HALEY C. MONTGOMERY ► margaret qualley.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle PL et j'ai 24 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Colt.  Je trouve le forum vraiment superbe alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Margaret Qualley comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par astoria. Je fais environ 600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

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Je suis née à Benoni, en Afrique du Sud, mais de ma ville natale, je ne connais pas grand-chose. J’ai été adoptée lorsque j’avais huit mois par la famille Montgomery puisque ma famille biologique m’avait abandonnée à la naissance. Fort heureusement, je ne converse aucun souvenir de cette période et je n’ai jamais ressentie le moindre manque d’une famille puisque j’ai grandis entourée de mes parents et de mes cinq frères. On pourrait croire que ce n’était pas évident, que j’ai du en baver durant toutes ces années en compagnie de ces cinq gars plus âgés que moi, mais en réalité, non… Je crois même que j’ai eu de la chance. Jackson, Matthew, Henry, Ryan et James sont des mecs extraordinaires qui ont autant pris soin de moi que nos parents.
En tant que petite dernière, j’étais bien souvent la petite préférée, celle à qui on accordait le plus d’importance, mais c’est certainement aussi parce que j’étais la plus fragile, celle qui tombait plus souvent malade et qui guérissait moins rapidement que les autres. On faisait toujours attention à moi, on riait de mes maladresses qui étaient nombreuses, mais on ne me couvait pas plus que nécessaire.
J’ai donc eu une enfance très heureuse à New York, ville dans laquelle ma famille vivait depuis toujours. J’allais à l’école et j’étais plutôt excellente dans mes matières favorites, bien que je laissais trop de côté celles qui me plaisaient moins. On faisait en sorte que la donne change, mais rien n’y faisait : quand je n’aime pas quelque chose, c’est définitif et cela vaut aussi pour les gens.
En fait, je n’ai pas grand-chose à dire de mon enfance si ce n’est que j’étais une petite fille comme toutes les autres, heureuse et très épanouie.

Au vu de mon schéma familiale, à l’adolescence, j’étais toujours plus proche des garçons que des filles de mon âge. À la maison, j’avais l’habitude d’être entourée de garçons alors il m’était plus difficile de comprendre les filles et leurs problèmes. Heureusement, j’avais une meilleure amie avec qui je passais beaucoup de temps et je m’adaptais peu à peu à être en compagnie de demoiselles, plutôt qu’être toujours avec ces jeunes hommes. Mais je n’avais quand même pas les mêmes préoccupations.
Pendant qu’elles parlaient de fringues, de maquillages, des dernières modes, moi, je me demandais si mon équipe favorite de NBA allait remporter le match du soir, si on assisterait à des courses le week-end suivant avec mon père et Matthew qui était passionné de voitures. Je n’arrivais pas à avoir de gros points communs avec les filles, même si je n’étais pas un garçon manqué pour autant ! Mais je ne voyais pas l’intérêt que l’on discute des heures d’un rouge à lèvres…
Enfin, tout cela pour dire que mon adolescence s’est déroulée le plus normalement du monde. J’avais connu aussi mon premier amour à cette époque, un jeune homme avec qui j’étais bien, avec qui je me sentais à l’aise et qui, miracle, plaisait aussi à mes frères qui disaient sans cesse qu’ils veillaient sur moi –comment faire peur aux copains de sa sœur en dix leçons par les frères Montgomery-.
Nous sommes restés deux ensemble avant que notre histoire ne se termine parce qu’il partait ailleurs. J’avais été triste oui, cela me semblait normal, mais heureusement, j’avais cette tribu à mes côtés qui me soutenait sans cesse. C’est là où je sais qu’avoir une grande famille est une chance exceptionnel.

Une chance et une force. Une force qui s’est avérée nécessaire lorsque nous avons perdus notre père, après une longue maladie. Il se battait depuis des années contre un cancer, mais ce dernier avait fini par remporter la bataille. Nous étions dévastés suite à cette perte parce que notre père était le pilier de la famille et on se demandait tous comment on allait vivre sans lui et même les plus grands qui n’étaient plus à la maison n’en menaient pas large. Peu importe l’âge que l’on a, de toute façon, nous avons toujours besoin de nos parents et il est cruel lorsqu’ils partent trop tôt…
Mais il fallait que la vie continue et pour moi c’était le plus difficile parce qu’à cette période, j’allais entamer ma première année à Harvard. Certes, j’étais très fière d’avoir été admise dans cette université, mais la disparition de mon père plombait considérablement cette joie que j’avais ressentie. Heureusement, ma mère et mes frères étaient venus avec moi puisque, comme toujours, on faisait front ensemble. Les Montgomery sont presque comme une petite armée.

Heureusement, les études m’ont permis de faire abstraction du malheur qui s’était abattu sur ma famille. Aujourd’hui, j’ai entamé ma 3ème année en journalisme et j’aime toujours autant ce que je fais parce que c’est une vraie passion et je n’ai pas l’intention d’abandonner ! Comme toujours, je me donne à fond dans tout ce que j’entreprends et je fais en sorte d’être une excellente étudiante parce que l’excellence a toujours fait partie de moi. Mes frères m’ont toujours poussé à toujours en faire plus, à donner le meilleur de moi-même, tout comme mes parents qui en faisaient tout autant. J’ai eu de très bons exemples et cela me conforte dans mes choix actuels et dans ceux qui viendront dans quelques années.