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ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence.

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antonella scorsese

jennifer
lawrence
Fiche d'identité
Nomton nom est sans doute bien célèbre dans le monde entier, et pour cause. tu es de la famille Scorsese, étant la petite-fille du talentueux réalisateur. et ça, tu en es plus que fière.Prénom(s) origine italienne oblige, on t'a nommé Antonella. c'est rare qu'on t'interpelle par ton prénom en entier, souvent c'est juste Anto. bon, ta mère, à moitié américaine, a quand même insisté pour que tu aies Elsy en second prénom, alors pour lui faire plaisir tu l'as gardé.Âge seulement vingt-trois années. certes, tu restes adolescente sur les bords, mais avec tout ce que tu as déjà vécu, et ce que tu vis encore, t'as l'impression d'avoir quarante balais.Date de naissance vingt-huit août quatre-vingt douze.Lieu de naissance en Toscane, dans ce pays qui te manque cruellement, l'Italie. tu l'as quitté trop jeune et tu rêves d'y retourner une fois tes études terminées. ce qui n'est pas gagné.Statut amoureux fiancée depuis cinq mois maintenant, avec sam steadworth, en ayant été forcée. il n'y a rien entre vous, si ce n'est une sorte de profond mépris. tu le hais, tu lui pourris la vie mais tu prétends devant tous que c'est le grand amour entre vous.Orientation sexuelle sans hésitation, t'es hétéro. t'as toujours aimé les hommes, et sans doute que cela ne changera pas de sitôt.Classe sociale il est évident que tu es d'une famille bien aisée, tu n'as jamais été dans le besoin c'est sur. pour autant, t'as pas la grosse tête, ni pour autant honte de la richesse de ta famille.Études majeures arts visuels. c'était obligé quoi. tu commences déjà à en avoir marre d'être devant la caméra, toi tu aimerai bien tourner tes propres films, comme ton cher grand-père. mais pour ça, il te faut apprendre les bases du cinéma, la théorie et pas seulement la pratique.Études mineures aucune, t'as pas le temps pour ça.Job tu es actrice depuis ton plus jeune âge. tu as commencé avec des publicités quand tu étais petite, et depuis tu tournes dans d'assez grosses productions. tu es aussi égérie pour de grandes marques. en bref, tu baignes dans le milieu de la célébrité. ( (emo) )Choix de groupe #1 lowell house.Choix de groupe #2 students.


GROUPE 1.
Depuis tout bébé, tu baignes dans le monde artistique. Tout d'abord avec ton grand-père qui n'est autre que le grand Martin Scorsese, mais aussi par le biais de ton père qui est lui-même un grand acteur. Ta mère n'est pas exclu de ce monde d'artistes, puisqu'elle est styliste pour une prestigieuse maison de haute couture. Sans parler de tes soeurs, qui ont aussi un pied là-dedans. Bref, c'est la famille Scorsese, l'Art et la culture sont mis sur un piédestal. C'est la principale raison qui te pousse à rejoindre les Lowell, plus qu'une autre maison. Car tu reconnais en eux cette âme artistique, libre et inventive que tu cherches tant. Ce n'est pas juste parce que tu suis des études d'arts visuels que tu souhaites les rejoindre. Tu aurais très bien pu étudier les mathématiques ou le sport que ton choix se serait tout de même porté sur cette maison. L'art n'est pas juste une passion pour toi, un passe-temps comme un autre ou même un gagne-pain. C'est tellement plus. C'est ce qui te forge chaque jour, ce qui t'a construit et qui continue à forger ta personnalité. Tu es actrice, égérie pour des marques de prêt à porter comme de produits de beauté, tu cours dans un musée dès que tu le peux, ou dans une salle d'expo, tu passes tes soirées à l'opéra ou au théâtre, tu dévores d'une traite des romans de tout genre. Non, vraiment, l'art c'est ta vie, et tu exagères à peine.

GROUPE 2.
Comme tu l'as dit, tu ne te vois que chez les Lowell. C'est pour cette raison qu'en second choix,et ce malgré les risques, tu as pris le groupe des Students. Les Quincy, les Cabot ou encore les Mather, leurs valeurs ne sont pas les tiennes. Du moins, elles ne te définissent pas entièrement. Tu considères avoir un peu de chaque maison en toi, que ça soit le privilège des Eliot, l'amour pour la fête des Mather ou l'ambition des Dunster. Tu retrouves toutes ces choses chez toi, c'est pour quoi tu ne peux faire ton choix pour une seconde maison. Ainsi, les Students semblent te convenir pour un deuxième choix, un plan B. Non pas que tu n'aimes pas être catégorisé, au contraire tu veux bien entrer dans le jeu des confréries que tu trouves particulièrement intéressant. Tu ne trouves juste pas ta place autre part que chez les artistes, qui te définissent, eux, entièrement.
APRÈS LA BOMBE.
Grande chanceuse que tu es, il faut l'avouer, tu n'y étais pas. Et pourtant, cet événement a laissé des blessures en toi, de terribles souvenirs que tu n'aimes te remémorer. Tu te souviens parfaitement de ce que tu faisais ce jour-là. Tu avais du louper les cours, comme bien souvent malheureusement, pour passer un casting. C'est par le biais des réseaux sociaux que tu as été tenu au courant, et tu t'es effondrée. Jamais tu n'aurais imaginé que l'on puisse s'attaquer à Harvard. Tu n'es pas forcément naïve, un peu oui, mais tu n'as jamais compris comment l'on pouvait s'en prendre à tant d'innocents. Heureusement, aucun de tes proches n'a péri dans ces attaques, quelques uns ont été blessé certes. Mais rien de bien grave.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
La chance a parfois tendance à tourner. Comme tous, tu eus vent des diverses agressions qui étaient en train de se produire un peu partout sur le campus. Tu n'étais pas du tout rassurée, si bien que tu te promenais rarement seule les quelques jours où la terreur grondait. Et puis, il y a eu les prises d'otages un peu partout à l'université, et tu fus prise dans l'une d'elles, au McDonalds du campus. Coup du destin, toi qui n'y mange d'habitude jamais tu avais voulu changer un peu. Tu étais tombée le mauvais jour, à la mauvaise heure. Tu n'avais pas joué les héros, ça c'est certain. Tu t'étais faite toute discrète, mais le preneur d'otage semblait t'avoir reconnu. La célébrité n'a pas que des côtés positifs. Quand son arme te visa, tu faillis tomber dans les pommes. Tu avais beau lui mentir, et affirmer que tu n'étais pas celle qu'il prétendait que tu étais, il s'énerva davantage. Il commença à crier, ce qui te fit un peu plus paniquer alors que tu n'osais pas le regarder, ni lui ni cette arme pointée sur toi. Tu criais, il criait, la situation commençait à s'envenimer jusqu'à ce que son doigt se pose sur la gâchette. Tout alla alors extrêmement vite. Alors que le preneur d'otage tira, quelqu'un eu le réflexe de te pousser. La balle te toucha malgré tout, mais n'arracha qu'un morceau de ta chair au côté droit de ton ventre. Tu hurlas, plus par peur que par douleur, avant de t'évanouir véritablement. Tu ne sais rien de ce qu'il se passa après, et ne découvrit jamais qui était la personne qui t'avait sauvé.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Antonella est la petite-fille du réalisateur Martin Scorsese, elle est donc assez connue dans le monde notamment parce qu'elle est elle-même actrice ≫ pour autant, elle ne se sent pas supérieure aux autres et se fond plutôt bien dans la masse ≫ ses propres parents sont célèbres, son père est acteur et sa mère styliste pour une grande marque ≫ c'est d'ailleurs l'une des raisons qui explique pourquoi Anto vient en cours habillée comme pour un défilé ≫ en effet, c'est une jeune femme qui aime prendre soin d'elle, sans tomber dans la superficialité. elle adore bien s'habiller et se pomponner comme la petite diva qu'elle est ≫ Nella est aussi membre de la mafia italienne depuis ses dix-huit ans, elle n'est pas la plus active des membres, mais elle a appris à manier les armes, blanches comme à feu, et commence à diriger petit à petit les affaires que mènent sa famille mafieuse ≫née en Italie et ça s'entend à son accent parfois très prononcé, surtout lorsqu'elle est énervée ≫ il est vrai que son pays lui manque chaque jour, pour autant, elle ne regrette pas son choix d'être entrée à Harvard malgré le refus de ses parents de se mélanger aux gens ≫ pour cause, elle veut parfois un peu souffler et oublier le milieu de la célébrité dans lequel elle baigne en vivant une simple vie d'étudiante ≫ elle accorde d'ailleurs assez facilement sa confiance aux autres, sans être une pure naïve. on lui a bien tôt appris qu'on tenterait de se servir d'elle toute sa vie, étant donné son grade. et pourtant, elle se fait toujours avoir bien malgré elle ≫ il ne faut donc pas se fier à son air d'ange, c'est une véritable femme au sang chaud qui a tendance à vite s'énerver, parfois pour un rien. et quand elle explose, elle est méconnaissable ≫ elle peut même devenir violente selon la situation, et son rang dans la mafia italienne fait d'elle une femme dangereuse, tout de même ≫ autre chose qui lui fait perdre la tête ? l'alcool. elle aime beaucoup boire, le plus souvent à petites doses. mais quand elle se lâche sur la boisson, ça devient souvent bien désastreux ≫ lors de la prise d'otage à Harvard, en janvier deux mille quinze, elle s'est pratiquement pris une balle dans le ventre. heureusement, un inconnu l'a sauvé en la poussant, mais elle n'a jamais qui il était ≫ elle a tenté des opérations pour camoufler cette vilaine cicatrice, mais malheureusement elle est toujours aussi visible ≫ elle ne connaît pas sa véritable mère, étant née bâtarde d'une liaison extra-conjugale et son père l'ayant arraché à sa mère pour l'a ramener dans la famille ≫ sa mère, la femme de son père, ne l'a donc jamais porté dans son coeur et lui fait comprendre depuis qu'elle est petite qu'elle ne sera jamais une membre à part entière de la famille ≫ c'est une énorme passionnée d'Art, courant dans chaque musée dès qu'elle visite une ville, dévorant d'une traite des romans ou ne ratant jamais une représentation d'opéra ou de théâtre en ville ≫ bref, elle sort énormément, notamment en soirée, étudiante comme mondaine, et est donc très peu chez elle ≫ d'ailleurs, elle ne fait jamais la cuisine. une vraie honte de la part d'une italienne, comme le lui rappelle sa mère. mais elle n'a pas l'envie d'apprendre, elle préfère se faire livrer ou aller directement au restaurant ≫ d'ailleurs, elle fait très souvent profiter ses amis les plus proches de sa fortune, loin d'être radine. elle ne regarde jamais les dépenses qu'elle fait, que ce soit lorsqu'elle offre des cadeaux ou quand elle leur paye des vacances ≫ elle profite aussi de sa notoriété pour faire entendre sa voix dans d'innombrables causes. la cause animalière, environnementale, la défense des droits des femmes, des minorités, des plus démunis etc. en plus d'y verser fréquemment des dons, tu donnes la main à la pâte quand tu en as le temps, en allant visiter des enfants hospitalisés par exemple ou en allant à la rencontre d'habitants de quartiers défavorisés. ≫ elle fait bien entendu tout cela pour son image d'actrice, bien sur. comme tous, en fait. mais elle demeure tout de même sincère dans ses démarches.


lorenza
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle BELLA CIAO. et j'ai ça se demande pas, salopio. ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 387742012 mais bon, vingt, allez. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à moi, j'ai besoin de personne t'as cru toi.  En arrivant avec mon premier compte, je me disais que c'était le forum idéal, mais en fait non j'vous aime pas bande de puants alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise jennifer lawrence comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par chevalisse. Je fais environ je sais pas trop, une moitié de page word, maxi une entière mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ rip jamie. ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 387742012

Je souhaite
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

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Once upon a time




(+++) je courais toujours pour aller partout, mais je ne pensais pas pour autant que ça allait me mener quelque part.
( forrest gump )

Le Festival de Cannes venait de s'achever, à ton plus grand regret. Tu trouvais toujours qu'il ne durait pas assez longtemps, toi qui venait monter les marches depuis tes treize ans. Sirotant un rosé des plus parfaits, tu attendais dans ta chambre d'hôtel l'arrivée d'un énième journaliste. Les festivals étaient toujours le moment de l'année où tu étais demandée par tout les magazines possibles. Ça ne te dérangeait pas plus que cela, tu savais que ça faisait partie du package de la célébrité. C'était même parfois assez amusant, sauf peut être lorsque tu tombais sur de gros lourds qui ne te posaient que des questions de l'ordre du privé sans s'intéresser à ta carrière. Et ils étaient bien nombreux. Posant ton verre – ça n'était jamais bien perçu de recevoir quelqu'un en buvant de l'alcool – on vint t'avertir que le journaliste était enfin là. Tu réajustas ta robe, te levas et allas l'accueillir, tout sourire. C'était un magazine français que tu ne connaissais pas très bien, à vrai dire. Tu savais juste qu'il était ici pour parler du dernier film dans lequel tu avais joué, et qui venait de recevoir le Prix du Jury. Les salutations faites, il posa son dictaphone et vous échangèrent quelques banalités. « Scorsese, quel grand nom que vous avez le privilège de porter tout de même ! On connaît les talents de votre famille, surtout ceux de votre grand-père. Mais ce que l'on aimerait par-dessus tout savoir, c'est comment est la famille Scorsese en dehors des caméras ? » Tu fins de rire, alors qu'en vérité cela t'irrite quelque peu qu'il aborde aussi rapidement ta vie privée. « Nous avons beau nous nommer Scorsese, nous sommes comme n'importe quelle autre famille. Sans parler du succès que connaissent chacun dans leur domaine mes parents, nous restons avant tout une famille. Et vous savez comment les familles italiennes sont, n'est-ce pas ? (rire) Mes parents ont beau être les stars qu'on connaît aujourd'hui, ils ont toujours su prendre du temps pour mes sœurs et moi. Je n'ai pas manqué d'amour, ça c'est sur. Je pense même à avoir à revendre ! Non, vraiment ils ont toujours su faire la part entre leur carrière et leur famille, ce qui explique pourquoi nous sommes si unis encore aujourd'hui. J'ai beau avoir vingt-trois ans, je ne peux pas encore me passer d'eux ! J'ai toujours été – on a toujours été, avec mes sœurs – chouchoutées sans jamais être jusqu'à gâtées à l'extrême. Ils savaient nous mettre des limites, nous remettre à notre place quand nos egos prenaient trop de place. (rire) Je n'ai rien à leur reprocher, ils sont pour moi l'exemple des parents que tout enfant aimerait avoir. » Le journaliste te sourit, prend quelques notes mais tu vois bien qu'il n'a pas eu ce qu'il attendait. Lui, ce dont il désirait, c'est que tu lui parles d'une quelconque enfance malheureusement. Des parents démissionnaires, ou pire des parents violents. Tu voyais très bien à quel genre de journaliste tu avais à faire, le genre qui aime les récits dramatiques et noirs. Tu le savais car bien souvent on venait te parler du fameux adultère de ton père, lui qui a été tromper sa femme il y a vingt-trois ans de cela et qui a ramené de cette tromperie un bébé : toi. Tu n'es pas une pure Scorsese, ta mère, du moins celle qui t'a élevé, te le fait bien comprendre depuis que tu es petite. Tu es et restera à jamais une bâtarde. Mais tu préfères ne pas aborder ce sujet, tu n'aimes vraiment pas en parler.

Il te parlait enfin du film que tu étais venue représenter et dont tu parlais sans fin. C'était une sorte de thriller, tirée d'une histoire vraie. L'histoire du meurtre d'une enfant dans un petit village français – justement – et dans laquelle tu jouais la mère touchée par ce drame. C'est alors ce dont le journaliste te parlait. « Vous êtes extrêmement convaincante dans ce rôle de mère de famille complètement abattue. Vous êtes pourtant si jeune, vingt-quatre si je ne me trompe ? » « Vingt-trois, mais c'est vrai que je fais bien plus âgée (rire). » « Assez pour nous donner des frissons tout le long du film. Qu'est-ce qui vous a tant inspiré ? Vous n'êtes pas mère, mais vous tenez très bien ce rôle. Comment l'expliquez-vous ? » « Je ne pense pas qu'il est nécessaire d'être mère pour pouvoir, et savoir, comment en interpréter une. Des acteurs jouent bien des serial-killer sans pour autant l'être ! (rires) Mais il est vrai que je me suis bien inspirée de mon propre vécu pour avoir l'étoffe d'une mère. Mes parents ont eu le plaisir de n'avoir que des filles, une large fratrie dont je suis la deuxième aînée ! Petite, je m'occupais alors beaucoup de mes autres sœurs. Encore aujourd'hui d'ailleurs. Je ne prenais pas la place de mes parents, non, mais je pense avoir toujours rempli mon rôle de grande sœur. J'ai toujours aimé m'occuper d'elles, ça n'a jamais été une quelconque corvée. Apprendre à leur faire à manger, même si ce n'est jamais bien bon comparée aux plats de ma mère ! (rire) Les aider à faire leur devoir, les conseiller sur un peu tout et n'importe quoi, encore aujourd'hui. Tout simplement être là pour elles, comme elles sont là pour moi. C'est vrai que j'ai toujours aimé faire ma petite chef. Sans jamais être bien méchante, juste quelques broutilles entre sœurs, ce qui est normal, j'aimais bien, et j'aime toujours diriger la petit fratrie. Être celle qui les aident, les guident. Je ferai toujours tout pour elles, et elles le savent. »



(+++) et j’espère qu’elle sera idiote. une ravissante petite idiote, on ne peut pas souhaiter plus beau destin pour une fille ici bas.
( the great gatsby )

Les services de l’hôtel passèrent vous mettre à disposition de l’eau fraîche. Il ne faisait pas une énorme et étouffante chaleur cette année, à Cannes. Pour dire, tu avais eu plus chaud en partant de Boston qu’en arrivant au Festival. Mais tu n’avais pas un beau à redire sur l’hospitalité des français. Tu avais toujours eu une sorte de coup de cœur pour ce pays, venant souvent sur la Côte d’Azur en vacances, lorsque tu étais jeune. Toi qui est une fan absolue de culture, ce pays est fait pour toi. Il a tant à t’offrir. Cela dit, le pays qui occupe la plus grande place dans ton cœur reste, bien entendu, l’Italie. Tu as quitté le pays au milieu de ton adolescence – période à laquelle tu explorais déjà le monde grâce à ta célébrité précoce – mais tu penses souvent à y retourner. Tu espères pouvoir y vivre, une fois tes études terminées. Tu aimes beaucoup Boston, là n’est pas le problème. C’est dans cette ville, en intégrant Harvard sans l’accord de tes parents, qui ne souhaitaient pas te voir te mélanger aux gens « de tous les jours » comme ils le disent, tu as réussi à te trouver. A l’université, tu n’es plus la petite-fille de, ni la petite diva montante du grand écran. Non, tu es juste une étudiante parmi les autres. Une étudiante qui vient en cours avec des créations Dolce & Gabbana, certes, mais une étudiante tout de même.

Vidant d’une gorgée ton verre d’eau, tu écoutais d’une oreille distraite ce que te racontait le journaliste. Il t’agaçait légèrement, à poser des questions parfois limite et à chercher le petit scoop croustillant qui le ferait sans doute monter en grade dans son magazine. Ça t’apprendra à ne pas te renseigner à quel type de presse tu avais à faire, lors d’interview. « Vous me parliez donc de vos sœurs, à l’instant. Mais il me semble que vous n’êtes pas la plus vieille de la fratrie ? Qu’en est-il de votre aînée ? Elle qui avait commencé une si belle carrière avant vous ! Que devient-elle ? » Tu tentes de garder le sourire malgré tout, alors que tu aimerais juste lui demander de partir. Tu sais que ça ne se fait pas, que si tu oses le congédier, il ira en faire tout un scandale. Alors tu gardes ta gentille frimousse, te mordant tout de même l’intérieur des joues face à cette question inattendue. Et plus que gênante. « En effet, j’ai une grande sœur aussi, comme les gens le savent. Tout le monde ne supporte pas la célébrité, vous savez. Elle s’est essayée au cinéma et à la chanson et personne ne peut nier le succès qu’elle a connu. Seulement, elle a eu d’autres rêves et est bien heureuse ainsi, aujourd'hui. » Ton pied se balance nerveusement. Cela faisait bien longtemps que l’on n’avait pas osé aborder le sujet de ta grande sœur lors d’une interview. Il avait fallu qu’un crétin remette le sujet au goût du jour. « Heureuse, je n’en suis pas si sûr. Il y a beaucoup de rumeur qui tournent autour d’elle. Des affaires de drogues, notamment. Etes-vous au courant ? Comment le vit votre famille ? Un nom si prestigieux, ils ne doivent pas accepter ce genre de dépravation. » Tu as eu beau tout faire pour le maintenir, ton sourire s’efface soudainement. Il est allé trop loin, tu le sais. Une bonne gifle lui ferait un plus grand bien c’est certain. Mais à nouveau, tu sais que ce genre de geste t’est formellement interdit. Quand on est une petite diva, on se doit d’être irréprochable. Baffer un journaliste nuirait atrocement à ta carrière, tellement bien engagée. Tu le fixes alors un instant, et tu réussis à te reprendre. Ne rien laisser paraître, alors tu reprends ton plus beau sourire. Tu sais à quel point ces journalistes peuvent être des chacals, prêts à reprendre le moindre regard perdu ou la moindre hésitation pour lancer une rumeur quelconque, fondée sur un rien. « Ha oui, ces fameuses rumeurs ! (rire) J’en ai entendu parler, bien entendu. J’avoue que je ne comprends pas d’où elles sont tirées. Je peux vous l’affirmer aujourd’hui : ma grande-sœur n’a aucun problème d’addiction quelconque. Que ça soit de l’alcool ou de toutes substances inégales, elle n’a absolument rien à se reprocher. Ou alors peut-être son addiction folle à la pizza, mais ça c’est sûrement de famille ! (rire) » Tu tentes de changer de sujet, de rendre l’ambiance moins glaciale pour effacer tout soupçon. Mentir, c’est devenu tellement habituel depuis que tu es actrice. Il n’y a pas un jour où tu ne le fais pas, si bien que tu manies l’art du mensonge mieux que personne. Ce n’est pas pour rien, si tu es si bonne dans ce métier. L’homme rit à son tour. Sans doute ne te croit-il pas, et il aurait bien raison. Alors oui, ta grande-sœur, la seule plus âgée que toi, connaît quelques soucis depuis bien des années. Ça fait un moment maintenant qu’elle a commencé à déraper, si bien que tes parents l’ont rejeté de la famille. D’où la fin si violente de sa si belle carrière à peine engagée. Mais il est hors de question que tu viennes l’avouer aux journalistes. Non seulement, parce que cet événement noircirait bien trop le nom de Scorsese qui t’es si cher. Mais surtout par respect pour ta sœur, que tu aimes tant. Tu es d’ailleurs la seule de ta famille à encore lui parler, sans que vos parents ne soient au courant. Ils ne l’acceptèrent pas, ils auraient bien trop peur qu’elle ne te gâche ta carrière, à toi aussi. De tout ça, tu t’en fiches éperdument. Elle peut faire ce qu’elle veut, consommer ce qu’elle veut et fréquenter qui elle veut, elle reste ta sœur et rien n’entravera l’amour que tu lui portes. Devant tout le monde, tu la défendras toujours, même quand elle est coupable. Tu es la seule famille qui lui reste, pour ainsi dire, tu ne peux l’abandonner comme tes parents et tes sœurs l’ont fait, juste parce qu’elle n’a pas pris un bon chemin comme vous.



(+++) j’ai soudain le sentiment étrange d’être en harmonie avec moi-même, tout est parfait en cet instant, la douceur de la lumière, ce petit parfum dans l’air, la rumeur tranquille de la ville. j’inspire profondément car la vie me parait alors si simple, qu’un élan d’amour me donne tout à coup envie d’aider l’humanité tout entière.
( le fabuleux destin d'amélie poulain )

Le journaliste semblait enfin avoir compris que tu n’étais pas bien ouverte aux questions de l’ordre du privée. Il te posait alors, depuis quelques instants, des questions sur ton début de carrière, de la publicité jusqu’au grand écran, avec un passage sur le petit pour des séries Z parfois. Mais bon, on ne commence pas au sommet de la gloire dès le début, même quand on se nomme Scorsese. Tu reprenais enfin du plaisir à lui répondre, lui qui avait des questions un peu plus pertinentes qu’en début d’entrevue. « Je pense que nous pouvons terminer sur ce dernier sujet, qui est votre choix de faire des études. Avec une telle carrière, il est certain que vous n’avez pas besoin d’en faire pour vous assurer un avenir. Alors pourquoi avoir choisi d’entrer à Harvard ? La vie d’étudiante doit vous changer de cette vie de célébrité, n’est-ce pas ? » « Il est certain que ce sont deux univers complètement opposé, je ne peux le nier. Mais ils sont tout aussi intéressants l’un que l’autre. J’ai toujours désiré continuer mes études, malgré la vie que je mène si j’ose dire. Je ne veux pas que l’on se souvienne de moi en tant que « petite-fille de » mais en tant qu’artiste à part entière. J’entends bien trop souvent que je dois mon succès à mon grand-père. Certes, sa notoriété m’a beaucoup aidé et je l’assume pleinement. Mais il faut aussi accepter mon talent tel qu’il est. Tous les enfants ne stars ne réussissent pas dans ce milieu. Pour en revenir à mes études, donc, c’est l’une des principales raisons pour laquelle j’ai choisi d’entrer en arts visuels. Depuis le début de ma carrière, je ne fais que pratiquer le cinéma, sans en connaître son histoire, sans savoir comment cet art fonctionne réellement. Ce n’est pas seulement un métier, mais une réelle passion qui m’a poussé à l’étudier. Je ne veux pas être juste une bonne actrice, mais être un nom du cinéma tout entier. Et ça passe par la théorie. Après, je ne vous cache pas non plus que je voulais un peu me couper de ce monde de stars et tout ce qui s’en suit. (rire) J’ai parfois tendance à oublier que je n’ai que vingt-trois ans. La vie d’étudiante me permet de garder les pieds sur terre et me permet d’avoir une vie sociale, surtout. On pense souvent que les grandes stars ne sont jamais seules, avec toutes ces soirées mondaines et ces festivals. Mais mes seuls amis se trouvent dans cette université. J’y ai fait tellement de belles rencontres, que je n’aurais pu faire si je n’avais pas envisagé de continuer mes études. » L’homme te sourit, et semble enfin satisfait des réponses que tu lui apportes. Vous parlez encore quelques instants, avant qu’il ne se lève, te salue et parte. La porte enfin claquée, tu souffles un bon coup et demande aux services de l’hôtel que l’on vienne te rapporter une bouteille de rosée. Tu avais grandement besoin de décompresser, suite à cet interview quelque peu éprouvant. Tu avais bien failli t’énerver à plusieurs reprises, mais heureusement tu avais su prendre sur toi et gérer, tu trouvais, assez bien toutes ses questions pièges. C’était ta dernière entrevue pour le Festival de Cannes et demain déjà, tu prendrais l’avion pour retourner à Boston, reprendre les cours. Oui, des dois tu préférais largement être à l’université que d’avoir à répondre à ce genre de journaliste. C’était les inconvénients à être connue, on avait souvent à faire à des crétins qui ne cessent de chercher la petite bête.

Alors que tu finissais d’enfiler ton maillot pour piquer une tête dans la piscine – il fallait bien profiter – on toqua à ta porte. Il y avait toujours un homme de sécurité devant ta chambre, qui ne te quittait jamais pour ainsi dire. Les récents événements en France faisait que le Festival était plus que jamais surveillé, ses invités y compris. Cela ne te dérangeait pas plus que cela, toi qui étais habituée depuis petite à avoir des gardes du corps à tes côtés. Il ouvrit alors, présentant la personne qui souhaitait te voir. Tu sautas immédiatement sur place, avant de courir vers la dite-personne et de lui sauter dans les bras. Il s’agissait de ton cousin, Massimo, qui t’avait promis de venir te voir lors de ton séjour en France. L’homme de la sécurité referma derrière lui, te laissant en train d’enlacer à l’étouffer ce cousin que tu adorais tant mais que tu voyais si peu. Massimo était le fils d’un des frères de ta mère non biologique, et il vivait donc toujours en Italie. Votre famille était assez grande, mais il restait ton cousin préféré. Vivre à Boston, loin d’une grande partie de famille, ça te faisait quelque peu mal au cœur. Ils faisaient partie de la mafia italienne, lui aussi. C'est d'ailleurs lui qui t'a fait entrer dans ce milieu il y a quelques années, quand tu eus à peine tes dix-huit ans. Ton père n'est pas encore au courant, que tu baignes dans ce milieu qu'il connait très bien lui aussi, et tu préfères garder cette part de toi secrète.
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re bienvenuuue avec ce nouveau perso ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 3850463188
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Re Bienvenue parmi nous ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 3997999705
Good luck pour ta fiche and have fun Vic
T'es belle comme ça ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 4205929361
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rebienvenue ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 2511619667
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ah mais JLaw quoi ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 4205929361 ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 4205929361
Et btw, j't'impose un lien ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 387742012 parce que depuis le temps que j'en veux un avec toi ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 166564858
bon courage pour ta fiche ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 3850463188
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rebienvenue hanwii
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t'es belle avec jennifer ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 4205929361
rebienvenuuuuuuuuuue ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 3850463188
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Rebienvenue ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 2109348208 Super choix d'avatar ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 4205929361
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Re bienvenue ANTONELLA SCORSESE ► jennifer lawrence. 2109348208
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