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Fiche Étudiant
C'est le 14 février à Chicago, ILL, que les membres de la famille Weisenbach m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Caleb Isaac. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de majeur droit, politique mineur depuis 5 ans ans et travaille en parallèle de mes études en tant que assistant juridique dans un grand cabinet . Et pour terminer, je voudrais intégrer les Winthrops ou les Eliot.
Pourquoi WINTHROP ou ELIOT ?
WINTHROP HOUSE.
Beau, agréable à regarder, charmant, bien élevé, beau parleur et surtout parfait séducteur, Caleb est un winthrop né. Bon pour être sincère, il ne traite pas toujours bien les femmes mais quel homme en est véritablement capable ? Bien élevé, issu d'une famille très haut placé dans la politique mais aussi dans le monde des affaires, il paraîtrait incongru que Caleb ne réussisse pas les test d'entrée pour intégrer la seule confrérie 100% masculine d'Harvard. Le futur politicien en est persuadé, il a toutes les qualités nécessaires à son intégratino et espère qu'on lui donnera la chance de devenir un véritable membre winthrop exemplaire tout comme l'était son père. Et si jamais vous hésitez encore, on vous rappelle que son oncle du côté de sa mère est rédacteur en chef du magasine playboy.
ELIOT HOUSE.
Papa gouverneur, maman avocate, il n'est pas insolent d'affirmer que Caleb aurait tout à fait sa place chez les Eliot de par son charisme, sa carrure et la place que ses parents occupent dans la société. Malgré son passé de débauche, Caleb veut désormais se ranger et donner un vrai sens à sa vie le droit le ménera tout droit à la réussite : aucun doute à ce niveau là. Caleb veut percer mais pas qu'eux, il veut réellement faire parti de l'élite, et quoi de mieux pour annoncer la couleur que d'intégrer la confrérie la plus prestigieuse de toute l'université ? Si il est accepté, c'est certain que le jeune homme marquera les esprits.
Beau, agréable à regarder, charmant, bien élevé, beau parleur et surtout parfait séducteur, Caleb est un winthrop né. Bon pour être sincère, il ne traite pas toujours bien les femmes mais quel homme en est véritablement capable ? Bien élevé, issu d'une famille très haut placé dans la politique mais aussi dans le monde des affaires, il paraîtrait incongru que Caleb ne réussisse pas les test d'entrée pour intégrer la seule confrérie 100% masculine d'Harvard. Le futur politicien en est persuadé, il a toutes les qualités nécessaires à son intégratino et espère qu'on lui donnera la chance de devenir un véritable membre winthrop exemplaire tout comme l'était son père. Et si jamais vous hésitez encore, on vous rappelle que son oncle du côté de sa mère est rédacteur en chef du magasine playboy.
ELIOT HOUSE.
Papa gouverneur, maman avocate, il n'est pas insolent d'affirmer que Caleb aurait tout à fait sa place chez les Eliot de par son charisme, sa carrure et la place que ses parents occupent dans la société. Malgré son passé de débauche, Caleb veut désormais se ranger et donner un vrai sens à sa vie le droit le ménera tout droit à la réussite : aucun doute à ce niveau là. Caleb veut percer mais pas qu'eux, il veut réellement faire parti de l'élite, et quoi de mieux pour annoncer la couleur que d'intégrer la confrérie la plus prestigieuse de toute l'université ? Si il est accepté, c'est certain que le jeune homme marquera les esprits.
Mon personnage c'est le plus beau
(ajoutez "checked" pour cocher une case, 12 cases à cocher, sous la forme "l'un ou l'autre")
APRÈS LA BOMBE
Le jour de la bombe, Caleb n'était pas sur le campus fort heureusement. Il était dans un Starbuck non loin en train de bosser un dossier mais il a tout de même entendu les détonations et a vu quelques vitres souffler juste devant lui. Il se souvient de l'agitation, de la poussière, des cris, il se souvient avoir essayé d'appeler ses amis pour savoir si tout le monde allait bien et hélas, il a bel et bien enterré un de ses amis suite à ce triste incident qu'il essaie d'oublier tant bien que mal; malheureusement de nombreux endroits à l'université lui rappelle que ce drame est bel et bien survenu et que malgré les années passant personne n'oubliera jamais ce qu'il s'est passé ce jour-là et ce peu importe qu'ils aient réellement été sur les lieux ou non.
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
SENSATION (S)- INTUITION (N)
| PENSÉE (T) - SENTIMENT (F)
ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
|
APRÈS LA BOMBE
Le jour de la bombe, Caleb n'était pas sur le campus fort heureusement. Il était dans un Starbuck non loin en train de bosser un dossier mais il a tout de même entendu les détonations et a vu quelques vitres souffler juste devant lui. Il se souvient de l'agitation, de la poussière, des cris, il se souvient avoir essayé d'appeler ses amis pour savoir si tout le monde allait bien et hélas, il a bel et bien enterré un de ses amis suite à ce triste incident qu'il essaie d'oublier tant bien que mal; malheureusement de nombreux endroits à l'université lui rappelle que ce drame est bel et bien survenu et que malgré les années passant personne n'oubliera jamais ce qu'il s'est passé ce jour-là et ce peu importe qu'ils aient réellement été sur les lieux ou non.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle LunaLANDRA et j'ai 20 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Naomi Braxton-Scott, Cabot House. J'utilise Hayden Christensen comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par minako. Je fais environ 700 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
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Il était une fois...
"Oh, hé, Caleb Weisenbach j'y crois pas, qu'est-ce que tu fous là le juif ?!" J'ajustais ma cravante avant de prendre Joshua Warner, un ami de longue date dans mes bras. J'étais pas particulièrement ravi de le croiser là ce soir, ce mec était drole mais putain de lourd et la seule chose à laquelle j'aspirais c'était un petit whisky bien sec et surtout : la paix après cette horrible journée de travail. "Et bien, 5ème année de droit à Harvard, mec, on fait aller. Enfin, je construis un avenir." L'ami en question explosa de rire en levant sa bière en l'air. "Toi, Wes, toi qui te construit un avenir après toutes les merdes qu'on a fait ensemble, la weed qu'on a vendu, les vols à l'étalage, les rails de coke en boîte et j'en passe, les meufs à n'en plus finir qu'on se chopait à droite à gauche !! T'es en train de me dire que toi, Caleb Weisenbach, roi de la fête et de la débauche tu t'es rangé pour devenir un... Homme de loi ?" Ouais, c'est sûr que dis comme ça c'était bizarre, Joshua était le reflet de mes années de perdition complète. De mes 16 à 20 ans, je n'avais eu aucune limite, aucune. Il n'y avait pas de jours dans la semaine, l'argent coulait à flots, mes parents désespéraient qu'un jour je me range mais moi je continuais toujours plus loin dans les tréfonds de la débauche, comme Joshua venait de le dire nous avions tous fait, nous avions fait l'impossible, nous avions retourné tout Chicago, nous avions déshonoré nos familles en long, en large et en travers. Enfin surtout moi à vrai dire puisque les autres ne venaient pas franchement de mon milieu. Pendant longtemps, j'avais pensé que ce mode de vie qu'était le nôtre était forcément le bon, que la clef de la vie, la vérité sur notre monde c'était de vivre chaque instant comme si c'était le dernier...
Puis il y avait eu la mort de Jarod, mon meilleur pote. Une balle, une simple putain de balle à la sortie d'un nightclub, j'étais trop bourré pour réagir assez vite. Il est mort dans mes bras, dans la neige, dans une ruelle crasseuse de Chicago. Ça a sonné le glas.
"Donc du coup c'est quoi le plan hein ? Devenir avocat et corrompre toute la ville ?" J'esquisse un sourire. Non le plan c'est de respecter le contrat : mes parents payaient pour l'enterrement de Jarod, faisaient oublier ma présence à deux trois flics avec un joli chèque et moi je partais me racheter une conduite à Harvard. Je n'ai pas vraiment changé de train de vie, je me tape toujours des meufs, mais j'ai ralentis sur la drogue. Mais pas sur l'alcool. Dieu merci je me suis découvert une passion pour le droit, mais je vis quand même avec ce putain de fardeau sur les épaules. Personne n'est au courant que Jarod est mort, tout le monde l'a cru reparti à New York, sans doute le pensent ils mort d'une overdose ou un délire du genre mais moi j'sais. Moi j'sais ce qui'l s'est passé. "Et Jarod t'as des nouvelles ?" Mon sourire s'estompe immédiatement. A croire que j'ai pensé à voix haute. "Non, pas vraiment, la vie nous a séparé, je te laisse je dois rentrer j'ai un procès demain." et je file. Qui eût cru qu'un homme comme moi deviendrait un jour un homme de loi.
Puis il y avait eu la mort de Jarod, mon meilleur pote. Une balle, une simple putain de balle à la sortie d'un nightclub, j'étais trop bourré pour réagir assez vite. Il est mort dans mes bras, dans la neige, dans une ruelle crasseuse de Chicago. Ça a sonné le glas.
"Donc du coup c'est quoi le plan hein ? Devenir avocat et corrompre toute la ville ?" J'esquisse un sourire. Non le plan c'est de respecter le contrat : mes parents payaient pour l'enterrement de Jarod, faisaient oublier ma présence à deux trois flics avec un joli chèque et moi je partais me racheter une conduite à Harvard. Je n'ai pas vraiment changé de train de vie, je me tape toujours des meufs, mais j'ai ralentis sur la drogue. Mais pas sur l'alcool. Dieu merci je me suis découvert une passion pour le droit, mais je vis quand même avec ce putain de fardeau sur les épaules. Personne n'est au courant que Jarod est mort, tout le monde l'a cru reparti à New York, sans doute le pensent ils mort d'une overdose ou un délire du genre mais moi j'sais. Moi j'sais ce qui'l s'est passé. "Et Jarod t'as des nouvelles ?" Mon sourire s'estompe immédiatement. A croire que j'ai pensé à voix haute. "Non, pas vraiment, la vie nous a séparé, je te laisse je dois rentrer j'ai un procès demain." et je file. Qui eût cru qu'un homme comme moi deviendrait un jour un homme de loi.
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