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Mon nom est
Shunzei Yoshida
C'est le 14 février 1990 à Tokyo, que les membres de la famille Yoshida m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Shunzei. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Bisexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Droit (Majeur) et Musique (mineur) depuis 8 ans ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Lowel.
Tell me some more about you
Eliot.
Je suis riche. Je suis quelqu’un d’important, et d’influent dans mon pays. Mon entreprise est celle qui peut influer sur l’économie du pays. Je suis jeune, beau, riche, élégant, parfait, et impassible. Je n’aime pas qu’on m’importune, surtout pour rien, et mon temps vaut de l’argent. J’aime avoir dans mes contacts des gens influents, et probablement une partie de mon argent à aider la reconstruction des quelques bâtiments après l’explosion. Je paie. J’investi. Le doyen est presque mon meilleur ami, j’ai son numéro dans mon téléphone de toute façon. C’est très mal pensé d’essayer de s’en prendre à moi. Dois-je le précisez, je suis riche, et dans ma famille proche, se trouve le chef d’un clan Yakuza sévissant à Tokyo. Ne venez pas me chercher.
Je suis riche. Je suis quelqu’un d’important, et d’influent dans mon pays. Mon entreprise est celle qui peut influer sur l’économie du pays. Je suis jeune, beau, riche, élégant, parfait, et impassible. Je n’aime pas qu’on m’importune, surtout pour rien, et mon temps vaut de l’argent. J’aime avoir dans mes contacts des gens influents, et probablement une partie de mon argent à aider la reconstruction des quelques bâtiments après l’explosion. Je paie. J’investi. Le doyen est presque mon meilleur ami, j’ai son numéro dans mon téléphone de toute façon. C’est très mal pensé d’essayer de s’en prendre à moi. Dois-je le précisez, je suis riche, et dans ma famille proche, se trouve le chef d’un clan Yakuza sévissant à Tokyo. Ne venez pas me chercher.
Lowell.
Je suis guitariste, je fais de la musique avec ma guitare. C’est ma fidèle amie, et j’aime bien jouer avec ses cordes. Il paraît que ça plait aux filles, et ça permet de me détendre un peu quand la journée à été particulièrement dure. J’ai parfois l’air excentrique quand je joue de la guitare, et je me suis déjà produit quelques fois dans des petites salles, rien de très connus. Et ça me permet de mêler mon entreprise avec mon passe temps musicale, en utilisant du matos de mon entreprise sur scène.
Je suis guitariste, je fais de la musique avec ma guitare. C’est ma fidèle amie, et j’aime bien jouer avec ses cordes. Il paraît que ça plait aux filles, et ça permet de me détendre un peu quand la journée à été particulièrement dure. J’ai parfois l’air excentrique quand je joue de la guitare, et je me suis déjà produit quelques fois dans des petites salles, rien de très connus. Et ça me permet de mêler mon entreprise avec mon passe temps musicale, en utilisant du matos de mon entreprise sur scène.
APRÈS LA BOMBE.
Janviers 2013? Je n'étais pas là, j'étais a une réunion très importante de mon entreprise, a Tokyo. Je n'ai su ce qui était arrivé qu'en revenant ici trois jours plus tard. C'était pas très joli à voir, mais je n'ai rien laissé paraître, et j'ai fais comme tout le monde : j'ai repris ma routine.
Janviers 2013? Je n'étais pas là, j'étais a une réunion très importante de mon entreprise, a Tokyo. Je n'ai su ce qui était arrivé qu'en revenant ici trois jours plus tard. C'était pas très joli à voir, mais je n'ai rien laissé paraître, et j'ai fais comme tout le monde : j'ai repris ma routine.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Non, encore une fois, en Janviers, je n'étais pas là. Gros meeting de l'entreprise, début d'année, bilan de fin d'année, objectif pour l'année a venir, ce genre de chose. Bien sûr l'ambiance malsaine qui régnait n'était pas pour me plaire, mais je ne craignais rien, non, je suis un garçon, et ce sont des filles qui ont été agressé il me semble. Et puis, ça serait très mal avisé de s'en prendre à moi.
Non, encore une fois, en Janviers, je n'étais pas là. Gros meeting de l'entreprise, début d'année, bilan de fin d'année, objectif pour l'année a venir, ce genre de chose. Bien sûr l'ambiance malsaine qui régnait n'était pas pour me plaire, mais je ne craignais rien, non, je suis un garçon, et ce sont des filles qui ont été agressé il me semble. Et puis, ça serait très mal avisé de s'en prendre à moi.
Mon pseudo internet est
Nell
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Nell et j'ai 22 ans. Je suis Français et j'ai connu le forum grâce à forum de pub. Design agréable et bonne présence alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise Miyavi (Takamasa Ishihara) comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Saku. Je fais environ 300 mots mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
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It's all about...
once upon a time !
Il y a 25 ans, je suis né. Bébé de sexe Masculin, prénom : Shunzei. L’histoire de ma vie est un peu plus compliquée. Pour que vous puissiez comprendre, il faut que vous sachiez : mon père biologique est le chef d’un clan Yakuza. Puissant, riche, et craint dans la ville. Dans une période d’instabilité de ce pouvoir, ou de grand troubles entre « gang », mon père, demanda à sa sœur de cacher sa femme. Personne ne le savait à l’époque, mais elle était enceinte de moi. Ma mère vécue caché chez sa belle-sœur. Et avant que mon père n’ait pu régler les problèmes assez graves et dangereux qu’il traversait, ma mère me mit au monde. Ce fut là son dernier acte sur terre. Dans le plus grand secret, mon oncle me fit passer pour son fil nouvellement née d’un déni de grossesse de sa femme, expliquant pourquoi elle était toujours aussi svelte. Je grandis parmi mes trois cousins sans en avoir la moindre idée. Celui que je pris pour mon père toute mon enfance, avait créé une société de Technologie qui devenait de plus en plus fructueuse. Je voyais celui que je prenais pour mon oncle à noel, à jour de l’an, pour mon anniversaire, ce genre de fête familiale. Je ne soupçonnais rien du tout. Je commençai à jouer de la guitare, et je jouais comme tous les garçons au soccer. Je n’étais pas mauvais, et je pensais même devenir un pro un jour. Seulement quand j’eu dix années, un drame se produisit. Un soir que je dormais chez un ami, toute ma famille se fit massacrée. Quand je rentrai chez moi ce matin-là, je découvris les cadavres de mes frères et sœurs, père et mère. Allongé sur le sol, les yeux grand ouverts, du sang partout. La police est venue. Elle n’a rien fait. Mon Oncle est venu. Il n’a rien fait. Je suis allé avec mon oncle, mon seul parent restant. Je lui en voulais, lui le gangster de ne pas avoir protégé sa famille, sa VRAIE famille. Il me révéla que j’étais son sang, son fil, sa progéniture. Et je le détestai encore un peu plus. Ma colère s’apaisa quand il trouva les responsables trois ans plus tard. Je découvris dans les journaux que mon « père » ce gangster les avaient fait tuer, pour se venger. J’intégrai la famille des Yakuza, prouvant ma loyauté, en faisant de basses besognes, et finis par monter en grade. Je traînais beaucoup dans le quartier des prostituées, et connaissait tous leurs prénoms. Elles étaient mes amies, mes esclaves sexuelles. Je me fis tatouer, beaucoup plus que de raisons. Je pratiquais le sexe très régulièrement, trop régulièrement. Je ne buvais pas. Je ne me droguais pas. Je fumais, je couchais, et je me tatouais. A mes dix-huit années, on m’apprit que je devenais un des directeurs d’une des plus grosses entreprises de technologie du pays. J’avais dix-huit ans, je ne savais que baiser, fumer, me tatouer, et être un Yakuza. Je n’avais aucune qualification. Le Co-directeur, qui avait géré l’entreprise après la mort de celui que je pensais mon père, me proposa d’abandonner l’entreprise, de prendre mon argent et faire ce que je voulais. Je n'étais pas d’accord. J’ai postulé à Harvard, il m’a appuyé, mes notes m’ont appuyés, j’y suis allé. Et je reviens régulièrement à Tokyo m’entretenir sur l’entreprise, sur sa gestion, sur les nouveaux projets, ou je le fais de mon téléphone ou tablette High-Tech. J’ai 25 ans maintenant, dans deux ans, je serais à la tête de la plus grosse et la plus influente entreprise de mon pays. Pas de faux pas. Pas d’embrouilles. Je suis chanceux dans mon malheur.
(Invité)