TRISTAN ODE MCEWAN ► james mcavoy

Tristan Ode McEwan

C'est le dix-sept juillet à aberdeen en écosse, que les membres de la famille mcewan m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé tristan ode. Je suis divorcé et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de musique et d'informatique depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les lowell ou les winthrop.

Pourquoi LOWELL ou WINTHROP ?

LOWELL.
La musique a toujours fait partie de la vie de Tristan. Que ce soit lorsqu'il était enfant et qu'il s'endormait au son de mélodies apaisantes ou au campement entre deux missions, dans les situations critiques, rien n'a jamais su le calmer comme la musique. Lorsqu'il était déployé avec son unité, il apportait toujours sa guitare avec lui. Il jouait quelques mélodies parfois, le soir et les gars chantaient tous en coeur. C'était les quelques moments de répis qu'ils avaient et ça a aidé Tristan à ne pas craquer. Et puis, c'est cette passion pour la musique qui l'a amené à vouloir en faire son domaine d'étude lorsqu'on lui a annoncé, en des termes plus techniques et polis, qu'il n'était plus bon à rien dans l'armée. De plus, la musique est pour lui un excellent exutoire, une façon de dire tout ce qu'il ressent, lui qui a de la difficulté à exprimer ses émotions à voix haute.

WINTHROP.
Gentleman définit sans aucun doute très bien Tristan. Il a toujours respecter les femmes - et les hommes d'ailleurs. Il faut dire que sa formation militaire lui a appris le respect de l'autorité, mais aussi des gens qui l'entoure et c'est définitivement quelque chose qui ne l'a jamais quitté. On a souvent dit de lui qu'il avait une belle gueule et il n'ira certainement pas le nier. Son entrainement militaire lui a également conféré un physique que la gente féminine considère comme agréable à regarder. Pourtant, il n'ira jamais intentionnellement user de ses charmes pour obtenir ce qu'il veut, contrairement à certains hommes de la winthrop. Disons juste qu'il a du succès auprès des femmes.

Mon personnage c'est le plus beau

APRÈS LA BOMBE
Décrivez ici ce que votre personnage a ressenti, sa peur, ses blessures, où il était, etc... (nb : les résidences & le complexe athlétique n'ont pas été touchés)

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Décrivez ici ce que votre personnage a ressenti, sa peur, où il était, etc... (nb : la prise d'otage a eu lieu le 17 janvier 2015 au McDonalds de l'université, dans un amphithéâtre, à la bibliothèque et dans le gymnase)

PVRIS.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pvris. et j'ai vingt-deux ans. Je suis québécoise et j'ai connu le forum grâce à Torrey, il y a une éternité - j'y fut un temps sous Link Zeppelin Jewel. Il semble toujours aussi actif et accueillant alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise james mcavoy comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par gentle heart. Je fais environ 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.

Je souhaite ▲
▲ séjourner en tente

 adhérer un flood d'intégration

(Invité)

Pour des "once upon a time"

he had never before felt so self-consciously young, nor experienced such appetite, such impatience for the story to begin.

5. La respiration de Tristan était rapide. Il était nerveux. Qui ne le serait pas dans une telle situation. Ses doigts se portèrent à son cou, là ou pendait une bague au bout d’une chaine en argent. Son alliance. C’était sans doute risqué de la porter ainsi, et plusieurs jugeraient la décision ridicule, mais de cette façon, elle était plus proche de son cœur, l’alliance tombant directement sur sa poitrine. Ses doigts, maintenant rugueux et sales comme pas possible, se refermèrent autour du précieux bijou. « Je t’aime. » Murmura-t-il, comme si le vent allait porter ses paroles jusqu’à elle. Elle lui avait promis qu’elle l’attendrait. Il lui avait promis qu’il survivrait à cette guerre. Il n’avait jamais failli à ses promesses d’ailleurs et celle-là, c’était la seule, l’unique qu’il se devait absolument de tenir. Même s’il n’était pas du genre à faire des promesses en l’air, il savait qu’elle serait difficile à tenir. Après tout, on ne sait jamais ce qui peut arriver au combat. Sans même qu’il ne s’en rendre compte, il frotta l’anneau avec douceur et s’autorisa à fermer les yeux une fraction de seconde, juste assez pour revoir son visage. Il revoyait son sourire, les fossettes qui se creusaient dans ses joues, l’éclat dans son regard. Pendant un infime moment, il avait presque l’impression qu’elle était là. Le vent qui soufflait caressait son visage, lui donnant l’impression que c’était sa main à elle qui effleurait sa joue. Il se sentait bien.

4. u.c.

3. u.c.

2. u.c.

1. u.c.

(Invité)