EMMA JONA MÜLLER ► Kaya Scodelario

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle crazy suffering et j'ai 19 ans. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à Mélanouille .             alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Blaise R. J. Tunstall (student) + Royce A. Magyar (winthrop). J'utilise Kaya Scodelario MON BEBE   comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par wildworld. Je fais environ 200-300-400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

[b]Mot de la fin ? ▲ Mama revient les copains  
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

De 0 à 18 ans
Le 22 Décembre 1992, je suis née à Berlin.

"Poppy" Oui, c'est comme ça que je l'appelle mon parrain, celui qui m'a élevée, celui qui m'a appris à marcher, à dire non, à rouler à vélo, à conduire, à frapper les garçons et à me débrouiller seule. Qu'est-ce que je l'aime. Il était le seul à se proposer pour s'occuper de moi depuis la mort de mes parents adoptifs. Ils sont morts dans un accident de voiture, aussi facilement que ça en à l'air. Ça pouvait être n'importe qui, à n'importe quel moment. Mais non, ça devait être eux. J'avais un an quand j'ai débarqué chez mon parrain qui venait de s'installer aux USA. En Allemagne, j'ai été baptisée et tout le tralala, comme si j'étais vraiment le fruit de leur amour. Malgré mes goûts de luxe et mes caprices, il continuait de me combler en me faisant plaisir. Le pire dans tout ça, c'est que je ne me souviens même pas du visage de mes parents. Je les vois sur des photos, me serrant dans leur bras, mais cela ne me dit rien. Ma mère était une sublime femme. Elle travaillait en tant que grand mannequin dans une boîte qui cartonnait à l'époque. Mon père était journaliste sportif et selon les dires de mon parrain, il voyageait énormément partout dans le monde et ce fut en Allemagne qu'il rencontra ma mère. Mon père est d'origine franco-américain, du au fait qu'il a connu mon parrain depuis son plus jeune âge. J'ai l'impression de connaître mieux l'histoire de ma famille adoptive que la mienne. Qui suis-je après tout? Une petite orpheline grossière et mal polie? Malgré mon passé catastrophique et douloureux, je ne cesse de garder la tête haute. Personne ne peut m'atteindre, me blesser ou s'en prendre à moi. J'ai réussi à me former un bouclier émotionnel autour de moi. Il est très difficile de le détruire. Je me laisse rarement manipuler par n'importe qui. J'ai eu de nombreux amis, de vrais, des durs à cuire, pas de mauviettes. Vers l'âge de 17 ans, j'ai commencé à boire, à me droguer mais pas si souvent que les autres. Je savais qu'il y avait un moment pour déconner, mais pas avec tout. Au fur et à mesure de mon adolescence, mon parrain était moins présent pour moi. Il travaillait beaucoup et était absent tous les week-ends. Même les jours fériés, même le soir de Noël. J'ai été très affectée par cette situation mais j'ai fini par m'y habituer.

De 18 à 22 ans
Il s'en est passé des choses à Harvard! Je travaille bien, j'ai de très bons résultats malgré que je fasse n'importe quoi. De 18 à 21 j'ai été une simple mather et en 2013, j'ai été élue présidente puis vice-présidente de la mather house et c'était vraiment le pied. J'ai fais beaucoup de voyage, j'ai rencontré l'amour, mon Jamie, j'ai vécu plusieurs mois en sa compagnie. Malheureusement, dès mon retour au Summer Camp, j'ai pris la fuite. J'étais qu'une lâche, mais j'étais une rebelle et personne ne pouvait arrêter une rebelle. Des amis m'ont contacté comme quoi la police était à ma recherche pour utilisation de drogue dures. Je venais de comprendre qu'ils s'étaient fait avoir et risquaient de me prévenir pour que je puisse m'en sortir. J'ai quitté la ville sans rien dire quoi que ce soit à personne. J'ai abandonné mon amoureux, mes meilleurs amis Jeno et Alexander, ma belle vie à Harvard. Je suis retournée à Berlin voir de la famille qui m'a remotivée à retourner à Cambridge. J'ai préparé mon retour pendant plusieurs semaines. Comment allaient réagir mes amis? Comprendraient-ils? Et l'homme que j'aimais toujours, est-ce qu'il m'attendait aussi? J'avais peur, mais je devais retourner dans ma vie, ma vraie vie, quitte à affronter la police, j'en avais rien à faire. Mama était de retour!