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(flashback) The bars are closed, i wanna to drink, go into the woods. w/ Elliott.

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The bars are closed, i wanna to drink, go into the woods.

Il est plus de minuit, t'as prévu de te la coller, t'as envie de boire et de t'amuser, tu sais que tu peux compter sur Elliott pour ça, ton ami de la Mather, celui avec qui te bois sans modération, avec qui tu fais la fête, avec qui tu prends pas mal de bon temps tout en restant amis. Se la mettre à l'envers ensemble c'était un peu votre trip à vous, de la défonce, de la rigolade. Vous vous étiez tout de suite assez bien entendus. T'es assise sur ta pierre à l'entrée de la foret et t'attend Elliott. Tu t'étais ramenée avec de quoi passer du bon temps comme à votre habitude un pack de bières, une bouteille de vodka et quelques grammes d'herbe. Tu guettes ton téléphone attends un signe de celui qui se fait attendre comme à son habitude. Il commence à faire un peu frais, tu croise tes bras contre ta poitrine, un coup d'oeil vers le pack de bières, tu préfères l'attendre plutôt que de commencer toute seule. Mais tu diras pas non à un joint, malgré le petit vent qu'il y a tu te mets à la confection de ce dernier, tu sors ta boîte et te mets à rouler.
Roule, allume et fume, tu tires quelques barres et tu le vois enfin arriver. Nous sommes ces jeunes qui aiment se défoncer, nous sommes cette jeunesse qui ne se contente pas de jus de fruit pour s'amuser.
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L'été c'est beau, c'est cool, ça fait bronzer la peau et ça fait tomber les minettes, mais un été sans débauche, ce serait comme un couvent sans bonnes sœurs en rûte. Elliott délaissa son blouson sur son lit aux vues de la température, fourra bouteille, weed, tout ce qui pouvait vous faire oublier que le principe de la mémoire c'est de se rappeler, et le foie de filtrer, dans son sac. Pas un regard pour ses collègues de chambre, avec eux ses relations s'arrêtaient à des vagues « bonjour » le matin, entre les plumes du sommeil, voir entre deux clopes. Pour bien commencer, m'direz vous. En tout cas, c'était la soirée qui commençait bien, et le brun fila droit vers la forêt, un coup d’œil rapide balancé à son portable pour vérifier l'heure; le léger retard ne valait pas un sms, Marloes savait qu'il était toujours au rendez-vous. On loupe pas ce genre d'occasion, surtout pas lui qui respirait la débauche à 10km, avec ses tatouages et sa gueule de fêtard en manque perpétuel d'alcool et de baise. Son côté artiste lui valait bien une petite vie de bohème, se dit-il avec humour noir en se rapprochant de la forêt. Encore quelques bonnes minutes de marche, ses chaussures s'enfonçant dans l'herbe humide, une bonne vieille Lune qui aurait inspiré plus d'un poète larmoyant au-dessus de sa tête, avant d'apercevoir plus loin la belle silhouette de son amie, et en se rapprochant, la lumière rouge d'une clope qui se consumait entre les lèvres de Marloes. Clope ou pas d'ailleurs, remarqua-t-il en se rapprochant, à l'odeur qui s'en dégageait, plus qu'à la vue. Le brun balança son propre mégot et s'approcha de la jeune fille, tranquillement assise. Un sourire lancé à la James Bond, et il tendit la main... pas pour l'aider à se relever, juste pour lui prendre le joint et tirer dessus.

« Tu t'améliores, maintenant ça a presque l'air d'un joint. » ironisa-t-il à propos de la forme, en soufflant la fumée sur le joint. Puis, nouveau petit sourire à Marloes et, plutôt que de s'enfoncer tout de suite dans la forêt, le brun préféra mettre son cul à côté de celui de la fille. Le temps de se poser avant d'aller se défoncer. « T'as passé une mauvaise journée qu'on se fait ça dans une forêt ? Ou alors t'as juste la flemme de bouger ton cul de princesse en ville. » C'était pas méchant, il l'aimait bien cette nana. Au moins avec elle tout était parfaitement clair : tu fumes tu bois, et t'es logé comme un petit roi.
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Tu ne comptes plus le nombre de joints que tu as fumé aujourd’hui, celui-là ne fait même plus d’effet sur ton organisme totalement détruit par les drogues, l’alcool et toutes ces petites choses qui te redonnent le sourire. Se détruire pour aller bien, quel paradoxe. Tu lèves les yeux vers le ciel et des pas se fond entendre dans l’herbe humide, tu tires une latte sur ton joint et il est enfin là, sourire freedent aux lèvres. Tu lui rends son sourire, ton joint disparaît alors entre ses doigts, « Tu t'améliores, maintenant ça a presque l'air d'un joint. » tu ris à ses propos. A vrai dire la gueule de tes joints t’y fais pas vraiment gaffe, tant que ça se fume tu ne crache pas dessus, mais un mec est un mec et comme tout les mecs sur cette terre ils aiment savoir qu’ils sont meilleurs « Tu m’apprendras » tu lui dis en riant. Elliott s’installe à côté de toi « T'as passé une mauvaise journée qu'on se fait ça dans une forêt ? Ou alors t'as juste la flemme de bouger ton cul de princesse en ville. » Tu hausse les épaules, si ce n’était que ça vous y serez déjà, seulement dans le Vermont tu ne sais pas vraiment si les bars sont ouverts à cette heure ci. « Bah je n’e sais pas tu crois que y a des bars d’ouvert à cette heure si dans ce coin perdu ? Puis on est bien là non, c’est calé. » La réflexion de Elliott t’es passée au dessus de la tête, tu sais bien qu’il ne le pense pas puis on a vu beaucoup plus princesse que toi. N’empêche que sur un point il a raison t’es une grosse flemmarde qui s’assume en tant que tel. Tu récupères le joint qu’il a entre les lèvres, tire quelques barres, tourne la tête vers lui avec un grand sourire aux lèvres « Soufflette ? »
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A peine inspirée, et déjà la fumée le détend. Muscles, nerfs, tendons, chaque infime partie de son corps se relâche, pas parce que le joint fait effet, mais parce qu'il sait maintenant qu'il va passer une bonne soirée. Que ces journées ennuyeuses qui s'enchaînent vont finir noyées dans l'alcool et dans la drogue, et que personne ne viendra l'emmerder. Le cul posé dans l'herbe fraîche, le brun profite de cet instant de calme avec Marloes, et l'observe sans gêne. Cette nana là, elle a pas besoin d'apprendre à rouler un joint ; la débauche, ça la connaît, un peu comme lui, et c'était sûrement ça qui les avait rapproché. Le besoin naïf et violent de vouloir se détruire, doigt d'honneur au monde entier, parce qu'ils avaient beau réussir dans la meilleure université, ils n'en restaient pas moins des enfoirés notoires, des gamins paumés. « Bah je n’e sais pas tu crois que y a des bars d’ouvert à cette heure si dans ce coin perdu ? Puis on est bien là non, c’est calé. » Le brun acquiesce avec un petit sourire amusé et tire de nouveau sur le joint. A peine la fumée dans ses poumons, la brune lui retira le cône des lèvres. Elliott regarda Marloes tirer, parce qu'elle était cool, cette fille, et qu'au moins elle était pas coincée. Des filles comme ça, ça vaut de l'or, et elle n'avait de princesse que la forme de son visage et son sourire, parfois, quand elle rigolait. Le reste, c'était comme lui ; auto-destruction, méfiance, besoin d'oublier. « Soufflette ? » Un sourire déchira son expression rêveuse et lointaine et le brun, après un temps de fausse hésitation, haussa les épaules. « T'as intérêt à réussir à te lever, moi je te traîne pas jusque dans les bois. » Mais il savait qu'elle tiendrait, c'était affectif comme réflexio,. Le brun lui enleva le joint de la bouche, le retourna et le coinça dans la sienne. L'emprise des mains autour du visage de Marloes, ses yeux interceptant un instant ceux de la brune, et puis souffler. Lorsqu'il recula, il retira le joint de ses lèvres pour tirer dans le bon sens, et sourit à son amie. « Si tu tousse, je t'en refais une qui t'arrache les poumons. »
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L’odeur de la weed se mêle à celle de la résine des arbres qui nous entourent. « T'as intérêt à réussir à te lever, moi je te traîne pas jusque dans les bois. » tu décroche un sourire, ça pourrait être bizarre de voir un mec entrain de traîner une fille dans les bois, c’est limite si on le prendrait pas pour un détraqué. « Mais non t’inquiète tu me connais » c’est vrai qu’après tout étiez habitués à cette débauche, tout ces verres bus ensembles, tous ces joints partis en fumée, toutes cette poudre dans le nez. De la coke au petit dej’, un joint avant le repas, un verre pour accompagner tout ça. Bien souvent les gens te regarde avec désespoir, tu ne te caches pas de toute cette débauche qui te fais vivre, t’as jamais voulu t’en cacher. Tu te demande ce que dirait Deon si il était encore là pour te voir dans cet état, mais c’est de l’histoire ancienne, il faut que tu le raye de ta vie, une bonne fois pour toute, c’est fini il ne reviendra plus. Mais ce soir tu ne dois pas y penser, vous allez boire, vous allez fumer, vous allez noyer vos soucis, comme vous savez si bien le faire. Elliott porte le joint à sa bouche et porte ses mains à mon visage, tu le regarde dans les yeux et la fumée arrive d’un coup, t’essaye de ne pas en laisser s’échapper, une fois qu’il s’est retiré tu recraches la fumée en souriant, bordel que c’est bon. « Si tu tousse, je t'en refais une qui t'arrache les poumons. » t’as pas envie de tousser mais tu ne dirais pas non à une seconde, tu ris, prends un air faussement sérieux, porte la main à ta bouche et tousse en te forçant un peu, tu le regarde et tu lui fais ton plus beau sourire « Ce n’est pas je ne l’ai pas fait exprès. »
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C'était le silence, surtout, qu'il aimait dans ce genre de moment. La fête, l'alcool, la baise, c'est beau tout ça, mais solitaire dans l'âme, Elliott restait profondément attaché aux petits instants de calme et de silence, quand tout se suspend, au bout du fil du temps, et que plus rien n'est défini. En reculant, la fumée avait vaguement flouté sa vision, et il observait les volutes doucement s'évaporer, pour retrouver le visage souriant de Marloes. Y'avait pas à dire, c'était quand même sacrément bon, toute cette déchéance. Ça vous détraque le cerveau et ça vous fait oublier toutes vos emmerdes ; plus rien n'a de saveur, tout vous est égal, et la seule chose à laquelle vous pensez, c'est « Comment je vais pouvoir encore plus me défoncer ? » Cette merveilleuse recherche du vide et de l'inconscient, comme un trésor, et non comme la plaie qu'était la drogue et l'alcool. Mais le brun s'en foutait ; sans être de la merde, sa vie était suffisamment chiante pour qu'il s'autorise des petits extras, quand bien même ceux-ci étaient illégaux. On refait pas son existence avec un joint, mais on l'adoucit grandement. Alors Elliott rit avec un amusement non feint quand son amie fit semblant de tousser. « Ce n’est pas je ne l’ai pas fait exprès. » Et, haussant les épaules avec un immense sourire, il retira le joint de sa bouche mais, juste avant de répéter la soufflette, il murmura « Jt'ai prévenu petite fille... » Nouveau manège, de la fumée qui s'échappa de sa bouche et file tout droit dans les poumons de Marloes, mais cette fois il la laisse pas s'échapper, cette fois il la tient jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'il recule pour prendre sa propre respiration. Un nouveau rire lui déchira la poitrine. « Allez, mon tour et après on ouvre une bouteille. Toute cette fumée c'est bien beau, mais j'ai aussi amener de quoi détruire nos foies. » Enfin heureux de pouvoir se défoncer, il tendit le joint à Marloes, l'invitant à lui rendre cette merveilleuse déchéance.
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Et une nouvelle fois il souffle la fumée, elle remplie ta bouche, ta gorge, tes poumons, t'avales toute cet air qui te brûle la gorge, mais tu aimes ça. Cette légère douleur qui te prends les poumons, celle qui te rappelle que même si tu aimes ça, même si ça te mets dans un état que tu kiffes au plus au point cette débauche est nocive. Seulement tu t'en tapes, recherche constante d'une autre galaxie, s'envoler si haut, si haut qu'aucun problème, aucune emmerde ne peut te rattraper. Tu ne peux t'empêcher de tousser un peu, mais là tu n'simules pas, celle là t'as vraiment cramé les poumons. Grand sourire aux lèvres tu le regarde rire, cette soirée tu l'aimes déjà, tu sais qu'avec lui tu vas t'amuser. « Allez, mon tour et après on ouvre une bouteille. Toute cette fumée c'est bien beau, mais j'ai aussi amener de quoi détruire nos foies. » tu ne te fais pas prier, tu attrapes le joint, tire une latte et mets la fraise dans ta bouche. Tu t'approches de elliott, les yeux rieurs, toi aussi tu veux qu'il sente la weed lui brûler les poumons, tu pose tes mains de sorte de créer un "tunnel" entre sa tête et la sienne et tu commences à souffler doucement la fumée, doucement mais longtemps, quand tu sens que ton air commence à se faire cour tu souffle d'un coup le peu d'air qu'il te reste. Alors ? tu le regarde grand sourire aux lèvres attendant une quelconque réaction de sa part. Tu te lèves, bon le joint est fini tu préfères pas qu'on aille se caler dans un coin dans cette gigantesque forêt, plutôt que de rester là ?
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Pas la peine de vraiment la pousser, suffit de voir ses yeux brillants pour deviner qu'elle aime ça autant que lui. C'est presque triste, de se dire que ces gosses-là sont dans ce qui doit être la meilleure université au monde, et pourtant... Pourtant les voilà, à se cramer les poumons, la gorge, à se détruire le corps avec un sourire con flanqué aux lèvres. Faut pas s'aimer pour s'infliger ça. Ou alors faut être sacrément mal dans sa peau. Et dans le cas Whise, on vote plutôt pour la deuxième solution. En tout cas, c'est avec un frisson de délice, d'extase, d'envie, qu'il inspire profondément la fumée qui s'échappe de la bouche de Marloes. Ça dure longtemps, tellement longtemps que ça finit par grimper directement dans son cerveau, comme si le passage « poumons » n'existent même plus. Ça l’expose et ça l'emmène loin, alors quand elle le lâche enfin, qu'elle rompt cette merveilleuse liaison, le brun soupire et papillonne des paupières. Histoire de retourner à la réalité. Alors ? Elliott darde sur elle un regard au début incrédule, parce qu'il capte pas tout de suite, encore un peu trop haut. Il l'observe se lever, l'admire d'en bas, un petit rictus coincé au coin de la bouche. Bon le joint est fini tu préfères pas qu'on aille se caler dans un coin dans cette gigantesque forêt, plutôt que de rester là ? « J'te suis. » il rétorque en se relevant, l'air d'être parfaitement clean, et chope son sac. Les bouteilles font un bruit de cloches quand il l'agite et ça le fait drôlement sourire. « On a l'embarras du choix pour les arbres... et pour l'alcool. Tiens, on va commencer gentiment. » Sur ce, il sort une bouteille de gin du sac et la tend à Marloes. « J'espère que t'as rien de prévu demain, parce qu'après ça, il nous faudra pt'être une bonne nuit de sommeil. » Et franchement, ça l'amuse.
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Quand on est gosse on a les yeux qui brillent quand on pense au père noël, quand on regarde les vitrines des magasins de jouer, quand on rêve. Puis notre regard fini par ternir, sauf que cette quête du bonheur sans fin continue, qu'on se retrouve là trouver le truc qui fait briller les yeux parce que apparemment c'est comme ça qu'on est heureux. C'est tellement con de se fixer sur un si petit détail pour savoir quand on est bien ou quand on ne l'est pas, pourtant dans cette quête perpétuelle d'un bonheur sans fin dès qu'on trouve le moyen de satisfaire ses besoins. Puis vous vous retrouvez là dans la forêt avec un autre chasseur de bonheur parce que tout compte fait vous êtes des milliers à le chercher. « J'te suis. » vous marchez à travers les arbres, quand il chope son sac t'entends les bouteilles s'entre-choquer et ça te fait marrer, encore une soirée qui va te retourner le bide « On a l'embarras du choix pour les arbres... et pour l'alcool. Tiens, on va commencer gentiment. » tu tournes la tête vers lui et chope la bouteille qu'il te tends, un léger sourire sur le coin de tes lèvres Merci, le bouchon roule entre ton pouce et ton majeur, « J'espère que t'as rien de prévu demain, parce qu'après ça, il nous faudra pt'être une bonne nuit de sommeil. »tu portes le goulot à tes lèvres et t'envois quelques gorgées Bleuuuuarg, j'confirme demain ça va être rude tu lui tends la bouteille en riant.
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Ça le fait drôlement rire, de voir cette fille aussi peu... féminine ? Non, c'est pas le bon mot. Y'a quelque chose chez cette nana d'assez décalé, différent, cette manière qu'elle a d'assumer d'aimer être un déchet comme lui, de se défoncer. Et puis une certaine confiance quand même, parce que se mettre mal avec un homme, c'est toujours délicat. Mais Elliott la touchera pas, non, pas Marloes. C'est pas qu'elle est à tomber par terre, à se rouler dans la boue rien que pour ses beaux yeux, mais ça se fait pas. Y penser, non, elle vaut mieux que ça, rien que parce qu'elle doit avoir l'impression d'être une moins que rien. Ouais, il l'aime bien, cette fille. Tellement différente que toutes ces salopes, ces petites connes, ces princesses, ces coincées, ces intellos et ces dépravées. Enfin bref, une nana bien. Bleuuuuarg, j'confirme demain ça va être rude Il se joint à son rire et lui prend la bouteille, en descend quelques longues gorgées puis la lui redonne. « Bon alors Marloes... Rude journée pour avoir envie de finir la soirée dans des bois ? » Il lui sourit avec une certaine gentillesse, puis sort une slim, son bout de shit qu'il émiette consciencieusement tout en marchant plus profondément dans la forêt. « Et euh... t'as pas peur qu'on tombe nez à nez avec un pédophile violeur ? » Ce serait trop con.

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