Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityREAGAN ASHBY ► gigi hadid.
Le Deal du moment :
Smartphone Xiaomi 14 – 512 Go- 6,36″ 5G ...
Voir le deal
599 €


REAGAN ASHBY ► gigi hadid.

2 participants
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Reagan Ashby

gigi
hadid
Fiche d'identité
Nom Ashby.Prénom(s) Clare Reagan Sidney.Âge 21 ans.Date de naissance 21 décembre 1994.Lieu de naissance Belfast, Irlande.Statut amoureux Célibataire.Orientation sexuelle Hétérosexuelle.Classe sociale Moyenne.Études majeures Archéologie.Études mineures Histoire.Job Réceptionniste dans un hôtel cinq étoiles & serveuse à ce même hôtel quelques soirs.Choix de groupe #1 Cabot House.Choix de groupe #2 Students.


CABOT HOUSE.
Reagan, elle est enfant unique. Elle n'a pas eu la chance de connaître les joies d'avoir une grande sœur ou même un petit frère. Non, Reagan, elle a appris à se tresser les cheveux toute seule comme une grande fille et à coordonner ses vêtements sans l'aide de personne. Elle a, d'ailleurs, tout appris à faire par elle-même puisqu'elle n'a jamais eu une figure féminine dans sa vie puisque sa mère est morte à sa naissance la laissant avec son père. Son père motard qui lui a appris les bonnes comme les mauvaises choses. Ce qu'elle retient, surtout, c'est la loyauté dont elle doit constamment faire preuve envers les gens de son entourage. Malgré que ce soit son père qui l'ai aidé à grandir avec les années, Reagan a développé un penchant pour la féminité. Elle sait se mettre en valeur, elle n'a aucun problème avec cela et agir comme une femme, mais pas une vraie femme. Donc, rejoindre la Cabot serait une possibilité pour elle de côtoyer la gente féminine qu'elle n'a jamais eu dans sa vie et le rose lui va bien.

STUDENTS.
En dehors de la Cabot House, Reagan n'a pas sa place dans les autres confréries. On va y aller par maison. Déjà, Reagan ne fait pas assez intelligente ou leader pour la Dunster bien qu'elle aime donner des ordres. Ensuite, la Eliot, elle est chiante avec ces snobs et heureusement, Reagan ne possède même pas le ½ de la fortune des membres de cette maison. La Lowell House se sont les artistes et Reagan n'a aucunement une âme d'artiste, elle a de la difficulté a dessiner un bonhomme allumette et elle ne s'intéresse pas tant que cela aux arts. Concernant la Mather, non merci. Le vert, c'est moche comme couleur. La Quincy est mignonne sauf que la jeune demoiselle démarre au quart de tour, elle n'est pas très douce et altruiste. Finalement, la Winthrop ? Non, merci.²
APRÈS LA BOMBE.
Reagan elle n'était toujours pas à Harvard lorsque cet événement tragique est arrivé. La jeune femme se trouvait toujours à Princeton et elle connaît quelques personnes de son entourage qui y étaient. Évidemment, lorsque Reagan a appris la nouvelle, elle s'est empressée de téléphoner à ses gens afin de prendre de leurs nouvelles parce que ce n'est une fille sans sentiments. Comme tout le monde, la jeune femme était choquée d'apprendre que des gens pouvaient faire cela et se demandait dans quel monde est-ce qu'on vivait tout en commençant à repenser à sa décision de demander un transfert pour Harvard.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Quoi encore ? Les seuls mots auxquels Reagan a pensé. Parce que soyons honnêtes, les malheurs semblent s'abattre sur cette université et ses étudiants. Heureusement pour elle, Rea n'a pas été touché par les agressions sexuelles, mais elle s'est sentie désolée pour les victimes. Tout en ressentant une certaine colère envers les agresseurs et peut-être même des envies de jouer les protectrices. Lors de la prise d'otage, Reagan se trouvait au McDonalds parce que la faim, c'est important et que les frites sont bonnes et elle ne va pas mentir, mais elle a été terrifiée. Pas terrifiée comme quand tu regardes un film d'horreur, mais terrifiée que ce soit sa dernière journée sur Terre.


seawolf.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle seawolf. et j'ai l'âge de yoda. Je suis Zeus(e) et j'ai connu le forum grâce à Hermès. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Nesayem Al-Masri (Eliot House). J'utilise Gigi Hadid comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par foolish pleasure. Je fais environ 250-300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ?

clique, s'il-te-plaît:


Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Once upon a time


✽ ✽ ✽

August, 16 2000
BELFAST, IRELAND – MAISON ASHBY (SIX YEARS OLD).

Des petits pas qui courent sur le carrelage de la petite maison se font entendre. Des petits pas accompagnés de petits cris et des rires d'un enfant de six ans. Reagan Ashby, qu'elle s'appelle. Reagan est une fillette comme toutes les autres qui s'intéresse aux poupées, mais également aux petits soldats. Les inconvénients de grandir avec seulement une figure paternelle. Reagan, elle ne possède pas de maman; celle-ci étant décédée à l'accouchement de la petite fille. Alors, ce qui lui reste est son père et ce qui reste à son père est cet enfant, sa princesse. À un certain moment, un cri de surprise se fait entendre, elle vient d'être attrapée par le monstre. Cela signifie qu'elle vient de perdre et qu'elle doit aller au lit, sans rechigner. Ça va être difficile, pensez-vous. Non. Reagan n'est pas difficile. La routine du dodo débute : son père l'installe confortablement dans son lit beaucoup trop grand pour son petit corps frêle, une légère couverture sur elle et son toutou dans les bras et finalement, un bisou sur le front et quelques murmurés : bonne nuit ma petite Reagan, je t'aime d'un accent Irlandais beaucoup trop présent. Reagan lui répète les mêmes mots en changeant son prénom par papa. Puis, son père la fixe quelques secondes se rappelant avec douleur qu'elle est le portrait craché de sa mère et à la fin, s'éloigne de Reagan. « Papa, est-ce que tu peux me parler de maman ? » Pour une des rares fois, Reagan retient son père. Parce qu'elle sent, au fond, qu'elle a envie d'entendre son père parler de sa mère, de sentir l'amour qu'il lui portait à travers ses mots et que ça lui fera du bien. Parler de sa mère fait toujours un peu de bien à son père. Et même si ce sera la millième fois qu'il lui en parlera, qu'elle connaît les mots par cœur, entendre parler de sa mère lui donne l'impression qu'elle est là avec eux dans sa chambre. Avec elle. Elle ne le demande pas pour repousser son heure d'aller au lit, mais parce qu'elle semblait ce moment approprié. Elle avait vue la tristesse dans le regard de son père malgré son jeune âge. Reagan était une enfant très observatrice, elle remarquait et comprenait des trucs que les enfants de son âge n'arrivait pas à voir. Elle était jeune et insouciante, mais pas stupide. Avec un sourire en coin, son père revenait sur ses pas et s'asseyait sur son lit, lui prenant sa petite main dans la sienne. « Elle s'appelait Reagan et c'était la plus belle Américaine que j'ai jamais vu de ma vie entière... » Et il lui continuait sur sa lancée, il lui disait à quel point elle était douce et forte, à quel point elle pouvait régler ses soucis d'un seul regard ou d'un seul. Qu'elle ne se préoccupait du peu d'argent qu'ils possédaient tant qu'ils savaient tous les deux et qu'ils s'aimaient. Qu'elle était merveilleuse, que tout le monde l'aimait. C'était la sœur, la mère et l'amie de tout le monde. Qu'elle s'occupait de tout et supportait le monde sur ses épaules sans que celui-ci soit trop lourd. Et surtout, il lui disait à qu'elle point il l'aimait, d'un amour indescriptible. Qu'elle était son Évangile, son salut. Tout ça sous le regard étoilé de la petite Reagan.


August, 16 2009
BOSTON, MASSACHUSETTS – MAISON ASHBY (FIFTEEN YEARS OLD).

La journée était chaude, mais agréablement acceptable. C'était une belle journée d'août, l'année scolaire allait bientôt débuter alors Reagan, elle profitait de ses vacances au maximum. Cet été, elle avait décidée de faire du bénévolat le jour et la nuit, parfois, elle s'autorisait des petites embrouilles avec ses amis. Rien de bien grave. Juste des blagues que les adolescents font pour rigoler de toute manière, elle rentrait avant tous les autres. Reagan, elle connaissait trop son père pour savoir qu'au milieu de la nuit, il s'assurait qu'elle soit toujours dans sa chambre. Elle n'avait jamais demandé pourquoi, mais c'était devenu une habitude chez lui. Comme pour s'assurer que la deuxième Reagan de sa vie était toujours là, près de lui. Bref. Reagan rentrait chez elle, sourire aux lèvres avant que son regard voilé par les lunettes de soleil se pose sur le taco qui servait de bagnole à la conquête de son père. Argh, elle était toujours là ? Merde, quand est-ce qu'elle allait retourner chez elle ? Reagan n'aimait pas cette nouvelle relation et ne l'acceptait pas même si son père semblait heureux. Un long soupir s'était échappé de sa bouche avant qu'elle ne reprenne sa marche jusqu'à la petite maison de banlieue de Boston. Certes, elle aurait préféré faire demi-tour et revenir plus tard sauf qu'elle avait dit à son père qu'elle rentrait ce soir alors elle retournait chez elle. À peine arrivé devant la porte que celle-ci s'ouvre pour laisser place à une rousse avec des seins bien trop gonflés. Des faux avait-elle pensé la première fois... Y'a deux jours. « Pourquoi t'es toujours là ? » Elle ne lui disait pas salut ni lui demander comment elle allait. Honnêtement, Rea n'en avait rien à foutre. Ça ne l'intéressait pas comment cette femme dont elle avait oublié le prénom lui raconte sa journée ou même son état d'âme. Elle ne voulait pas savoir. La jeune adolescente avait posé cette question en pénétrant dans la maison en percutant la rousse de son épaule. Oups. La rousse lui avait répondu qu'elle attendait son père. What do you mean ? « Il est où ? » Parti faire une course. What do you mean ? « Tu le crois ? T'es naïve comme ça ? » Un petit rire sarcastique. C'était la technique Jimmy Ashby de se débarrasser -lâchement- des petites femmes. Reagan n'avait pas écouté la réponse de la rousse, elle s'en foutait éperdument de toute manière. « J'te conseille de ne pas trop t'attacher. Ce soir, tu vas partir même que j'te donne cinq minutes. » Haussement d'épaules puis elle continua son chemin jusqu'à la cuisine. Évidemment, elle savait que dans cinq secondes, l'inconnue allait débouler dans la pièce et lui demander pourquoi. Reagan allait lui sortir les mêmes mots préparés qu'elle avait sortie à toutes les autres. Un, deux, trois, quatre et cinq. Une chevelure rousse apparue dans la cuisine. « Tu ne seras jamais ma belle-mère, il s'est amusé avec toi, mais maintenant il veut que tu partes. Tu n'arriveras jamais à le changer alors si j'étais toi, j'arrêterais d'essayer tout de suite. T'es bien jolie et tout, mais t'as des daddy issues évidemment. Alors, rentre chez toi. » Reagan porta le verre d'eau à ses lèvres pour en boire une longue gorgée. Elle savait qu'elle avait offusquée la charmante demoiselle, mais encore une fois, elle n'en avait rien à cirée. Comme toujours, au bout d'une minute, elles quittaient la cuisine, ramassaient leurs affaires et s'en allaient loin pour ne jamais revenir. Ce fut le cas pour la rousse. Une de perdue, dix de retrouvées. Plus tard, son père rentra à la maison, chercha du regard la rousse et posa la question à Reagan. « Je ne sais pas. Pourtant, j'ai été gentille avec elle, je l'ai même appelé maman. » Elle déconnait. Jamais de la vie. Elle n'allait jamais appelé une femme « maman ». La sienne était morte. À toutes les fois, son père lui disait qu'il l'aimait bien, ce qui était faux et à toutes les fois, elle lui répondait : ouais, c'est ça. Finalement, ils rigolaient ensemble.


August, 16 2013
BOSTON, MASSACHUSETTS – MAISON ASHBY (NINETEEN YEARS OLD).

Oui, elle regrettait, mais seulement à la surface. Intérieurement, elle était fière d'elle. Vraiment très fière d'elle. Oui, sa main lui faisait un mal de chien sauf que ça avait vraiment valu la peine. Il n'allait plus recommencer, c'était certain. Plus jamais, il n'allait oser appeler une demoiselle de salope parce qu'à toutes les fois, il allait se rappeler ce qui était arrivé, trois secondes après. « Reagan, tu m'écoutes ? » Son père claqua des doigts devant ses yeux et elle sursauta. Non, elle ne l'écoutait pas. Ne l'avait jamais réellement fait parce qu'elle était brillante, Reagan. Elle savait faire la différence entre le bien et le mal. Parfois, maladroitement, mais la plupart du temps elle y arrivait. « J'ai compris papa, je ne vais plus recommencer. » Elle ne faisait pas une promesse parce qu'au fond, ils savaient tous les deux qu'une possibilité existait qu'elle recommence à nouveau. C'était son droit en tant que femme indépendante. Oui, d'accord, elle avait brisé le nez d'un garçon, mais il avait commencé avec son attitude d'emmerdeur. Pas elle. Elle, elle était tranquille dans son coin jusqu'à ce qu'il décide de s'attaquer à elle pour s'amuser. Le moment où Reagan avait refusé d'engager une conversation avec lui, il l'avait surnommé d'allumeuse et avant de partir de salope. Forcément, elle s'était levée de son banc et en trois secondes l'avait frappé. Une fois puis une seconde fois lorsqu'il était au sol. Rien à foutre. C'était un petit con qui s'était fait tabassé par une fille. Rien de glorieux dans cette histoire. « Tu l'as bien eu ? » Après le sermon, les bonnes questions. « Oui et dès le premier coup. Comme tu m'as montré. » Elle ferma son poing pour lui montrer même si ça lui faisait mal. C'était la première fois qu'elle frappait quelqu'un et qu'elle fracassait les os de cette personne. Les premières secondes, elle avait regrettée, mais pas maintenant. « C'est mon bébé! Officiellement, je ne suis pas fier de toi, mais officieusement, tu sais que c'est le cas. » Un high-five était requis, of course. Grandir avec un père pour Reagan, c'était d'être dans la capacité de se défendre, de ne pas dépendre d'un homme et d'être indépendante. De compter uniquement sur soi-même. De protéger ses valeurs, ce à quoi elle croyait de tout son être. C'était une belle journée qui se terminait mal. Parce qu'après l'avoir félicité, il l'avait embrassé sur le front et lui avait qu'il reviendrait plus tard. Il n'était jamais revenu. Jimmy Ashby avait été arrêté par la police suite à une transaction de drogue qui s'était mal passé. Jimmy Ashby en avait pour plusieurs années derrière les barreaux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
rebienvenuuuuuue REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 2511619667 et bon courage pour ta fiche REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 3850463188 .
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Rebienvenue parmi nous REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 3850463188
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
REAGAN ASHBY ► gigi hadid. Giphy
REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 1001568715 REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 1001568715 REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 1001568715 REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 1001568715 REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 1001568715
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'te fais quand même des bébés sous Nana ! (emo)
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Merci @Cornélia Van Rosen & @Oksanna T. Petrova REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 2511619667

@Alaska Granger, tu viens toujours agrémenter ma fiche avec toujours plus de Bey, love ya. REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 1001568715 REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 1001568715 REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 1001568715
@Alaska Hamilton ça tombe bien, moi aussi. (emo)
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
rebienvenue sur le forum :heaart:
plamyr :TT:
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
ReBienvenu sur le forum REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 1f618
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Gigi REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 4205929361 Re-Bienvenue REAGAN ASHBY ► gigi hadid. 3850463188
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)