidement, c’est tellement étrange… que cela provoque un spasme à tout ton corps.
***
Deux hommes se tenaient au milieu de la pièce. Le blond se tenait prés de la fenetre de cette immence bibliotheque, un scotch à la main. Le brun etait débout prés d’une chaise en acajou, tenant à la main des papiers et une enveloppe déchiré. Il regardait  l’autre homme et parlait d’une voix étranglé :

-Benji, dit il, Il s’appelle Benji. Il a 27 , il à habité… un peu partout …  Tu te rends compte Stephen? J’ai un fils que je ne connais pas.
-Tu es sure que c’est le tien?

Mon père mesdames et messieurs ! Impassible comme à son habitude… je crois qu’il n’a même pas perçu le ton alarmé de son compagnon. Il n’a même pas détourné les yeux du paysage.
Je suis très fier de lui. Au moins autant qu’il est fier tout court.
Secouant les papiers qu’il tenait à la main l’autre lui répondit en criant :

-Voila 3 tests dans les hôpitaux les plus renommé … Les dates de l’acouchement… La PHOTO ! tout coïncide.
C’est vrai qu’il te ressemble Affirma pére. toujours aussi chaleureux qu’un iceberg
-Oui

Au moins cela eu le mérite de dérider son ami. Un sourire apaisa ses traits tandis qu’il reprenait la photo et la regarda encore quelques instants.

-Fred? Qu’est ce que tu vas faire maintenant ?demanda mon pére, rempant le silence .
-Je ne sais pas … je n’ai aucune idée… je ne… balbutia monsieur Skelton
-Tu sais qu’il ne te reste pas beaucoup de temps.
-Oui.
-Et tu sais qu’il pourrait ….  
-Oui je sais Stephen ! je n’ai pas besoin de toi pour me le rappeler.
-Tu devrais….
-Ce que je devrais faire n’a rien à voir avec ce que je veux faire. Je ne veux pas lui chambouler sa vie, je ne veux pas aller taper à sa porte pour lui lâcher, qu’en fait son père ne savais pas pour son existence.
-Pourtant tu…
-Stephan, le coupa le brun, je pense qu’il est temps que je prenne congés. Merci pour ton hospitalité.

Il n’attendit pas de réponse, se retournant vers la porte, il me vit, debout dans le couloir à écouter une conversation qui ne me concernait pas. Mais qui changeait radicalement la vie de deux personnes.

-Tu as de la chance de connaître le tien Stephan. Dit-il avant de sortir, ne la gaspille pas.

Mon père ne bougea même pas. Quelque chose dans le paysage devait vraiment le captiver.
***



Finalement le docteur n’avait pas tord, parler aux gens stimule la mémoire.
Dommage que stimuler ma mémoire implique que je fasse tomber un verre de cristal hors de prix, avec dedans un liquide ombré encore plus hors de prix.
Regardant le fils d’oncle Fred, je me décidais enfin que le jeu était terminé, je pourrais facilement le reprendre avec une autre personne.
M’avançant la main tendue, et dépassant les bris de verre à mes pieds comme s’ils n'existaient pas, j’avais un grand sourire plaqué sur les lèvres, et me rendit compte que pour lui ce changement devait être … très surprenant.

Jonathan Lynch, Oncle Fred doit être content d’avoir repris contacte avec toi. Tu dois être ici pour voir mon père , Staphan Lynch.


J’aurais été au regret de lui dire que malheureusement, ce dernier n’avait pas pris en considération les conseils de son pére. Et n’avait pas saisit la chance de connaître son fils.

J’étais heureux. Dans mon flash je devais avoir 21 ans, soit 1 an avant mon coma. C’est mon premier souvenir de cette époque. Et je le devais à Benji!



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Alors que je m’apprête à tourner les talons, il se décide à arrêter momentanément de jouer et me décline plusieurs informations concernant mon père. J’ai finalement l’impression que je m’adresse à la bonne personne. Enfin, plus ou moins. Je lui demande de s’identifier, mais je l’ai perdu. Parti quelque part dans ses pensées et vu le spasme, je sais pas si je serrai pas mieux d’appeler une ambulance ou n’importe… Il me claquera quand même pas entre les doigts? Il doit avoir mon âge, peut-être même un peu moins! Fragile du coeur à cet âge oui, ça se peut, mais n’empêche. Y’a certaine crise que je peux gérer, certains soins que je peux administrer, mais ça se résume surtout au surdose et ce qui s’y rapproche. Là je sais même pas ce qui lui prends.

- Ça va?

Ouais, question stupide. J’ai peu de chance qu’il me réponde vu qu’il a l’air en partie halluciné. Ses doigts s’ouvre, laissant glissé son verre qui se fracasse au sol. Un instant, j’ai la pensée qu’il risque de s’évanouir, mais il semble plutôt revenir parmi le commun des mortels. Me fixant un instant, il m’adresse un grand sourire avant de se franchir les quelques pas qui nous sépare. Alors qu’il me tends la main, l’air particulièrement heureux de me voir, moi j’ai plus l’impression d’avoir affaire à un dédoublement de personnalité. Comme si la facade de mec hautain avait éclaté en même temps que le verre qui a touché le sol. Soudainement, je fais partie de la famille et ça semble l’enchanter. Juste un peu déstabilisant.

Je lui rends sa poignée de main, tiquant sur ses mots. Il est le fils de celui à qui je suis censé délivré les papiers. Il appelait mon père “Oncle Fred”. Ouais, je fais partie de la famille alors. Ce qui me frappe, ça reste la partie concernant la reprise de contact. Que Frederick en aurait été heureux. Il me cherchait alors? Il désirait me voir… depuis combien de temps? Je repousse volontairement la première partie de ses dires et lui tends la filière. Je ne crois pas que ça deviendra complexe ensuite que ça se rende à la bonne personne. Et ça doit être correct de les lui laisser, je crois pas trahir les dernières volontés.

- Oui, les papiers sont pour Stephan Nathan Lynch, confirmais-je. Un cadeau de mon père.

Je passe ma main à ma nuque, un peu mal à l’aise. On annonce ça comment? Vu la réaction qu’il a eu tantôt, j’ai pas l’impression que ça aiderait sa santé. Il n’était peut-être pas son petit protégé comme je l’avais déduis, mais il semblait le connaître assez bien. Je ne sais pas s’il le côtoyait régulièrement. Chose certaine, ça faisait un bon moment maintenant qu’il ne l’avait pas vu. Et les nouvelles ne s’était pas plus rendues. Est-ce que c’était volontaire de la part de son père ou de quelqu’un d’autre? Si je lui dis la vérité, je lui grille sa santé? Il a le droit de savoir s’il l’appréciait. C’est mon point de vue. C’est juste plus délicat à dire. Et ça serait bien que je ne soit pas aussi insensible que ceux qui me l’ont annoncé!

- Je n’ai jamais rencontré Frederick, avouais-je. J’ai appris son existence parce que le bureau de son avocat m’a téléphoné, expliquais-je, marquant une pause avant de continuer. Il est décédé en avril dernier, l’informais-je. Je suis désolé.

Ça me semble d’autant plus navrant maintenant que je sais qu’il aurait aimer prendre contact avec moi. Du moins selon les dire de Jonathan. Ma vie sur la route et tout les ennuies de ma mère n’ont pas dû faciliter ses recherches. Malgré les quatre dernières années en Alaska.

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Il était mort.
Personne n'avait cru bon de me faire la liste des défunts après mon réveil. Et je n'étais pas si proche que ça, d'oncle Fred.
Mais je l'aimais bien, il rendait mon père heureux. Je m'en rends compte maintenant, c'est la personne qu'il appréciait le plus, et qu'il considérait le plus comme un ami. Ca a du être un choc pour lui, en ce temps la, en Avril dernier.

C'est moi qui suis désolé. Toutes mes condoléances.

Dis je enfin à Benji.
Je voulais le prendre dans mes bras, lui dire que tout irait bien, que je serait la pour lui. Puis, je me rendis compte que la personne avec qui je voulais le faire n'était pas lui... mais père.
Benji ne connaissait pas oncle Fred. Il ne l'avait connu que de part l'héritage qu'il a reçu.

Tu veux t'asseoir?

Enjambant le fracas de mon verre je m'approchait de lui, une main sur son épaule, un simple contact de sympathie.

Oncle Fred m'a déjà parlé de toi... Je penses...

Marquant une minute de silence je me concentrait sur le souvenir que j'ai eu, espérant en avoir un nouveau, quelque chose à partager avec Benji. Sans ternir l'image du père dans les yeux du fils.

Je veux dire... je ne me rappelle pas vraiment toute notre conversation, ça c'est passé il y a 3 ou 4 ans... Mais je sais qu'il pensait a reprendre le contact avec toi.

Sa conversation avec père était vraiment laconique. En y repensant j'avais l'impression qu'ils parlaient de quelque chose de grave... J'aurais pensé que, même si oncle Fred affirmait le contraire, il aurait tout fait pour reprendre contact avec son fils.
Avec toute sa fortune il y serait arrivé.
Qu'est ce qui s'était passé?

Distraitement je regardait les papiers que Benji m'avait donné pour Mr Stephan Nathan Lynch. Aujourd'hui détenteur, en plus de toute sa fortune, de la société "ISH pour la recherche pharmaceutique" comme écrit sur l'entête.
Je ne savait même pas que les deux hommes investissait dans ce genre d'affaire. Cela dit je ne savais pas grand chose à propos des affaires de mon père, au grand damn de ma mère.  



DEV NERD GIRL


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