Estevan Walkers ► Cory monteith

Sloan est né à New-york dans l’hôpital central de Manhattan. Ce jour fut grand bruit car ce fut le jour ou le grand acteur Bradley Walkers gagna un fils. Un acteur que tout le monde connait et qui a fait les grands jours du cinéma américain. Il a tourné dans toutes les grandes productions et avec les plus grand réalisateurs. Dans l'une de ses nombreuses maisons, vous trouverez sur une étagère ses nombreux prix et récompenses. Sloan ouvrit donc les yeux dans une vie qui allait être belle pour lui, son père en avait fait la promesse à sa mère. Le garçon n'était pas le seul enfant, il avait déjà deux sœurs : Jane et Adèle. Et, la famille alla s’agrandir encore quand leur mère accoucha encore un garçon : Dwayne, deux ans plus tard. La famille Walkers était grande et Sloan grandit avec beaucoup d'amour.

Mais, les absences de son père commencèrent à le travailler très jeune.Dur de grandir dans une maison où vous êtes le seul garçon. Sloan sentait qu'il avait besoin d'un père pour le conseiller, pour l'orienter. C'était pour lui dure d'apprendre la vie avec des inconnues ou tout simplement d'apprendre à faire du vélo tout seul. Dur aussi de grandir quand la presse à scandale surveille toute vos sorties. D'abord, il trouvait cela amusant comme tout enfant, mais voir une meute les poursuivre alors que sa mère voulait juste lui acheter une glace, c'était plus qu'effrayant. Un problème qu'il cacha en mangeant et en prenant beaucoup de poids. Il devint l'un de ses adolescents obsèces et revoir les photos de cette période est très dur pour Sloan. Il se souvient des critiques et des reproches. Ce qui n'aidait en rien car il replongeait dans la nourriture. «  Au moins, elle, elle ne me juge pas » , pensa t-il pendant longtemps.

Mais le sport le sauva, car il montra qu'il pouvait être doué, qu'il n'avait besoin de personne pour l'être, ni sa famille, ni son père. C'était au prix de sa propre sueur et de son endurance. Ce plaisir aussi de voir le regard des autres changer à force qu'il gagnait un nouveau corps : au revoir les rondeurs ! Ce qui n'était pas plus pour l'adolescent qui découvrit ses penchants pour les garçons avec son meilleur ami. L'envie alors de plaire et de séduire. Plus facile encore quand on le fils d'une star de cinéma. Sloan enchaîna les relations, ce qui n'aida en rien surtout quand il n'avait besoin de rien faire pour les faire succomber. Il gagna son air suffisant qu'il peut porter aujourd'hui. Car pourquoi s'attacher quand il sait qu'il a une liste grande comme son bras de garçons qui rêvent qu'il passe dans leurs lits ?

Mais, malgré ses talents pour faire la fête et séduire. Sloan ne pouvait supporter de porter l'image de «  fils à papa » Il voulait s'en sortir par lui-même et même s'il était très doué en sport. Il se concentra sur le judo. Il gagna quelques compétitions et sa candidature fut accepté à Harvard où il rentra dans la confrérie des winthrop. C'est cette même année qu'il rencontra Kari, un étudiant comme lui. Il est vite devenu son meilleur ami, car ils se ressemblaient sur beaucoup de points sans pourtant être semblable. Sloan a toujours pensé que Kari et lui se complétaient parfaitement. Une sorte de duo d'enfer que rien n'arrête. Donc, cela ne surprit même pas Walkers qu'ils dépassent un jour la ligne de leur amitié. Mais, le moment était peut-être pas le mieux choisit ? Car c'est à ce moment que le père du jeune Owens fit son entrée.

Comment ne pas oublier ce moment ? Car Sloan se sent extrêmement coupable - même s'il ne le montrera jamais - de tout ce qui arriva à Kari par la suite. C'est pour cela que leur lien est si fort à présent. Sloan se sent redevable auprès de son meilleur ami. Pour cela qu'il a accompagné sa candidature pour être stripteaseur. C'est qu'il veut garder un œil sur lui et le protéger s'il a besoin. Le jeune Walkers se sent investi d'une mission et Kari est pour lui quelqu'un de très important. Déjà, il est le seul garçon qu'il prend dans ses bras, qu'il embrasse ou tout simplement se comporte avec lui comme s'il se considérait en couple - mais sans l'être. Une tendresse presque unique que le jeune garçon ne pensait pas posséder en lui. Car Sloan continue ses aventures d'un soir, ses rêves de rejoindre l'équipe olympique et d'être cet ours bourru et parfois violent qui n'arrête pas de s'attirer des problèmes dans sa vie étudiante. Il est comme les mogouailles: ne le mouillait pas et ne lui donnait pas à manger après minuit, car vous pourriez voir débarquer des gremlins. A vos risques et périls, donc...