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KAYCEE J. WANG ► Kim HyunA.

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Fiche Étudiant


C'est le vingt novembre 1993 à Miami, que les membres de la famille Wang m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Kaycee Joy.  Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale pas tout à fait aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de journalisme depuis quatre ans et travaille en parallèle de mes études en tant que serveuse. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot ou les Mather.

Pourquoi Cabot House ou Mather House ?
CABOT.

Je suis une fille. Oui, bon, physiquement, ça se voit, certes ; mais j'entends par là que je possède un mental typiquement féminin. De nature curieuse, j'aime fouiner et me mêler de tout ; je suis friande des petites confessions honteuses dévoilées lors d'une charmante pyjama party, des potins de stars, des derniers sacs Louis Python et du vernis à ongle bleu canard. En fait, j'aime tout simplement qu'on me regarde. Vous n'avez jamais éprouvé ce sentiment divin, magique qu'est celui procuré par le regard envieux d'autrui ? Vous n'avez jamais adoré être détesté pour ce que vous êtes : parfaite ? Moi, si. Je suis un monstre ; un petit monstre qui se nourrit d'admiration, et qui n'en a décidément jamais assez. Mais pas que. C'est vrai, l'image est selon moi quelque chose de primordial. Je me ravale chaque matin la façade à grands coups de maquillage, je ne sors jamais sans être coiffée ou avec un ongle mal vernis, et je revois chacune de mes tenues un nombre incalculable de fois avant de mettre un pied dehors. Je l'admets, je suis superficielle et je cherche à approcher une perfection dite « utopique », digne des plus grandes stars hollywoodiennes. Mais, paradoxalement, je n'aime pas cette image de poupée qui nous colle à la peau. Être féminine ne signifie pas être une Barbie. Être une jolie femme ne signifie pas être faite de plastique et ne rien savoir faire d'autre que sourire bêtement. « Belle » n'est certainement pas synonyme de « stupide ». Et ça, je tiens à le faire savoir. Je tiens à ce que chacun d'entre vous puisse se prendre une violente gifle et reconnaisse que, oui, nous savons faire bien plus que nous regarder dans le miroir et parler pour ne rien dire. Je veux montrer au monde entier que nous, les femmes, pouvons en dépit des idées reçues, réaliser de très, très grandes choses.

MATHER.
Vous savez, lorsqu'on a un grand frère, il y a plein de choses que l'on veut tester avant l'heure. Les soirées ont fait partie de ces choses que j'ai découvert très tôt, en le harcelant longtemps pour l'y accompagner. Bien sûr, les soirées chaperonnées n'ont été qu'un début. Un temps durant, j'étais la petite fille sage et sobre qui se contentait de danser timidement sur une musique trop forte, celle qui tenait les cheveux des autres, plus âgées, qui avaient abusé du doux breuvage qu'est l'alcool. Mais voir, ça ne m'a jamais suffit. Je suis de celles qui ne croient les choses que lorsqu'elles les vivent ; de celles qui, encore jeunes et insouciantes, veulent tester leurs limites et toujours les repousser. Si les lendemains de soirées difficiles ont été nombreux, si de nombreux souvenirs ont été effacés de ma mémoire au cours de ces nuits agitées, l'habitude prend vite le pas sur les effets. Ainsi, les beuveries interminables et les danses endiablées – ou ridicules – jusqu'au bout de la nuit ne me font certainement plus peur. Je suis d'un naturel enfantin : j'aime m'amuser plus que tout au monde, peut-être un peu trop vous diront certains ; mais ce n'est qu'une question de point de vue. Toujours est-il que je suis passée maître en la matière, et que mon énergie ne m'a jamais fait défaut lorsqu'il fallait veiller, titubant, jusqu'au petit matin. Je ne le répèterai jamais assez : j'aime m'amuser, et ce, à outrance...
Mon personnage c'est le plus beau
(ajoutez "checked" pour cocher une case, 12 cases à cocher, sous la forme "l'un ou l'autre")
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
Expansifou Tranquille
Audacieux ou Réservé
Ouvert ouSecret

SENSATION (S)- INTUITION (N)
Factuelou Abstrait
Pragmatique ou Innovateur
TraditionnelouOriginal
PENSÉE (T)  - SENTIMENT (F)
Impartialou Empathique
Détaché ou Compatissant
Logique ou Subjectif

ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
Structuré ou Souple
Circonspect ou Spontané
Conformiste ou Non-conformiste

APRÈS LA BOMBE

Je me souviens de ce bruit sourd à m'en broyer les tympans, de ce souffle si fort que les murs eux-même en avaient tremblé. L'incompréhension totale, suivie de près par cet écrasant sentiment de panique. Mon sang n'avait fait qu'un seul et unique tour dans mon corps tout entier, et je me sentais glacée jusqu'à la moelle de mes os fragiles. Assise là, dans ma petite chambre étudiante, je nageais dans ces eaux troubles que l'on appelle le doute et la peur. Le temps semblait avoir ralenti ; combien de temps me fallut-il pour accourir jusqu'à ma fenêtre, donnant sur le campus, pour constater de l'horreur ? Quelques secondes, sans doutes, qui me parurent toutefois une éternité. La poussière formait une bulle opaque autour des débris de bâtiments grisâtres. Un haut le cœur, la respiration presque coupée, j'avais observé cette image terrible comme si elle avait été irréelle. Comme si ce désastre n'était que le fruit pourri de mon imagination. Et pourtant. Pourtant elle était bien là, réelle, mouvante. J'entendais au loin résonner les premiers cris d'effrois, et dans mon esprit tourbillonnaient les visages horrifiés de mes camarades. Une nouvelle détonation résonna, et alors, mon cœur manqua un coup. Je tombais à genoux, me recroquevillais sur moi-même, mes deux mains pressées fort contre mes oreilles, tandis que d'autres explosions se déclenchaient ça et là. Incapable de bouger ou même de réfléchir, je restais là, à terre, priant silencieusement pour que ce cauchemar prenne fin dans la seconde, sans que jamais mes souhaits soient exaucés. Il y avait cette peur qui me broyait la poitrine, semblable à celle des proies traquées cruellement par un prédateur redoutable, invisible. Les larmes coulaient, glaciales et incontrôlables, sur mes joues rougies. Et, alors qu'une énième détonation retentissait dans le lointain, faisant trembler les murs de ma petite chambre, j'agrippais le rebord de ma fenêtre dans un hoquet de panique, le serrant si fort que j'aurais pu m'y briser les phalanges. Les muscles tendus par l'horreur, je susurrais en sanglot quelques mots hachés à mon interlocuteur imaginaire. « S'il vous plaît... Je vous en prie... Arrêtez ! »


Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Prism et j'ai 17 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à divers top-sites.  J'apprécie le concept du forum, son aspect général : l'organisation y a l'air bonne, réaliste, et j'en ai eût de bons retours alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Kim HyunA comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par ananoue. Je n'ai pas de nombre de mots prédéfinis par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ J'aime les cookies.  KAYCEE J. WANG ► Kim HyunA. 2511619667
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Il était une fois...
Depuis toujours, je fais face aux préjugés et aux idées reçues, ces premières fausses impressions que l'on donne aux gens encore ignorant du monde qui les entoure. Il est vrai qu'il est facile de se tromper sur la petite asiatique qui occupe notre casier voisin au lycée, celle qui nous sert tous les matins notre café au Starbucks du coin, ou n'importe quelle autre jeune femme aux yeux bridés croisée au détour d'une rue. Nous, les asiatiques, avons cette image traditionnelle auxquels certains portent même quelques consonances ridicules, et dont nous ne parvenons pas à nous défaire. Mais je compte bien remettre dès à présent les points sur les i. Bien que sud coréenne d'origine, je tiens à préciser que je ne parle pas un seul mot de cette langue si complexe qu'est celle de mes confrères de même souche ; je n'ai même jamais posé un pieds dans leur si réputé pays. Je suis née et j'ai grandit à Miami, de deux parents aux origines égales mais tout deux nés américains ; chacun d'eux partage d'ailleurs mon ignorance au sujet de la langue et des coutumes de notre pays d'origine. Bien que ne reniant pas leurs racines, ni l'un ni l'autre n'ont jamais réellement prit le temps de s'y intéresser, se considérant purement américains, et ne voyant aucun intérêt à revendiquer leurs origines asiatiques au travers de ce monde. J'ai ainsi grandit comme vous tous : une fourchette et un couteau dans les mains, assise sur une chaise et non prostrée à genoux, dégustant des hamburgers, des frites et toutes sortes d'autres plats gras qui ont fait de moi l'amatrice de junk food que je suis aujourd'hui. Exit le cliché de la gentille petite famille asiatique mangeant sainement des plats préparés avec amour ! La cuisine n'a jamais été la tasse de thé de ma mère, femme active et très fière de l'être, ni celle de mon père, tellement maladroit qu'il aurait été capable de briser un saladier seulement en le regardant. D'ailleurs, je vous confierai que je n'ai jamais vu quelqu'un de plus surpris en ouvrant notre porte que les livreurs de plats Thaïlandais venant nous apporter notre commande...

Étant enfant, je dois admettre n'avoir manqué de rien. Mon foyer était calme, aimant, et je pouvais bien obtenir tout ce que je voulais grâce à mes jolis yeux larmoyants. J'étais la chouchou, la petite princesse. La petite dernière, quoi ! D'ailleurs, mon frère et moi nous disputions très souvent à ce sujet, crachant l'un sur l'autre notre jalousie maladive sous la forme d'un venin amer. Je me rappelle de toutes nos querelles, de ces crêpages de chignons typiques des frère et sœur, et j'en souris aujourd'hui, parce que je me rends compte du ridicule de nos actes et de nos paroles. Il n'appréciait pas que je privatise nos parents et cherche à capter l'intégralité de leur attention. Quant à moi, je voulais attirer tous les regards dans le seul et unique but de pouvoir le rendre jaloux ; et qu'il me regarde aussi. Si nous nous sommes souvent tapés dessus, si les noms d'oiseau ont fusés dans toutes les pièces de notre charmante maison pavillonnaire, nous avons également fait les quatre cent coups ensemble, et c'est sans la moindre hésitation que j'avouerai avoir tout appris de lui. Des règles du football jusqu'à comment me battre, en passant par la dissimulation de mes bêtises aux yeux des parents : il y est passé avant moi et m'a transmis tout ce qu'il fallait ou au contraire ne fallait surtout pas faire. Et, à la manière d'un élève devant son professeur, je buvais ses paroles comme j'aurais bu du lait.
Élève, professeur.. tiens, parlons de l'école, oui ! Je suppose que mes meilleures années ont été celles de maternelle. J'étais petite, j'étais mignonne et, surtout, je ne réfléchissais pas trop. Exit les problèmes sans importances : à cette époque, tout ce qui comptait pour moi, c'était de choisir quels crayons de couleur j'allais bien pouvoir utiliser pour mes splendides dessins. Il n'y avait aucune tension, on jouait tous ensemble dans un grand halo de joie et d'amour. Du moins, c'est ainsi dont je me souviens des choses, mais il paraît qu'on a tendance à enjoliver ses souvenirs, alors, je ne m'y fierai pas trop moi-même. Je me souviens toutefois très, très bien avoir répété un nombre incalculable de fois à cette époque, et même promis à tout mon entourage, que lorsque je serai grande, je serai caissière dans un supermarché. C'était un rêve un peu étrange, un rêve comme en ont tous les gosses je présume ; toujours est-il que c'était mon rêve à moi, et que si l'on m'avait dit que plus tard, j'étudierai le journalisme, je me serai sûrement mise à hurler et pleurer de désespoir tant j'aurais été déçue de la nouvelle. Ah, les enfants... Fort heureusement, j'ai grandi. J'ai passé la primaire, puis je suis allée au collège. Collège que fréquentait encore mon frère, à ce moment là. Et croyez-moi, personne ne veut avoir une sœur comme moi dans le même établissement scolaire. On passait la plupart de notre temps à se tirer dans les pattes ; du moins, moi, je lui tirais dans les pattes. J'étais toujours après lui, petite fille voulant jouer à la grande, et je les suivais partout, lui et ses amis, comme un vrai petit chien. La docilité en moins, je présume... Je ne sais pas comment il a pu me supporter tout ce temps ; toujours est-il qu'il l'a fait, et je l'admire encore aujourd'hui pour son extrême patience, digne des plus grands sages chinois. D'autant que, plus qu'une véritable boule d'énergie, j'étais aussi et même surtout une sacré commère. C'est bien simple : je connaissais les détails croustillants et les scoops de toutes les personnes de mon collège. J'avais la tête de la gentille petite asiatique à qui l'on peut faire confiance et, sans nul doute, tout raconter. Cruelle erreur. Mon manque certain de discrétion aurait pu me valoir bien des ennuis d'ailleurs, si je n'avais pas eût cette incroyable capacités à retourner les situations les plus inextricables. Je suppose que je dois être à moitié chat, parce que jusque là, j'ai toujours réussi à retomber sur mes pattes !

Depuis toute petite, je pratique la danse. Du moins, je pratiquais, la danse. Ce fut ma grande passion, une passion dont, fut un temps, j'aurais voulut vivre. Sans vouloir me lancer des fleurs – du moins, jamais plus que ce que je n'en mérite – j'étais douée. Très douée. Et c'est un compliment directement venu de mes professeurs de l'époque ! J'aimais ça, comme je n'ai encore jamais rien aimé d'autre. Je pouvais suer toute l'eau de mon corps, danser à en perdre le souffle et la raison, à m'en briser chaque cheville, que le sourire ne quittait jamais mes lèvres. Je n'étais pas une amatrice de ce sport élégant, mais bel et bien une véritable amoureuse. Danser, pour moi, c'était exprimer avec rage, fougue, tous ces sentiments sur lesquels je n'aurais su mettre des mots. Tout simplement, c'était mon exutoire. Hélas, toute bonne chose, je suppose, a une fin. L'entrée au lycée signa l'arrêt de ma carrière prochainement naissante de danseuse. Je n'avais plus le temps nécessaire pour continuer à pratiquer ; alors, le cœur déchiré, je me résigna à abandonner ce pour quoi je me saignais chaque jour, ne dansant plus que devant ma console de jeu ou mon miroir, comme toutes les adolescentes de mon âge. Je ne prévoyais pas d'arrêter pour autant, et je me promis de reprendre cette activité fantastique dès lors que la situation me le permettrais. Eh bien, six ans plus tard, ce souhait n'a toujours pas été exaucé. Je l'admet, je ne pensais pas pousser si loin mes études. Du moins, je ne pensais pas le pouvoir. J'ai toujours été quelqu'un d'actif : ma famille m'appelle affectueusement – du moins je l'espère – Duracell, et ma concentration est loin, oh oui très, très loin d'être parfaite. Alors que je révise, la vue d'une simple tâche sur le mur peut me faire perdre pieds et m'éloigner au plus loin de mon sujet initial. Malgré les années, j'ai toujours gardé en moi cette part enfantine, pour ne pas dire puérile, et je suppose que c'est quelque chose qui me suivra toute ma vie. Quoi qu'il en soit, je ne me prédestinais pas à une grande carrière. Médecin ? Avocate ? Très peu pour moi. En revanche, je me suis rendue compte en tenant la gazette de mon lycée, que le journalisme était quelque chose qui me branchait tout particulièrement. Je suis très curieuse de nature, une véritable fouine : je pourrais ne me nourrir que de scoops s'il le fallait ! Malgré une certaine tendance à aimer – trop – les fêtes et toutes sortes de sorties, je savais compenser en travaillant deux fois plus dur le reste du temps. C'est toutefois sans trop y croire que j'avais envoyé mon dossier à la très célèbre université de Harvard. Sans trop y croire, vous dis-je, à tel point que, lorsque mon dossier d'inscription est arrivé dans ma petite boîte aux lettres blanche, ma surprise fut telle que j'eus une réaction des plus exagérées ; m'évanouir ? Pleurer de joie ? Non, non, beaucoup trop banal. Moi, j'ai été prise d'un incontrôlable fou rire, qui m'a valut quelques courbatures abdominales le lendemain. L'image même de l'élève studieuse, pas vrai ?

Depuis, j'ai quitté seule les vagues, les plages et la douce chaleur de Miami, les troquant contre les averses fréquentes et l'humidité de Cambridge. Un changement presque radical, pour celle qui n'avait jamais connu qu'un climat vacancier chaque jour de sa courte petite vie. Il me fallut un temps d'adaptation, certes, d'autant que les cours qui étaient dispensés à l'université demandaient bien plus d'assiduité et de rigueur que ce à quoi je n'ai jamais été habituée. Pour autant, je pris vite le plis, sans me laisser envahir par la quotidien pesant qu'aurait été « métro-boulot-dodo », vivant ma petite vie de femme comme je l'avais toujours envisagé. Et vous savez quoi ? Certes, Cambridge n'est pas Miami. Certes, faire partie de Harvard n'est pas toujours qu'une pure partie de plaisir, et il faut savoir jongler habilement entre les différentes confréries, sa vie personnelle, et les cours toujours plus pointus au fil des trimestres, au fil des ans. Mais quand même, je peux bien le dire : je n'aurais osé rêver mieux que cela, pour entamer ma toute nouvelle vie.
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bienvenuuuuue sur ilh KAYCEE J. WANG ► Kim HyunA. 3850463188
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bienvenue sur le forum KAYCEE J. WANG ► Kim HyunA. 3850463188
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Merci beaucoup mes p'tites dames KAYCEE J. WANG ► Kim HyunA. 2109348208
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bienvenue parmi-nous et bonne chance pour ta fiche. KAYCEE J. WANG ► Kim HyunA. 2605996181 KAYCEE J. WANG ► Kim HyunA. 2727399354
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Bienvenuuuuuuue. KAYCEE J. WANG ► Kim HyunA. 2109348208
Moi j'serais toi je mettrai mather en premier, après j'dis ça j'dis rien.. :sifle:
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