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Blue-Berry Acideen Stanford fiche; terminée C'est le trente juin mille neuf cent quatre vingt onze à New-York, que la famille Stanford m'a accueilli dans ses bras, ils m'ont prénommé Blue-Berry Acideen. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en histoire de l'art et architecture, je suis maintenant en deuxième année. Et pour terminer, je fais partie des eliot house. |
Études Du plus loin que je m'en souvienne j'ai toujours été ébahie devant ces hauts bâtiments de New-York, les nouveaux comme les anciens ont quelque chose de particulier, ils ont une âme, une prestance, une histoire. Je me souviens encore des journées entières que je passais, seule, dans les rues de cette grande ville, en découvrant chaque jour de nouveaux recoins. Quand mes parents travaillaient, je passais de musée en musées, de rues en rues, de maisons en bâtiments en me disant que moi aussi, un jour, je construirais l'un des plus beau immeuble que le monde est connue. Mon immeuble il aurait été moderne tout en retraçant l'histoire de cette ville. Voilà pourquoi je suis ici aujourd'hui, parce que l'art me passionne et parce que l'architecture est un art. | Caractère Beaucoup vous dirons que je suis hautaine, que je suis méchante et froide. Beaucoup vous dirons que je suis bien trop fière de ce que je suis et de ce que j'ai alors que je n'ai fait que naître avec un physique avantageux et une fortune à en faire frémir plus d'un. Alors oui, peut être que je vous donnerais l'impression de n'être qu'une de ces filles superficielles qui prend tout le monde de haut. Mais au fond combien me connaissent ? Je ne suis pas cette fille. Ou du moins pas vraiment. Ils m'imaginent tous avoir eut une vie facile, ils m'imaginent dans la peau d'une fille superficielle qui ne se base que sur les apparences, mais de nous deux qui le fait ? Parce que je montre la carapace de force que je veux vous montrer, vous me juger. Je suis plus sensible que ce que je veux bien montrer, mais cela, peut de gens le savent... Il a toujours été plus facile pour moi d'être la fille adulée sans problèmes, que l'on adore détester, tant que je sais au plus profond de moi même que cela est faux peut m'importe. |
Everyone Has Their Own Story
La haute aristocratie … Que de belles histoires en sont nées, qui n’as jamais rêvé de pouvoir dire : « mes ancêtres étaient des nobles à la cour » et de se vanter de son nom de famille ? Qu’une seule personne me regarde dans les yeux et me disent ne jamais en avoir rêvé et je vous rirez au nez. N’importe quelle petite fille a déjà rêvé de porter une robe de princesse et n’importe quel petit bonhomme a, au moins une fois, voulu se comporter en chevalier allant sauver sa belle. Mais ne nous voilons pas la face, hier comme aujourd’hui, de la même manière que l’on aime à dire « l’habit ne fait pas le moine » avouons que la cuillère en diamant dans la bouche ne peut être qu’une apparence. Certes ces gens là vous les enviez parfois, vous voulez être à leur place souvent parce que tout à l’air tellement simple pour eux. Mais qui sait réellement ce qu’il se passe derrière la face en marbre de leurs quartiers privés ?
1ere partie : Elizabeth Hemingway
Parce qu’il faut un début à tout, voici son histoire.
SARAH « Parce que c’est comme cela. Ton père et moi en avons décidez ainsi et tu n’as pas réellement à discuter ! »
ELIZABETH « Mais maman c’est injuste ! »
SARAH « N’est injuste que ce que tu crois ma chère fille. »
ELIZABETH « … Vous vous rendez compte que ca n’a absolument aucune sens ce que vous venez de me dire là mère … »
SARAH « Peu importe ! Ecoute, que ca te plaise ou non nous ne te demandons pas ton avis. Tu te marieras avec cet homme un point c’est tout ! Et puis honnêtement je ne vois pas ce qui te dérange, il est très bien ce monsieur Hemingway. »
ELIZABETH « Très bien ? Très bien ?! Il est hautain, trop sur de lui, orgueilleux, nombriliste et égocentrique et en plus de tout cela il est laid ! Je pourrais continuer à tout vous citer cher mère mais cela serait somme toute inutile. »
Elizabeth avait 17 ans ce jour là et malgré tout elle savait qu’elle n’avait pas le choix et que quoi qu’elle dise elle devrait épouser cet homme. Ca permettrait à ses parents de s’assurer une ascension sociale comme surement on n’en avait jamais vu précédemment. Il fallait le reconnaitre, passer de simple habitant des rues de la ville à la bourgeoisie prisée de New York ce n’était pas donné à tout le monde . Certes leur fille passerais peut être à côté d’un mariage d’amour où elle se serait épanouie … Mais qui s’en souciait à l’époque ? Bien peu de gens et surement pas les parents d’Elizabeth. Allongée sur son lit elle pensait à cet homme qui allait bientôt être son mari et qu’elle ne pouvait pas voir en peinture. Tant pis, elle vivrait par procuration comme elle l’avait toujours fait. Après tout qu’est ce que cela changeait ? Elle aurait juste un peu plus d’argent et plus de considération. Mais qui aurait pu se douter que plus qu’une ascension social c’était bel et bien le rêve de ses parents qu’elle allait réaliser le jour où elle allait descendre la grande allée dans sa robe cousue par des grands couturiers pour l’occasion ? Certainement pas elle, et encore moins si on lui avait dit que ce mari qu’on lui avait choisi était promis à un avenir incertain, envoyé à la guerre il n’en reviendrait jamais, et qu’elle pourrait finalement profiter, plus ou moins comme elle l’entendait, de sa vie et de ses envies. Toujours est il que le jour de son mariage, sans qu’elle s’en douta le moins du monde, elle provoqua un renversement bouleversant dans l’histoire de sa famille. Qui aurait dit à sa naissance, lorsque sa mère accoucha seule chez elle, qu’elle se marierait avec un homme aussi influent ?
De longs mois après son mariage Elizabeth retrouva sa liberté, bien que surveillée par ses parents qui lui fixaient des limites infranchissables. Pensant le retrouver dans seulement quelques mois, après une guerre qui ne devait pas s’éterniser, elle voulait en profiter mais n’avait pas prévu que son ventre deviendrais rond de la sorte, habitée par une petite chose qui grandissait en elle sans qu’elle puisse rien y faire. Elle apprit la mort du père de son enfant quelques semaines après sa naissance et malgré ce qu’elle aurait cru cela lui fit un choc et son deuil qui, elle le pensait, ne devait durer que le temps requis pas la politesse s’éternisa. C’était sans doute l’absence de l’habitude, de ces petites attentions qu’il avait envers elle. Malgré le fait qu’il n’y ait jamais eut d’amour entre eux, une sorte de tendresse s’était installée assez rapidement et elle s’était imaginée, vite imaginée, vieillir avec lui. Ainsi soit-il, ce petit bonhomme qu’elle avait mis au monde grandirait avec deux fois plus de tendresse de la part de sa mère.
2eme partie : Chloé Stanford, née Heysenhower
Quand l’histoire se répète, on appelle ca le destin.
Alors qu’ils marchaient dans les rues de Venise, 4 ans après ce jour où ils s’étaient vu pour la première fois, il faisait à présent parti de l’armée et était plutôt bien placé en son sein tandis qu’elle vivait de ce que sa famille avait toujours mis de côté, profitant des avantages et de la reconnaissance dû à son rang, bien que les démonstrations de fortune ne soient pas particulièrement son but principal dans la vie, au contraire. Ils formaient le couple « parfait ». Marchant dans les rues de Venise il pensait à la bague flamboyante qui était dans sa poche, elle pensait à cet autre homme qui faisait vraiment battre son cœur, cet autre homme avec qui elle aimerait marcher en ce moment dans les rues de « LA » ville du romantisme. Et c’est ce moment là qu’il a choisis pour lui faire sa demande. Rien n’aurait pu mieux se passer, un silence religieux régnait sur la place où ils s’étaient arrêtés, un genou à terre il la regarda dans les yeux lui faisait ce discours qu’il avait tant de fois ressasser, des larmes roulèrent sur les joues de la jeune femme, il les prit pour des larmes de joies, elle ne le contredit pas. Ils s’embrassèrent et ils reprirent le chemin de leur hôtel main dans le main chacun rêvant à des choses différentes. Le mariage prévu allait enfin pouvoir s’accomplir. Que demander de plus ?
Un an et quelques mois plus tard
Son ventre rond le faisait sourire, persuadé que c’était son enfant qu’elle attendait, pourquoi en douter ? Il l’aimait d’un amour aveugle et trop puissant pour qu’il puisse ne pas être réciproque. Mais elle n’en était pas aussi sure que lui, il était parti pendant deux mois en mission, cette petite fille qui grandissait en Chloé était elle le fruit de son mari ou de cet autre homme qu’elle voyait par intermittence quand la grande maison dans laquelle elle vivait lui semblait trop vide. Comment savoir ? Comment en être sure ? Dans tous les cas il ne le serait jamais, personne ne le serait jamais, cela gâcherais tout. Alors les mois passaient, il était heureux, elle avait envie d’arracher ce petit être qui était en elle et l’attachait à cet homme violent malgré l’amour qu’il lui portait. Et pourtant, l’amour d’une mère est parfois incompréhensible. Malgré cette haine qu’elle ressentait pour l’être qui se formait en elle, elle lui parlait souvent et elle l’aimait d’un amour inconditionnel et infini. Elle ne voulait pas que cette petite fille en puissance grandisse dans cet univers faux et trop violent. Alexander avec le temps était devenu violent et buvais trop … Beaucoup trop. S’était il rendu compte du peu de considération qu’avait sa femme envers lui ? Surement… Cela excusait-il son comportement ? Personne n’aura surement la réponse. Alors qu’il pleurait seul les soirs où elle ne rentrait qu’à l’aube de ces diners entre « femme de la haute société », il la battait quand elle rentrait pour ne pas avoir prévenu de son absence. Personne ne pouvait se douter de ce que Chloé subissait, ou si certains le savait il le gardait pour eux, ce n’étaient pas le genre de chose qui devait se produire chez les gens éduqués de New York et encore moins chez les Stanford, connut et reconnut comme une grande famille depuis des générations, cela ne devait donc être que des rumeurs… Et pourtant, si seulement ils se doutaient de la réalité que ces prétendus rumeurs cachaient et aller engendrer, peut être auraient-ils enlevés leur cuillère en argent de la bouche le temps d’en parler à des autorités compétentes … C’est dans ce cadre là qu’Acideen à vue le jour en plein cœur de New York, dans l’un de ces hôpitaux aux chambres immenses. Ils étaient tous contents de me voir arriver, chacun à leur manière. Mais cela ne durerait pas longtemps … Malheureusement.
Les premières années se sont déroulées d’une manière irréprochable, ou plutôt bien tout du moins. Jusqu’à l’âge des 3 ans d’Acid', la famille était soudée, Chloé vivait mieux son mariage forcé et Alexander avait arrêté de boire et donc ses excès de colère par la même occasion… Mais si la vie était aussi simple, ça se saurait… Et au retour de l’une de ses missions, alors qu’Acid’ avait 5 ans et qu’elle attendait avec impatience le retour d’Alexander, ce n’est pas son père qui est arrivé à la maison. Il avait tout d’Alexander Stanford mais il avait recommencé à boire et lorsque celle-ci lui courut dans les bras c’est avec une claque parce qu’elle avait failli renverser un pot de fleur en courant qu’il l’accueillit. La petite fille partant en courant Chloé reste figée sur place, si sa petite fille n’y comprenait rien et croyait qu’elle avait fait quelque chose de mal, Chloé avait compris dès qu’elle avait vu son œil éméché que tout recommençait, il était redevenu le même que 5 ans auparavant. Tout était fini…
3eme partie : Acideen Stanford
Mais l’important, ce n’est pas la chute. C’est l’atterrissage.
Ma fille, mon enfant, ma vie ... Tu ne liras surement pas cette lettre tout de suite, mais tu la liras un jour, je le sais. Parce que tu seras fouineuse comme moi, parce que tu m'en voudras d'avoir fait ce que j'ai fait et que tu voudras comprendre pourquoi je t'ai laissé seule. Je ne prétends pas que cette lettre changera quelque chose à l'amertume que tu ressentiras envers moi ... J'espère simplement que si tu ne me pardonnes pas tu me comprendras ... Ton père à peut être changé, je l'espère sincèrement, mais si ce n'est pas le cas alors je sais que tu comprendras, tu comprendras tout. Tu seras forte je le sais, moi je ne l'étais pas, j'étais lâche et pourtant c'est toi à uniquement toi qui a réussit à me faire survivre trois ans de plus auprès de lui. J'aurais voulu te voir grandir, avoir ton premier grand amour, ton premier petit ami, comme je t'ai vu faire tes premiers pas. Je ne sais pas si tu auras des souvenirs de moi encore à l'âge où tu liras ça mais je l'espère tellement. Souviens toi à quel point je t'aimais, à quel point mon cœur battait pour toi, a quel point tu étais tout pour moi (...) |
flash back
La journée c’était passé presque calmement, presque sans encombre, mon père était jusqu’alors resté dans sa chambre et il ne m’avait que malencontreusement brulé en préparant à manger. Malencontreusement … A ce qu’il m’avait dit tout du moins, mais étais-je censé le croire après le nombre de fois où il n’avait « pas fait exprès » de me laisser une nouvelle cicatrice. Comment étais-je censé toutes les cacher ? Pour peu qu’une personne lui fasse une réflexion dans la rue sur mes bras meurtrie je me prenais une double ration de coups le soir même. Mais celui en qui tant de personne croit et qu’on appelle Dieu, destin ou Karma, n’était de toute évidence pas décidé à m’accorder cette journée de tranquillité dont j’aurais eut tellement besoin … La porte fenêtre qui donnait sur le jardin était resté ouverte et n simple courant d’air, en faisait bougé les rideaux puis tombé un vase, me fit ressentir cette peur profonde qui ne voulait pas me quitter. Pourquoi fallait-il que j’ai aussi peu de chance ? Se pouvait il qu’il n’ait pas entendu le bruit sourd provoqué par le verre du vase s’écrasant par terre ? C’était sans aucun doute le seul espoir qu’il me restait… Mais alors que j’entendais déjà son ton rageur et ses pas qui cognait sur le parquet je savais que tout espoir s’était envolé. Alors debout au milieu de la grande salle de séjour j’attendais patiemment que viennent les coups… Comme chaque fois j’avais une pensé pour ma maman qui avait elle aussi vécu tout ça, pour elle qui avait réussis jusqu’à une certaine limite à le supporter et à moi qui devait faire pareil. Les pas se rapprochaient et moi je courais vers la cuisine pour aller y récupérer un balai, essayer de masquer un minimum des dégâts causés par les bris de verres. Les pas se rapprochaient encore, j’accélérais un peu plus mon allure et revenais jusqu’à l’endroit du crime. Je me mettais à genou et commençait à passer soigneusement le balai, peut être qu’à la vue de mes effort il se calmerait. J’avais toujours cet espoir fou qui ne se trouvait jamais vérifié, mais savait on jamais, il paraitrait que l’espoir fait vivre, il fallait bien que j’ai quelque chose sur quoi m’appuyer. Mais au moment où les pas lourds s’arrêtaient juste derrière moi je savais que tout espoir était perdu et je l’entendais déjà me hurler dessus. Je me retournais le regard empli d’une peur qu’il ne devait connaitre que trop bien. Au lieu de l’avalanche de reproche que je m’attendais à entendre immédiatement, il abattit sa grande main sur ma joue de petite fille, dans un sens puis dans l’autre, et ce n’est qu’après m’avoir donné un nombre de chiffre incalculable qu’il se décida à ouvrir la bouche. « Pourquoi faut il toujours que tu fasses des conneries hein ? Tu ne peux pas te tenir tranquille cinq minutes que je puisse respirer ? Tu me fatigue tu m’entends, tu me fatigue !!! Alors tu vas poser ce balai tout de suite et tu vas ramasser ça à la main ca t’apprendras et peut être que tu feras plus attention la prochaine fois ! », hurla-t-il d’un seul souffle avant de la frapper une dernière fois et de regarder la petite fille meurtrie que j’étais ramasser à main nu les bouts de verres éparpillés sur le sol. Les gouttes de sang qui perlait de mes doigts ouverts tachaient le sol et je faisais de mon mieux pour les essuyer au fur et à mesure qu’elle s’aplatissait sur le carrelage blanc. Ramassant toujours les bouts de verres je levais furtivement les yeux vers le jardin. Vite, il ne fallait pas que mon père me voit regarder dehors, il aurait pu croire que je tirais au flan … Ou pire, qu’il ait la mauvaise idée de regarder dehors et qu’il le voit. Parce que oui, le petit garçon était là. Comme presque tous les jours, toujours à la même place. Je le voyais fulminant et prêt à bondir pour jouer au superman, comme d’habitude. Je mettais dans mon regard de petite fille toute l’intensité que je pouvais pour le prier de rester bien caché et de surtout ne rien faire. J’espérais simplement qu’il comprendrait. Et puis une larme, un simple résidu de peine me submergea parce que personne n’aurait du être témoin de la scène qui venait de se dérouler entre mon père et moi. J’étais rabaissé plus bas que terre dans ces moments là, certes à cet âge là ce n’était pas exactement ce que j’avais en tête mais je m’étais senti humilié l’espace de quelques secondes. Ca y est, j’en avais finit, il ne restait rien du vase tombé que mes main ensanglantée. Mon père semblait content et il remonta dans sa chambre. Je passais rapidement mes mains sous l’eau, sentant des picotements je me doutais que quelques bouts de verre y étaient resté mais il fallait que je me dépêche, combien de temps allait il resté dans sa chambre ? Je n’en avais aucune idée. Je courais dans le jardin rejoindre l’enfant, toujours caché dans les buissons et mes premières paroles pour lui furent celles-ci : « Il faut que tu me fasses une promesse là maintenant tout de suite ! Jamais, tu m’entends bien, JAMAIS tu ne dois raconter à quelqu’un ce que tu vois ici … Promis ? »
fin du flash back
En relisant pour une énième fois ce début de lettre voila le moment au quel elle pensait, cette après midi d’été alors qu’ils étaient en vacance dans leur résidence secondaire et qui illustrait si bien toute celles qu’elle vivait depuis le retour de son père de cette fameuse mission. En grandissant elle n’avait jamais réussit à se séparer de l’image de sa mère morte qui hantait ses nuits et elle vivait toujours chez son père aussi imbibé d’alcool et violent. Acid’ avait grandit dans ce palace entouré d’argent et de coups. Grandir dans cet univers c’est comme essayer de survivre sans atmosphère … Plutôt compliqué vous en conviendrez. Essayer désespérément de cacher des cicatrices toujours plus nombreuses pour que personne ne puisse se douter de quelque chose tout en évitant les coups chaque jour.Aujourd’hui Acid' a touché l’héritage que sa mère lui avait laissé et à décider de partir avec, loin très loin ... Pas la peine, son père l'a fait pour elle. Sans qu'elle comprenne pourquoi il est simplement parti avec sa folie, sans plus jamais lui donner de nouvelles. Elle est restée dans l'appartement avec une véritable petite fortune sur son compte en banque ... Et après ? C'était quoi la suite? Sa suite à elle c’est à Harvard qu’elle a décidé de la construire. Pour la suite, on verra…
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