TOPIC DE GROUPE ✱ Anti Saint-Valentin

Berto écoutait la musique, regardait les gens. Rien de bien intéressant en somme. Il avait déjà croisé quelques visages connus, mais il était bien près du bar, pas très envie de se mêler à la foule pour le moment. Il y avait quand même du monde ici, c'était étonnant de voir qu'autant de gens préféraient faire la fête ici que passer une soirée entre amoureux. Ou alors, ils étaient peut-être simplement tous célibataires. Le jeune homme bu une gorgée de sa bière avant de regarder les gens danser. C'est alors que quelqu'un lui fonça dedans. Le brunet renversa une bonne partie de sa bière sur la jeune femme qui lui était rentré dedans ainsi que sur son jean. "Mince, mince, mince. J'suis désolée.. j'suis vraiment pas douée". Il leva les yeux vers Alaska et arqua un sourcil. "Effectivement.." Il prit une serviette placée sur le bar puis s'essuya. "C'est ce qui s'appelle faire du rentre dedans. T'aurais tout simplement pu venir me parler aussi". Elle était trop belle pour qu'il s'énerve sur elle, même si ça aurait été dans sa nature.

Tu n'es vraiment pas douée. À croire que tu te donnais un mal fou pour être aussi stupide. La bière renverse, tu jures en italien, ta robe était fichue et ce n'était pas la première qui partait à la poubelle à cause d'une erreur de ta part. Heureusement, l'autre personne était assez compréhensive pour ne pas t'engueuler au milieu de la foule. Tu soupires une attrape une serviette sur le bar. À la vue de ton sexy interlocuteur, tu te mis à sourire grandement, les joues un peu roses. « Et bien, j'ai essayé une approche plus originale. » dis-tu dans un petit gloussement, au final ce n'était pas une si mauvaise chose d'être miss maladroite 2015. « Pour faire dans le traditionnelle : je m'appelle Alaska, enchantée. » dis-tu en tendant ta main, un sourire aux lèvres.

Je l'ai de suite trouver dans sa robe rose-rouge. Magnifique, comme bien souvent. Elle a reprit du poids et j'en suis heureux, je suis heureux qu'elle arrête ses conneries et je sais que c'est important le soutient et les réminiscence de ma visite à l'hôpital me fait penser qu'elle a besoin de se sentir belle, c'est bien pour ça que je me gêne pas pour le lui dire. T'as eu raison, j'ai bien faillit te confondre avec elle dis-je en montrant une fille au hasard, en fait, je ne l'avais même pas regardé. Mes mains sur son ventre un peu plus renfloué je fais, je fais des petits ronds avec mon pouce dessus jusqu'à ce qu'elle ne se retourne. Mon regard ne peut s'empêcher de la regarder de haut en bas à ses mots. A une somalienne obèse je dirais je riais, ma blague était pourris, je le sais bien mais c'était assez étrange d'imaginer ce genre de chose. Secouant la tête rapidement, je passe ma main sur sa hanche pour l'entrainer vers la table pour prendre un verre. T'as mangé aujourd'hui dis-je en attrapant une bouteille de ... scotch, ouai, j'ai pas envie qu'elle me fasse un malaise. Au fait, tu vis toujours chez ce mec là .. ouai, je sais pas comment il s'appelle, j'ai pas envie de le savoir et ça me fait graver chier qu'elle soit pas venue chez moi à la place.

Tu n'es pas très gentille comme fille, je suis certain qu'elle est ... gentille dis-je en regardant cette fille, que je ne connaissais pas. Je n'aimais pas vraiment porter de jugement à partir du physique, mais je dois bien être honnête qu'elle ne vaut rien à côté de ma belle Swan. C'est pas grave, je n'aime pas jouer à cache cache dis-je en lui faisant un clin d'oeil. Je veux qu'elle aille mieux, je veux qu'elle mange et qu'elle reprenne ses formes qui me font tant tourner la tête. Je veux qu'elle soit elle, de nouveau et je sens que petit à petit, je la retrouve. C'est une main sur sa hanche que je l'attirais vers le buffet, je n'enlevais pas ma main, peut être un signe de possessivité inconscient, mais je n'en avais pas envie. Ce soir, elle serait avec moi et avec personne d'autre. Je l'avais décidé. Il t'as dit ça, surement pour te mater bah ouai, c'est bizarre non ? Enfin, j'en sais rien, j'y connais rien moi. Je lui serre un verre, espérant qu'elle est mangé histoire qu'elle ne se sente pas mal puis je peux pas m'empêcher de lui poser la question qui me taraude l'esprit. Elle est encore chez ce mec ? Tu sais très bien que oui, je te l'ai déjà dis mes doigts tapote mon verre, je le regarde avant d'en boire une longue gorgée Tu le savais mais t'as préféré aller chez lui dis-je en redressant mon regard vers le sien, un peu hésitant pour le coup.

Saint Valentin. Sans Athina ni Izzy, ça ne rimait pas à grand chose. Et puis tu avais reçu ce texto d'Holly t'invitant à une soirée anti Saint-Valentin. Bouarf, tu n'étais pas un anti, tu n'avais juste rien de plus amusant à faire. En parlant d'amusant.. Arrivant devant chez elle, tu enlevas ton blouson, ton pull et ton pantalon que tu fourras dans ton sac. Et de ton sac, d'ailleurs, tu en sortie une petite pancarte.. Free Hugs qu'on pouvait lire dessus. Tu tuerais Alaska, ta bizuteuse. T'étais déjà un Dunster toi, t'avais pas besoin de repasser par là bon sang.. Tu ouvris la porte et pénétra dans la pièce en criant.. FREE HUGS LES VALENTINS ! avant de sautiller comme un con.

Aujourd'hui la saint valentin. Mouais sain va t-en loin ouais. Que je déteste cette fête ridicule au plus haut point. T'as besoin d'un jour spéciale pour dire à ta femme ou ton homme que tu l'aimes sérieux ? Je déteste cette fête elle me donne bien des boutons , de plus , c'est le jour où... Je ne préfère pas y penser ça me donne juste l'envie de vomir. L'amour beurk ! Je reçois un message d'Holly je ne sais pas qui est-ce , mais son invitation à la soirée anti saint-Valentin me plaît bien. Alors je me prépare et je ramène deux/trois bouteilles d'alcool en tout bien tout honneur. Une fois arrivé dans les lieux , je scrute la salle du regard. Il y avait déjà bien du monde. Je décide de poser les bouteilles près du bar. Je prend directement un verre au buffet , le buvant cul sec. Ben si ça continue comme ça j'allais être faite en même pas cinq minutes. Je décide de poser mon verre vide puis d'en prendre un autre.

La blonde (Alaska) s'en va vers le bar. Je me tourne alors vers Mae qui est toute souriante. Elle nous présente une demoiselle comme étant sa cousine d'Oxford. Une certaine Maud. Je souris à la jeune femme ravi de rencontrer la famille de Maelys. « Salut. Content de te rencontrer. » dis-je accompagné d'un large sourire accueillant. Puis mon regard se tourne vers la cabot  et Holly. « Ca vous dit de boire un truc ? »