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Sacha Riley Lindley-Selivan fiche; en cours - terminée C'est le 17 juillet 1989 à Canberro en Australie, que la famille Lindley m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Sacha Riley. Je suis mariée et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en médecine, je suis maintenant en 5ème année. Et pour terminer, je fais partie des Quincy. |
Études La médecine, c'est plus qu'une vocation. Son père est lui-même médecin et c'est une affaire de famille. Dès son plus jeune âge, c'était sa petite assistante personnelle. Aujourd'hui, c'est une vraie passionnée. En 5ème année désormais, elle est interne à l'hôpital dépendant de l'université. Elle a tendance à enchainer les gardes et à ne pas compter ses heures. Ce qui a tendance à énerver son entourage. A la fac, elle devient une étudiante normale. Elle adore les soirées médecine qui peuvent partir en vrille. Elle en loupe rarement une ! | Caractère Stressée, impulsive, jalouse, colérique, grande gueule, hyperactive. Tous les traits de caractère sont poussés à l'extrême. Elle ne supporte pas la routine, que ses journées soient dictées par des obligations. Sa vie, c'est à base de coups de tête... Elle peut prévoir un voyage du jour au lendemain par exemple. Ne lui demandez jamais ce qu'elle a prévu ce week-end, elle ne vous répondra pas et ne prévoyez pas un rendez-vous avec elle, Sacha l'oubliera directement. Elle vit les moments présents sans se projeter. Contre toute forme d'autorité, elle a tendance à faire exactement le contraire justement pour provoquer. Elle ne se sent parfaitement à l'aise que dans l'eau. Si vous espérez soutirer quelque chose d'elle, emmenez la d'abord à la piscine ou à la plage et la conversation sera plus sereine ! Impliquée dans des causes humanitaires, elle passe la majeure partie de son temps libre à aider les plus défavorisés. |
Everyone Has Their Own Story
AVRIL 2012
« Bernard Herman, Angelo Badalamenti, Ennio Morricone, Hans Zimmer, John Williams et bientôt Adrian Selivan... Je crois en toi ! Alors peut-être que t'as pas eu ce contrat mais dans quelques mois, ils vont te regretter. Je vais voir le nom de mon mari à chaque générique de fin et j'en serai tellement fière. Les plus grands réalisateurs feront appel à toi ! ».
Sacha était très certainement la plus grande fan d'Adrian. Malgré son jeune âge, l'interne avait franchi le cap en l'épousant et ce, sans la présence de sa propre mère. Sa génétrice ne supportait plus les choix de vie de sa fille et préférait couper les ponts plutôt que de subir la situation. Aujourd'hui, la jeune mariée ne regrettait rien et assumait totalement ses décisions. Son existence avait complètement changé en l'espace de trois ans : de la petite fille à papa qui se pliait en quatre pour faire plaisir à sa mère, elle était devenue une femme responsable et pleinement épanouie auprès d'Adrian. Ils venaient à peine de se marier et Sacha se faisait une joie de se faire appeler "Madame Selivan" en toute circonstance. Ils avaient leurs petites habitudes, les mêmes références et des projets d'avenir ensemble. Elle se voyait déjà dans une dizaine d'années avec un mari reconnu par la profession. Sa petite vie était parfaite, elle avait trouvé quelqu'un sur qui compter, elle était entourée, continuait son internat à l'hôpital et était respectée par ses pairs. Tout équilibre est fragile... En une fraction de seconde, toutes ces dernières années ont été balayées.
FIN AVRIL 2012 - L'ACCIDENT
« Sacha, c'est encore Malory. Je me suis occupée de toi hier au soir. Adrian a passé la nuit ici d'ailleurs, il pouvait pas rentrer chez lui et te laisser comme ça, il s'inquiète pour toi, tu sais ! Il semblerait qu'à la suite de ton traumatisme crânien, ta mémoire te joue des tours et... ». Malory Marshall - 23 ans - amie de longue date - collègue de Sacha. Cette jeune interne peinait à trouver ses mots pour expliquer à sa patiente qu'elle souffrait de troubles de la mémoire. Après une semaine dans le coma suite à un accident de voiture, Sacha avait fini par reprendre connaissance. Son mari n'avait pas quitté son chevet et était à l'affût de toute nouvelle sur l'état de santé de son épouse. Tout naturellement, Adrian fut la première personne à croiser le regard de sa femme à son réveil. Contre toute attente, Sacha ne pouvait mettre un nom sur le visage de cet homme pourtant si impliqué dans son existence. Qui était-il ? D'où venait-il ? Pourquoi semblait-il si bien la connaitre ?
« Arrête Malo ! T'as toujours su que j'avais une excellente mémoire, j'ai jamais eu besoin de réviser bien longtemps pour retenir, je peux te raconter dans les moindres détails mon enfance, ma dernière liste des courses, les dernières questions du QCM de génétique ! Depuis hier soir, tu me rends dingue. Tu me présentes un mec que je connais pas, si beau soit-il, il fait pas parti de ma vie ! C'est ton nouveau mec et tu me fais une blague ? ça y est, j'ai capté, c'est le bizutage de mon premier stage en tant qu'externe ? ». « T'es interne maintenant ! C'est pas un stage que tu fais à l'hôpital. Je suis sérieuse, Sacha. Je vais te poser quelques questions sur ton enfance, sur ta vie en général, je voudrais te savoir ce dont tu te souviens ! Et promis, après j'arrête. »
« Je veux bien jouer le jeu et je vais te prouver que j'ai rien zappé de ma vie ! Je suis née à Canberra en Australie, le 17 juillet 1989. Ma mère est actionnaire. Officiellement, elle a des parts dans pas mal de multinationales, une vraie working girl en apparence... Officieusement, son vrai boulot est de prendre rendez-vous à la clinique pour se faire des implants, des injections de botox, un remaillage aux fils d'or pour qu'on ne puisse percevoir son âge en regardant son cou ! Elle passe son temps entre brunch et autres réceptions à jouer la commère avec ses prétendues amies. Mon père est médecin. Il a toujours dévoué sa vie aux plus défavorisés. J'ai jamais compris comment ils se sont rencontrés. Leur relation n'a pas duré très longtemps et j'ai toujours été bien plus proche de mon père. En 1993, ma mère lui a posé un ultimatum : soit il arrêtait ses missions dans les pays du tiers monde et assumait ses responsabilités auprès d'elle, soit elle le quittait. Je sais pas si mon père a réellement aimé ma mère mais quelques semaines après, il est parti et moi avec. Je voyais ma mère de temps en temps... Juste pendant les vacances. J'ai grandi auprès de mon père dans les tribus africaines. A l'heure où les petites occidentales voulaient des chaussures compensées Spice Girl et les petits portaient des air max en dansant sur des chansons pop des boys band... Bah moi, je fredonnais des chansons africaines en apprenant les danses locales avec mon boubou. Mon père a refait sa vie, mon petit frère est métisse... Qu'est-ce qu'il est canon ! A mes 16 ans, on est revenu vivre à Cambridge soit disant que je devais avoir une existence plus conventionnelle et intégrer un vrai lycée... »
16 ANS - LYCEE
« J'étais pas très attirante ? Le vieux cliché de l'appareil dentaire, lunettes, chignon et style vestimentaire spécial... C'était moi ! Je connaissais rien à la culture américaine. C'était quoi ce délire des personnes populaires qui faisaient leur loi dans un établissement ? Fallait entrer dans une case et avoir une vraie vie sociale. Je me suis dis que la jungle, c'était vraiment le lycée... On m'a longtemps considérée comme la petite nouvelle bizarre. J'étais pas du tout intégrée... Mais ça, tu le sais, c'est à cette période que je t'ai connu ! J'avais au moins un truc pour moi : j'étais sportive ! J'ai toujours eu une grande passion pour les activités nautiques : surf, natation, plongée entre autres. J'étais au club du lycée... C'était pas vraiment le club le plus glamour. Toutes les filles de notre âge rêvaient de faire partie des cheerleaders. Toi, la première d'ailleurs ! C'est à ce moment là que j'ai connu Côme... Son coach m'a demandé de prendre en main l'entrainement de son joueur. Il m'énervait... En vrai, toute sa bande de potes m'agaçait ! »
NATATION - RENCONTRE AVEC COME
« Je m'en souviens très bien. Ils venaient tous à l'entrainement de Côme et j'avais le droit à une petite réflexion sur mon physique. Je me laissais pas faire, j'ai toujours été connue pour être une grande gueule mais il avait la supériorité numérique. J'avoue qu'au début, ça me saoulait de devoir m'occuper d'un mec qui était blasé de passer du temps avec moi au lieu de se taper sa copine dans les vestiaires. Je savais que ça le gonflait de venir, pire qu'une corvée et pour moi aussi. Je supportais pas son air supérieur, le genre de mec qui a exactement ce qu'il veut ! J'étais loin de l'intéresser... Du moins, plus le temps passait et plus j'aimais sa présence et plus je m'en voulais ! Il m'a embrassée, enfin, on s'est embrassé et c'est parti en clash. Je voulais pas être une de ces filles qui est derrière lui ! Il m'attirait et je me détestais. En vrai, je comprenais pas pourquoi. Ma mère m'a tellement dénigrée sur mon physique, sur mes manières masculines... Que c'était pas normal !
Pendant les vacances d'avril, je suis partie avec ma mère en France. En une journée, on avait fait toutes les boutiques de l'avenue Montaigne, à la clinique du rond point des champs, elle m'avait retirée mon appareil et j'avais eu le droit à un relooking complet pour le bal des débutantes. En gros, on avait un deal toutes les deux : je faisais cet effort pour ne pas l'afficher devant ses amis et je pouvais partir en Afrique après mon diplôme.
Le soir même, je faisais une entrée remarquée dans le milieu mondain. Mais hormis une apparence, j'avais rien de très féminin. »
TROP MASCULINE ?
« Tu vois le délire miss détective ? Je me reconnais totalement dans le film. Je mange avec les doigts, je suis une adepte des fast food. Je sais pas sourire sur commande, ni jouer l'hypocrite. Je pensais que Christian Louboutin était un acteur de sitcom. Je savais pas marcher avec des talons et j'avais du mal à croiser les jambes quand je portais une robe ou une jupe. Ma mère s'est efforcée à tout m'enseigner pour que je devienne une mini elle. Au final, j'ai tout appris... Après des mois d'un stage intensif, je savais me tenir droite, ne pas m'afficher en riant, connaitre les dates de chaque fashion week et me rendre aux défilés. J'étais la fierté de ma mère mais j'en restais pas moins le petit bonhomme de mon père ! Malgré mes 10 centimètres de talons, je pouvais me taper des randonnées. »
REPRISE DES COURS
« En revenant au lycée, le regard sur moi avait bien changé. Je galérais pas à la cantine pour trouver une place où me poser, j'avais mon siège attitré ! Les gens connaissaient rien de moi et pourtant, j'étais devenue leur meilleure amie. Pourtant, ça m'agaçait ! Je m'ennuyais en classe... J'avais besoin de casser cette routine. D'ailleurs, tu sais à quel point, j'aime le changement. Je peux passer du brun au blond selon mes humeurs. Et là, l'Afrique me manquait, les missions aussi. En classe, j'avais la sensation de rien apprendre... A perdre mon temps. Mon seul moteur : Côme. Depuis le bal des débutantes, on s'était pas mal rapproché. Bon, ça clashait souvent mais c'est notre marque de fabrique à ce qu'il parait. J'aime l'entendre gueuler, j'aime l'entendre me dire "non", j'aime le provoquer, j'aime nos prises de tête. Je trouve ça vivant ! Après le bal de promo et une n-ième disputes à propos de ses parents, on a fini par se séparer. »
AFRIQUE
« J'ai passé les vacances en Afrique. C'était génial... J'ai revu tout le monde et ils se souvenaient de moi. Deux mois ! C'était comme si j'avais jamais quitté le territoire. Là bas, les valeurs sont tellement plus vraies... T'es pas jugé sur des fringues ou la manière dont tu t'exprimes. On t'accepte comme t'es ! T'as pas besoin de jouer un rôle. J'ai retrouvé ce qui me manquait, des relations saines. Ils sont tellement loin de nos préoccupations. »
MASSACHUSETTS GENERAL HOSPITAL
« J'ai fini par rentrer à Cambridge. Une acception à Harvard, ça se refuse pas ! J'allais devenir médecin comme mon père. J'ai passé la première année avec brio. Avec Côme, on s'est remis ensemble. D'ailleurs, il est où ? Il le sait au moins que je suis ici ? Passe moi mon portable stp, je vais l'appeler pour lui gueuler dessus. Maloooo... Mon portable ! »
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - So. ↬ ÂGE - ↬ PAYS/RÉGIONS - France/Ile-de-France ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Par mon jum. ↬ TES IMPRESSIONS - Très bonnes. Je me suis pas inscrite sur un forum depuis des mois et des mois. J'ai même plus souvenir mais on m'a tellement bien vendu le forum que j'étais obligée de craquer. Puis il parle de lui-même aussi, j'aime beaucoup le design, le CSS. Très soigné et agréable. ↬ CRÉDIT(S) - tumblr.pomme. ↬ AVATAR - Katie Cassidy. ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI. ↬ LE MOT DE LA FIN - ici. |
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