ALESSANDRA WORSLEY DE KENT ► MK Olsen

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle kingston et j'ai 19 ans. Je suis monégasque et j'ai connu le forum grâce à un top-site.  Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire parce que je viens de quitter un forum où j'avais élu domicile pendant 4 ans, et que j'avais besoin d'un forum actif comme le votre pour repartir dans une nouvelle aventure  :excited: . J'utilise MK Olsen comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart. Je fais environ 1500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Le forum a l'air vraiment cool avec une bonne ambiance et tout et tout   mais j'avoue que la grandeur du forum me fait un peu peur, j'aimerais beaucoup avoir un parrain ! Aussi, dans mon histoire, j'ai précisé que Alessandra vient d'arriver à Harvard pour finir son cursus mais elle a déjà trois ans d'études derrière elle, du coup, j'avoue ne pas trop avoir compris la question "Après la bombe" et si je dois y répondre ou pas  :sifle: Voili voilou mis à part ça, hâte de commencer à rp  :love2:
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

► 1990-2000
« Tiens toi droite, Alessandra » avait pu entendre la future duchesse de Kent depuis sa plus tendre enfance, si on peut appeler ça une tendre enfance. Alessandra Elizabeth Camille Worsley de Kent naquit dans une famille qu'on connaissait bien. Sa grande tante restait le symbole encore de nos jours de l'ensemble du Royaume-Uni. De sang royal, la petite Alessandra a donc grandi dans un milieu très aisé beaucoup envié mais peu apprécié. Alessandra était la petite dernière de la famille, trop peu éduquée par ses parents et beaucoup trop chouchoutée par ses frères. Sa mère était une figure froide de son enfance, souriante seulement aux évènements importants, et son père, un personnage bien plus chaleureux mais qui lui laissa beaucoup trop de libertés.
Les dix premières années de sa vie furent parsemées de moments joyeux mais aussi de drames. Notamment la mort de sa mère à l'aube de sa dixième année. Malgré le mur émotionnel qu'était sa mère, elle fut traumatisée par son décès. Sur son lit de mort, sa mère lui laissa une lettre et lui murmura ses derniers mots avant de se laisser partir : « Bon sang Alessandra… Fait un effort, tiens toi droite. »

► 2000-2008
La disparition de sa mère fit écho dans les médias. Très appréciée par le monde culturel et artistique, des hommages lui furent rendus et tous les regards vinrent alors se poser sur sa succession dans le monde médiatique. Héritière de par son nom, les médias célébrèrent « l'avènement médiatique » de la petite Alessandra. La lettre que sa mère lui légua ne fut guère remplie de chaleur émotionnel non plus. L'ancienne duchesse de Kent lui expliqua qu'elle avait intérêt à sourire à chaque fois qu'elle verrait un appareil photo, qu'elle devrait faire respecter l'image de sa famille et surtout qu'elle n'avait pas intérêt à sortir du droit chemin. Un lourd poids qu'on déposait sur une petite britannique de 10 ans. Le Royaume-Uni eut alors l'occasion de suivre toute son adolescence, multipliant les interviews et les engagements culturels. Elle se trouva une passion pour la mode et alimenta son exposition médiatique grâce à sa présence quasi-assurée à chaque évènement de mode depuis ses 16 ans.
Mais cette exposition commença à s'avérer beaucoup trop débordante sur sa vie privée. Ses amis, ne désirant pas être exposés, s'écartèrent d'elle volontairement. De nouvelles fréquentations, en quête d'attention médiatique, apparurent avec leur hypocrisie à tout va. Alessandra développa alors un caractère solitaire et froid qu'on ne lui connaissait pas. Habituée à une des personnalités les plus joviales du Royaume-Uni, on la découvrit bien moins chaleureuse. Rapidement, on parla de dépression et on la traqua plus encore qu'avant.

► 2008-2010
18 ans enfin ! La majorité atteinte, beaucoup de propositions tombèrent d'un peu partout. Allant de sa propre télé-réalité à la sex tape, Alessandra crut rêver. À l'exemple de sa mère, elle sut faire les bons choix et décida de prendre du recul sur sa vie médiatique. Pendant deux ans, elle parcourut le monde en quête de nouvelles expériences loin de sa vie surexposée à Londres. Elle rencontra beaucoup de personnes, et devint la petite protégée d'Anna Wintour, amie proche de sa mère qui lui offrit ce qui, aux yeux d'Alessandra, était le plus beau cadeau du monde : une chronique chez Vogue. Alessandra avait fait de nombreuses fois la une de Vogue et de divers magazines, mais passer à l'écriture était un vrai bonheur à ses yeux.
Elle mena la vie dure à tous les couturiers et leurs nouvelles collections, et s'imposa comme une figure emblématique de la mode. Cependant, ce monde apporte aussi de nombreuses mauvaises fréquentations. Quelques clichés de la duchesse de Kent le nez un peu trop poudré et un corps quasi-anorexique firent scandale dans la presse et attirèrent plus encore les regards sur elle, mais cette fois pour les mauvaises raisons.

► 2010-2013
Très fâché, son père la fit rentrer à Londres. Centre de désintox, excuses publiques et inscription à une école prestigieuse de Londres en Communication et Fashion furent suffisants pour redorer son image. Mais désormais, les médias l'attendent au tournant. Ils guettent ses moindres faits et gestes, et se réjouissent du moindre faux pas de la duchesse.

► 2014
Fraîchement diplomée du London College of Fashion, elle décide de poursuivre trois années d'études encore à Harvard, là où sa mère a étudié une trentaine d'année avant elle. Reprenant sa chronique à Vogue, elle part donc à la conquête d'une des plus grandes universités mondiales, espérant retrouver une vie un peu plus tranquille.