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Une après-midi de bénévolat...en amoureux. - PV Read.

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En sortant des cours le vendredi, j'avais reçu un appel. Une association avait perdu deux personnes pour s'occuper de personnes âgées. A vrai dire, c'était l'approche des examens finaux, et j'avais lourdement hésiter malgré que j'étais une personne qui avait le cœur sur la main. Je finissais par dire oui en entendant l'infirmière pleurer à mon oreille. Mais c'était un dimanche, et ce jour je le consacrais à mes révisions ou à Read. Malheureusement pour lui, j'avais réussi à le convaincre de venir avec moi. Il n'avait pas eu de chance, enfin, c'est moi qui avait pris la plupart des heures sans lui dire, je n'osais pas lui dire que j'avais pris ses heures pour qu'il puisse réviser, après tout je l'avais emmené dans ce petit boulot de dernier minute, enfin le mot « boulot » était exagéré, nous étions des bénévoles après tout. Vers huit heures du matin, je m'étais mise déjà à travailler : aider les personnes âgés à faire leur toilette, à les habiller ou encore passer du temps avec elles pour discuter étant donnés qu'ils n'avaient pas de famille qui venait les voir. Vers quatorze heures, j'attendais Read qui n'allait sûrement pas tarder. Pour ma part, j'étais en train de parler avec moi, elle me racontait son histoire d'amour dans un port en Europe. Vous savez, à notre époque, les garçons étaient plus élégants que les petits jeunes que je vois aujourd'hui. Ils nous emmenaient nous promener sur une barque, ou en encore nous allions à la plage ensemble avec nos familles respectives ou alors notre chaperon. Ce n'est plus comme ça de nos jours. Je ris, elle était vraiment adorable. Et alors que je regardais autour de moi pour vérifier si tout allait bien, mon regard croisa celui de Read. Je lui envoyais un doux regard, un fin sourire tendre mais je ne pouvais pas faire plus, ce n'était pas...bien. Je reprenais mes esprits me tournant vers la vieille dame. Vous savez, il y a des garçons bien à notre époque. J'en connais de très gentils. Je rougis, à ce moment là, je pensais à Read, l'homme parfait à mes yeux. J'avais envie de venir voir Read, de l'embrasser et le prendre dans mes bras, mais je n'osais pas.
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Ce jour-là, Read avait de nouveau pu entendre la charmante voix de Mary au téléphone, elle lui avait demandé s'il accepterait de venir effectuer quelques tâches bénévolement dans une maison de retraite. Bien évidemment, il n'avait pas hésité plus de quelques secondes avant d'accepter. Non seulement ceci rendrait service à grand monde, mais, en plus, il passerait l'après-midi en compagnie de la femme qu'il aimait. Quoi de mieux ? Read avait beau y réfléchir, il ne voyait guère rien de plus sympathique pour ce beau dimanche, bien qu'il ait énormément besoin de temps pour réviser. En effet, les examens approchaient à lourds pas et avec toutes ses activités, Read ne se sentait pas vraiment prêt, loin de là. Sa famille riait du fait qu'il ne croit pas en lui, car c'était un crack et sa mère disait souvent qu'il n'était qu'à deux doigts d'être un vrai petit génie !

Vers midi, Read arriva à la dite maison de retraite, après s'être bien préparé. Pas question d 'avoir l'air négligé devant Mary, oh que non ! Il avait rendez-vous à quatorze heures, mais avait décidé de s'y rendre un peu plus tôt pour aider au repas. En effet, il apporta le repas à toutes les personnes qui ne désirait pas se rendre à la cantine... Il leur céda à chacun un peu de leur temps, avec sa gentillesse habituelle.
Enfin, il retrouva Mary, dans une des salles communes, où les personnes âgées se rendaient non seulement lorsqu'on leur rendait visite, mais aussi lorsqu'elles désiraient passer du bon temps, en lisant un livre ou en regardant simplement la télé.

« Salut.. »fit-il doucement à l'attention de son amoureuse, en rougissant. « Bonjour Madame » ajouta-t-il à celle de la dame assise face à son ange. Ce n'était peut-être pas bien car, à l'origine, il n'était pas censé être là pour cela, mais il s'approcha de Mary et l'embrassa tendrement sur la joue, lui offrant ensuite un radieux sourire.
La vieille dame les regarda l'un et l'autre, l'air suspicieux.

« Alors, vous discutiez de quoi, si vous me permettez de rentrer dans la discussion ? » demanda le jeune secouriste gentiment.
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Je me sentais rougir à son arrivée, mon cœur s'était mis à battre soudainement à une allure que je ne pouvais cacher. Il était beau, adorable, et je pensais à lui lorsqu'elle parlait des garçons gentils de son époque, Read était exactement ce garçon là. Il s'approchait de nous, j'essayais de faire comme s'il n'y avait rien entre nous que de l'amitié mais je ne pouvais cacher mes joues qui se mirent à rougir lorsqu'il vint à me saluer, puis saluer la vieille dame. Il m'embrassa sur la joue, je frissonnais dangereusement à cette sensation agréable, j'en avais eu le souffle coupé. La vieille dame semblait comprendre ce qu'il y avait entre nous, après tout, nous étions tout ému. On parlait de... Mais la vieille dame me coupa. On parlait des jeunes hommes de votre époque qui ne sont pas capable de séduire une femme correctement! Mais je vois que vous jeune homme, vous savez vous y prendre. La vieille dame se mit à sourire malicieusement, je comprenais où elle venait en venir. Assis-toi, Read. Je pris sa main pour le faire asseoir à coté de moi, mais je ne lâchais pas sa main, il était à coté de moi, mais je pliais mon bras pour garder le sien dans le sens du mien, sans lui faire mal. Je vous l'ai dit, il y a des garçons très gentil à notre époque. C'est juste qu'ils s'y prennent pas de la même façon. Personnellement, je me vois pas monter sur une barque avec … enfin, j'aurais peur de tomber dans l'eau... dis-je en rougissant, tout en regardant Read dans les yeux. Je mourrais d'envie de l'embrasser, de me blottir dans ses bras. Bon ramenez moi dans ma chambre, je dois faire une sieste. ajouta la vieille dame. J'acquiesçais, quittant la main du garçon que j'aimais pour me mettre derrière la chaise roulante de la vieille dame. Viens avec nous. dis-je au Dunster en lui prenant la main pour le tirer du canapé et me diriger vers la chambre de la vieille dame. J'espérais que la journée se termine, j'avais envie de retourner chez moi, avec lui, mais je devais aider ces pauvres gens, ils avaient besoin de compagnie et d'aides.
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Read rougit aussitôt face à la remarque de la demoiselle. Etait-il si simple de lire sur son visage ? D'un côté, cela n'avait rien d'étonnant car notre cher garçon avait le pouls décuplé tant il mourrait d'envie d'embrasser intensément la femme qu'il aimait. Mais ce n'était sans doute pas correct dans de telles circonstances... Ils étaient là pour aider et améliorer un peu la vie de personnes âgées, les aider à accepter un peu mieux leur solitude (en ce qui concernait les personnes qui n'avaient pas ou plus de famille) et non pour les choquer. Et Read était si enfantin qu'un petit baiser sur les lèvres était un signe potentiellement choquant et mal-élevé en public. Pourtant, de nombreux couples ne se gênaient jamais... Mais Mary et Read ne formait pas un couple quidam.... Il y avait en eux cette sorte de passion encore plus forte que l'amour.

Le jeune homme s'assit aux côtés de Mary, face à la vielle dame qui leur souriait avec un immense sous-entendu. Elle avait cependant l'air bien sympathique. Elle n'attendit pas longtemps avant de leur demander de la raccompagner. Elle était fatigué, qu'elle disait, elle s'était levée vraiment très tôt et commençait à se sentir lasse. De même, lorsqu'ils furent enfin dans la chambre, on les congédia à vitesse éclair. Autant dire que cette bonne dame savait décemment ce qu'elle voulait !
Dès lors que Mary et Read se retrouvèrent seul à seul dans les couloirs, le jeune homme offrit un léger sourire à sa partenaire, qu'il tenait par la main avant de ne l'embrasser délicatement contre les lèvres. Ce que ce contact avait pu lui manquer ! Il le savoura plusieurs secondes avant de ne s'écarter délicatement et de ne déclarer :

« Bon, faut redescendre, Monsieur Scherzindger m'a demandé une partie d'échec. Tu sais jouer aux échecs ? »

Il tenait toujours sa bien-aimée par la main, n'osant pas la lâchant, ne le voulant pas... Elle était bien trop resplendissante.
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La veille dame nous congédia rapidement, elle était si fatiguée qu'elle nous en avait presque chassé. J'étais contente d'avoir un petit moment avec lui, on ne se voyait pas beaucoup à cause des révisions pour les examens. Je rougis lorsqu'il m'embrassa, trop rapidement à mon goût, ça faisait du bien de le sentir près de moi. J'avais envie de rester dans ses bras. Je l'écoutais alors me proposer de descendre pour aller jouer aux échecs avec une des personnages âgées. Je me mis à rire, il ne semblait motivé, ça faisait plaisir. Oui, je sais y jouer. Mon père adore y jouer, et vu que ça lasse ma mère, c'est moi qui m'y colle. Mais avant, je voudrais faire quelque chose, si ça ne te dérange pas... Je souris avant de me rapprocher une nouvelle fois du Dunster pour entourer son cou de mes bras et me coller contre lui pour l'embrasser langoureusement. J'avais envie d'avoir un peu de sa présence, déjà que j'étais un peu jalouse en ce moment, je savais qu'il allait au bal avec une fille, ça me dérangeait même si ce n'était qu'une amie à ses yeux. Je rompais notre baiser, le regardant tendrement dans les yeux. Ça ne tiendrait qu'à mon amour pour lui, je l'emmènerais dans une chambre vide pour le câliner toute l'après-midi. Allons-y avant que je deviennes égoïste et que je te garde rien que pour moi. Je ris avant de m'écarter de lui pour reprendre sa main. Nous nous redirigions vers la salle commune, et je voyais une petite dame qui attendait sagement devant un plateau d'échec. Je quittais la main de mon aimé, il ne fallait pas que ça se sache, la maison de retraite est liée à l'hopital, mon père avait toutes les chances de savoir pour Read et moi. Je m'asseyais entre eux deux. Bon moi j'aide Madame Scherzindger! dis-je en riant. La petite dame se mit à sourire et je complotais avec elle pour gagner contre Read.
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Cela fit énormément de bien au jeune homme de pouvoir câliner un peu sa chère et tendre dans ce couloir. Elle lui manquait chaque minute qu'ils passaient séparés l'un de l'autre, alors autant dire que ce nouveau moment de complicité était un diamant brut. Il se laissa embrasser langoureusement, passant délicatement et timidement les mains dans le dos de la demoiselle, afin de la caresser et de lui montrer à quel point il était heureux de ses instants de complicité. Il rit ensuite face à la remarque qu'elle laissa échapper.

« Ce genre d'égoïsme me plairait assez, je l'avoue... » dit-il simplement en souriant, alors que Mary lui saisissait doucement le bras pour l'emmener dans la salle commune, où on les attendait certainement avec impatience. Il fallait avouer que chacun des deux jeunes gens se laissait facilement aimer et parvenait rapidement à acquérir la confiance d'autrui. Il faut avouer qu'il est parfois difficile de ne pas lâcher du lest face à ce cher Read et à son sourire enfantin enjoliveur.
Le jeune homme avait envie d'arrêter son amie afin de s'emparer à nouveau de ses lèvres, une dernière fois, mais voilà qu'ils se trouvaient déjà dans la salle, et que des paires d'yeux les fixaient. Monsieur Scherzindger semblait avoir laissé la place à son épouse, devant la table d'échec. Ils vivaient tous deux à la maison de retrait, chacun ayant des problèmes de santé et ne voulant certainement pas déranger leurs enfants, petits-enfants et les autres membres de leur famille.

« Mais là, ce n'est pas juste ! » s'exclama Read face à Mary et à la vieille dame, faisant mine de réfléchir ensuite à une stratégie pour gagner la partie. En vérité, il n'était pas un excellent joueur, n'ayant pas forcément l'occasion de s'adonner à de longues parties, bien qu'il ne possède une grande fratrie pour l'y accompagner.
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J'aurais aimé passer un moment avec Read, mais je devais aider et Read s'était engagé aussi. Je mourrais d'envie de sentir l'étreinte de Read contre moi. Mais je ne devais pas m'accrocher comme ça avec lui. Je m'asseyais à coté de la vieille dame, elle jouait pas mal aux échecs depuis des années, et je connaissais un peu les bases étant donné que mon père avait été un touche à tout. C'est parfaitement équitable! dis-je à Read en riant. Pendant ce jeu, je m'étais amusée à taquiner Read. Et parfois, mon pied avait accidentellement glisser le long de sa cheville, ou mes yeux lui lançait un regard parfois coquin, parfois joueur. Et enfin, il était cinq heures. Je ne m'étais pas rendu compte de l'heure, trop absorbée par ma journée à aider...enfin, je devais l'avouer, ça me faisait plaisir de passer du temps avec lui. C'est l'heure d'aller manger. Vous pouvez y aller, Mary... ah et Read aussi. Il est l'heure. Merci pour votre aider, ils se sont bien amusés. Je souris et acquiesçait sagement. Je rangeais alors un des jeux, et je me tournais vers Read. J'avais envie de lui sauter dans les bras, et de l'embrasser. Mais on était pas encore seul, on était pas assez proche. Passez une bonne soirée et Bon appétit. dis-je à l'intention des partants. Je contournais alors le canapé pour rejoindre Read. Je croisais les bras contre ma poitrine, n'osant pas me serrer contre lui. Je le regardais dans les yeux, le cœur battant comme ci c'était la première fois que je le rencontrais. Merci d'être venu aider, t'es vraiment un ange tu sais. Je rougis, j'étais toujours aussi intimidée par Read. Mon cœur battait toujours aussi fort en sa présence, je ne savais plus où me mettre. Bien que j'avais l'envie monstrueuse de sauter dans ses bras. Je tapotais mes joues pour calmer la couleur rosée de mes pommettes. Je crois que... on devrait y aller! J'attrapais alors mon sac à main et remettait mon blouson. Je restais à l'entrée, l'attendant, rougissante malgré que j'essayais qu'il ne le remarque pas...mais il fallait l'avouer, c'était perdu d'avance.
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