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Jonas Samuel Louison Ackermann fiche; terminé C'est le huit janvier mille neuf cent quatre vingt huit à Boston, que la famille Ackermann m'a accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Jonas. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en Médecine, je suis maintenant en sixième année. Et pour terminer, je fais partie des Students. |
Études La médecine, c'est quelque chose que depuis tout petit il admire, sauver des vies un jour est son plus grand rêve en effet il à perdu sa mère à l'âge de six ans, décédée des suites d'une tumeur au cerveau. Au début accablé il à lentement repris goût à la vie et à finit par intégrer Harvard pour devenir un vrai médecin. Bien qu'il reste sérieux dans ses études il s'autorise bien souvent des petites folies, il aime sortir, boire, profiter des jolies filles qui sont sur le campus, faire de la boxe, du football américain et fumer, oui c'est sa deuxième passion, la fumette. | Caractère Depuis très jeune Jonas est un garçon drôlement calme, en fait, c'est un faux calme, il n'aime pas se faire marcher sur les pieds, il peut se montrer très violent dans ses paroles comme dans ses gestes quand il est à bout. Il part souvent au quart de tour, disons qu'il n'a pas sa langue dans sa poche, il est naturellement franc et protecteur, il n'aime pas l'injustice, il à été élevé comme ça. Il n'aime d'ailleurs pas qu'on le confonde avec tous ces fils à papa qui en un claquement de doigt obtiennent ce qu'ils souhaitent, parce que pour lui ça n'a jamais été comme ça. Il est charmant, amusant et très fier, d'ailleurs il ne sait pas ce qu'il veux, sentimentalement parlant il est totalement perdu. |
Everyone Has Their Own Story
J'ai toujours été un bon élève, j'ai été élevé dans une belle est grande maison à Boston aux États-Unis. J'ai grandis avec mon frère aîné John, mon père et ma mère, mais ce putain d'équilibre qui m'était essentiel tomba en morceaux quand on diagnostiqua à ma mère une tumeur au cerveau, ce fut éclair, l'année de mes six ans elle succomba à ce mal. Nous avons passés beaucoup de temps à l'hôpital pour être à son chevet et ce traumatisme m'a beaucoup touché alors pour me changer les idées mon frère avait pour habitude de m'emmener jouer au parc, nous pratiquions le base-ball, le basket-ball aussi. Comment expliquer à un gamin de six ans qu'il ne verra plus jamais sa mère, qu'elle ne sera pas là pour la remise des diplômes et j'en passe. Mon père est un riche homme d'affaires allemand qui était venu s'établir à Boston et il rencontra ma mère qui elle tenait une galerie d'art, tous deux passionnés par l'art ce ne fut pas compliqué de tomber amoureux, quelques années plus tard John Ross Ackermann voyait le jour, il fallut attendre quatre années pour que je pointe le bout de mon nez - Jonas Samuel Louison Ackermann- et très tôt moi aussi je me passionnais pour l'art, mais le sport comptais beaucoup, et la période de deuil – au décès de ma mère en fait – m'a fait réaliser que ma véritable vocation serait d'être médecin. En fait c'est très bête et très sensé à la fois, je voulais sauver toutes les mamans du monde de toutes les maladies et de toutes ces choses qui les font s'éloigner de leurs foyers mas aussi parce que j'aimais bien aller à l'hôpital, mais je vous expliquerais ça plus tard.
Diabète de type 1 : Le diabète sucré insulino-dépendant, également appelé diabète jeune, débute généralement à l’enfance. Le type I représente environ 10% de tous les diabètes. Dans le diabète de type I, le pancréas est incapable de synthétiser l’insuline. Cette insuline permet l’absorption du glucose par les cellules. Le glucose est transformé en énergie dans ces cellules. Si cette transformation est impossible en raison d’une insuffisance en insuline, la concentration en glucose dans le sang dépasse le taux normal.
J'avais treize ans quand on m'a diagnostiquer un diabète de type 1, en fait je mangeais beaucoup plus que d'habitude et je m'hydratais tellement tout en maigrissant ce qui finit par inquiéter mon père - j'avais d'horribles sautes d'humeur et je ne tenais presque plus sur mes jambes, j'avais même quasiment arrêter le sport - j'étais d'ailleurs très malade et c'est une visite à l'hôpital qui avait radicalement clarifier les choses. J'ai dû rester à l'hôpital pendant presque deux semaines s'en suivit de visites mensuelles pour vérifier mon état et sincèrement j’eus beaucoup de mal à accepter là maladie, mais aller à l'hôpital sans cesse ne m'a pas déranger plus que ça, je connaissais presque tous les gens du service, les médecins étaient très agréables avec moi en plus de ça, voilà pourquoi en partie grâce à ça j'ai eu envie d'en faire mon métier.
J'ai vécu une horrible descente aux enfer quand j'ai atteins l'adolescence, je n'adressais plus la parole à mon père, je lui répondais, je le défiais, je me suis même battus plus d'une fois avec lui. J'étais comme un anti-héro au lycée, je me droguais, j'étais charmant, drôle, une vraie tête brûlée, un abonné du bureau de la direction mais cela ne m'empêchais pas d'avoir d'excellentes notes, disons que j'ai su tout de même gérer mes cours et le reste en dehors. Je vivais extrêmement mal le décès de ma mère, disons que c'est une période de ma vie où j'ai vraiment eu besoin d'une mère qui ne pouvait pas être présente. Je frappais tous ceux qui me cherchaient, j'étais extrêmement violent, je refusais que l'on me refuse quoi que ce soit – période petit prince – j'avais une belle cadillac escalade noire que mon père m'avait offerte à mon anniversaire. Je me droguais dès que je le pouvais et cela sous entends que je me droguais tout le temps, cela m’anesthésiais, cela tuais mes sentiments et faisait taire mes maux. Mon frère m'a aidé à sortir de cette noire période, il avait eu pour idée – putain que dieu bénisse John – de m'inscrire dans un club de boxe et il m'entraînait même au football américain, domaine où j'ai toujours excellé. Je ne suis jamais tombé amoureux en fait, j'ai tellement eu des problèmes existentiels qui me bouffaient que pour moi les filles n'étaient rien de plus que des poupées. Bien évidemment mon avis à beaucoup évolué depuis et j'ai presque arrêter de boire à cause de ça.
De nos jours
Je me réveillais en sursaut, de violents coups étaient donnés contre la porte de mon appartement, soupirant je passais ma main dans mes cheveux et je me levais. Avec surprise je me rendais compte que j'étais nu, je balayais la pièce d'un simple regard, remarquant qu'une splendide jeune femme que je ne connaissais pas était à demis-nue sous les couvertures. En fait, je n'aime pas boire à l'excés parce qu'après je ne suis plus maître de moi-même et je passe pour une raclure de salaud et pour un enfoiré, oui parce qu'en général, je bois, je bois, je bois et après j'ai mes chaleurs, je pars donc en chasse et dès que je trouve une jolie petite jeune femme je n'hésite pas à me conduire comme un bourrin et le lendemain elle est dans mon lit, enfin je suppose que ça se passe comme ça, heureusement je me suis calmé ces derniers temps, il faut dire que je ne sais plus où me mettre moi. Je grimaçais alors – Putain mais qu'est-ce que j'ai branlé la nuit dernière moi ? - les coups se renouvelaient alors – j'avais presque oublié – j'enfilais mon boxer, me tortillant pendant dix secondes et j'allais ouvrir la porte. Je soufflais, posant mon épaule contre l'encadrement de cette dernière, qui me faisait face, mon voisin du dessous – Le professeur Tournesol – je fronçais alors les sourcils – Bordel mais qu'est-ce que tu veux mec ?- « Oui c'est pour quoi ? » Lui demandais-je avec un air faussement joyeux. « Je croyais avoir été clair à propos du tapage nocturne... » commença t-il, je tournais légèrement la tête vers l'intérieur, ne pouvant m'empêcher de sourire bêtement – c'est que j'avais dû faire crier la donzelle qui gisait sur mon lit ce matin. « Je suis désolé ...– stupide trou d'cul, maintenant si t'arrêtes pas d'me faire chier tous les quatre matins j'te troue le bide et je revends tes reins au marché noir ! - Je vais essayer d'arrêter ça... » dis-je en grimaçant alors faussement gêné, il ouvrait de nouveau la bouche à mon grand désarrois et mon téléphone portable se mit à sonné – Dieu existe ! Je regardais le vieil homme de haut en bas et souriant alors soulagé je lui refermais la porte dessus « Vieux con. » avais-je soufflé avant de prendre mon téléphone, je secouais la tête et je décrochais. Appel quotidien de John, mon grand frère et presque meilleur ami, tous les samedis matins j'ai le droit à un coup de fil, c'est toujours à la même heures, et il appel jusqu'à ce que je décroche, et si j'ai le malheur de traîner je m'en mange plein la gueule, donc en général, j'aurais beau même être avec la femme la plus belle qui soit, je devrais répondre à ce foutu coup de fil. Mon frère est militaire, ou engagé de la marine, je ne sais pas, à ce sujet il est assez flou, mais je crois qu'il est gay. Mon frère c'est un peu comme mon mentor, les pires coups de crasses, c'est lui qui me les a enseignés, ma première côte de cassée, c'est grâce à lui, mon diabète de découvert, avec lui encore et toujours.
« Je n'ai pas envie de me plaindre quand je me dis que je suis un élève brillant à Harvard, j'aurais pus tomber plus bas, j'ai perdu ma mère mas mon frère et mon père sont en plein forme, ils sont heureux – gays ? - et moi aussi, je vais devenir médecin et j'en suis très fier. Ma vie sur le campus n'est pas différente de celle que je menais avant, je ne montre simplement pas que j'ai de l'argent, ou du moins peut-être un tout petit peu, nous verrons bien ce qu'il se passera dans l'avenir, vivez l'instant présent parce qu'hier est parti et parce que demain est un autre jour – oui, dicton à ma sauce ! »
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - LittleMonster. ↬ ÂGE - 17 ans. ↬ PAYS/RÉGIONS - France. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Bazzart. ↬ TES IMPRESSIONS - Le design déchire et les CSS sont mortels. ↬ CRÉDIT(S) - tumblr;bazzart. ↬ AVATAR - Jared Padalecki OMFG. ↬ LE MOT DE LA FIN - :yell3: . |
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