Nikki H. Ambrose► Kylie Jenner

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle XLovely et j'ai 17 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à top-site.  beau alors j'ai décidé de m'inscrire  J'utilise Kylie Jenner comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par cranberry. Je fais environ 600-1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Euh bonjour  
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Selon ma mère je suis le bras armé de Satan dans une jolie robe, elle n'a pas tout à fait tord même si bon, je n'ai jamais tué personne ! Selon elle, je suis monstrueuse dans ma façon de ne jamais rien ressentir et de jouer avec le cœur des hommes , mais je ne suis pas devenue comme ça toute seule. Il est difficile de m'apprécier mais pour mieux me comprendre il est nécessaire que je vous parle de ma petite vie.

Commençons par le début mes parents. Mon père Henri Ambrose c'est l'un des premiers sénateurs Républicain de l'état d'Oregon et ça il en est très fier. ( Oui j'ai vécu à Cambridge dans le Massachusetts donc j'ai eu un père régulièrement absent ) Je vous dresse rapidement le portrait, il pue le fric, s'en est indécent même pour moi ! Il est né avec une petite cuillère en argent dans la bouche et n'a d'intérêt que pour sa carrière politique. Plus conservateur tu meurs, j'ai toujours eu l'impression que notre famille lui servait simplement de couverture.
Ma mère maintenant, Natasha Ambrose, arriviste et croqueuse de diamants jusqu'au bout des ongles, la peur de vieillir l'obsède, elle traque rides et kilos superflus avec plus d'acharnement qu'un agent de la CIA n'en aurait à poursuivre un terroriste.

Malgré ce tableau peu flatteur je dois tout de mettre à leur crédit quelques traits de ma personnalité. De mon père j'ai le sens aigu de la manipulation et le goût du politique, de ma mère j'ai mon apparence irréprochable. Elle a toujours contrôlé mon alimentation et mon apparence, soit disant pour ne pas faire honte à Papa et ne pas nuire à sa carrière politique. Personnellement je n'ai jamais bien compris en quoi une gaufre à la chantilly dans les mains d'une gamine, ou une adolescente sortant sans maquillage, pouvait nuire à une carrière politique...

Voilà mes géniteurs, mais ce qu'il faut savoir, c'est que je ne suis pas venue au monde seule. Ma mère a mis au monde des jumelles, elle en était d'ailleurs ravie, deux enfants pour le prix d'un, pas besoin de craindre l'apparence de vergetures une deuxième fois ! Deux magnifiques petites filles, certainement ce qu'elle a fait de mieux de sa vie.Nicole Hop Ambrose et Nikki Hayden Ambrose. Comble de l'égocentrisme, ils se sont sentis obligés de nous affubler de leurs initiales... Je ne suis pas l'aînée, avec Nicole je n'ai jamais été la première nul part. Ma sœur était parfaite.

Le tableau de famille était pourtant beau à voir, je vous assure ça partait bien, il paraît que les toutes premières années de notre vie ma mère et mon père étaient des parents parfaits. On avait un an lorsque les médecins ont dépisté la maladie de ma sœur. Nic' était atteinte de mucoviscidose. À partir de cet instant mes parents se sont entièrement consacrés à ma sœur et aux fils des années leur naturel narcissique est peu à peu remonté à la surface.

Nicole avait tout, même physiquement alors que nous étions quasiment identiques, je l'ai toujours trouvé plus jolie que moi. Ses yeux étaient plus beau, son visage plus fins. Nos parents nous ont toujours déguisées en petites filles modèles, dieux qu'on était belle! Au niveau du comportement notre différence a toujours été flagrante. Nicole avait le comportement qui allait avec les apparences. Première de classe, meilleure amie de tout le monde, sociable, sportive, altruiste, bosseuse, généreuse, gentille, courageuse. Si ça n'avait pas été ma sœur je l'aurais sans doute haït d'être si parfaite. Mais je l'aimais, plus que moi-même certainement. Je n'ai quasiment jamais essayer de rivaliser avec elle, comme je vous l'ai dit je suis moi aussi quelqu'un d'intelligent, je n'allais pas perdre mon temps. Je suis donc naturellement devenue une sale gosse, certainement pour qu'on me remarque. Au moins on nous comparait rarement.

À l'école je n'ai jamais eu d'excellentes notes, mais j'ai toujours eu de bons résultats sans rien branler, c'était mon truc à moi. À dix ans je m'étais déjà fait renvoyé de l'école trois fois. La première fois pour avoir arraché un bout de peau à une autre élève, quand je n'étais pas contente je mordais, les deux autres fois c'était une accumulation que mes professeurs avaient du mal à gérer. Je les frappais, je m'enfuyais de classe pour aller me cacher à la cantine pendant des heures, je jetais mes devoirs la poubelle devant eux alors que je les avais fait, je crois même me souvenir avoir manger un devoir de maths. Je terrorisais mes camarades et détestais que qui que se soit s'approche de ma sœur. A la fin du primaire on a menacé de me placer dans un établissement spécialisé, la perspective d'être éloigner de Nicole m'a calmé, après cela en cours je faisais toujours des crasses mais on remontait rarement jusqu'à moi.

J'ai toujours été ingérable et plus mes parents sévissaient pire c'était. Adolescente j'en ais fait voir de toutes les couleurs à ma mère. Bien sûr j'étais insolente, ne tolérais aucun ordre mais j'allais plus loin, je suis quelqu'un d'assez vicieux. Je remplaçais ses produits allégés par des produits gras, grâce à internet j'ai pu acheter des comprimés d'hormones masculines ayant l'apparence de sa pilule, je lui en ais donné pendant des mois avant qu'elle ne se rende compte de la supercherie. J'avais placé une caméra espion dans la salle de bain et m'amusait beaucoup à la voir traquer les poils qui apparaissaient sur son corps. Mon plus beau coup restera celui de l'été 2008. Je me demande si ma mère a un jour été fidèle à mon père. Ça valait bien la peine de me faire des leçons de morale sur l'image de mon père que je risquais d'entacher par mes actes pour aller se vautrer dans le lit de tous les minots de la région. Enfin bref, cet été là, elle était particulièrement proche d'un gars qui devait avoir à peine 25 ans. Mon père étant toujours absent et ma sœur à l'hôpital pour sa greffe à l'époque, ma mère ne se gênait pas pour l'inviter à la maison. Je suis rentrée à la maison un soir et ils étaient dans sa chambre. Vu les bruits qui sortaient de là, j'ai vite compris qu'il ne s'agissait pas de mon père... Je vous passe les détails. Sans ses 14 heures de sommeil, il ne faut rien demander à ma mère, je m'étais réveillée particulièrement tôt ce matin là pour pouvoir l'apercevoir. Je l'avais naturellement attendu en sous-vêtements au milieu de la cuisine. Nous avons échangé quelques mots et surtout nos numéros de téléphone, il était bel homme... ma mère a toujours eu bon goût. Croyez le ou non, il est revenu plusieurs soirs cette semaine là, on s'échangeait des sms en attendant que ma mère s'endorme et il quittait la chambre de mes parents pour venir me rejoindre dans ma chambre, un vrai gentleman ! Nous étions discret jusqu'à ce que je décide de ne plus l'être. Ma mère nous a "malencontreusement" surpris au milieu du jacuzzi. Elle est devenue complètement hystérique, c'était hilarant. Le jeune homme a été congédié et pour ma part j'ai eu le droit à un sermon interminable. Ce jour là moi aussi j'ai hurlé. Apparemment je ne comprenais pas. Avec ma sœur malade, mon père et elle ne pouvaient pas se séparer, pour Nicole. Pour la protéger il fallait sauvegarder les apparences et j'aurais été un monstre de lui enlever sa famille. Elle m'a gratifié d'un charmant « n'en parle pas à ton père ». Je n'en n'ai rien fait, mais je l'ai fait chanter. Le silence n'est pas gratuit et il lui a coûté 10 000 dollars.

Je vous l'avais bien dit ma famille est tordue, la seule chose qui allait bien, notre seul ciment, c'était Nicole. Elle s'est longtemps battue avant de s'éteindre en décembre 2011. Je vous avouerais ne pas avoir très envie de m'attarder sur le sujet, comme vous vous en doutez, c'était dur, mais si vous vouliez une séquence émotion fallait pas vous attarder sur moi. On ne me surnomme pas le pic à glaçon pour rien ! Après cela le peu de relation, que je m'étais forcer à entretenir avec mes parents pour elle, n'avait plus lieu d'être. Une mère complètement folle et un père inutile et absent franchement je loupe pas grand chose. Mais je n'ai pas quitté leur vie sans étincelle. Après la mort de ma sœur, j'ai appris que ma mère se servait de l'héritage de Nicole pour entretenir un de ses amants. Car oui j'ai toujours eu accès aux comptes de ma mère, elle n'a jamais été très dégourdie et ses codes et cartes bancaires traînent partout, j'ai toujours su que ça me servirait à quelque chose. Il m'arrivait de temps en temps de me faire des petits virements sur mon compte, elle ne s'en rendait jamais compte. Mais ça je ne pouvais pas laisser passer. Même moi cet argent je n'en voulais pas, mais il n'était certainement pas fait pour son gigolo. J'aurais pu la dénoncer à mon père mais ça aurait été trop simple. J'ai vidé plusieurs de ses comptes épargnes vers les îles Canaries sur un compte que j'ai créé à son nom. Puis je l'ai dénoncé. J'ai fait valoir le testament de ma sœur, elle voulait reverser la moitié de son argent à la recherche contre la mucoviscidose et l'autre moitié à moi. Une fille bien ma sœur, je vous dis ! Quand ma mère s'en ait aperçue, elle est devenue folle de rage, elle a débarqué dans mon appartement et s'est jetée sur moi. Nous nous sommes battue physiquement bien entendu, mais pas seulement, j'ai eu le droit à une panoplie de doux mots de maman
«On m'a pris la mauvaise fille ! C'est toi qui devrait être en terre ! C'est à toi que j'aurais du refiler cette saleté dans mon ventre ! Tu es ma punition pour avoir empoisonné ta sœur !»
J'ai toujours su qu'elle pensait ça de moi mais si Nicole croyait en moi c'est tout ce qui compte.

La seule chose qu'il me reste de mes parents, c'est l'argent qu'ils me versent tous les mois. J'ai introduit une instance devant les tribunaux pour m'assurer qu'ils n'échappent pas à leurs obligations, car c'est la loi tant que je suis en étude, ils doivent m'entretenir en fonction de leur train de vie. Et vous pouvez me croire je ne suis pas prête d'arrêter les études