AUSTIN + Les joints c'est fini pour moi sorry ...

Les joints c'est fini pour moi sorry ...
— with Austin

05 mai. Voilà un mois que je tente de me désintoxiquer des joints toute seule comme une grande mais aussi un mois que mon cousin a quitté la ville sans vraiment donner de raisons. Pourtant si je tente d'arrêter les joints, c'est en partie pour lui parce que bien évidemment je ne le fais uniquement pour lui mais aussi pour ma propre santé. Il a toujours eu ce pouvoir et les mots pour me faire prendre conscience des choses que je pouvais faire et qui pouvait me détruire et le voilà parti sans doute en Irlande rejoindre la famille. Bien sur je pourrais appeler la famille là bas pour savoir s'il va bien mais non je préfère avancer et faire ma vie en tenant ma promesse que je lui avais faite tout simplement. C'est donc un jour après un cours -unique cours de la journée d'ailleurs- que je vins rentrer dans la Mather, sauf que je ne vis pas qu'Austin tente de me parler. En réalité je suis concentrée sur la musique dans mes oreilles que voilà et sur ma clope aussi -le seul truc que je m'autorise encore-. Alors je vins sursauter et venir lui répondre.

Austin ? T'es con, tu m'as fait peur toi ?

Il devait être défoncé lui parti pour, pourquoi se faisait il autant de mal ? Encore qu'on aurait été encore au Chili, j'aurais compris avec l'ambiance des soirées et tout mais là devant la Mather à moitié shooté ou que sais je, c'était à peine croyable. Allait il me tenter de prendre un petit joint avec lui ? Sans doute mais j'allais pas craquer après presque un mois de sevrage tout de même. Je vins donc attendre sa réponse, lui adressant un léger sourire.

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Les beaux jours étaient enfin arrivé, mais les choses ne changeaient pas tellement mise à part que ça commençait très sérieusement à sentir la fin de l’année scolaire et mon dieu que j’avais hâte de pouvoir en finir avec ses examens et me dorer à la pilule tout l’été. Bon, je ne me faisais pas prier devant la Mather House, un joint à la bouche et quelques grammes de cocaïne dans le sans puisque, idiot comme je suis j’étais tombé dedans un peu plus que je ne l’aurais voulu. Toujours la jambe dans le plâtre, mes déplacement était minim, mais fort heureusement pour moi, il y avait beaucoup de passage chez les verts, par conséquent je ne restais pas seul bien longtemps. Apercevant une demoiselle que je ne pouvais que connaître, un peu perdu dans ses pensées -sans doute déjà défoncée l’a connaissant- je m’approchais d’elle pour engager la conversation, ne m’attendant pas à lui faire. Sa r”action ne pu que me faire rire par contre. “Sorry” Dis-je, pas vraiment désolé au final. “ça va ?!” Je pris place à ses côtés avec énormément d’enthousiasme -plus qu’il en faudrait-

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— with Austin

05 mai. Qui dit beau jour, dit aimer trainer plus longtemps devant la Mather après les cours et c'est ce que j'étais en train de faire, du moins non je fumais ma clope tranquillement quand je vis arriver Austin complètement pété. Lui il avait du forcer sur la dose, me mis je à penser et au vu de son état, c'était pas qu'un joint qu'il s'est enfilé le petit. Je pouvais comprendre que les examens amenaient à énormément stresser -même si en fait je peux pas trop le comprendre vu que je n'ai pas d'exams en fin d'année encore-, sauf que je comprenais pas qu'il se mette aux drogues dures lui. Si Luke aurait été là, il lui aurait fait la morale mais c'était moi qui était là à la place alors il allait devoir me supporter un moment. Pour ma part, je tentais tant bien que mal de me raisonner à pas toucher aux joints et autant dire que la tentation est réellement là à tout instant. Mais pour l'heure, je m'inquiétais un peu pour Austin car il devait avoir fumer un bon gros pétard pour péter la forme -ouh la rime-. Alors je vins lui répondre quand il s'excuse et me demande si je vais bien -mieux que lui en tout cas-.

Pas grave va, vins je lui faire savoir avant de reprendre. Ouais je vais bien, ce qui n'est pas le cas de tout le monde apparemment. T'as des soucis en ce moment ?

En général, jouer l'oreille attentive avant de pousser une gueulante ça marche toujours enfin c'est toujours ce qu'a fait mon cousin avec moi et il a toujours réussi. En même temps lui il a toujours raison en ce qui me concerne alors. Je vins donc attendre sa réponse, tout en lui souriant légèrement.

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Elle avait l’air effecitvement d’aller bien, mais moi aussi je pétais la forme ! Ce n’était pas parce que j’étais un petit peu beaucoup torché que ma vie était un fiasco. La preuve, les choses s’arrangeaient avec Madisson, la fin de l’année approchait, nous nous étions sorti vivant de la catastrophe au Chili, bref, tout allait pour le mieux, j’avais juste pas envie de fermer l’oeil pour faire encore ses nombreux cauchemars, alors je préférais encore être défoncé H24, d’autant plus que cela atténuait la douleur de mes blessures. Deux en un quoi, si ce n’est pas la belle vie ! “Ha non tout va bien pourquoi ?” Riais-je en finissant mon bédot que je jetais précautionneusement dans une poubelle une fois écrasé afin de ne pas salir la deventure de ma maison. J’ai du respect pour les miens (a)

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— with Austin

05 mai. Moi qui avait toujours pensé que se passer de joints était une chose totalement insurmontable, je m'étais bien trompée car en réalité c'est tout à fait faisable du moment qu'on a la volonté et l'envie d'arrêter. Mais bon je peux rechuter avec toutes les tentations qui trainent à la Mather, sauf que je profite de ma petite victoire d'avoir réussi à ne pas fumer de bedos depuis un bon mois déjà, ce qui est autant dire un exploit pour moi. Certes je compense avec les clopes mais cela reste une victoire à mes yeux concernant les joints. Enfin pour l'heure c'était plus pour mon ami Austin que je m'inquiétais car en le voyant shooté et de plus avec une jambe dans le plâtre, sans compter sur le bedo qu'il venait d'éteindre sous mon nez, je me dis qu'il a du tomber un peu plus bas que durant le Spring Break. Je sais qu'on s'est fait plusieurs soirées shootés à voir des éléphants roses pour moi ou à parler d'animaux en tout genre mais à présent, les cours sont là et il devrait se concentrer sur cela au lieu de fumer un pétard enfin soit je suis pas sa maman alors je vins lui répondre.

T'es sur que tu vas bien ?, vins je rire nerveusement à sa réponse du "tout va bien pourquoi" avant de reprendre. Non parce que fumer un joint en ayant un plâtre c'est pas anodin et tu devrais pas en abuser c'est tout.

Ce n'était qu'un conseil parmi tant d'autres, même si moi et les conseils c'était mon fort mais on va dire que mon cher cousin reparti en Irlande a du déteindre largement sur moi ou tout simplement que ses paroles au Chili ont fait mouche sur moi depuis mon retour à Harvard ou bien peut être le fichu tremblement de terre où j'ai frôlé la catastrophe ? Je vins donc lui sourire, attendant sa réponse et m'attendant à ce qu'il ne comprenne pas ce que je deviens.

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Je fronçais les sourcils suite à ses multitudes de remarques.; C’était quoi son problème aujourd’hui ? Un ange était venu lui rendre visite pendant la nuit afin qu’elle fasse la paix avec sa conscience ? Non, parce que les remontrances et leçons de morale, très peu pour moi, d’autant plus qu’il y a quelques jours elle était loin d’être comme cela. Je sentais que dans sa voix il n’y avait rien de méchant, elle était vraiment sincère, mais j’avais toujours fumé de joint, donc je ne voyais pas le problème aujourd’hui. “Heu...oui, tout va bien” riais-je. Du moins j’essayais. “J’ai otujours fumer des joints plâtre ou pas tu sais” Je tirais un latte. “Qui êtes-vous et qu’avez-vous fait de Megan Forks ?” Me moquais-je gentiment d’elle même si au fond, j’étais très sérieux.

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Les joints c'est fini pour moi sorry ...
— with Austin

05 mai. Visiblement il ne semblait pas avoir capté que les joints et moi, c'était fini pour le moment du moins car je sais que je vais replonger à la prochaine fête que je ferais avec les Mathers mais pour l'heure, je veux profiter de ma petite victoire d'avoir réussi à tenir ma promesse à mon cousin reparti en Irlande parce qu'un mois sans joints reste une victoire pour moi qui ne pouvait pas m'en passer avant et ce même si je continue les clopes hein faut pas trop m'en demander non plus. Malgré tout, en le voyant aussi "relax" et "zen", je me demandais ce qu'il avait pris car un joint ou plusieurs ne donne pas cet effet, du moins dans mes souvenirs pas si lointains que ça. Il vint me faire savoir qu'il allait bien et qu'il avait toujours fumé des joints avec ou sans plâtre. Mais y'avait il pas une autre drogue en plus des joints ? Il vint ensuite me demander ce qu'on avait fait de Megan Forks alors je vins lui répondre.

Peut être que t'as l'habitude d'en fumer mais t'as l'air d'avoir combiner joints et une autre drogue ? Alors t'as fumé quoi d'autre ? De la coke ?, vins je tenter de lui faire cracher le morceau car je sais que c'est ce que ferait sans doute Luke et ce même si je le connais pas des masses mais je l'ai vu faire avec notre père pour qu'il avoue qui j'étais pour lui avant de reprendre. On va dire qu'un charmant cousin irlandais m'a sérieusement réprimander au Chili et fait comprendre que les joints pouvait me tuer à petit feu alors je tente de tenir la promesse que je lui ai faite, vins je lui faire savoir en m'allumant une clope et reprenant. Mais j'ai pas arrêté les clopes pour autant si c'est pas beau ça hein ?

Je vins lui adresser un sourire, attendant sa réponse et me demandant comment il allait réagir à ma manière de vouloir lui faire cracher le morceau, le tout en venant tirer une latte de ma clope.

Spoiler:

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J’adorais Megan, c’était une grande amie de soirée et j’en passe, mais là, avec ses leçons de morales et ses questions à deux francs cinquante, elle commençait sérieusement à me gaver. Ce n’était peut-être pas méchant venant de sa part, mais je me sentais tout de même saoulé. Je soupirais fortement. “Mais qu’est-ce que ça peut te faire putain ?!” Lâchais-je froidement. Mon but n’était pas de briser notre amitié, loin de là, mais si elle pouvait juste s’occuper de ses miches, se serait genre génial. De là, elle vint me faire part de sa bonne résolution faite pour son cousin. C’était brave de sa part et je n’avais rien pour, mais est-ce qu’il avait vraiment fallut des bonnes paroles de son cousin pour qu’elle réalise que ça l’a tuait à petit feu ? Non, parce qu’il fallait vraiment vivre dans le déni pour le coup. Enfin bref, je lui rendis son sourire. “Je vois !”

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Les joints c'est fini pour moi sorry ...
— with Austin

05 mai. Ouais j'adore Austin, on délire bien tous les deux et il a été un des premiers à faire le lien entre Luke et moi, bien que je ne connaissais pas encore ce dernier. Seulement depuis le Spring Break, je connais mon frère et je sais que ce dernier est le meilleur ami d'Austin alors je ne suis sans doute pas la mieux placée pour lui faire la morale car il fume des joints ou autre. Surtout que j'ai un peu vécu dans le déni jusqu'à l'engueulade maison de mon cousin où j'ai compris que je devais stopper un petit moment les joints. Alors quand Austin vint me demander ce que cela pouvait me faire, je vins lui répondre.

Ouais t'as raison, tu préfères que je te retrouve avec une seringue dans le bras un jour peut être ?, vins je lui dire en réalisant qu'une partie de mon secret en lien avec mon ex et premier amour risquait d'être découvert par ma faute, pensais je avant de reprendre. T'es mon ami Austin, je veux pas que tu te bousilles la santé comme j'ai pu le faire en refusant de voir la vérité en face.

Il sait peut être ce qu'il fait mais ce genre de choses peut vite conduire à en venir à se piquer avec une seringue et à la mort. Cela peut aller très vite, la preuve j'avais vu mon ex la veille et le lendemain en allant dans notre endroit, je l'ai trouvé mort d'une overdose. Je vins donc lui sourire légèrement, tirant sur une latte de ma clope car reparler de mon ex me donnait envie de fumer, tellement c'est encore douloureux, tout en attendant sa réponse.

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Je riais à son ton mélodrame. “Hey, si toi tu prenais de l’héroïne c’est ton soucis, moi je prends que de le coke cocotte” Riais-je sous son nez alors que je jetais mon mégot dans une poubelle proche une fois éteint. Je savais que tout ce qu’elle me disait partait d’une bonne intention, je ne lui jetais pas la pierre, loin de là, mais je n’avais pas besoin d’une donneuse de leçon qui avait peut-être fait pire que moi. Après, il n’y a pas d’âge pour prendre conscience qu’on a foutu notre vie en l’air et que nos espérances de vie on été beaucoup réduites. “Mais j’suis conscient que je me bousille la santé tu sais, mais j’aime plané, c’est mieux que de réalisé dans le monde de merde dans lequel on vit” Soupirais-je en m’adossant contre le mur. “J’suis pas prêt d’arrêter pour le moment. Peut-être qu’un jour j’aurais une vraie bonne raison de le faire, mais pour le moment, nada” J’esquivais un petit sourire pour ne pas qu’ele s’offusque ou se sente vexé, mais après elle me connaissait assez pour ne pas prendre la mouche. Du moins, j’osais imaginer.

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