Invité
est en ligne
Invité
Fiche Étudiant
C'est le 24 Décembre 1990 à Waterford, en Irlande, que les membres de la famille Sullivan m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Moira Saoirse. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine majeure et chirurgie mineure depuis nombre d'années ans et travaille en parallèle de mes études en tant que rien du tout aucun besoin de travailler. (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mathers ou les Elliots.
Pourquoi MATHER ou QUINCY ?
MATHER.
Ostensiblement je crois que c'est mon coté invariablement rebelle qui me pousse à m'identifier aux membres de la Mather House mais, pas seulement. Je suis hautement complexe, j'ai ce petit coté auto-destructeur que je cultive depuis pas mal d'années maintenant. Ayant une tendance à m'adonner aux substances illicite, ayant parfois beaucoup de mal à freiner mon penchant pour l'alcool, je dirais que mon hygiène de vie n'est pas des plus aisé. Je sais que je devrais stopper cette décadence surtout si je veux devenir médecin un jour mais, que voulez-vous personne n'est parfait. Je suis une incorrigible fêtarde qui fait bien souvent passer mes études en dernier. J'ai toujours eu un coté face et un coté pile, une part de lumière et d'ombre en moi. Comme le Yin et le Yang ou encore l'ange et le démon. Je suis hautement lunatique mais, je sais que je ne suis pas la pomme pourrie du lot. Du moins si on essaie de voir au-delà des apparences.
QUINCY.
Les Quincy ça peut vous apparaître hautement contradictoire mais, comme je le dis et le répète depuis le début, j'ai deux versants opposés.Même si je ne suis pas la meilleure des personnes sur cette terre, au fond de moi j'ai aussi ce rêve depuis petite, ce coté saint-bernard aussi. Je voudrais beaucoup donner de moi-même pour aider les plus démunis et ça malgré mon coté gosse de riche. Mais, mon fric je m'en fiche un peu, je préfère le redistribuer à des mouvements caritatifs plus que de le garder pour moi-même. Pourtant je pense que je n'ai pas ma place parmi cette élite de gens parfaits sur eux-même. J'ai des addictions dont j'ai du mal à me défaire même s'ils sont mon second choix.
Ostensiblement je crois que c'est mon coté invariablement rebelle qui me pousse à m'identifier aux membres de la Mather House mais, pas seulement. Je suis hautement complexe, j'ai ce petit coté auto-destructeur que je cultive depuis pas mal d'années maintenant. Ayant une tendance à m'adonner aux substances illicite, ayant parfois beaucoup de mal à freiner mon penchant pour l'alcool, je dirais que mon hygiène de vie n'est pas des plus aisé. Je sais que je devrais stopper cette décadence surtout si je veux devenir médecin un jour mais, que voulez-vous personne n'est parfait. Je suis une incorrigible fêtarde qui fait bien souvent passer mes études en dernier. J'ai toujours eu un coté face et un coté pile, une part de lumière et d'ombre en moi. Comme le Yin et le Yang ou encore l'ange et le démon. Je suis hautement lunatique mais, je sais que je ne suis pas la pomme pourrie du lot. Du moins si on essaie de voir au-delà des apparences.
QUINCY.
Les Quincy ça peut vous apparaître hautement contradictoire mais, comme je le dis et le répète depuis le début, j'ai deux versants opposés.Même si je ne suis pas la meilleure des personnes sur cette terre, au fond de moi j'ai aussi ce rêve depuis petite, ce coté saint-bernard aussi. Je voudrais beaucoup donner de moi-même pour aider les plus démunis et ça malgré mon coté gosse de riche. Mais, mon fric je m'en fiche un peu, je préfère le redistribuer à des mouvements caritatifs plus que de le garder pour moi-même. Pourtant je pense que je n'ai pas ma place parmi cette élite de gens parfaits sur eux-même. J'ai des addictions dont j'ai du mal à me défaire même s'ils sont mon second choix.
Mon personnage c'est le plus beau
(ajoutez "checked" pour cocher une case, 12 cases à cocher, sous la forme "l'un ou l'autre")
APRÈS LA BOMBE
Je l'ai vécu mais, ce n'était pas le seul traumatisant souvenir que je garderai. J'ai vu quelque-uns de mes amis souffrir, pleurer, être blessés et ça reste encore bien imprégné dans ma mémoire. J'ai été touché par la bombe mais, dans une toute autre mesure que le physique, cela à causé en moi un trouble qui me force a passer mes nuits dans les flammes de l'enfer. Chaque nuits, je ne sais plus à quand remonte une nuit paisible chez moi. Je n'oublierais jamais, comment peut-on oublier un tel acte. J'aurai préféré me trouver ailleurs mais, même ailleurs elle m'aurait atteinte en plein coeur. Le passé reste le passé, on continue d'avancer mais, la mémoire elle n'oublie jamais rien...
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
SENSATION (S)- INTUITION (N)
| PENSÉE (T) - SENTIMENT (F)
ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
|
APRÈS LA BOMBE
Je l'ai vécu mais, ce n'était pas le seul traumatisant souvenir que je garderai. J'ai vu quelque-uns de mes amis souffrir, pleurer, être blessés et ça reste encore bien imprégné dans ma mémoire. J'ai été touché par la bombe mais, dans une toute autre mesure que le physique, cela à causé en moi un trouble qui me force a passer mes nuits dans les flammes de l'enfer. Chaque nuits, je ne sais plus à quand remonte une nuit paisible chez moi. Je n'oublierais jamais, comment peut-on oublier un tel acte. J'aurai préféré me trouver ailleurs mais, même ailleurs elle m'aurait atteinte en plein coeur. Le passé reste le passé, on continue d'avancer mais, la mémoire elle n'oublie jamais rien...
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle She'wolf ou Némésis et j'ai oulala oui bien plus que ça XD. Je suis BELGE et j'ai connu le forum grâce à Haytam Winchester. J'y suis depuis un moment et je l'adore alors j'ai décidé de rester je suis déjà présente sur le forum sous les traits de Némésis A. Zacharias Dunster. J'utilise Kristen Stewart comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart. Je fais environ 500 à 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Rien à déclarer :) SAUF i love ILH
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ Rien à déclarer :) SAUF i love ILH
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
Il était une fois...
Dans la contrée de Waterford, en Irlande il y a fort fort longtemps.
Vingt-quatre ans très précisément. Le jour de ma naissance, un réveillon. Tout le monde était attablé autour de la grande table en chêne massif couverte des victuailles hors de prix que pouvait se permettre ma famille chaque fête de fin d'année. Je n'aurai pas encore dû arriver, ce n'était pas encore mon jour. Pourtant à travers les discussions c'est un cri qui déchira la grande salle de réception somptueuse du manoir Sullivan. C'est sous les regards à la fois circonspects et aussi bienveillants que mon père médecin dans l'armée emmena ma mère pour qu'elle accouche de leur second enfant. Leur fille tant désirée. De famille aristocratique, tenue à la bienséance, aux valeurs du patrimoine Irlandais, j'ai été élevée dans le respect des traditions, dans un cadre autoritaire aussi et je crois que ça vient de là ce soucis que j'ai avec l'autorité sous toutes ses formes. Très vite alors que j'étais encore gamine, je développe une tare pour ma famille, le soucis de contradiction. Je fus bien vite envoyée dans l'un de ces pensionnats privé pour filles, vous savez du genre du film St Trinian's enfin moi il me faisait penser à ça. D'ailleurs avec mes camarades nous avons rapidement fait de nous calquer sur ce film et de crée une sorte de "société secrète". Nous cherchions tout simplement un moyen de nous évader de notre si ordinaire petite vie trop pathétique. Enfin bref, je n'ai rien de bien particulier à vous raconter sur mon enfance, je pense que je n'ai pas de quoi me plaindre et surtout je n'y attache pas beaucoup d'importance moi-même. J'ai grandi, poussé, passé presque toute mon enfance et une partie de mon adolescence dans cette famille mondaine, bien sous tout rapport du moins "en apparence".
Car si mon père était médecin dans l'armée, mon grand-père prêtre notre famille cachait un secret. Elle le cache toujours d'ailleurs...
Allons bon Connor tu vas pas t'y mettre toi aussi. Déjà que les parents veulent tout régenter alors si la seule personne capable de me comprendre, cesse, ça va pas le faire. étais-je en train de vociférer dans la grande chambre que je possédais dans le manoir familial en faisant de grands gestes alors que mes pieds eux faisaient les cent pas. Connor était mon aîné et jusqu'à il y a peu, il me soutenait et couvrait même toutes mes conneries mais, voilà qu'il se mettait à me faire la morale. Il avait changé depuis son dix-huitième anniversaire, sans que je ne comprenne exactement pourquoi. J'étais à la fois chagrinée mais, aussi en colère. L'entendre me dire que j'étais impossible, que je ne faisais que des conneries depuis trop longtemps, que j'étais auto-destructive n'était pas pour me plaire. Cela me blessait cruellement et pourtant bon dieu ce qu'il avait raison. Mais, j'ai un énorme soucis je ne veux jamais entendre la voix de la raison. Pourtant cette fois-ci je pensais faire le bon choix, faire quelque chose de ma vie. J'avais été acceptée par Harvard, je voulais quitter l'Irlande, vivre ma vie. Eux cela ne leur plaisait pas que je m'en aille, ils n'avaient pas confiance en moi. Il n'y a rien de plus cruel que le fait de ne pas avoir la confiance de ceux qui vous sont chers. Mais, peut-être est-ce ma faute...
Cher journal,
Je ne sais toujours pas pourquoi je t'écris, je trouve ça profondément débile enfin, du moins c'est ce que je pensais croire. Je ne sais pas pourquoi j'agis comme je le fais, parfois, je me dis que je ne me reconnais plus. Que je n'étais pas comme ça avant. Ou alors quelque chose cloche-t'-il chez moi? Je ne comprends pas pourquoi j'ai ce besoin de repousser les gens qui me font du bien. A croire que je suis pourrie de l'intérieur. Il y avait pourtant ce garçon, il était exceptionnel, si différent des autres. Il aurait décroché la lune si je le lui avais demandé. Tu ne t'imagines même pas à quel point je suis un monstre avec lui, je suis inhumaine. Je joue avec lui comme un pantin, que je prends et actionne quand je n'ai pas mieux sous la main... Je n'ai de cesse de le repousser, de lui montrer les démons qui sont ancrés en moi. Tu sais pourquoi? Je pense que je ne le mérite pas, qu'il est trop bien pour moi. Oui je sais, je dois te sembler complètement folle et dans le fond peut-être bien que je le suis. Tantôt, je me comporte comme une garce et pourtant la fille en moi souffre de cette image que je cultive presque volontairement. Papa voudrait que je vois un professionnel, un psy? Mais, jamais, je ne peux pas me livrer comme ça à un con qui prendra des notes pendant que je serais allongée sur un canapé. Non ce n'est pas ce qui va m'aider. Puis, je ne veux plus parler de Lui, je ne veux plus y penser, je dois occulter son souvenir et les souffrances que j'ai éprouvé quand je l'ai perdu pour toujours...
Voilà c'est décidé, je vais m'en aller, tout quitter. Amis, famille et points de repères. J'aurai pu choisir de rester ici, d'aller faire mes études dans une université locale mais, c'est Harvard que j'ai choisis. Un nouveau départ, quelque chose de différent. Peut-être est-ce pour me sauver moi-même de celle que je deviens peu à peu. Ou alors c'est une fuite comme me le dit Connor. Mais, je suis comme ça, je vais là ou le vent me pousse sans me poser dix milles questions. Je prends des décisions, bonnes comme mauvaises, je joue, je me risque. J'ai toujours ce besoin de me mettre en danger comme quand je décide sur un coup de tête d'aller sauter du haut d'un pont les pieds attachés par un élastique par exemple. Les parents ne sont pas aux anges mais, ça leur passera, il ne vont pas renier leur unique fille tout de même? Du moins, je ne l'espère pas. Ils n'ont même pas daignés m'amener à l'aéroport, ça me chagrine mais, avec le temps va tout s'en va. Tout passe. On verra.
Dans la contrée de Waterford, en Irlande il y a fort fort longtemps.
Vingt-quatre ans très précisément. Le jour de ma naissance, un réveillon. Tout le monde était attablé autour de la grande table en chêne massif couverte des victuailles hors de prix que pouvait se permettre ma famille chaque fête de fin d'année. Je n'aurai pas encore dû arriver, ce n'était pas encore mon jour. Pourtant à travers les discussions c'est un cri qui déchira la grande salle de réception somptueuse du manoir Sullivan. C'est sous les regards à la fois circonspects et aussi bienveillants que mon père médecin dans l'armée emmena ma mère pour qu'elle accouche de leur second enfant. Leur fille tant désirée. De famille aristocratique, tenue à la bienséance, aux valeurs du patrimoine Irlandais, j'ai été élevée dans le respect des traditions, dans un cadre autoritaire aussi et je crois que ça vient de là ce soucis que j'ai avec l'autorité sous toutes ses formes. Très vite alors que j'étais encore gamine, je développe une tare pour ma famille, le soucis de contradiction. Je fus bien vite envoyée dans l'un de ces pensionnats privé pour filles, vous savez du genre du film St Trinian's enfin moi il me faisait penser à ça. D'ailleurs avec mes camarades nous avons rapidement fait de nous calquer sur ce film et de crée une sorte de "société secrète". Nous cherchions tout simplement un moyen de nous évader de notre si ordinaire petite vie trop pathétique. Enfin bref, je n'ai rien de bien particulier à vous raconter sur mon enfance, je pense que je n'ai pas de quoi me plaindre et surtout je n'y attache pas beaucoup d'importance moi-même. J'ai grandi, poussé, passé presque toute mon enfance et une partie de mon adolescence dans cette famille mondaine, bien sous tout rapport du moins "en apparence".
Car si mon père était médecin dans l'armée, mon grand-père prêtre notre famille cachait un secret. Elle le cache toujours d'ailleurs...
Allons bon Connor tu vas pas t'y mettre toi aussi. Déjà que les parents veulent tout régenter alors si la seule personne capable de me comprendre, cesse, ça va pas le faire. étais-je en train de vociférer dans la grande chambre que je possédais dans le manoir familial en faisant de grands gestes alors que mes pieds eux faisaient les cent pas. Connor était mon aîné et jusqu'à il y a peu, il me soutenait et couvrait même toutes mes conneries mais, voilà qu'il se mettait à me faire la morale. Il avait changé depuis son dix-huitième anniversaire, sans que je ne comprenne exactement pourquoi. J'étais à la fois chagrinée mais, aussi en colère. L'entendre me dire que j'étais impossible, que je ne faisais que des conneries depuis trop longtemps, que j'étais auto-destructive n'était pas pour me plaire. Cela me blessait cruellement et pourtant bon dieu ce qu'il avait raison. Mais, j'ai un énorme soucis je ne veux jamais entendre la voix de la raison. Pourtant cette fois-ci je pensais faire le bon choix, faire quelque chose de ma vie. J'avais été acceptée par Harvard, je voulais quitter l'Irlande, vivre ma vie. Eux cela ne leur plaisait pas que je m'en aille, ils n'avaient pas confiance en moi. Il n'y a rien de plus cruel que le fait de ne pas avoir la confiance de ceux qui vous sont chers. Mais, peut-être est-ce ma faute...
Cher journal,
Je ne sais toujours pas pourquoi je t'écris, je trouve ça profondément débile enfin, du moins c'est ce que je pensais croire. Je ne sais pas pourquoi j'agis comme je le fais, parfois, je me dis que je ne me reconnais plus. Que je n'étais pas comme ça avant. Ou alors quelque chose cloche-t'-il chez moi? Je ne comprends pas pourquoi j'ai ce besoin de repousser les gens qui me font du bien. A croire que je suis pourrie de l'intérieur. Il y avait pourtant ce garçon, il était exceptionnel, si différent des autres. Il aurait décroché la lune si je le lui avais demandé. Tu ne t'imagines même pas à quel point je suis un monstre avec lui, je suis inhumaine. Je joue avec lui comme un pantin, que je prends et actionne quand je n'ai pas mieux sous la main... Je n'ai de cesse de le repousser, de lui montrer les démons qui sont ancrés en moi. Tu sais pourquoi? Je pense que je ne le mérite pas, qu'il est trop bien pour moi. Oui je sais, je dois te sembler complètement folle et dans le fond peut-être bien que je le suis. Tantôt, je me comporte comme une garce et pourtant la fille en moi souffre de cette image que je cultive presque volontairement. Papa voudrait que je vois un professionnel, un psy? Mais, jamais, je ne peux pas me livrer comme ça à un con qui prendra des notes pendant que je serais allongée sur un canapé. Non ce n'est pas ce qui va m'aider. Puis, je ne veux plus parler de Lui, je ne veux plus y penser, je dois occulter son souvenir et les souffrances que j'ai éprouvé quand je l'ai perdu pour toujours...
Voilà c'est décidé, je vais m'en aller, tout quitter. Amis, famille et points de repères. J'aurai pu choisir de rester ici, d'aller faire mes études dans une université locale mais, c'est Harvard que j'ai choisis. Un nouveau départ, quelque chose de différent. Peut-être est-ce pour me sauver moi-même de celle que je deviens peu à peu. Ou alors c'est une fuite comme me le dit Connor. Mais, je suis comme ça, je vais là ou le vent me pousse sans me poser dix milles questions. Je prends des décisions, bonnes comme mauvaises, je joue, je me risque. J'ai toujours ce besoin de me mettre en danger comme quand je décide sur un coup de tête d'aller sauter du haut d'un pont les pieds attachés par un élastique par exemple. Les parents ne sont pas aux anges mais, ça leur passera, il ne vont pas renier leur unique fille tout de même? Du moins, je ne l'espère pas. Ils n'ont même pas daignés m'amener à l'aéroport, ça me chagrine mais, avec le temps va tout s'en va. Tout passe. On verra.
(Invité)