LIZA H. O'MORDHA ► Vita Sikordina

Liza Helen O'Mordha

C'est le 19 septembre 1994 à Antanarivo (Madagascar), que les membres de la famille O'Mordha m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Liza Helen. Je suis célibataire mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine vétérinaire et de philosophie depuis deux ans et travaille en parallèle de mes études en tant que rien du tout. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Dunster ou les Quincy.

Pourquoi Dunster ou Quincy ?

Dunster.

Je suis intelligente. Je bosse dur, mais je ne suis pas née idiote non plus. J'aime apprendre et j'ai une soif inétanchable de savoir. Plus je me cultive, mieux je me porte.
Je veux prouver au monde qu'une femme peut être la meilleure. Je veux surpasser les gens, pouvoir regarder le monde du haut de mon trône de savoir. Les autres. Etre première, c'est mon truc, et je ne laisserai personne se mettre en travers de mon chemin pour y arriver.
Au moins ici, ça ne dérange personne que je sois une"miss-je-sais-tout". Je sais tout, mieux que tout le monde. Vous verrez, je vais vous le montrer quand j'aurai reçu plusieurs prix Nobel.

Quincy.

J'ai grandi en faisant de l'humanitaire, en soutenant le faible et l'opprimé. Combien de bagues ai-je volé à ma mère quand j'étais petite pour le donner à des gens dans le besoin ?
Lorsque j'étais au lycée, j'ai essayé de lutter pour que le lycée privé et extrêment cher dans lequel j'aillais accepte des enfants de quartiers plus défavorisés. J'ai financé des cours du soir pour les parents qui souhaitaient trouver un meilleur travail.
Mes amis savent qu'ils peuvent compter sur moi, je serais toujours là pour eux, même si quelque fois il faut leur dire des vérités un peu blessantes pour leur bien.

Mon personnage c'est le plus beau

APRÈS LA BOMBE

Je n'étais pas encore à Harvard au moment où cet attentat à eu lieu, mais je l'ai vite appris aux informations. Cet événement m'avait refroidie alors que j'envisageais d'entrer à Harvard. Cependant ma sympathique mère ne m'a pas vraiment laissé le choix.
Et puis, comme on dit, le passé c'est le passé et il n'y a plus vraiment de raisons de s'en faire.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Les agressions avaient instauré un climat de terreur sur le campus. Je suis du genre à marcher vite dans la rue la nuit, à changer de trottoir quand je m'apprête à croiser une personne à l'air louche. J'ai fait profil bas, essayant de ne pas me faire remarquer. Pendant la période des agressions ça s'est avéré plutôt efficace.
Mais c'était sans compter sur les prises d'otages. J'étais entrain d'étudier tranquillement à la bibliothèque, écoutant de la musique, quand j'ai vu ma voisine se jeter sous sa table. Au début j'ai cru à un exercice, mais j'ai vu le type armé qui se tenait là, menaçant l'assemblée tremblante que nous formions. Je tremblais de tous mes membres. Ça n'avait rien à voir avec le fait de visiter un pays en guerre escortée de gardes du corps. Il n'y avait personne pour je se jeter entre moi et la menace. J'étais seule et terrifiée. J'ai eu l'impression qu'une éternité s'était écoulée entre l'arrivée des secours. J'ai fondu en larmes, laissant s'échapper la pression accumulée.
Mais aujourd'hui ce n'est plus la peine de me parler de cet événement, j'éviterai consciencieusement le sujet.

Emilie

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Emilie (oui, j'utilise mon prénom, c'est très original) et j'ai presque 19 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à une amie. J'étais déjà sur le forum et c'était super alors j'ai décidé de m'inscrire (enfin, de me réinscrire). J'utilise Vita Sikordina comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Morphine (bazzart). Je fais environ 350 mots par RP, mais c'est très variable et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲Vers l'infini et au delà !!!!

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
▲ séjourner en [] caravane [] tente [X] chalet au summer camp
▲ [] je ne souhaite pas participer au summer camp

 adhérer un flood d'intégration (?)

(Invité)

Pour des "once upon a time"

Je suis née dans des circonstances un peu étranges. Ou plutôt dans le cadre d'une des lubies étranges de ma mère qui a besoin de dépenser de l'argent inutilement et de se rendre intéressante. Je ne suis donc pas née dans un hôpital américain bien propre et aseptisé mais dans une épicerie malgache dont l'hygiène devait être plus que douteuse. Ma mère, cette folle, avait décidé d'aller en mission humanitaire à Madagascar, enceinte de huit mois. Et connaissant mon père, il n'avait pas su lui dire non. Ni lui, ni tout le personnel médical, les gars de la sécurité à l'aéroport et j'en passe.

Tout ça pour être bien vue. Pour faire mieux que tout le monde. "Regardez, c'est ma fille née à Madagascar pendant que j'étais entrain de sauver le monde !" Entrain de nourrir ton ego, plutôt. Avec ma mère, tout doit être parfait. Notre maison est la plus grande du quartier, nous avons plus de jardiniers, plus de voitures. Nous sommes plus riches et nous devons le montrer. Evidemment, moi aussi j'ai toujours dû être parfaite : intelligente, jolie, gentille et surtout silencieuse. Parce que quand je dis quelque chose, "c'est toujours pour tout gâcher." Paroles de bonne mère.

Du coup durant toute mon enfance, mes vacances se résumaient à aller voir des africains mourir de faim et à faire des sourires compatissants sur les photos. Rien que ne va réellement changer le monde, en somme.

Evidemment, j'ai toujours fréquenté les meilleures écoles, les meilleurs lycée et la meilleure université du monde. Au moins je peux devenir vétérinaire. J'adore les animaux (sauf dans mon assiette), et je pense qu'il est temps d'essayer d'en apprendre réellement plus sur eux, sur les moyens de mieux les soigner et de moins les blesser. On me prend pour une idéaliste et je fais un peu tache dans cette famille de consuméristes affirmés et fiers de l'être, mais temps que je deviens renommée mes parents s'en fichent.

C'est du moins la version officielle de mon père, car je sais qu'il essaye de me soutenir du mieux qu'il peut et surtout aussi discrètement que possible pour éviter les ennuis avec l'autre maniaque du contrôle et de la perfection. Et ça me fait chaud au cœur.

Un des autres avantages de ma famille c'est qu'on ne se dit rien. Que chacun vit sa vie de son côté dans que ce n'est pas mauvais pour l'images de la famille. Et si jamais ça l'est, comme les amants de ma mère par exemple - il suffit d'être discrets. Quand je suis partie en désintox - oui, j'ai eu une période rebelle qui s'est très mal terminée - les voisins n'en ont rien su car me mère à engagé une doublure qui allait en cours pour moi. Je ne suis pas sure de vouloir savoir comment elle a fait.
Enfin, maintenant que je suis à Harvard, je vais pouvoir m'affranchir un peu de son emprise et vivre ma vie, je vais pouvoir respirer putain . Et lui prouver que je vaux mieux que son petit jeu des apparences.

You're gonna lose, bitch.

(Invité)