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C'est trois fois rien vraiment, une babiole dégotée il y a pas mal de temps dans une petite boutique qui ne paye pas de mine située près du poste. Mais cela faisait un bon moment que je passais devant la vitrine sans oser l'acquérir, me demandant si quelque chose d'aussi simple et d'aussi insignifiant lui siérait vraiment. Alors j'ai longuement hésité avant de l'acheter, mais le vendeur m'a assuré que malgré son aspect assez sommaire, il s'agissait là d'une pièce unique. Unique pour une femme qui l'est tout autant. Et lorsqu'elle en effleure les mailles, c'est avec curiosité que je contemple une partie de son profil, cherchant à savoir si oui ou non mon geste trouve grâce à ses yeux et si ce cadeau lui plait. Sa main vient en amont enlacer celle que j'ai laissée déposée sur sa nuque, observe à la commissure de ses lèvres cette amorce de sourire dans ce que j'imagine être une marque de gratitude face à mon présent. Cette main, elle s'en empare délicatement pour en embrasser la paume, une attitude qui soulage mes craintes quant au ridicule de cette scène car ce n'est pas la première fois qu'elle doit recevoir de telles offrandes. Peut-être pas pour les mêmes raisons et non sans une arrière pensée j'imagine. Je me demande si celle d'Alan a eu le droit à la même faveur lorsqu'il a écorché sa peau de cet anneau. Mais laissons au loin ces questions qui pourraient bien trop vite m'écœurer du moment présent pour en savourer l'instant pleinement. « Fais gaffe, Cooper. » Je n'ai encore rien fait. Pas encore, du moins pas en parole dont elle puisse se jouer de la sorte.

Elle me fait face, laisse son espiègle sourire emplir ma vue pour rajouter ce qui amorce de plus bel ma chute. « Tu vomis des fleurs. »  C'est vrai, je n'aurais pas du. J'aurais du le laisser tapi encore des mois dans le fond de cette commode et le réserver à une femme qui, plus tard, l'aurait apprécié à sa juste valeur, sans se moquer de cette attention apparemment stupide de ma part.  Du dégout pour mon attitude, elle fait naitre progressivement une pointe de haine qui se transcende en une envie, en un besoin que je perçois dans les siens comme mutuel. Vomir des fleurs mais cela la ravit visiblement puisqu'elle s'épanche à mes lèvres presque aussitôt, baiser que je lui rends au fil des secondes qui s'écoulent lorsque les miennes se détachent de son emprise, le regard avide qui se joint à mes doigts venus effleurer le bijoux sur sa peau hâlée " J'en déduis qu'il te plait " . Même si j'ai voulu être un brin possessif avec cet anneau, cette singularité. A défaut de le glisser à son doigt, elle le portera même s'il ne veut à ses yeux rien signifier. Et penché sur elle, à son oreille, je susurre une envie qui ne pourra que la faire chanter. " Mais à moi, il me plairait de le voir sur toi sans tout le reste " . Et j'en caresse de l'index les fines rondeurs dissimulés par le textile de son deux-pièces parce que même si j'ai toujours ouvertement prétendu l'inverse lors de nos querelles, de sa poitrine je ne pourrais jamais me lasser.

Un bruit de roche qui dégringole et dont les échos nous parviennent du font de la caverne et c'est ma main qui retrouve le contact de son bras dénudé, le regard figé sur l'origine de cette perturbante tonalité. Si loin de Cambridge et pourtant toujours sur le qui-vive, rien ne changera même si j'ai cru un instant trouvé ici un havre de paix.

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Mes lèvres s'abreuvent des siennes, en manque permanent du contact de son corps heurtant le mien. De lui c'est indéniable combien j'en ai besoin. Et profitant du fait qu'il me rende ce baiser, mes mains vont un instant épouser ses hanches auxquelles amoureusement je me raccroche. Il est mon ancre, ma bouée de sauvetage, mon autre sans que je ne le sache. Alors on s'épanche encore l'un de l'autre avant que mon regard ne croise le sien, que ses phalanges s'aventurent en hauteur, frôlant le bijou qu'il vient de m'offrir et signifiant – dans le fond – tellement. Mon coeur appartenant au sien, ici et maintenant, sans penser à demain. " J'en déduis qu'il te plait " Et a un point que tu n'imagines même pas. Il me proclame de façon muette totalement à toi. Esclave de mes sentiments, de tout ce qu'on a vécu depuis un an. De cette longueur d'onde de laquelle je n'arrive pas à me défaire, de cette facette nouvelle que tu donnes à mon univers. Ce collier, si j'étais honnête, si j'arrivais à te confier ma sincérité, je te dirai, que jamais je ne m'en séparerai. Que cet anneau symbolise bien plus que mon futur mariage, qu'il est cette preuve de notre attachement. Qui me fait presque croire, qu'ils existent, les mariages aimants. J'en deviens naïve, tu vois, quelque peu enfantine. Trop stupide. Et c'est mon sourire en coin qui lui répond, et mon regard qui lui en dit long. Souvent, on a préféré les silences aux discours rhétoriques, trouvant en eux notre équilibre. Son visage s'abaisse un peu vers le mien, j'en crois voir arriver une nouvelle étreinte, avant de ressentir ses doigts se glisser plus bas, effleurant mes seins qui soudainement ne demandent plus que ses mains. " Mais à moi, il me plairait de le voir sur toi sans tout le reste " Les mots murmurés font insidieusement leur chemin en mon esprit enclin à la perversité. Je suis – déjà – d'accord pour accepter sa proposition. Déjà prête à réitérer le strip-tease qu'un soir je lui avais proposé. Et le voir encore me prendre avec violence au milieu des gravats. Oui, je l'imagine si parfaitement que mon corps en est en émois. Comme à chaque fois qu'il s'approche de moi. Preuve en est que je ne me ferai jamais à l'effet qu'il engendre chez moi. Cependant, alors que j'aimerai voir ses caresses devenir de plus en plus intrusives, soulever le textile et torturer un brin ma poitrine, c'est un éboulement qui l'arrache à moi. Quand ses doigts s'indisposent de me toucher, se décalent sur mon bras, mouvement que j'exècre, quand son regard me quitte afin de pouvoir observer l'origine du bruit nous ayant dérangés. Persuadée que personne ne nous aura suivi, j'en soupire avant d'aller poser ma paume contre sa joue, je veux me rassurante, comme rarement, d'un mouvement tendre, le caresse de mon pouce et murmure à mon tour. « Il n'y a que toi et moi. » Je ne m'inquiète pas, alors ne le fais pas. Et je ne réalise qu'à présent, le but de cette expédition que j'ai tant de fois critiquée, presque en paroles et surtout en pensées. Ingrate, petite princesse trop choyée, confortée dans sa prison dorée, sans se risquer à apprécier, la liberté. C'est pour nous l'offrir, que jusqu'ici il nous a guidé. Une que nous n'avons pas lorsque nous sommes à Cambridge, coincés chez lui et chez moi. Craintifs lorsque nous osons arpenter les rues de la ville … Ici c'est différent. C'est adoucissant. Si plaisant. J'approche de quelques centimètre pour aller effleurer ses lèvres et lui souffler un « Clayton. » aussi bien que j'aurai pu lui confier, tel un secret, un merci. Pour les cadeaux, cette pause au milieu de nos si idiots idéaux. Et avec cet infime contact j'arrive, ce prénom, je l'espère, à retrouver son attention. Notre amour en bandoulière, affection sur toile de fond. Je me recule, de quelques pas, en gardant ses yeux dans les miens, par mes iris, je le retiens. Faisant glisser de mes mains la combinaison entravant les atours de mon corps qu'il connaît, par coeur, je me dois de l'avouer, mais qu'il me plaît de lui faire découvrir de loin, comme si c'était la première fois, ou presque, adorer le poster en protagoniste premier de mes désirs libertins, jeux atrocement coquins. Descendant le néoprène non sans difficulté. Et après des secondes qui me paraissent bien trop longues j'arrive à bout de la combinaison. Me retrouvant en maillot deux pièces, esquissant un sourire, avant de mordre ma lèvre, et de reculer. Et reculer encore. En regardant tout de même où je mets les pieds, avant de ressentir l'eau les embrasser. « Sans le reste, tu as dit ? » Je me fais coquine lorsque je détache le nœud retenant les triangles du haut. Impudique fasse à lui, habituée et toujours autant galvanisée par ses prunelles brûlant et détaillant mon être dans son entièreté. Avant de rabaisser le long de mes jambes le bas, féminine, féline et comme il a pu le souhaiter ; Dénudée. C'est avec assurance que je l'observe, écorchant ma peau au niveau de mes hanches, à l'aide de mes ongles, traçant au final quelques cercles imaginaires sur moi. Et je soupire, feignant l'hésitation, au moment de faire un pas en arrière, m'enfonçant dans l'eau, jusqu'aux mollets. « Et ça te plaît ? » Le résultat de tes volontés ? Celles que j'adore combler.
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Et ce bruit intempestif s'affaiblit tout comme les craintes qu'il a engendré à mesure que mon regard  défile sur les gravats d'où il découlait. Rien hormis des roches centenaires et la flore qui tente vainement par endroits de renaitre. Et même le contact tendre de sa paume, de son pouce qui épouse affectueusement mes traits ne parviennent à me tranquilliser. « Il n'y a que toi et moi. » Nulle présence pour nous déranger, c'est ce que ses mots viennent de me souffler et pourtant quelque part, il serait tout à fait possible que je ne sois pas le seul a y avoir pensé. J'en ai bien du mal à retrouver ma sérénité, moi qui croyait pouvoir trouver ici enfin un havre de paix pour pouvoir librement nous éprouver. Loin des qu'en-dira-t-on lorsque tous deux nous nous promenons, côtes à côtes, mais jamais accolés par crainte d'être démasqués. Frustrante relation qu'est parfois la notre et pourtant je n'en regrette pas le moindre moment, en chéris même avec passion chaque instant, chaque minute, chaque seconde passée en sa présence même lors de nos disputes à la con. « Clayton. » C'est mon nom émis de sa douce voix qui me ramène à la raison, rappelant mon regard au sien qui me témoigne compassion. Elle n'a certainement pas tort mais dans le doute, à vivre depuis presque un an dans l'ombre d'un autre qui sera bientôt le seul et l'unique dans son univers, j'ai toujours pour moi quelques réserves à me planter librement dans ce décors pourtant nôtre.  Elle s'éloigne de quelques pas alors, les yeux figés dans les miens comme si soudainement elle avait une parfaite connaissance du terrain accidenté sur lequel elle ose ainsi aveuglément progresser. Et plus inquiet qu'autre chose quant à son attitude, parfois je me permets d'observer où ses pieds vont se poser avant d'à nouveau la contempler.  Silhouette gracieuse même sous une combinaison dont ses mains semblent vouloir se défaire, elle s'expose lentement, se découvre en quelques gestes valorisant ses formes lorsqu'elle s'abaisse. Une jambe après l'autre et au final, plus rien ne reste sur elle mis à part son deux pièces.

« Sans le reste, tu as dit ?» En bras de croix, je la laisse s'exhiber, amusé mais aussi subjugué par la scène jusqu'à ce que ne me reprenne l'idée que nous pourrions être importunés, la voyant peu à peu reculer. " Tu ne devrais pas..." Et des deux, curieusement à cet instant, c'est bel et bien l'amant qui craint pour la réputation de sa liaison, du scandale que son impudeur pourrait lui causer si jamais cela se savait. Mais pour elle visiblement, personne ne saurait nous déranger et argumente sa théorie en une façon qui n'est pas pour me déplaire, loin de là, tout au contraire. La pression de ses doigts vient à bout du nœud qui chemise ses vallons et les deux triangles plongent pour dévoiler à la vue du premier venu ce qui ne le devrait. " Anna ." Mitigé entre fascination et appréhension, je suis pourtant là à la dévorer du regard quand elle me fait miroiter des ses ongles sur ses hanches son dessein futur, reculant encore un peu plus vers les eaux cristallines de ce lagon où chaque parcelle de son corps sera par transparence mise à nue. La surface épousant ses mollets reçoit bientôt de son bikini à présent délié.  Puis elle se redresse, fière d'elle dans sa nudité. Le frimas printanier souffle doucement sur ses formes et si je me rapprochais suffisamment, je le verrais redessiner certaines turgescences qu'il me plait d'ordinaire de choyer.   « Et ça te plaît ?» J'en incline le visage contre terre, le sourire aux lèvres quand finalement j'obtempère à ses idées de baignade improvisée pour venir d'un pas lent, ramassant au passage sa combinaison et son haut délaissé pour les déposer au plus proche du bord.... juste au cas où. " Petite futée, " et l'observe un bref instant s'effleurer pour au final me décider à en faire de même mais jusqu'à une certaine limite, conservant un pan de textile tout de même. La combi délaissée aux cotés de la sienne, je vais sur ses traces ramasser le restant de son maillot du bout des doigts pour le jeter aux abords en compagnie du reste et m'approche un peu plus de l'image délicieuse de son indécence femelle, effleure de mes paumes ses hanches, mon empreinte qui se liane sur sa peau, l'entrainant un peu plus où la surface aura tôt fait d'épouser ses formes dans une profondeur sécurisante.
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" Tu ne devrais pas..." Alors je me demande quand il a pu perdre le goût du risque à ce point. Parce que c'est celui là même qui rend notre relation aussi excitante. Bien qu'elle ne soit pas que basée sur cela, évidemment. C'est plus profond, c'est plus grand, ça parle d'amour et de sentiments. Mais j'ai envie de légèreté, aujourd'hui comme jamais. Loin de chez nous, de nos contraintes et de cette peur d'être surpris. Il n'y a que nous. Pas d'Alan, pas de père trop présent. Juste Clay et Anna. Simplement ça, et ça me donne des ailes, je le crois. Et bien que d'après lui, je ne devrai pas, je m'exécute dans mon envie quelque peu lubrique, me dénude, petit à petit, sous ses yeux, qui se retiennent encore dans leur désir de contempler mon corps. " Anna ." Ne pense plus à rien, juste à moi. A mes doigts qui m'écorchent, au dernier bout de tissu qui me quitte. A cet être que tu as vénéré chaque fois que tu l'as caressé. Alors je ne prends pas en compte ses réticences, je me concentre, me satisfait, seulement, de cette étincelle que je crois desseller dans ses pupilles dilatées. Ce désir partagé et constant. Rendu aliéné chacun à notre manière, par cette relation et nos volontés perverses et primaires. On se complète dans nos hérésies, plongeant dans la luxure tête la première à chaque fois. Sur fond de défi, et provocation, si bien qu'on adore ça. C'est d'ailleurs encore avec ce fil rouge que je prononce les peu de mots qui font finalement sens dans l'esprit de mon amant, l'électrochoquent, et accusent ses mouvements. Besoin ardant. Il récupère mes affaires, docile et souriant, j'apprécie le regarder, contempler ce qui ne m'appartient qu'à moitié. Bien qu'ici totalement. " Petite futée, " c'est au tour de mon sourire de s'étirer. Parce que je le devine à présent enclin à s'amuser, se laisser aller à mon dessein de nous voir partager un bain, non pas de minuit, mais bel et bien dénuder. Un brin enfant, c'est vrai, mais tellement excitant. Et ses mains vont sur sa combinaison, afin de la retirer, ne reste que son maillot, lequel recèle l'objet, en un écrin, si délicieusement masculin. Puis enfin, ses pieds qui pénètrent dans l'eau, son être qui s'approche du mien, et l'envie irrésistible de me voir reculer encore pour accentuer, le jeu dans lequel je nous veux en train de sombrer. Celui du chat et de la souris, du fuis moi je te suis. Mais c'est l'emprise qu'il possède sur ma personne qui fait en sorte que je ne bouge pas, que j'accueille sur mes hanches, ses doigts, et je deviens marionnette entre ses mains, puisqu'il nous entraîne dans l'eau, nous emprisonne peu à peu de sa fraîcheur, et nous protège des voyeurs factices. J'en frissonne, à son contact, non pas celui du liquide azuré, mais à cause de l'effet Clay, tandis que mes yeux s'éveillent dans les siens, lorsque mes phalanges s'amusent à esquisser, du bout de mes ongles, les traits tatoués qui ornent son derme, buste entêtant que j'aime ardemment. Avant de ne les faire descendre lentement, le long de ses côtes, les immerge tout en suivant les courbes de ses reins. Et je lui offre un sourire malin, quand je les glisse finalement sous l'élastique du tissu qui le couvre encore, à mon inverse, caresse avec malice ses fesses. « Tu as triché. » Je nous voulais à égalité. Mais ce n'est pas ce qui empêche mes dents d'aller narguer sa lèvre inférieure en un semblant de baiser carnassier. Dans mes silences, mes regards, j'espère qu'il comprend – réellement – à quel point cet instant peut me toucher. A quel point être à ses côtés a pu me changer. Que c'est pour cette raison, que j'étiole une seule et unique seconde durant laquelle je le regarde encore un peu, légère d'avoir autour du cou, quelque chose qui ne représente que nous. « Mais j'imagine que c'était par envie de me voir plonger afin de te le retirer. » Je ris de moitié, railleuse, avant de balancer la tête en arrière, d'amorcer un bourdonnement dans mes tympans à cause de l'eau voulant s'y infiltrer, effilochant encore l'instant, cette perfection qui traduit ses mouvements.
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