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Mon nom est
elysia ravenswood-skadden
C'est le 21 avril 1992 à new-york, que les membres de la famille Ravenswood m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Elysia Marie-Johanna. Je suis officiellement mariée et c'est l'horreur, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de langue et littérature anglaise depuis 4 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les quincy ou les lowell.
Tell me some more about you
QUINCY.
Tu as toujours été quelqu'un avec le coeur sur la main, d'une grande bonté, et ce, malgré tes précédentes appartenances aux Eliots ou aux Mathers. Il n'est pas toujours possible de changer, surtout changer sa véritable nature. Ne dit-on pas, chassez le naturel et il revient au galop? Toi, c'est ton cas. Tu as toujours été une fille généreuse et gentille. Parfois même un peu trop gentille, un peu trop sensible, un peu trop compréhensive. À pardonner facilement. À aimer trop facilement. À donner de ta personne trop vite. Et surtout, tu ne supportes pas de voir quelqu'un souffrir comme toi tu as pu souffrir. Alors, tu essaies de changer ton petit monde autour de toi, avec tes gestes, tes actes, tes mots. Oui, tu as définitivement l'âme d'une quincy.
Tu as toujours été quelqu'un avec le coeur sur la main, d'une grande bonté, et ce, malgré tes précédentes appartenances aux Eliots ou aux Mathers. Il n'est pas toujours possible de changer, surtout changer sa véritable nature. Ne dit-on pas, chassez le naturel et il revient au galop? Toi, c'est ton cas. Tu as toujours été une fille généreuse et gentille. Parfois même un peu trop gentille, un peu trop sensible, un peu trop compréhensive. À pardonner facilement. À aimer trop facilement. À donner de ta personne trop vite. Et surtout, tu ne supportes pas de voir quelqu'un souffrir comme toi tu as pu souffrir. Alors, tu essaies de changer ton petit monde autour de toi, avec tes gestes, tes actes, tes mots. Oui, tu as définitivement l'âme d'une quincy.
LOWELLS.
Tu as toujours eu l'âme d'une artiste. Depuis ton plus jeune âge, tu danses. Tu danses à en perdre ton souffle, à en donner tout ton temps, à en crever. Tu aimes ça, la danse, exprimer tes sentiments à travers tes gestes. Le ballet, ta prédilection. Puis, tout à changé avec la bombe en 2013. Une mauvaise blessure. Tu as dû abandonner ton rêve, votre rêve. Tu as arrêté de danser. Mais pendant ta grossesse, tu as jeté ton dévolu sur une autre forme d'art. La musique. Si tu ne pouvais plus danser, alors, tu pouvais faire danser les autres. Le piano, le violon, le saxophone, tout y passait. Et grâce à ça, tu vis à nouveau.
Tu as toujours eu l'âme d'une artiste. Depuis ton plus jeune âge, tu danses. Tu danses à en perdre ton souffle, à en donner tout ton temps, à en crever. Tu aimes ça, la danse, exprimer tes sentiments à travers tes gestes. Le ballet, ta prédilection. Puis, tout à changé avec la bombe en 2013. Une mauvaise blessure. Tu as dû abandonner ton rêve, votre rêve. Tu as arrêté de danser. Mais pendant ta grossesse, tu as jeté ton dévolu sur une autre forme d'art. La musique. Si tu ne pouvais plus danser, alors, tu pouvais faire danser les autres. Le piano, le violon, le saxophone, tout y passait. Et grâce à ça, tu vis à nouveau.
APRÈS LA BOMBE.
Tu te souviendras de cet instant toute ta vie. Les pires heures que tu as pu vivre. Ou presque, si on compte pas tout ce temps passé enfermée dans cet hôpital suite au suicide de ta jumelle, Mylena. Bref. Tu étais sur le parking a ce moment-là. Tu avais vu les voitures exploser. Tu avais vu le parking tomber en ruine. Tu avais vu tous ces étudiants souffrir de blessures. Comme Alekseï. Comme Solveig. Comme toi aussi d'ailleurs. Une blessure au talon qui a cassé tes rêves de devenir, un jour, une danseuse hors paire. Et ton dos, quand après une explosion, tu t'étais retrouvée propulsée contre un mur. Mal de dos chroniques. Tu avais perdu connaissance, bien entendu. Et tu avais réouverts les yeux à l'hôpital. Tu avais d'abord été prise de panique. La peur de perdre certains de tes proches te rongeaient. Mais ils s'en étaient tous miraculeusement sortis. Sauf que les victimes de ce dégâts... Tu n'oublieras jamais ces quelques heures sombres de ta première année.
Tu te souviendras de cet instant toute ta vie. Les pires heures que tu as pu vivre. Ou presque, si on compte pas tout ce temps passé enfermée dans cet hôpital suite au suicide de ta jumelle, Mylena. Bref. Tu étais sur le parking a ce moment-là. Tu avais vu les voitures exploser. Tu avais vu le parking tomber en ruine. Tu avais vu tous ces étudiants souffrir de blessures. Comme Alekseï. Comme Solveig. Comme toi aussi d'ailleurs. Une blessure au talon qui a cassé tes rêves de devenir, un jour, une danseuse hors paire. Et ton dos, quand après une explosion, tu t'étais retrouvée propulsée contre un mur. Mal de dos chroniques. Tu avais perdu connaissance, bien entendu. Et tu avais réouverts les yeux à l'hôpital. Tu avais d'abord été prise de panique. La peur de perdre certains de tes proches te rongeaient. Mais ils s'en étaient tous miraculeusement sortis. Sauf que les victimes de ce dégâts... Tu n'oublieras jamais ces quelques heures sombres de ta première année.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Tu en avais entendu parlé. Des connaissances avaient été touché. Toi, tu n'avais pas été là. Ou plutôt, tu étais là parfois physiquement, mais tes pensées étaient loin à cet instant. Et surtout, tu n'étais pas toujours sur le campus. Tu partais parfois pendant des jours, voire des semaines, pour être avec l'homme que tu aimais, à DC. Alors, tu ne l'as pas vraiment sentie, tu ne l'a pas vraiment vécue, ces quelques mois de terreur. Malgré tout, quand tu étais présente, tu sentais cette ambiance pesante. Et ça ne te donnait qu'une seule envie. Partir.
Tu en avais entendu parlé. Des connaissances avaient été touché. Toi, tu n'avais pas été là. Ou plutôt, tu étais là parfois physiquement, mais tes pensées étaient loin à cet instant. Et surtout, tu n'étais pas toujours sur le campus. Tu partais parfois pendant des jours, voire des semaines, pour être avec l'homme que tu aimais, à DC. Alors, tu ne l'as pas vraiment sentie, tu ne l'a pas vraiment vécue, ces quelques mois de terreur. Malgré tout, quand tu étais présente, tu sentais cette ambiance pesante. Et ça ne te donnait qu'une seule envie. Partir.
mon pseudo internet est
midnight.heaven
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle midnight.heaven et j'ai 24 ans. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à bazzart sûrement. Une certaine personne a réussi à me convaincre de revenir avec ely... alors me revoilà (et non, même après 3 ans, je m'en lasse pas ). J'utilise monika jagaciak comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par sweet disaster. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
It's all about...
once upon a time !
« Mon bébé...
Je sais que tu n'es pas encore en âge de lire. Bien sûr que non, tu ne sais même pas parler encore, si ce n'est émettre des petits gazouillis. D'ailleurs, tes expressions, tes mots propres à toi, et même tes pleurs vont me manquer, ma chérie. Mais il le fallait. Il fallait que je parte. Et il fallait aussi que je couche ces mots sur ce papier. Je n'ai pas beaucoup de temps d'ailleurs. Tu es en train de dormir là, et je sais que bientôt, tu te réveilleras.
Ma chérie, je ne sais pas quand je reviendrais, mais sache que, tous les jours, toutes les minutes, toutes les secondes, mes pensées vont vers toi. J'espère néanmoins que jamais, tu n'auras à lire cette lettre. Mais sait-on jamais, n'est-ce pas? Alors, je t'écris.
Est-ce que papa prend soin de toi, mon amour? Est-ce qu'il t'aime comme je t'aime? J'espère que c'est le cas, sinon, je m'en voudrais toute ma vie. J'imagine que maintenant, tu sais qu'il n'est pas ton père biologique. J'imagine aussi que tu sais que je ne l'ai jamais aimé. J'ai de l'affection pour lui, oui, mais ce n'est pas de l'amour. Dans cette vie, je n'ai véritablement aimé que deux personnes. Et l'un deux est ton père, ton père biologique. Tu as sûrement plein de questions, n'est-ce pas? Alors, dans cette lettre, je vais essayer de te répondre.
Je l'ai rencontré quand je n'avais que 15 ans. Lui, qui me semblait si inaccessible, était très proche de ma soeur, tu sais, tante Mylena. Elle non plus tu n'as jamais eu la chance de la rencontrer... Il était donc très proche de Mily, et il venait aussi très souvent à la maison. Il n'a fallu qu'un regard, tu sais? Un regard pour que je tombe follement amoureusement. Mais il ne me voyait pas. Et puis, le drame a fauché ta tante. Il est parti aussi. Je ne l'ai plus revu, mais je n'ai sans aucun doute jamais cessé de l'aimer.
C'est à ce moment-là que j'ai rencontré le deuxième amour de ma vie. Notre relation était assez indescriptible. Il était le fiancé de ma jumelle, et à son décès, tes grands-parents m'ont donné moi, à sa place. Tout de suite, nous nous sommes détestés. Mais, ne dit-on pas qu'entre la haine et l'amour, il n'y a qu'une fine ligne qui les sépare? Je ne sais même pas quand je suis tombée amoureuse de lui. D'Andy. Oui, il s'appelait Andy. Je l'ai aimée, aussi, bien que lui, aimait quelqu'un d'autre. Pourtant, nous avons vécu une histoire. Il n'y avait aucuns mots entre nous, que des gestes, des regards. Je ne lui ai jamais dit que je l'aimais, lui non plus d'ailleurs, mais nous le savions tous les deux, que certains sentiments étaient là, sans doute profondément enfui.
Et puis, ton père est arrivé. Je ne m'y attendais pas. Il était là, à Harvard. Je lui en ai voulu tu sais? Au tout début. De ne pas avoir été là pour nous quand Mily était partie. De ne pas avoir été là pour moi. J'ai voulu le détesté, crois-moi, mais je n'ai pas pu. Il était là. Il était enfin là. Et surtout, il me voyait. Et je l'ai aimé. Oh oui, je l'ai aimé. Et j'ai souffert aussi. Plus que jamais. Ton père est très ambitieux, vois-tu? Il rêvait de faire de grandes choses, de changer le monde même. Et il avait des obligations. Nous nous sommes aimés, mais la distance a eu raison. Il était souvent absent, se rendant à des conférences, des meetings politiques. Je l'ai attendu. Et sans doute que je l'attendrais toujours. Mais il n'est jamais revenu. Il n'a jamais su que j'étais enceinte... Tu dois me détester à cet instant, n'est-ce pas? Ton père ne sait même pas que tu existes. Mais crois-moi, c'est pour ton bien. Je ne te veux que du bonheur. C'est aussi pour ça que je suis partie. Parce que je ne peux pas t'élever dans l'état que je suis. Je ne ferais que te faire du mal. Je ne ferais que souffrir aussi.
Comprends-moi, mon amour. Tu n'aurais vécu qu'un enfer à mes côtés. Alors, je préfère te laisser à des personnes qui prendront toujours soin de toi. Mais je te promets, mon bébé, qu'un jour, je reviendrais. Et ce jour-là, nous vivrions ensemble, heureux, à deux. Juste toi et moi.
Et j'attendrais que tu me pardonnes, jusqu'à ma mort s'il le faut.
Je sais que tu n'es pas encore en âge de lire. Bien sûr que non, tu ne sais même pas parler encore, si ce n'est émettre des petits gazouillis. D'ailleurs, tes expressions, tes mots propres à toi, et même tes pleurs vont me manquer, ma chérie. Mais il le fallait. Il fallait que je parte. Et il fallait aussi que je couche ces mots sur ce papier. Je n'ai pas beaucoup de temps d'ailleurs. Tu es en train de dormir là, et je sais que bientôt, tu te réveilleras.
Ma chérie, je ne sais pas quand je reviendrais, mais sache que, tous les jours, toutes les minutes, toutes les secondes, mes pensées vont vers toi. J'espère néanmoins que jamais, tu n'auras à lire cette lettre. Mais sait-on jamais, n'est-ce pas? Alors, je t'écris.
Est-ce que papa prend soin de toi, mon amour? Est-ce qu'il t'aime comme je t'aime? J'espère que c'est le cas, sinon, je m'en voudrais toute ma vie. J'imagine que maintenant, tu sais qu'il n'est pas ton père biologique. J'imagine aussi que tu sais que je ne l'ai jamais aimé. J'ai de l'affection pour lui, oui, mais ce n'est pas de l'amour. Dans cette vie, je n'ai véritablement aimé que deux personnes. Et l'un deux est ton père, ton père biologique. Tu as sûrement plein de questions, n'est-ce pas? Alors, dans cette lettre, je vais essayer de te répondre.
Je l'ai rencontré quand je n'avais que 15 ans. Lui, qui me semblait si inaccessible, était très proche de ma soeur, tu sais, tante Mylena. Elle non plus tu n'as jamais eu la chance de la rencontrer... Il était donc très proche de Mily, et il venait aussi très souvent à la maison. Il n'a fallu qu'un regard, tu sais? Un regard pour que je tombe follement amoureusement. Mais il ne me voyait pas. Et puis, le drame a fauché ta tante. Il est parti aussi. Je ne l'ai plus revu, mais je n'ai sans aucun doute jamais cessé de l'aimer.
C'est à ce moment-là que j'ai rencontré le deuxième amour de ma vie. Notre relation était assez indescriptible. Il était le fiancé de ma jumelle, et à son décès, tes grands-parents m'ont donné moi, à sa place. Tout de suite, nous nous sommes détestés. Mais, ne dit-on pas qu'entre la haine et l'amour, il n'y a qu'une fine ligne qui les sépare? Je ne sais même pas quand je suis tombée amoureuse de lui. D'Andy. Oui, il s'appelait Andy. Je l'ai aimée, aussi, bien que lui, aimait quelqu'un d'autre. Pourtant, nous avons vécu une histoire. Il n'y avait aucuns mots entre nous, que des gestes, des regards. Je ne lui ai jamais dit que je l'aimais, lui non plus d'ailleurs, mais nous le savions tous les deux, que certains sentiments étaient là, sans doute profondément enfui.
Et puis, ton père est arrivé. Je ne m'y attendais pas. Il était là, à Harvard. Je lui en ai voulu tu sais? Au tout début. De ne pas avoir été là pour nous quand Mily était partie. De ne pas avoir été là pour moi. J'ai voulu le détesté, crois-moi, mais je n'ai pas pu. Il était là. Il était enfin là. Et surtout, il me voyait. Et je l'ai aimé. Oh oui, je l'ai aimé. Et j'ai souffert aussi. Plus que jamais. Ton père est très ambitieux, vois-tu? Il rêvait de faire de grandes choses, de changer le monde même. Et il avait des obligations. Nous nous sommes aimés, mais la distance a eu raison. Il était souvent absent, se rendant à des conférences, des meetings politiques. Je l'ai attendu. Et sans doute que je l'attendrais toujours. Mais il n'est jamais revenu. Il n'a jamais su que j'étais enceinte... Tu dois me détester à cet instant, n'est-ce pas? Ton père ne sait même pas que tu existes. Mais crois-moi, c'est pour ton bien. Je ne te veux que du bonheur. C'est aussi pour ça que je suis partie. Parce que je ne peux pas t'élever dans l'état que je suis. Je ne ferais que te faire du mal. Je ne ferais que souffrir aussi.
Comprends-moi, mon amour. Tu n'aurais vécu qu'un enfer à mes côtés. Alors, je préfère te laisser à des personnes qui prendront toujours soin de toi. Mais je te promets, mon bébé, qu'un jour, je reviendrais. Et ce jour-là, nous vivrions ensemble, heureux, à deux. Juste toi et moi.
Et j'attendrais que tu me pardonnes, jusqu'à ma mort s'il le faut.
je t'aime mon bébé,
maman. »
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