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Dixie Vera Hawson
C'est le 13 juin 1991 à Lisbone, que les membres de la famille Hawson m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommée Dixie Vera. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de langues et d'arts plastiques depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather House ou les Student.
Pourquoi MATHER HOUSE ou STUDENT ?
MATHER HOUSE.
La Mather House est et sera toujours la maison de ton coeur. Ta deuxième famille, bien que tu t'en sois détachée avec les années et suite à ton accident, t'importe beaucoup. Mine de rien, tu leur ressemble tous plus qu'à n'importe qui d'autre. Autrefois stripteaseuse, ex-droguée, tu planais constamment dans un monde surnaturel, entre ciel et terre. Après avoir frôlé la mort plus d'une fois, tu t'es rendue compte de l'importance de la vie et des gens qui t'entouraient, ce qui a calmé tes ardeurs et t'as immédiatement désintoxiqué de ce mode de vie malsain qui t'entraînait vers les bas fonds. Tu t'es voilé les yeux d'une double épaisseur de tissu. D'être en couple deux fois en l'espace de quelques mois et d'être convaincue d'être enceinte, sans toutefois l'être réellement t'a détruite et t'a ouvert les yeux sur la personne que tu es. Si tu ne peux pas trouver le bonheur dans l'amour véritable ou dans une famille que tu ne peux obtenir, alors il n'y a qu'une option : celle de retrouver ta famille de coeur, celle avec laquelle tu as partagé maintes et maintes batailles contre d'autres confréries, celle qui a partagé ta vie et ton espace pendant de longues années avant que tu ne disparaisses encore dans un autre monde. Ta vraie nature te retrouve, celle que tu crois être, la femme qui se voile à moitié entre deux personnalités : drogue, sexe, alcool, folie, fun, font de nouveau partie de ton mode de vie. Malsain, dites-vous? Eh bien, tant mieux! Les qu'en dira-t-on ne t'atteignent plus.
STUDENT.
Si elle n'est pas Mather, alors aucune autre place ne correspond à la jolie blonde. Sans pour autant être dégoûtée par les critères et étiquettes associés à chacune des confréries, il n'en demeure pas moins que Dixie préfère de loin se défaire de tous les stéréotypes qu'on peut lui associer. S'il y a bien des étiquettes qu'on puisse lui associer, ce sont bien celles de garce, de dépendante affective, de pathétique, de droguée et de fumeuse et d'aguicheuse. Si aucun stéréotype ne lui colle à la peau, ils lui vont à la fois tous à merveille, ce qui peut sembler contradictoire. N'être rien ou être tout à la fois, telle est la question pour cette fille qui a quitté l'université quelques mois, le temps de se retrouver.
La Mather House est et sera toujours la maison de ton coeur. Ta deuxième famille, bien que tu t'en sois détachée avec les années et suite à ton accident, t'importe beaucoup. Mine de rien, tu leur ressemble tous plus qu'à n'importe qui d'autre. Autrefois stripteaseuse, ex-droguée, tu planais constamment dans un monde surnaturel, entre ciel et terre. Après avoir frôlé la mort plus d'une fois, tu t'es rendue compte de l'importance de la vie et des gens qui t'entouraient, ce qui a calmé tes ardeurs et t'as immédiatement désintoxiqué de ce mode de vie malsain qui t'entraînait vers les bas fonds. Tu t'es voilé les yeux d'une double épaisseur de tissu. D'être en couple deux fois en l'espace de quelques mois et d'être convaincue d'être enceinte, sans toutefois l'être réellement t'a détruite et t'a ouvert les yeux sur la personne que tu es. Si tu ne peux pas trouver le bonheur dans l'amour véritable ou dans une famille que tu ne peux obtenir, alors il n'y a qu'une option : celle de retrouver ta famille de coeur, celle avec laquelle tu as partagé maintes et maintes batailles contre d'autres confréries, celle qui a partagé ta vie et ton espace pendant de longues années avant que tu ne disparaisses encore dans un autre monde. Ta vraie nature te retrouve, celle que tu crois être, la femme qui se voile à moitié entre deux personnalités : drogue, sexe, alcool, folie, fun, font de nouveau partie de ton mode de vie. Malsain, dites-vous? Eh bien, tant mieux! Les qu'en dira-t-on ne t'atteignent plus.
STUDENT.
Si elle n'est pas Mather, alors aucune autre place ne correspond à la jolie blonde. Sans pour autant être dégoûtée par les critères et étiquettes associés à chacune des confréries, il n'en demeure pas moins que Dixie préfère de loin se défaire de tous les stéréotypes qu'on peut lui associer. S'il y a bien des étiquettes qu'on puisse lui associer, ce sont bien celles de garce, de dépendante affective, de pathétique, de droguée et de fumeuse et d'aguicheuse. Si aucun stéréotype ne lui colle à la peau, ils lui vont à la fois tous à merveille, ce qui peut sembler contradictoire. N'être rien ou être tout à la fois, telle est la question pour cette fille qui a quitté l'université quelques mois, le temps de se retrouver.
Mon personnage c'est le plus beau
APRÈS LA BOMBE
«Cette fameuse journée... Que s'est-il passé déjà? On m'a raconté, dans mon lit d'hôpital, ce qui s'était passé pour moi. J'étais en train de fumer un joint dans le parking du campus, en compagnie de mes bons potes. Ils m'ont raconté qu'ils sont partis avant moi, me laissant seule avec l’un de notre bande, qui m'a direct roulé une pelle. On était tellement claqués tous les deux qu’on faisait n’importe quoi. Supposément, peu de temps après, un bruit sourd et un énorme tremblement sont survenus partout d’entre les murs de l'université et à l'extérieur. Et puis boum. Tout a explosé. Mes amis ont vu toute la scène, puisqu'ils venaient tout juste de s'éloigner du parking, sans pour autant être hors du champ de vision. Nous avons été blessés tous les deux. Jambes fracturées pour le garçon, et coma pour moi. J'ai failli ne pas m'en sortir, à ce qu'on m'a dit. Pourtant, je suis bien vivante. Je ne me rappelle presque plus de rien, mais pour la première fois depuis longtemps, j'ai éclaté en sanglots sur mon lit d'hôpital. Même si je ne m'en rappelle pas : j'ai eu peur. Et pourtant ça je m’en souviens : c’était mon tout premier séjour à l’hôpital. Mon premier de tous. Excepté ma naissance, ça, ça ne compte pas.»
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Je me trouvais à la bibliothèque. Avec des amis, peut-être aussi des ennemis, et de parfaits inconnus, dont l'agresseur. Pour tout vous dire, je me rappelle qu'il était fou. Complètement fou. C'était un détraqué. Peut-être en avait-il vécus d'horribles choses dans sa vie, lui aussi et qu'il en était venu à ce point.. Qui sait? Je ne sais pas, voilà tout. Je ne peux pas répondre à ça. C'était dans ma période heureuse, celle où j'étais emplie de bonheur. Enceinte - du moins, je le croyais, j'avais tous mes potes les plus proches près de moi, et pourtant, ça ne me rendait pas du tout heureuse, puisque j'avais peur pour eux. Et moi, j'ai failli crever, puisque je me suis fait tirer dessus. Littéralement. Une balle en pleine jambe, comme bien d'autres victimes. J'ai crié de douleur, j'ai pleuré de douleur, mais j'ai survécu. Parce que.. c'est ainsi que la nature à décidé de me pourrir la vie ne serait-ce qu'un peu plus. J'ai survécu pour vivre de nouvelles épreuves et affronter de nouveaux malheurs. J'me suis rendue à l'hôpital, j'ai eu du mal à marcher par la suite, j'ai eu peur.. Très peur. Peur pour le bébé, et peur pour mes amis. Je me suis oubliée, mais j'ai eu très peur pour moi aussi..
«Cette fameuse journée... Que s'est-il passé déjà? On m'a raconté, dans mon lit d'hôpital, ce qui s'était passé pour moi. J'étais en train de fumer un joint dans le parking du campus, en compagnie de mes bons potes. Ils m'ont raconté qu'ils sont partis avant moi, me laissant seule avec l’un de notre bande, qui m'a direct roulé une pelle. On était tellement claqués tous les deux qu’on faisait n’importe quoi. Supposément, peu de temps après, un bruit sourd et un énorme tremblement sont survenus partout d’entre les murs de l'université et à l'extérieur. Et puis boum. Tout a explosé. Mes amis ont vu toute la scène, puisqu'ils venaient tout juste de s'éloigner du parking, sans pour autant être hors du champ de vision. Nous avons été blessés tous les deux. Jambes fracturées pour le garçon, et coma pour moi. J'ai failli ne pas m'en sortir, à ce qu'on m'a dit. Pourtant, je suis bien vivante. Je ne me rappelle presque plus de rien, mais pour la première fois depuis longtemps, j'ai éclaté en sanglots sur mon lit d'hôpital. Même si je ne m'en rappelle pas : j'ai eu peur. Et pourtant ça je m’en souviens : c’était mon tout premier séjour à l’hôpital. Mon premier de tous. Excepté ma naissance, ça, ça ne compte pas.»
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Je me trouvais à la bibliothèque. Avec des amis, peut-être aussi des ennemis, et de parfaits inconnus, dont l'agresseur. Pour tout vous dire, je me rappelle qu'il était fou. Complètement fou. C'était un détraqué. Peut-être en avait-il vécus d'horribles choses dans sa vie, lui aussi et qu'il en était venu à ce point.. Qui sait? Je ne sais pas, voilà tout. Je ne peux pas répondre à ça. C'était dans ma période heureuse, celle où j'étais emplie de bonheur. Enceinte - du moins, je le croyais, j'avais tous mes potes les plus proches près de moi, et pourtant, ça ne me rendait pas du tout heureuse, puisque j'avais peur pour eux. Et moi, j'ai failli crever, puisque je me suis fait tirer dessus. Littéralement. Une balle en pleine jambe, comme bien d'autres victimes. J'ai crié de douleur, j'ai pleuré de douleur, mais j'ai survécu. Parce que.. c'est ainsi que la nature à décidé de me pourrir la vie ne serait-ce qu'un peu plus. J'ai survécu pour vivre de nouvelles épreuves et affronter de nouveaux malheurs. J'me suis rendue à l'hôpital, j'ai eu du mal à marcher par la suite, j'ai eu peur.. Très peur. Peur pour le bébé, et peur pour mes amis. Je me suis oubliée, mais j'ai eu très peur pour moi aussi..
.wild cygnus
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle .wild cygnus et j'ai 18 ans. Je suis québécoise et j'ai connu le forum grâce à top-site ou je ne sais plus!. J'pouvais pas me passer du forum alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Romee Strijd comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Morphine. Je fais environ 200 à 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ La bombasse est de retour, plus garce que jamais 
.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
▲ séjourner en [] caravane [] tente [] chalet au summer camp
▲ [X] je ne souhaite pas participer au summer camp
adhérer un flood d'intégration (?)
(Invité)
