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BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella

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Bonaventure Weasley

   
Nico
   Tortorella
Fiche d'identité
NomBonaventurePrénom(s)SamsonÂge25 ansDate de naissance14 août 1990Lieu de naissanceWindhoek en NamibieStatut amoureuxCélibataireOrientation sexuelleHétéroseuxelClasse socialeAiséeÉtudes majeuresMédecineÉtudes mineuresCriminologieJobDétective privéChoix de groupe #1QuincyChoix de groupe #2Lowell

   
QUINCY HOUSE.
Si Bonaventure pouvait donner sa chemise, il le ferait de bon cœur tant il l’a sur la main. Peut-être est-ce dû au fait qu’il a été adopté et que de ce fait, il s’estime chanceux au point de vouloir rendre la pareille. Peut-être est-ce tout simplement parce que c’est dans sa personnalité. La vie ne l’a pas épargné et pourtant, il a toujours conservé sa joie de vivre, sa rage de vaincre ainsi que son envie de rendre le monde meilleur. Ses parents adoptifs lui ont toujours appris à donner, à se montrer charitable envers son prochain même si par moment, c’est plus compliqué. Actif dans la vie associative, il aide des enfants handicapés à surmonter leur handicap comme lui-même a été épaulé il y a deux ans. On peut dire que cette maison lui irait comme un gant !

   LOWELL HOUSE.
Féru de comics depuis sa plus tendre enfance, Bonaventure a toujours voulu se lancer dans cette aventure. C’est d’ailleurs pour cela qu’il a, durant de nombreuses années, pris des cours de dessin. A ses quatorze ans, il a commencé son propre comics inspiré de sa propre vie. Une sorte de défouloir où son alter-égo arrive à surmonter tous les problèmes. Depuis son amputation, son besoin de s’évader dans le dessin se fait cruellement ressentir et il n’est donc pas rare de le voir griffonner durant des heures et des heures les prochaines aventures de son héros. De plus, il exprime son goût pour les Arts au travers de la photographie qu’il pratique à la fois pour son boulot de détective mais également par l’intermédiaire du club de photographie.
APRÈS LA BOMBE.
Janvier 2013 est une période de la vie de Bonaventure qu’il aurait aimé voir disparaître. Malheureusement, le Destin en a voulu autrement. Ce dernier se trouvait non loin d’un des foyers d’explosion et le souffle d’une des bombes le blessa gravement. A l’hôpital, les médecins durent se rendre à l’évidence : il avait un grave traumatisme à la colonne vertébrale. Ils étaient même sceptiques quant à ses chances de pouvoir remarcher un jour. A son réveil, Bonaventure n’eut que ses larmes pour pleurer. Les choses auraient pu s’arrêter là mais les conséquences de cette paralysie allaient également toucher sa vie personnelle car sa petite-amie de l’époque, ne supportant pas son nouvel handicap, le quitta. Le corps meurtri, le cœur brisé, Bonaventure avait réellement payé le prix cher en cette année 2013.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Bonaventure se souvient très bien de l’ambiance morbide qui régnait durant ces vagues d’agressions. Il commença à croire que le Destin aimait bien le mois de janvier. Heureusement, cette fois-ci, il ne fut pas touché de près par cette tragédie. Aucune de ses proches amies n’a été agressée ou a été pris en otage. Lui-même ne se trouvait pas à Harvard au moment des faits puisqu’il se trouvait à l’hôpital à cause d’une mauvaise chute avec son fauteuil roulant. Le jeune homme a toutefois tenté d’aider plusieurs autres étudiants à se remettre de ce triste épisode notamment en donnant de son temps à SOS suicide durant quelques semaines.
Il mesure 1m87 si bien qu’il est facilement repérable dans une foule (+) Il a été adopté par la famille Weasley (+) Son père est sénateur démocrate et sa mère psychiatre (+) Il est enfant unique et cela lui a toujours manqué d’avoir un petit frère ou une petite sœur (+) Il est célibataire durant deux ans à cause de son fauteuil roulant (+) Il discute souvent avec une femme sur un forum de discussion sur les comics DC (+) Il jouait dans l'équipe de basketball de l'université (+) Il est de confession musulmane (+) Hobbies : cuisine, dessin, lecture de comics, jeux vidéo, généalogie, photographie et les voyages (+) Facultés : il parle plusieurs langues dont l’arabe, l'allemand, l’anglais et l’espagnol (+) Goûts : sodas, sucreries, le thé à la menthe, sa religion, donner de sa personne (+) Dégoûts : l’alcool, les champignons, être dans un fauteuil roulant, le café et devoir se lever le matin (+) Sa doctrine : aide toi et le ciel t’aidera.


   
TownTrotter
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle TownTrotter et j'ai plus toutes mes dents. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à un partenariat.  Ce forum est actif et attractif alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Nico Tortorella comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi-même. Je fais environ 250 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

   Mot de la fin ?BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 1839924927

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Once upon a time

 
La rage le submergeait. Il ne pouvait contrôler cette colère qui se nourrissait de ses peurs infantiles. Combien de fois avait-il douté au cours de sa courte vie ? Trop souvent, bien trop souvent. Bonaventure était pourtant l’archétype de l’enfant sage, aimant et calme. Pourtant, aujourd’hui, il ne contrôlait ni sa rancune, ni sa fureur et encore moins ses larmes qui se déversaient comme des torrents sur ses joues chocolatées. « Puis-je savoir ce qui se passe ici jeune homme ? Pourquoi diable as-tu dérangé ta chambre ? » s’écria le père de l’enfant, alerté un peu plus tôt par sa femme. Monsieur Weasley regarda tout autour de lui et constata que déranger était peut-être un euphémisme. Le lit n’était plus drapé de ses draps, le matelas en était même debout, contre un mur, comme s’il avait servi de punching-ball à son fils de huit ans. Les affaires scolaires sur le bureau étaient parsemées au sol ainsi que tout le contenu de l’armoire. C’était un véritable champ de bataille avec pour seul soldat, un enfant en pleur qui semblait en vouloir à la terre entière.

« Dégage, je veux pas te voir ! Je veux voir personne » fut la seule réponse qu’obtint l’aîné. Ce dernier fronça les sourcils. Son fils ne lui avait jamais parlé sur ce ton mais loin de s’en offusquer, il s’en inquiéta. « Bonaventure, je peux savoir ce qu’il t’arrive ? Hé mon garçon, regarde-moi » lui demanda-t-il en s’efforçant de garder son calme et ainsi conserver un ton doux et avenant. « Je suis pas ton garçon, je suis pas un Weasley, je suis qu’un putain de fils de pute de boulet !! Je suis qu’un étranger chez des riches, un objet de décoration, je suis rien d’autre, je n’ai aucune utilité » rétorqua le jeune garçon sous le regard effaré de son père adoptif. « Miséricorde… Que s’est-il passé mon fils ? Qui t’a fourré ce genre d’idiotie dans la tête ? » l’interrogea aussitôt Gideon Weasley en prenant son fils par les épaules pour le forcer à le regarder. « C’ est la bande du gros Tony.. Ils ont dit que je n’étais qu’un genre de chiwawa pour vous deux et que je serais jamais votre fils, car je suis adopté et vous, vous êtes pas mes vrais parents » marmonna Bonaventure qui continuait de pleurer bien malgré lui. Ses larmes se faisant écho de son petit cœur d’enfant, déjà trop durement confronté au racisme et à la bêtise humaine.

« Tu es mon fils Bonaventure ! Tu m’entends ?! Je t’interdis de penser le contraire, tu es notre fils qu’importe le sang qui coule dans tes veines, qu’importe tout ce que les gens diront. Ta maman et moi, nous t’aimons comme si tu étais issu de nous. Tu es la chaire de ma chaire et même si le sang des Weasley ne coule pas dans tes veines, tu es et tu seras à jamais notre enfant. Nos valeurs sont là, ancrées dans ton cœur. Et ça, à mes yeux, c’est bien le signe que tu es notre enfant. Mon fils. Je t’aime mon bonhomme et quoique tu fasses, ce sera toujours le cas » lui répondit son père d’un ton solennel. Il n’en fallait pas plus à l’enfant pour éclater en sanglot dans les bras de son père qui se chargea de le réconforter sous l’oeil attendri et inquiet de sa femme, venue aux nouvelles. C’était la première fois qu’ils étaient confrontés à cette situation et ils comprirent que dorénavant, il leur fallait se montrer bien plus attentifs au ressentiment de leur enfant face à son adoption. Toutefois, quoiqu’il arriverait, ils feraient tout pour que Bonaventure n’oublie ni ses racines africaines ni le fait qu’il appartenait à leur famille.
La colère et la peur d’un enfant. Bonaventure, huit ans.

« Encore cinq minutes... Bon Dieu, Bonaventure, qu’est-ce que je ne ferais pas pour toi » grogna la voix impatiente d’une jeune adolescente de dix-sept ans. Visiblement, elle trépignait d’impatience alors qu’elle se trouvait face à adolescent tout aussi impatient. « Rappelle-toi que tu m’aimes et que tu es folle de moi » s’amusa-t-il à répondre les yeux rivés sur sa montre. Les minutes se jouaient d’eux avec un certain sadisme mais bientôt, l’heure tant attendue arriva. « C’est bon ! » s’écria-t-il avant de recevoir sa petite-amie dans les bras pour un baiser sulfureux qui les laissa le souffle court. « Rappelle-moi pourquoi il fallut que tu te convertisses à l’Islam ? » grogna-t-elle à nouveau alors qu’ils se déshabillaient à toute hâte. « C’est la religion de ma mère biologique, je veux lui rendre hommage et puis, ça a son charme de te voir transie de désir pour moi » lui dit-il alors que lui-même était fou de désir pour elle. « Foutu ramadan » marmonna Lucy McRieves en reprenant les lèvres de son petit-ami.

Bonaventure et elle se fréquentaient maintenant depuis un an après avoir passé une enfance à jouer aux meilleurs amis. Ils étaient jeunes et insouciants, s’aimant comme si demain étaient le dernier jour. Lucy avait amené sa folie à Bonaventure. Il était bien trop sérieux et travailleur pour elle, mais elle s’en incommodait tout comme il faisait avec son tempérament volcanique et ses tenues fantaisistes. Ils étaient le Yin et le Yang, se complétant à merveille. « Je te préviens, tu n’iras manger qu’après m’avoir dévorée toute crue sinon je te largue en beauté Weasley » lui dit-elle sur le ton de l’humour. Le jeune homme ne prit guère le temps de lui répondre, fondant sur elle comme un aigle sur sa proie pour la dévorer. Lucy était son premier amour, sa première fois également. Ils avaient fait les quatre cents coups ensemble avec leurs bandes d’amis. Grâce à elle, il s’était senti aimé, désiré, intégré. Ses parents l’adoraient en prime !

Le jeune couple d’adolescents firent l’amour fiévreusement comme à leur habitude depuis le début du ramadan. Une façon de rattraper leur journée à ne pouvoir se toucher ou s’embrasser. Puis, une fois la passion apaisée, ils purent finalement reposer dans les bras l’un de l’autre. « J’ai oublié de te dire ce que j’étais venue te dire à l’origine » soupira-t-elle en se blottissant contre son torse. « Ah ? Je savais que je te faisais perdre la tête mais pas à ce point-là » se moqua-t-il légèrement comme à son habitude. Bonaventure avait développé une certaine tendance à l’ironie pour se défendre des attaques des autres mais celle-ci restait toujours tendre envers ses proches. « Crétin ! Je voulais simplement te dire que j’ai adoré ton dernier article pour le journal du lycée, celui sur la délinquance… Tu sais, je suis certaine que tu arriveras à entrer à Harvard, tu es fait pour la criminologie et ils passeraient à côté de quelque chose s’ils ne te prenaient pas » ronronna-t-elle sous ses caresses. Harvard, Bonaventure rêvait d’intégrer cette université depuis qu’il était gosse. Son père et sa mère s’y étaient rencontrés et aimés. Il voulait suivre cette tradition familiale même s’il avait conscience que Lucy ne pourrait jamais le suivre sur cette voie. « Merci… J’aurais tant aimé que tu puisses venir » regretta-t-il tandis qu’elle se redressait sur un coude pour plonger son regard dans le sien. « Hey je compte bien te suivre… bon ok je vais devoir me trouver un petit boulot, mais je te laisse pas partir sans moi ! Rêve pas… Hors de question qu’on me vole mon bon parti ! Je compte bien que tu m’épouses dans quelques années et que tu m’entretiennes » plaisanta l’adolescente tandis que son vis-à-vis grognait quelque chose qui ressemblait vaguement à : espèce de vénale.
Un couple, un choix d’avenir. Bonaventure, dix-sept ans.



[Je suis désolée, je ne peux pas. C’est au-dessus de mes forces] Un simple mot griffonné sur une feuille de brouillon et c’était tout un monde qui basculait vers le néant. Bonaventure, les traits tirés, se laissa glisser le long de son fauteuil roulant, image vivante du désespoir. Il aurait aimé pouvoir hurler mais ses cris restèrent prisonniers de sa gorge tout comme ses larmes. Elle l’avait quitté en dépit de toutes ses promesses, en dépit de tout ce qu’ils avaient vécu. Il se sentait trahi, abandonné lâchement alors qu’il avait tant besoin d’elle. Le jeune homme qu’il était devenu aurait du la haïr, mais il n’y arrivait pas. Il était sous le choc, totalement perdu. Il n’avait pas mérité cela, c’était comme une seconde punition. Bonaventure porta son regard sur le fauteuil roulant qu’il venait de repousser puis sur ses jambes immobiles. La fureur le gagna alors comme lorsqu’il avait huit ans. Il tapa sur ses cuisses, ses genoux, il frappa encore et encore comme s’il cherchait à ressentir la douleur mais rien ne vint. Et rien ne viendrait, il le savait. Ses jambes ne lui répondaient plus depuis cette foutue paralysie.

Lorsque sa crise se calma, il se rampa péniblement vers le canapé où il s’écroula de tout son long. La télécommande en main, il commença à zapper. Toutes les chaînes ne parlaient que de ce qui s’était passé à Harvard. Les attentats faisaient encore la une des journaux, plus de deux mois après les faits. Anéanti, il coupa le son et ferma les yeux. Des  larmes coulèrent silencieusement le long de ses joues. Bonaventure avait tout perdu durant ces attentats : son meilleur ami, ses jambes et maintenant sa petite amie. Lucy n’avait pas supporté de le voir paralysé, de le voir diminué. Elle l’avait quitté comme cela, profitant de son séjour à l’hôpital pour prendre ses affaires de leur appartement. C’était un acte lâche et pourtant, une part de lui la comprenait. Plus rien ne serait comme avant. Comment pourrait-il reprendre sa vie d’avant ? Il n’était plus qu’un infirme traumatisé par le fait de devoir se rendre à nouveau sur les bancs d’Harvard. Il était terrifié à l’idée qu’un autre attentat s’y déroule. Il avait tout perdu ! Un SMS perturba son apitoiement. Il venait de la fédération américaine de basketball qui lui annonçait le déroulement des prochains championnats d’université. « Quelle journée de merde » jura Bonaventure en soupirant. Il n’avait pas le cœur à se désinscrire, il ne voulait pas renoncer à tout le même jour. Sa vie venait de prendre un tournant décisif, il le savait. C’était ce genre de carrefour qui pouvait mener à une vie de merde ou au contraire à une vie brillante. Avancer ou reculer ? Aller à gauche ou à droite ? « Demain…Je verrais ça demain » marmonna-t-il en cédant les armes face à ce sommeil qui le gagnait. Il était épuisé de ce combat incessant. Est-ce qu’un jour, il allait pouvoir mener une vie douce et calme ? Il n’en avait pas la moindre idée car après avoir lutté et lutté contre le racisme, il allait devoir combattre le handicap. Oui, il ferait ça demain. Pour l’heure, il voulait juste oublier et se bercer d’illusions que Lucy allait changer d’avis et lui revenir. Sa Lucy. Son premier amour.
A l’aube d’une nouvelle vie. Bonaventure, vingt-et-un ans.


« La vache, tu as pulvérisé ton regard ma couille ! » s’exclama l’un de ses meilleurs amis tandis qu’il s’approchait, un grand sourire aux lèvres. Voilà deux ans que les attentats avaient eu lieu et sa vie en était ressortie bouleversée. « Je te l’avais dit que je me sentais en pleine forme » lui répondit Bonaventure avec un sourire heureux. Il était fier du chemin parcouru depuis lors. Sa joie de vivre l’avait grandement aidé mais surtout, il avait pu compter sur le soutien de ses proches et de sa famille. Ses parents l’avaient tenu à bout de bras durant de nombreux mois après sa sortie de l’hôpital, l’aidant à gérer sa dépression nerveuse. Ce fut contre toute attente que Weasley Junior avait remonté la pente. Un beau jour, il en avait eu assez de se morfondre, assez de s’enliser dans ses pensées négatives. Il avait quitté sa chambre d’étudiant pour se rendre au gymnase. Il l’avait ressenti comme un appel furieux. Ce soir-là, il s’en souvenait comme si c’était hier, un groupe d’handicapé s’entraînait sur le terrain et il était resté là, à les observer longuement. Cela lui avait mis une claque salvatrice. Ce soir-là, il avait compris que son handicap ne l’empêchait pas de vivre ni même de remporter des défis. Tout était une question d’adaptation.

Bien sûr, il n’avait pas changé du jour au lendemain. Cela avait été un travail de longue haleine pour se reconstruire. Encore aujourd’hui, il éprouvait des difficultés à regarder son fauteuil roulant. Ce dernier faisait partie intégrante de sa vie mais il lui arrivait par moment de souffrir de sa présence. Bonaventure n’arrivait pas à l’assumer bien qu’il prenait soin de sa forme physique. Son manque d’assurance l’empêchait d’ailleurs de se tourner vers les femmes. Il avait eu quelques histoires mais rien de bien sérieux, rien de bien sexuel. Il n’arrivait pas à passer à l’acte sans compter qu’aucune femme ne semblait trouver grâce à ses yeux. Lucy continuait de l’obséder ou plutôt son départ continuait de le hanter. Comment retrouver l’amour alors qu’il était mutilé dans sa chaire et dans son cœur ? Il n’avait toujours pas trouver la réponse.

En attendant, il continuait de mener de front ses études et le handisport malgré les drames qui ne cessaient de se dérouler autour de lui. Heureusement, il n’avait eu aucun autre malheur dans sa vie malgré les récents événements. Le hasard du calendrier a fait qu’il était à l’hôpital à ce moment-là, à cause d’une mauvaise chute à l’entraînement.
Se reconstruire. Bonaventure, de nos jours.
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omg on le voit jamais BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 3850463188
bienvenue parmi nous & bon choix d'avatar BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 166564858
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Ouuuuuuh Alfred, aussi beau en photo qu'en vrai BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 4205929361
Bienvenue parmi nous en tout cas, et bon courage pour ta fiche hanwii
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Oui Alfie est trop rare sur les forums BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 1001568715
Merci beaucoup vous deux BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 3338944726
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Bienvenue BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 3850463188
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Merci beaucoup BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 3338944726
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Excellent choix d'avatar BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 4205929361
Bienvenue parmi nous BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 4046487928
Good luck pour ta fiche and have fun BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 748718657
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Merci beaucoup à toi BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 1001568715
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ALFREEED OMG ALFREEEDDDD :loukas: :sex1: :sex2: BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 3406960028 BONAVENTURE S. WEASLEY ►Nico Tortorella 2727399354

bienvenue XD
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