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Mon nom est
Tanaïs L. Morgan
C'est le 19 janvier 1991 à New York, que les membres de la famille Morgan m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Tanaïs Laïa, ils m'ont laissé choisir l'un des deux.. Je suis cébitaire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle, je ne supporte pas de devoir faire des choix et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale plutôt pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Stylisme depuis maintenant 2 ans et travaille en parallèle de mes études en tant que serveuse dans un restaurent (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather ou les Quincy.
Tell me some more about you
Mather.
J'aimerais énormément intégrer les Mather, car je suis une grande fêtarde. J'aime m'éclater, j'aime la vie. Je veux profiter de ma vie quoi qu'il arrive. Autant en profiter pendant que je suis jeune non ? Je bois, je fume. Je me rends à chaque soirée, et je finis toujours pompette. Je pense que c'est vraiment le groupe qui colle le plus avec mon avatar.
J'aimerais énormément intégrer les Mather, car je suis une grande fêtarde. J'aime m'éclater, j'aime la vie. Je veux profiter de ma vie quoi qu'il arrive. Autant en profiter pendant que je suis jeune non ? Je bois, je fume. Je me rends à chaque soirée, et je finis toujours pompette. Je pense que c'est vraiment le groupe qui colle le plus avec mon avatar.
Quincy.
Comment faire un choix ? Les Quincy me correspondent aussi tellement bien! Je suis toujours prête à donner un coup de main à tout le monde. Je suis toujours à l'écoute des autres. J'arrive toujours à résoudre les problèmes des autres, mais alors quand il s'agit des miens là faut même pas me demander. Enfin, cette maison me correspond très bien aussi ! Comment choisir ?
Comment faire un choix ? Les Quincy me correspondent aussi tellement bien! Je suis toujours prête à donner un coup de main à tout le monde. Je suis toujours à l'écoute des autres. J'arrive toujours à résoudre les problèmes des autres, mais alors quand il s'agit des miens là faut même pas me demander. Enfin, cette maison me correspond très bien aussi ! Comment choisir ?
APRÈS LA BOMBE.
Je n'étais pas à cet endroit même lors de cette tragédie. J'ai bien envie de dire heureusement, mais quand je pense à toutes ses femmes, hommes, enfants, animaux morts à cause de cet évènement, je regrette de ne pas avoir pu leur venir en aide.. Mais bon la vie fait que ça ne se pas toujours comme on le voudrait. En plus de ça, j'avais des amies qui sont morts là-haut. J'ai regretté ! Si vous saviez.. Mes amies, me l'ont dit que je n'aurais pu rien faire de toute façon, et j'ai fini par comprendre qu'ils avaient malheureusement raison..
Je n'étais pas à cet endroit même lors de cette tragédie. J'ai bien envie de dire heureusement, mais quand je pense à toutes ses femmes, hommes, enfants, animaux morts à cause de cet évènement, je regrette de ne pas avoir pu leur venir en aide.. Mais bon la vie fait que ça ne se pas toujours comme on le voudrait. En plus de ça, j'avais des amies qui sont morts là-haut. J'ai regretté ! Si vous saviez.. Mes amies, me l'ont dit que je n'aurais pu rien faire de toute façon, et j'ai fini par comprendre qu'ils avaient malheureusement raison..
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Pour tous vous dire.. J'ai encore du mal à parler de cet évènement horrible. J'ai été touché pas un de ses quatre agresseurs. Il m'a violée sans aucune rancune. Agréssée. Je me suis retrouvée à l'hôpital, d'autant plus que ce n'était pas la première fois. Vous en serez plus, plus tard. En ce qui concerne ce gars, si je le retrouve je lui fais la peau. Aucune personne ne méritait ce qu'il s'est passé. Aucune. Ce ne sont que des gars sans cervelle qui mérite de passer leur vie en taule. Après qu'il eu fini de me violer, il est parti. Je suis restée allongée, je ne sais combien de temps sans bouger, sans boire ni manger. Je me suis évanouïe et je me suis retrouvée en état de choque à l'hôpital. Je suis tombée dans une mini-dépression après ça, et c'est grâce à mes plus proches amies que j'ai remonté la pente, une deuxième fois encore..
Pour tous vous dire.. J'ai encore du mal à parler de cet évènement horrible. J'ai été touché pas un de ses quatre agresseurs. Il m'a violée sans aucune rancune. Agréssée. Je me suis retrouvée à l'hôpital, d'autant plus que ce n'était pas la première fois. Vous en serez plus, plus tard. En ce qui concerne ce gars, si je le retrouve je lui fais la peau. Aucune personne ne méritait ce qu'il s'est passé. Aucune. Ce ne sont que des gars sans cervelle qui mérite de passer leur vie en taule. Après qu'il eu fini de me violer, il est parti. Je suis restée allongée, je ne sais combien de temps sans bouger, sans boire ni manger. Je me suis évanouïe et je me suis retrouvée en état de choque à l'hôpital. Je suis tombée dans une mini-dépression après ça, et c'est grâce à mes plus proches amies que j'ai remonté la pente, une deuxième fois encore..
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Moins vous en savez, mieux sait ! :p
Moins vous en savez, mieux sait ! :p
Mon pseudo internet est
pseudo
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Emma et j'ai 15 ans, ouais j'suis jeune. Mais ça veut rien dire, j'suis plus mûr que vous croyez.. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à Greek Tea Party, l'un des meilleurs forums avec celui-ci *-*. Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire par hasard et je regrette pas du tous. J'ai hâte de faire connaissance avec les membres de se forum et de faire tous pleins de rp. pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise Jessica Alba comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr, ou google sa dépend.. Je fais environ 1000-2000 voir + mots par RP et mon personnage est un personnage inventé/scénario crée par /.
Mot de la fin ? Venez me demander des liens les amours, je suis toute ouïe.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? Venez me demander des liens les amours, je suis toute ouïe.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
It's all about...
once upon a time !
Par où commencer ? Et si l'on commençait par le 19 janvier 1991. Je suis née à New York, dans l'un des plus grands hôpitaux de la ville. J'étais un enfant tous à fait normal, avec un cheveu sur la tête à la naissance qui pousse des cris quoi. Je croyais être la fille la plus heureuse, j'étais épanouie, souriante. Mais quand j'ai eu l'âge de comprendre les petites choses de la vie qui font que la vie n'est pas comme on le souhaiterait, je me suis complètement refermée sur moi-même. J'avais dix ans quand ma mère est décédée, sans même me dire au revoir.
Elle buvait énormément. Déjà bien avant ma naissance, je me demande bien comment j'ai pu ne pas avoir de séquelles neurologiques. J'ai eu certainement beaucoup de chance. Je l'ai vue plusieurs fois, s'enfiler des bouteilles et des bouteilles d'alcool. Elle était agressif avec moi, et avec mon père aussi. Puis un jour bah elle a pris la voiture alors qu'elle avait bue.. Et vous connaisses la suite, elle n'est jamais revenue à la maison.
Quand mon père me l'appris, je n'ai pas tous de suite pleurée. Certainement car je ne réalisais pas encore bien. Puis le moment de l'enterrement est venue et là quand je l'ai vue dans ce fichu cercueil, j'ai pleurée. Toutes les larmes de mon corps. J'ai cru que jamais cela ne s'arrêterait. Mais il fallait faire son deuil. Pas facile quand son propre père tombe dans la dépression... Mon père qui lui était un homme droit, un homme cline. J'avais besoin de lui, plus que tous. Mais tous à changé. Lui aussi, c'est mis à boire, se droguer, fumer. J'avais 13 ans et je devais m'assumer toute seule. Enfin, je ne me plains pas, car au moins j'ai été autonome très tôt et ça ma beaucoup aidée. Je suis très manuelle. Je ramenais toujours de bonnes notes, mais à l'évidence mon père s'en foutait. Il n'a jamais voulu se faire soigner, jamais. Je passais là plus grande parti de mon temps chez ma grand-mère la mère de mon père. Nous étions très proches et heureusement qu'elle était là.
Quelques années après, quand je rentrais du lycée, mon père était très énervé après moi. Et je ne savais pas pourquoi, mais je baissais la tête sans rien dire, je savais que de toute façon ça ne servirait à rien de me défendre. Il me tapait quelquefois, mais cela n'allait pas plus.. Jusqu'à ce jour, le 15 septembre. Jamais j'oublierais ce jour.. Il m'a violée. Je ne vous donnerai pas les détails. Mais cela a été horrible. Une fois qu'il eu fini, il s'est endormi. J'ai fait mes bagages et je suis partis vivre chez ma grand-mère. Ma grand-mère n'a pas cherché à savoir pourquoi j'étais venue, elle m'avait plusieurs fois répété que si je voulais venir vivre chez elle je pouvais. Ce n'est que quelques mois après que je lui dis ce qu'il s'était passé. Elle m'a regardé et c'est mise à pleurer. Je n'ai rien pu faire.
Elle était riche, mais je m'en foutais. Si je voulais faire des études, c'est moi qui me l'ai payerai. Alors, j'ai enchaîné les petits boulots et à 18 ans, je suis parti de chez ma grand-mère et je suis arrivée à Cambridge ou je fais des études qui me plaisent. Je n'ai pas dénoncé mon père. Je ne sais pas pourquoi, mais même après ce qu'il m'avait fait, je n'arrivais pas à ne plus l'aimer. Je lui trouvais des excuses, encore et encore, mais c'était plus fort que moi. Mais ce qui était sûr, c'est que je ne voulais plus jamais en entendre parlé. Mes amis mon beaucoup aidée à me remonté la pente. Aujourd'hui, je suis une fille normale, qui m'est sa jeunesse de côté et qui profite de sa vie, en faisant la fête et en s'envoyant en l'air. Mais tous au fond de moi, je souffre.
Elle buvait énormément. Déjà bien avant ma naissance, je me demande bien comment j'ai pu ne pas avoir de séquelles neurologiques. J'ai eu certainement beaucoup de chance. Je l'ai vue plusieurs fois, s'enfiler des bouteilles et des bouteilles d'alcool. Elle était agressif avec moi, et avec mon père aussi. Puis un jour bah elle a pris la voiture alors qu'elle avait bue.. Et vous connaisses la suite, elle n'est jamais revenue à la maison.
Quand mon père me l'appris, je n'ai pas tous de suite pleurée. Certainement car je ne réalisais pas encore bien. Puis le moment de l'enterrement est venue et là quand je l'ai vue dans ce fichu cercueil, j'ai pleurée. Toutes les larmes de mon corps. J'ai cru que jamais cela ne s'arrêterait. Mais il fallait faire son deuil. Pas facile quand son propre père tombe dans la dépression... Mon père qui lui était un homme droit, un homme cline. J'avais besoin de lui, plus que tous. Mais tous à changé. Lui aussi, c'est mis à boire, se droguer, fumer. J'avais 13 ans et je devais m'assumer toute seule. Enfin, je ne me plains pas, car au moins j'ai été autonome très tôt et ça ma beaucoup aidée. Je suis très manuelle. Je ramenais toujours de bonnes notes, mais à l'évidence mon père s'en foutait. Il n'a jamais voulu se faire soigner, jamais. Je passais là plus grande parti de mon temps chez ma grand-mère la mère de mon père. Nous étions très proches et heureusement qu'elle était là.
Quelques années après, quand je rentrais du lycée, mon père était très énervé après moi. Et je ne savais pas pourquoi, mais je baissais la tête sans rien dire, je savais que de toute façon ça ne servirait à rien de me défendre. Il me tapait quelquefois, mais cela n'allait pas plus.. Jusqu'à ce jour, le 15 septembre. Jamais j'oublierais ce jour.. Il m'a violée. Je ne vous donnerai pas les détails. Mais cela a été horrible. Une fois qu'il eu fini, il s'est endormi. J'ai fait mes bagages et je suis partis vivre chez ma grand-mère. Ma grand-mère n'a pas cherché à savoir pourquoi j'étais venue, elle m'avait plusieurs fois répété que si je voulais venir vivre chez elle je pouvais. Ce n'est que quelques mois après que je lui dis ce qu'il s'était passé. Elle m'a regardé et c'est mise à pleurer. Je n'ai rien pu faire.
Elle était riche, mais je m'en foutais. Si je voulais faire des études, c'est moi qui me l'ai payerai. Alors, j'ai enchaîné les petits boulots et à 18 ans, je suis parti de chez ma grand-mère et je suis arrivée à Cambridge ou je fais des études qui me plaisent. Je n'ai pas dénoncé mon père. Je ne sais pas pourquoi, mais même après ce qu'il m'avait fait, je n'arrivais pas à ne plus l'aimer. Je lui trouvais des excuses, encore et encore, mais c'était plus fort que moi. Mais ce qui était sûr, c'est que je ne voulais plus jamais en entendre parlé. Mes amis mon beaucoup aidée à me remonté la pente. Aujourd'hui, je suis une fille normale, qui m'est sa jeunesse de côté et qui profite de sa vie, en faisant la fête et en s'envoyant en l'air. Mais tous au fond de moi, je souffre.
(Invité)