BEEZUS PLUM DARLING ► natalie dormer

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pigfarts is real. et j'ai dix-neuf ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à je ne sais plus, car tout le monde connait ILH et que je m'y étais déjà inscrite brièvement en mars 2013 .  Le forum à toujours un design de fifou, des membres qui ont l'air en or et est super actifs, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Natalie Dormer comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par hm des gens très gentils sur bazart ? . Je fais environ de 200 à 1000 mots par RP et mon personnage est une recherche de lien crée par Angel Ermes D. Massarelli.

Mot de la fin ? ▲ AIMEZ-MOI ?
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

« Je la veux, je la veux, je la veux ! » Tu t'exclamais avec un petit peu trop d'enthousiasme, alors que tes yeux se posaient sur la nouvelle poupée barbie qui trônait en grand nombre sur tout un pan d'étagères à l'entrée du magasin, afin qu'elle soit bien visible aux yeux des nouveaux clients. Ta main tenait fermement celle de ta mère alors que vous marchiez dans la ville de Londres, le gent glacial contré grâce à ton épais manteau, et à peine étais-tu entrée que tu t'étais précipitée, poussant sur tes petites jambes jusque devant l'objet de tes désirs, cette magnifique poupée aux cheveux aussi blonds que les tiens. Il était vrai que tu en avais déjà une, mais celle-là, malgré tout, tu la voulais absolument. Elle était vendue avec une magnifique robe de princesse pour elle, et des petites chaussures, et d'autres petits accessoires que tu te voyais lui enfiler afin qu'elle soit la plus belle pour aller rejoindre son Ken imaginaire. Tu lui ferais une magnifique tresse, comme celle que ta mère t'avais faite ce matin pour éviter que tes cheveux volent dans tous les sens et te cachent la vue, et Ken ne sera qu'obligé de l'aimer et lui proposer de l'épouser afin qu'ils vivent heureux ensemble pour l'éternité. Tout ça grâce à une belle robe rose et une coiffure différente. Tu levais tes grands yeux bleus suppliants, regardant tour à tour ton père et ta mère, qui s'échangeaient ensuite plusieurs regards que tu ne savais décrypter. Tu ne voulais pas vraiment en savoir plus, tant que tu avais ta nouvelle poupée pour toi au final, c'était tout ce qui t'importait à cet instant. Tu attrapais l'une des boites, regardant à l'arrière même si tu ne savais pas encore réellement lire autre chose que l'énorme logo rose, attendant qu'ils prennent leurs décisions qui, tu l'espérais, s’avérerait positive. « Bee... » Soupirais ton père, et tu levais une nouvelle fois ton regard vers lui en entendant sa voix, remarquant le visage renfermé d'un homme qui ne voulait pas se montrer brisé devant sa famille. Ta mère posait une main réconfortante sur son avant-bras, avant qu'elle s'accroupit devant toi, attrapant avec précaution et délicatesse la boite de tes doigts, avant de la poser à sa place sur le rayon, et de te refaire face. « Tu te souviens ce dont on à parlé... Il faut qu'on se serre la ceinture ma chérie... » Tu la regardais sans bouger, comme si tu ne comprenais pas le sens de sa phrase, comme si ça ne percutait pas jusqu'à ton cerveau, alors que le vrai problème, c'était que tu comprenais justement. Tu étais jeune, trop jeune, et il était évident que tes parents voulaient te protéger et te gâter comme la petite fille que tu étais, mais il y avait des choses que tu devais savoir, que tu devais essayer de comprendre, comme le fait que Londres était une ville très chère, et que malgré leurs salaires, tes parents avaient du mal à joindre les deux bouts. C'était peut-être à ce moment-là de ton existence que tu commençais à remarquer que beaucoup de choses tournaient autour de l'argent et qu'en avoir assurait bonheur et plaisir, quoi qu'en dise les gens. Avoir de l'argent semblait être une perceptive très attirante, et tu ne pouvais qu'espérer que votre situation finisse par changer rapidement. « Mais... Elle n'est pas chère... » Tu tentais vainement, juste pour essayer, juste pour voir si cela pouvait marcher, tes yeux regardant le prix que tu ne pouvais pourtant que très mal déchiffrer. Deux silhouettes s'arrêtaient à vos côtés et tu les regardais, eux qui n'avaient aucune idée de ce qu'il se passait, qui ne vous accordaient pas un regard pendant que la fille attrapait sa poupée et sautait dans les bras de son père, toute heureuse de sa nouvelle acquisition. Tu ne pouvais que l'envier, que ressentir cette jalousie pour le simple fait qu'elle ai obtenu un petit jouet, et t'espérais de tout ton coeur qu'elle lui fasse une queue de cheval toute moche et que Ken repousse les avances de sa barbie toute moche. « On ne peut pas Bee. » Tu entendais ta mère dire doucement mais fermement, se redressant alors qu'elle reprenait ta main et t'amenait aux rayons des fruits et légumes afin de pouvoir commencer réellement à faire les courses. Tu la suivais, traînant des pieds alors que ta frustration se marquait sur ton visage. Mon dieu que tu souhaitais être riche.

Plusieurs fois il fut question de déménager, de partir vivre autre part dans une nouvelle ville d'Angleterre où dans un nouveau pays. Un endroit où il ferait bon de vivre pour les gens qui n'ont pas forcément énormément d'argent, pour les gens qui ne peuvent pas forcément vivre aisément dans une ville comme Londres, avec deux petits salaire pour quatre personnes. Il fallait prendre soin de toi mais aussi de ton petit frère de deux ans plus jeune, qui à son tour demandait des voitures télécommandés et des lego et – oh regarde ce nouvel action-man qui vient de sortir ! - à chaque fois que vous partiez faire les courses de la semaine. Il ne devait pas être facile pour tes parents de toujours vous dire non, de toujours vous rappeler votre situation, et vous vous sentiez presque mal lorsque vos anniversaires et noël arrivaient et que vos parents avaient fait l'effort de mettre de l'argent de côté pour quelques cadeaux.

Plus tu grandissais – restant toujours à Londres malgré les difficultés, lutant toujours, sans relâche – et plus tu entretenais une relation d'amour mêlée de haine avec l'argent et ceux qui en avaient. Ça t'attirait ce pouvoir qu'entretenaient ceux qui en avait, ça te fascinait. Ça avait l'air d'être tellement bon de ne plus avoir peur de rien, de ne pas avoir à compter ni à faire attention à chaque écart de prix d'un magasin à l'autre. De savoir que l'ont à encore de la marge et que l'ont peut jusqu'à demain, et encore des mois et même des années après, subvenir à ses besoins et à ceux de ses proches. De pouvoir s'offrir ce dont vous aviez besoin, et des petits plaisirs aussi, pleins de petits plaisirs qui rendaient la vie plus facile et plus belle. Ça avait l'air d'être une sorte de rêve inaccessible, et pourtant, ça te motivait dans tes études, parce que tu voulais viser haut et réussir, et ne plus être cette petite fille dans le besoin. Tu rêvais donc de faire parti de ces personnes qui vivaient leurs vies au jour le jour sans se soucier du moindre problèmes, mais de la même manière, les gens qui étalaient leurs argents pouvaient t'agacer, plus qu'une simple jalouse ou envieuse des possessions des autres. Réussir était important, mais si tu pouvais sortir et faire tomber follement amoureux quelqu'un qui avait beaucoup d'argent, ça pouvait t'assurer déjà un bon avenir si jamais tes études finissaient par ne pas marcher aussi bien que tu l'espérais. Te dire qu'on était riche était une parole qui te donnait encore plus envie de la personne, qui t'attirait vers elle, mais il t'arrivait toujours d'être agacée par les agissements de certains et de te dire que tu rigolerais bien, si leur petit monde s'écrouleraient demain.

Tu étais plus coincée avant, si on peu parler comme ça. Disons que pour toi, l'amour et l'argent comptaient beaucoup, mais que tu n'avais pas dans ton esprit cette envie de coucher à droite à gauche, cette envie de te donner au premier venu. Certes la femme-objet était quelque chose que tu pouvais aisément observer dans les publicités à la télévision, allant du simple gel douche aux voitures de sports, mais ce n'était pas le genre de modèle que tu souhaitais reproduire. Faire tomber les garçons amoureux de toi oui, leur donner ton corps afin d'y parvenir sans être certaine que cela marche, non. T'es tombée amoureuse vers quinze ans. Vous viviez ce genre de romance d'adolescents cachés, parce que ses parents avaient de l'argent et que toi, tu n'étais pas vraiment la belle-fille qu'ils rêveraient d'avoir s'ils connaissaient mieux qui tu étais et d'où tu venais. S'ils savaient que vous ne partiez jamais en vacances et que tu n'avais pas les moyens pour refaire toute ta garde-robe tous les mois. Et ton petit-copain étant aux courants des manières snobs de ses parents, il avait fallu que vous vous voyez sans en parler à vos familles, se doutant bien qu'ils risquaient de vous forcer à rompre sans même y réfléchir à deux fois. Ce fut le temps des premiers baisers, des premières promesses, des sorties cachées et des rendez-vous en catimini après le lycée. T'as vécu ton premier « je t'aime », et tu lui avais fait assez confiance pour vivre ta première fois, et ta seconde, et ta troisième. En fait, t'étais complètement dans ta petite bulle à l'époque, ce petit nuage rose qui t'envahissait l'esprit de belles et positives pensées, et t'avais la merveilleuse impression que maintenant que tu vivais ça, jamais plus tu te sentirais triste ou mal dans ta peau. Comme si t'étais protégée par cette couche d'amour impénétrable que vous mainteniez tous les deux. Mais t'as du y redescendre de ton petit nuage Beezus, et le naufrage fut violent, pire qu'une claque que tu n'avais pas vu arriver en pleine face. Et même lorsque tu étais toute vêtue de noir, au fond de l'église pendant que l'enterrement se déroulait, t'avais du mal à te dire et à prendre conscience du fait qu'il était mort, que c'était définitif, et qu'il ne reviendrait plus.

T'as appris un peu trop tôt que la vie, elle était courte, et qu'elle pouvait s'arrêter d'une seconde à l'autre. Que ça pouvait être de sa propre faute, ou de celle des autres qui ne savaient pas conduire et qui fonçaient ivres dans d'autres véhicules, tuant des jeunes à l'intérieur sans que rien ne leurs arrivent. T'as eu du mal à faire ton deuil, et encore aujourd'hui, parfois, t'y pensais. Mais c'est peut-être ce qui t'avait fait prendre conscience que si tu voulais t'amuser, il fallait que tu le fasses, et que si t'avais envie de coucher parfois sans sentiments, ça ne faisait pas de toi une femme qui ne se respectait pas.

C'est en deux mille douze que tu as fait ta première rentrée à Harvard, fière d'avoir réussie à entrer dans une si grande université qui t'offrait tant de chois et de grandes perspectives d'avenir. Ça te donnait encore plus envie de continuer à maintenir tes notes et de te surpasser. Tu as enlacé tes parents et ton frère, prit pour la première fois l'avion, et tu as dis adieu à Londres, te sentant prête pour ce changement de vie et les nouvelles habitudes que tu prendrais une fois aux États-Unis. T'es allées aux fêtes, t'as rencontré des gens, t'en as détesté d'autres, t'as révisée, t'as pris un petit boulot au mcdonald's afin de te mettre de l'argent de côté en plus de ta bourse, t'as obtenu tes trimestres, entre amour, joie, et peine. T'essayais de garder la même philosophie, te disant qu'il fallait que tu t'amuses avant qu'il soit trop tard, la vie étant trop courte, mais sans perdre ton but premier et ayant toujours ta tête enfouie dans un livre la journée.
Il était beau Angel. Il avait des cheveux bruns qui lui retombaient parfois devant les yeux et des iris d'un marron foncé profond, presque noirs, qui te faisaient chavirer. C'était difficile de le rater, c'est qu'il attirait tous les regards Angel. Surtout les tiens. Tous le monde savait qui il était, connaissait l'argent qu'il avait, et évidement il n'en avait pas fallu plus pour que ça te donne envie de t'intéresser à la personne. Tu ne te plaignais pas, ce n'était pas comme si tu avais choisi le plus moche. Il avait définitivement son petit charme qui ne te donnait que plus envie d'aller vers lui – et de l'avoir pour toi. Oui, tu voulais poser tes pattes sur lui, tu voulais marquer ton territoire, tu voulais qu'il t'appartienne. Et t'as essayé, longuement. Tu tentais de te rapprocher de lui quand vous étiez en soirée, ayant quelque peu le même groupe d'amis avec qui vous vous retrouviez quand il était temps de faire la fête. Des bonsoirs, des sourires, des tentatives de discussions, et pourtant, t'avais l'impression d'avoir toujours cette barrière invisible entre lui et toi, et d'en rester qu'au niveau de la reconnaissance faciale avec lui. Tu pouvais gérer avec un peu de résistances, mais tu ne pouvais que ressentir l'énervement et la jalousie qui montait en toi à chaque fois qu'il finissait par s'approcher d'une autre, et que tu savais très bien qu'il allait finir par la baiser. Parce que non, tu ne pouvais pas juste vouloir un gentil fils à papa qui finirait par te remarquer et se laisser attirer par toi, non, il fallait que tu choisisses le mec qui sautait tout ce qui bougeait sans scrupules, et qui n'avait pas l'air d'être prêt à arrêter pour qui que ce soit. Et puis t'as insisté subtilement, essayant de ne pas faire trop la lourde tout en lui montrant que t'étais toujours là, et puis t'as eu ce putain d'espoir à partir de Mai qui s'est mis à se jouer de toi. Ce n'était pas que tu te faisais des films toute seule de ton côté, mais c'est qu'il avait fini par céder pour ton plus grand plaisir. Le grand Angel avait fini par coucher avec toi. Plusieurs fois. Comment voulait-il que tu restes calme, impassible, quand ça faisait des mois que tu n'attendais que ça, que t'attendais qu'il fasse un pas de plus en ta direction ? Alors t'as commencé à y croire un peu plus oui, à profiter des fois où ton corps était contre lui, même si de son côté, il continuait de jouer et d'en trouver des nouvelles plus ou moins jolies à chaque fois qu'il s'ennuyait. Malheureusement, si avant tu avais déjà du mal à contenir ton agacement, ça n'était pas devenu plus facile depuis que tu avais pu avoir le plaisir de te retrouver plus proche de lui sur le plan physique. Tu avais des envies de meurtres à chaque fois qu'une autre arrivait, et ce n'était pas une question de confiance en toi le problème, mais c'est que t'aurais voulu, au fond de toi, qu'il se clame un peu ou qu'il décide de ne garder que toi, même pour un plan cul. Certes, ce n'était pas le plus glorifiant, mais tu pouvais rivaliser avec ça, tu pouvais finir par le faire tomber follement amoureux de toi. Mais t'étais une femme jalouse, et il continuait ses conneries, et il a fini par en avoir marre de tes sentiments, autant que toi t'en avais marre de ses agissements.

Tu ne l'avais pas oublié, loin de là, mais que pouvais-tu faire contre quelqu'un qui n'avait même jamais voulu de toi ? Il y avait des choses contre lesquelles tu pouvais te battre, et d'autres qui demandaient plus que ça, et que tu ne pouvais pas contrôler seule. Les sentiments, l'amour, le couple, ça se créait à deux ces choses-là, une union que toi t'avais pas, que toi tu ne connaissais pas avec lui. Parce que monsieur voulait baiser du matin jusqu'au soir, jusqu'à en perdre sa bite. Tu l'avais un peu vu venir, mais ça n'apaisait en rien tes sentiments, et se faire jeter comme ça ne faisait jamais plaisir à quiconque. Tu étais peut-être plus blessée dans ton égo que dans ton coeur, mais ça comptait tout de même non ? Tu t'es donc un peu éloignée, te disant que si tu comptais revenir il te fallait un sérieux plan d'attaque, une nouvelle approche. Et essayer de faire fi de chaque sentiments qui traversaient ton corps, parce qu'il n'aimait définitivement pas ça le brun, qu'ils soient positifs ou négatifs. C'était bizarre de l'observer agir, il ressemblait à un robot, une statue de marbre dont seuls les attributs les plus intimes fonctionnaient et le faisaient vivre. Et toi, malgré que t'aimais t'amuser, tu n'étais pas totalement comme ça, et tu ne comprenais pas.

T'as tentée de te concentrer sur la danse et tes cours, rien de très inhabituel. Le but le plus important était ton futur, et tu ne comptais pas rater tes examens ou prendre du retard sur tes cours parce que ton cerveau dérivait sur Angel que tu détestais autant qu'il t'attirait. Cours de journalisme, cours de danse, et tout ce qui s'en suivait entre, tu te donnais à fond, essayant de te concentrer sur ce qui était important, jusqu'à ce que quelques semaines plus tard, ton corps décide d'en faire des siennes. Poitrine plus volumineuse, nausées à chaque odeurs un petits peu trop prononcées, envie de manger, vertiges, fatigue, une envie plus souvent d'uriner, toutes ces petits choses qui s'accumulaient et qui devenait de jours en jours plus dur à supporter. Tu essayais au départ de faire avec, te disant qu'avec un peu de chance dans quelques jours tout redeviendrait comme avant. Que c'était qu'une phase bizarre, que peut-être c'était parce que tu travaillais trop, et qu'il fallait que tu te reposes. Tu as essayé pourtant, sans que ça marche. Tes amis te regardaient un peu plus bizarrement, se demandant où était passée la wonderwoman que tu étais, et puis après avoir remarqué que tes règles ne venaient pas, t'es allée chez le médecin. Médecin qui te conseillait de faire un test de grossesse. Test de grossesse qui s'avérait être positif. T'as rien dit au départ. Il te fallait le temps de procéder ce qui arrivait, de te remémorer à quel moment la capote avait craquée ou était oubliée, d'essayer de calculer par rapport aux semaines de grossesses si ça coïncidait avec la période où t'as couché avec Angel. Et ça coïncidait Beezus, tu remontais facilement jusqu'à Mai, et une toute nouvelle perspective s'ouvrait à toi maintenant que tu essayais de voir ça sous un nouvel angle. Angel était un connard et s'en revendiquait. Soit. Mais est-ce qu'il resterait de marbre si tu lui apprenais ta nouvelle situation ? Si tu allais le voir et que tu lui annonçais que tu étais enceinte de lui ? Tu décidais d'y réfléchir durant les prochaines semaines, essayant de peser le pour et le contre, te demandant si c'était réellement une bonne idée. L'espoir se mêlait à la peur du rejet, et t'aimais pas ressentir ça, t'aimais pas ne pas être sûre de tes décisions et douter de toi comme ça. Tu passais ton temps à penser à ce nouveau bébé, à Angel, à la galère que ça allait devenir quand tu ne pourrais plus danser dans quelques mois à cause de ton gros ventre et tes maux de dos, sans savoir qu'au même moment, Angel était à l'hôpital, et que le destin avait peut-être décidé de te donner un coup de pouce.