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Fiche Étudiant
C'est le dix juillet 1993 à Strasbourg (France), que les membres de la famille Desrosiers m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Ellyn, sans une centaine de prénoms à la chaîne ; Ellyn, tout simplement. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'ingénierie en informatique et ai entrepris un double cursus en sexologie depuis quatre ans et travaille en parallèle de mes études en tant que péripatéticienne à domicile. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot House ou les Dunster House.
Pourquoi MAISON 1 ou MAISON 2 ?
CABOT HOUSE.
Sulfureuse, fashion victim, capricieuse, maître dans l’art de la séduction, joueuse, séduisante; à défaut de ne pas pouvoir posséder le compte en banque bien garni de Paris Hilton, madame en a adopté sa façon d’être : séduction est son mort d’ordre (et en vue de ses activités extra-scolaires, on ne doute pas de l’efficacité de ses techniques de séduction). Certains jugeront sa personnalité comme un personnage surjoué, irréel, cachant un réel profond mal-être; d'autres tairont leur minable avis sur sa personne, de crainte de s'attirer ses foudres, et d'autres encore l'ignoreront parfaitement, ce qui leur vaudront sans doute derechef une place sur sa Black List (l'ignorer ? Vraiment ?). Quel qu’il en soit, superficielle ou non, joueuse, séduisante ou non, méprisante ou non, Ellyn, fidèle – une des seules qualités qu’on peut lui compter – en amitié et en amour (parfois), représente la parfaite Cabot en son intégralité : "enviée, détestée, copiée mais jamais égalée".
DUNSTER HOUSE.
On peut lui reprocher tous les pires défauts du monde, à savoir hautaine, infidèle – du moins tout dépend de la taille du concombre en question, capricieuse, jamais ponctuelle, intolérante, irréfléchie, prétentieuse, têtue, râleuse, vaniteuse et j’en passe, on ne peut pas lui reprocher d’être ambitieuse. L’ambition, le mot d’ordre qui a régit toute sa vie depuis son enfance. Son père n’était qu’un lâche, sa mère une bonne à rien, une bonne femme forte et courageuse certes, mais sans ambitions, sans savoir-faire ni savoir-vivre, une bonne petite femme de la classe la plus basse dans l’échelle sociale en somme. Ellyn s’est toujours promise de ne jamais être le sosie de sa mère, ainsi depuis son entrée à l’école, elle s’est toujours battue pour devenir première de classe, de la primaire jusqu’à son bac à la sortie du lycée, et elle avait réussi. Elle est d’une intelligence rare la p’tite française. Et son acceptation à Harvard trois ans de cela l’a bien montré. Elle veut grimper l’échelle sociale, coûte que coûte, réussir, se démarquer grâce à son intelligence hors-norme, ses connaissances sans limites en informatique ; elle tient à tout prix réussir, quoi que ses études lui coûtent. C’est pourquoi elle a sacrifié son temps libre pour ses petites activités extérieures deux ans de cela : pour réussir. L’intelligence ne lui manque pas non, mais l’argent oui. Et elle est ambitieuse la p’tite Ellyn, si vendre son corps est le prix à payer pour réussir, et bien soit, qu’il en soit ainsi.
Sulfureuse, fashion victim, capricieuse, maître dans l’art de la séduction, joueuse, séduisante; à défaut de ne pas pouvoir posséder le compte en banque bien garni de Paris Hilton, madame en a adopté sa façon d’être : séduction est son mort d’ordre (et en vue de ses activités extra-scolaires, on ne doute pas de l’efficacité de ses techniques de séduction). Certains jugeront sa personnalité comme un personnage surjoué, irréel, cachant un réel profond mal-être; d'autres tairont leur minable avis sur sa personne, de crainte de s'attirer ses foudres, et d'autres encore l'ignoreront parfaitement, ce qui leur vaudront sans doute derechef une place sur sa Black List (l'ignorer ? Vraiment ?). Quel qu’il en soit, superficielle ou non, joueuse, séduisante ou non, méprisante ou non, Ellyn, fidèle – une des seules qualités qu’on peut lui compter – en amitié et en amour (parfois), représente la parfaite Cabot en son intégralité : "enviée, détestée, copiée mais jamais égalée".
DUNSTER HOUSE.
On peut lui reprocher tous les pires défauts du monde, à savoir hautaine, infidèle – du moins tout dépend de la taille du concombre en question, capricieuse, jamais ponctuelle, intolérante, irréfléchie, prétentieuse, têtue, râleuse, vaniteuse et j’en passe, on ne peut pas lui reprocher d’être ambitieuse. L’ambition, le mot d’ordre qui a régit toute sa vie depuis son enfance. Son père n’était qu’un lâche, sa mère une bonne à rien, une bonne femme forte et courageuse certes, mais sans ambitions, sans savoir-faire ni savoir-vivre, une bonne petite femme de la classe la plus basse dans l’échelle sociale en somme. Ellyn s’est toujours promise de ne jamais être le sosie de sa mère, ainsi depuis son entrée à l’école, elle s’est toujours battue pour devenir première de classe, de la primaire jusqu’à son bac à la sortie du lycée, et elle avait réussi. Elle est d’une intelligence rare la p’tite française. Et son acceptation à Harvard trois ans de cela l’a bien montré. Elle veut grimper l’échelle sociale, coûte que coûte, réussir, se démarquer grâce à son intelligence hors-norme, ses connaissances sans limites en informatique ; elle tient à tout prix réussir, quoi que ses études lui coûtent. C’est pourquoi elle a sacrifié son temps libre pour ses petites activités extérieures deux ans de cela : pour réussir. L’intelligence ne lui manque pas non, mais l’argent oui. Et elle est ambitieuse la p’tite Ellyn, si vendre son corps est le prix à payer pour réussir, et bien soit, qu’il en soit ainsi.
Mon personnage c'est le plus beau
(ajoutez "checked" pour cocher une case, 12 cases à cocher, sous la forme "l'un ou l'autre")
APRÈS LA BOMBE
Par un heureux concours de circonstances, Ellyn ne se trouvait pas à Harvard au moment de l’attentat terroriste ou quoi qu’on l’appelle, trop occupée à ‘travailler’ – entendez par cela, à assouvir les besoins les plus répugnants et écœurants de ces vieillards mous du slip incapables de se durcir sans l’aide de cette miraculeuse petite gélule bleue. Non, appelée d’urgence le matin même par Mr le Patron, et n’ayant pas eu cours ce fameux jour, elle avait passé toute la journée à courir de maisons en maisons pendant que des centaines, des milliers d’étudiants – y compris ses amis les plus proches – ont vu leur vie défilée devant leurs yeux. Ellyn, la chanceuse. Dieu devait être de son côté ce jour-là. Quand elle avait constaté les dégâts à son retour, le soir, horripilée, elle l’avait énormément remercié le bon Dieu, et la bonne Marie et le bon p’tit Jésus ; même s’ils n’existaient pas à ses yeux, ils devaient avoir contribué à sa survie. Qui avait désigné Harvard comme « un des lieux les plus sûrs des Etats-Unis » déjà ? Mais quand bien même Ellyn n’avait pas subi la colère de ces terroristes amateurs, et quand bien même le sort d’autrui lui passe au-dessus de la tête, elle avait aidé à la reconstruction des bâtiments de l’université les jours d’après. Avait aidé du mieux qu’elle pouvait pour revoir les murs de son école sur pieds au plus vite, avait fait preuve d’une charité incroyable qu’on l’avait presque confondu avec Mère Thérèse ou une Quincy. Rah, elle devait l’aimer Harvard pour en arriver à ce point !
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
SENSATION (S)- INTUITION (N)
| PENSÉE (T) - SENTIMENT (F)
ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
|
APRÈS LA BOMBE
Par un heureux concours de circonstances, Ellyn ne se trouvait pas à Harvard au moment de l’attentat terroriste ou quoi qu’on l’appelle, trop occupée à ‘travailler’ – entendez par cela, à assouvir les besoins les plus répugnants et écœurants de ces vieillards mous du slip incapables de se durcir sans l’aide de cette miraculeuse petite gélule bleue. Non, appelée d’urgence le matin même par Mr le Patron, et n’ayant pas eu cours ce fameux jour, elle avait passé toute la journée à courir de maisons en maisons pendant que des centaines, des milliers d’étudiants – y compris ses amis les plus proches – ont vu leur vie défilée devant leurs yeux. Ellyn, la chanceuse. Dieu devait être de son côté ce jour-là. Quand elle avait constaté les dégâts à son retour, le soir, horripilée, elle l’avait énormément remercié le bon Dieu, et la bonne Marie et le bon p’tit Jésus ; même s’ils n’existaient pas à ses yeux, ils devaient avoir contribué à sa survie. Qui avait désigné Harvard comme « un des lieux les plus sûrs des Etats-Unis » déjà ? Mais quand bien même Ellyn n’avait pas subi la colère de ces terroristes amateurs, et quand bien même le sort d’autrui lui passe au-dessus de la tête, elle avait aidé à la reconstruction des bâtiments de l’université les jours d’après. Avait aidé du mieux qu’elle pouvait pour revoir les murs de son école sur pieds au plus vite, avait fait preuve d’une charité incroyable qu’on l’avait presque confondu avec Mère Thérèse ou une Quincy. Rah, elle devait l’aimer Harvard pour en arriver à ce point !
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas (papaouté) et j'ai le permis, cey class nah ? Je suis frenchesh et j'ai connu le forum grâce à un minion. Je l'ai trouvé mouaaairf alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Florrie Arnold (adieu bébé Fonsecaaaa *plor*) comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crick (bazzart). Je fais environ un nombre variable (200 à 2000) de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par l'unique et merveilleuse moi.
Mot de la fin ? ▲
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)
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Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
(Invité)