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 | Maxence Marie-Jeanne Bennett fiche; en cours - terminée C'est le 13 mai 1991 à Paris, que la famille Bennett m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Maxence. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en histoire de l'art & théatre depuis maintenant troisième année. Et pour terminer, je fais partie des eliot house. |
Études Maxence étudie l’histoire de l’art et le théatre. Pour elle c’est plutôt une récréation en fait. Ces parents ont voulu qu’elle intègre Harvard à tout pris, après ses années lycée à Paris, elle a accepté à la condition de faire les études qu’elle souhaitait. Maxence baigne dans le théatre depuis toute petite, mais elle ne se voyait pas en faire véritablement ses études. Elle s’est donc tournée vers l’histoire puisque c’est quelque chose qui l’intéresse depuis toujours ; elle choisit aussi le théatre en option mineure. C’est une fille intelligente qui apprend vite et bien depuis toujours, elle est assez autodidacte n’a pas besoin de faire d’efforts pour obtenir de bons résultats, ce qui est une chance. | Caractère Maxence est une fille qui une sorte d’apparence qu’elle montre à tout le monde : elle est souriante, propre sur elle, elle aime prendre soin d’elle. Mais à l’intérieur c’est une fille complexée et peu sure d’elle. Dans son adolescence elle a eu l’habitude de tester ses limites, elle aime l’adrénaline et n’aime pas devoir obéir, même si elle s’y contraint souvent. C’est une fille franche qui n’a pas peur de dire ce qu’elle pense. Loin d’être romantique, elle a enchainé les petits ami de peur de s’attacher à quelqu’un, Maxence n’aime pas l’idée de dépendre de quelqu’un, c’est une fille très indépendante et autodidacte ; elle prétend n’avoir besoin de personne, même si c’est faux. C’est une fille mature. Grande et fine, elle aime profiter de son physique pour plaire, flirter, draguer et ainsi cacher le fait qu’elle a peu confiance en elle. Maxence aime sortir, faire la fête, elle fait partie de ces filles qui fument et boivent, même si ça peut donner une mauvaise image d’elle. Elle aime être en contradiction avec les clichés que font d’elle sa classe sociale : elle n’aime pas être qualifiée de « snob ». |
Everyone Has Their Own Story
« A New York, les taxis
sont jaunes ; à Londres
ils sont noirs et à Paris,
ils sont cons. »
sont jaunes ; à Londres
ils sont noirs et à Paris,
ils sont cons. »
L’être cher, c’est Marie-Jeanne Bennett née Desmoulins. Elle est morte quelques jours plus tôt en mettant au monde le bébé dans le couffin. Le bébé dans le couffin c’est Maxence, Marie-Jeanne Bennett. Plus tard tous ses amis l’appelleront Max, pendant que son père et son frère l’appelleront MJ en hommage à sa mère.
Maxence aurait pu naitre à New York, comme Alex son grand frère. Mais elle est née à Paris. Elle aurait pu grandir à Londres comme son père Mark Bennett, mais elle a grandit à Paris, comme sa mère.
Il faut le savoir dès le début : Maxence se sentira toujours coupable d’avoir tué sa mère, tout le monde aura beau lui dire que ce n’était pas de sa faute, que sa mère n’avait juste pas été assez forte, elle ne voudra jamais l’admettre.
Fille d’un entrepreneur immobilier américain, Maxence grandit dans le luxe parisien. Très proche de son père et de son frère, lorsqu’elle n’est pas avec eux, elle et gardé par sa nourrice hispano-américaine Carmen que son père a fait venir de New York. Elle parle anglais avec son père et son frère, espagnol avec Carmen et français à l’école.
A l’école justement, la petite tête blonde de MJ fait sourire, elle plait, elle est appréciée. Des rumeurs circulent à la sortie de l’école privée parisienne où elle est scolarisée « mais pourquoi ce n’est pas sa mère qui vient la chercher à l’école ? » Maxence à sept ans et elle se contente d’éviter les questions embarrassantes, elle n’a pas envie de parler de cette mère qu’elle n’a pas connu, qui a donné sa vie pour elle.
Alex va à l’école avec sa petite sœur. Souvent, il demande à Carmen de ne pas venir les chercher, et c’est Alex qui ramène Maxence tout seul, comme un grand.
Ils adorent rentrer de l’école tout les deux. C’est leur moment à eux.
MJ grandit donc entre deux garçons. Mark Bennett à souvent besoin de voyager dans le monde entier, pour ses affaires, dès qu’il le peut, il emmène Maxence et Alex (ainsi que Carmen, bien sur) avec lui.
A douze ans, Maxence à posé un pied sur chaque continent. Son père à un appartement à Manhattan, une maison au bord de l’océan à Los Angeles, une maison en Afrique du Sud, une… bref.
Elle a l’habitude d’être en dehors de Paris et ça ne la gêne pas, elle aime bouger, elle n’aime pas rester à Paris plus de trois mois.
« A force de se retenir
d’aimer, on en perd
la capacité. »
d’aimer, on en perd
la capacité. »
Et puis l’adolescence arrive. Il y a la célèbre crise qui s’invite chez les trois quarts des adolescents. Alex, le frère de Maxence n’y échappe pas. Il sort beaucoup, il a dix-huit ans maintenant, et à Paris, tout le monde connait Alex Bennett. Réputé pour faire les soirées les plus branchées du VIIIème arrondissement. Mais Alex est un garçon, et lors de ses soirées réputées, c’est Maxence qui s’occupe de l’organisation, elle a quinze ans, mais elle est débrouillarde et elle réfléchie vite. Bientôt, elle n’est plus la petite sœur d’Alex, elle est Maxence Bennett et ça fait toute la différence pour elle. Même si au fond, rien ne change ; elle fait tout ça pour son frère comme pour se faire pardonner d’avoir tué leur mère. Elle y pense tout le temps…
Alors elle essaie de ne plus y faire attention, et pour ça il lui faut de l’aide, des artifices : welcome drugs. C’est un copain de son frère qui le fit découvrir la cocaïne. Si Maxence l’avait toujours vu circuler autour d’elle, elle n’avait jamais essayé. Mais Louis est un garçon sympa, et il lui plait beaucoup ; même s’il a vingt ans et qu’elle en a dix-sept. Alors pour ne pas passer pour une gamine, elle prend un rail. Louis lui sourit. Elle prend un deuxième rail, Louis l’embrasse. Un troisième, Louis l’entraine avec lui dans une chambre loin du bruit, loin des gens. Il lui fait oublier sa première fois avec Jason, un garçon rencontré à New York.
Qu’est-ce qu’elle l’a aimé Louis. Vraiment, plus qu’elle n’aurait pu l’imaginer. Ça lui faisait mal, ça lui coupait la respiration tant elle l’aimait. Et de voir que lui, du haut de ses vingt, il l’aimait aussi… c’était comme un rêve éveillé.
Mais c’est bien connu, les rêves virent vite au cauchemar. Et Louis après un an d’amour passionné, décide qu’il veut voir ailleurs si l’herbe est plus verte. Et Maxence en crève, mais plutôt mourir que de le montrer. De toute façon personne n’est là pour le voir, son père n’est plus jamais là, trop débordé par son travail, Carmen n’est plus là, Alex vit sa vie et les amis de Maxence ne voient rien parce qu’elle a très bien appris à sourire en toute circonstances.
Sauf le soir, dans sa chambre, à cinq heures du matin, quand elle rentre de soirée. Là, Alex la découvre effondrée dans son lit. Elle a prit trop de cocaïne, trop d’ecstasy, trop de vodka, trop de tout pour oublier. Alors elle raconte tout à son grand frère.
Le lendemain, elle croise Louis place Vendôme, il a un œil au beurre noir et la lèvre qui a triplé de volume. Il s’excuse de lui avoir fait du mal, de l’avoir rendue droguée ; et puis il ajoute « tu diras bien à ton frère que je me suis excusé, hein ? » Maxence le regarde partir sans un mot, quelques heures plus tard, elle embrasse tendrement la joue de son frère en le remerciant d’avoir cassé la gueule à ce connard de Louis. En échange, Alex veut que Maxence arrête de se droguer.
C’est pour ça qu’elle parti à dix-huit ans à Harvard, accepté grâce à son dossier irréprochable et grâce à l’argent de papa, aussi, il faut bien le dire.
La vérité c’est que ça fait trois ans qu’elle est là, qu’elle n’a pas arrêté de se droguer ou de boire, elle fume toujours autant, mais elle a juste appris à maitriser ça. Et puis, il ne faut pas l’oublier, Maxence sait très bien sauver les apparences…
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