jesse&tara/the little sister.T’étais où encore la naine ? Un sourire sur les lèvres, je me retournais vers ma petite sœur qui était debout sur le seuil de notre maison, elle leva les yeux au ciel en me regardant à son tour, puis claqua la porte avant de venir s’asseoir à mes côtés sur le canapé devant la télévision.
Minuit moins le quart. Pas dans tes habitudes. J’essayais d’avoir une sorte de tête de grand frère en colère contre sa sœur qui rentre si tard la nuit, en vain j’aurais sûrement dû avoir une drôle de tête ce qui se confirma quand le rire cristallin de tara pénétra dans mes oreilles.
Sincèrement Jesse, ne me refait jamais plus ce regard là. On aurait dit que t’étais sur le point de me demander en mariage. Elle ria de plus belle. Et moi contrarié, une moue sur les lèvres, je lui lançais un dernier regard accusateur, puis me suis levé et rejoignis ma chambre sans lui dire bonne nuit. Bien fait pour elle.
Oui c’est ça bonne nuit à toi aussi Jesse. Mon dieu ce que ma famille pouvait être étrange, nous n’avions pas de couvre feu, ma mère était toujours là pour nous alors que nous nous n’étions jamais là pour elle, mon père était tout le temps absent, ma petite sœur agissait comme si c’était elle l’ainée. En réalité de mon propre point de vue, je considérais ma sœur comme la plus saine d’esprit de mon entourage, et de plus nous n’avions pas les mêmes relations que les autres frères et sœurs. Tara était toujours là pour moi, elle me sortait toujours d’affaire, elle me trouvait toujours des solutions à mes problèmes, en réalité ma sœur en dehors de ma mère est la fille que j’aime le plus dans ce monde, je me jetterais sûrement dans les flammes d’un enfer brûlant si c’était pour elle, donc si vous voulez me mettre vraiment en colère, faîtes lui du mal et vous verrez vos funérailles en avant-première. Bref, malgré toutes nos disputes –quelque peu rare-, nous étions considérés, comme des inséparables, et si je n’étais pas plus âgé qu’elle de deux années, en aurait pu dire que nous étions jumeaux tellement nous étions proche l’un de l’autre. Allongé sur mon lit, je me trouvais à rire en pensent à un souvenir lointain de ma troisième année de collège équivalente à la première année de ma sœur, nous étions nouveau dans ce prestigieux établissement de New York, et comme j’étais tout le temps avec Tara, les gens ont commencé à croire que c’était ma petite amie, avant qu’ils ne s’aperçoivent que nous avions le même nom de famille, ainsi que nous habitions dans la même maison.
jesse&apple/the bestfriends. Chaque année des centaines d'élèves rejoignent mon établissement seulement cette année là, il y'avait cette fille qui m'intriguait. Depuis mon plus jeune âge, j'avais eue l'avantage d'avoir toutes les filles à ma portée, aucune d'elle ne me résistait, c'était comme l'argent de mon père, j'en avais autant que je voulais. Mais elle, ô elle avait résisté même trop longtemps à mon goût. Rien n'avait donné avec elle, j'avais usé de toute mes tactiques en vain. Elle ne cédait pas. Je l'avais invité à tout les endroits possible de New York, je l'avais même supplié, je l'avais prise au dépourvu et je l'avais embrassé -en temps normal les filles aiment ça-, je lui est offert un bracelet en or - qu'elle a refusé-, m'enfin j'avais tout fait, ou du moins tout ce que je pouvais faire et qui se faisait, mais rien, rien ne marchait.
Alors c'est toujours non ? Pour le bal d'automne, le cinéma et le parc ?, je la regardais avec une lueur de supplice dans mes yeux, en espérant qu'elle changera d'ais juste pour une fois, juste pour cette fois-ci. Elle rit, un long et magnifique rire, tout en remuant sa splendide chevelure brune.
J'te l'ai déjà dit, Jesse... son regard se plongea dans le mien, et j’espérais plus que tout qu'elle n'eut pas dire la phrase qu'elle s’apprêtait à formuler
Ne me fait pas répéter ! On dit que l'espoir fait vivre, seulement min espoir à moi, elle l'avait détruit. Je tentais une dernière fois, une dernière approche.
Ça veut dire que je n'aurais pas de chance avec toi hein ? Jamais ? J'attendis sa réponse, je savais que ça allait être une quelconque négation, j'en étais sûr venant d'elle, j'avais pris l'habitude de me prendre des coups de râteaux dans la figure, seulement elle hésita. Et je ressentis ma lueur d'espoir renaître en moi. Eh bien... il ne faut jamais dire jamais, mais pour l'instant... j'peux pas, désolée.
Eh bien... il ne faut jamais dire jamais, mais pour l'instant... j'peux pas, désolée. La flamme de ma lueur d'espoir brûla, et à l’intérieure de moi, je ressentis le monstre dans mon estomac hurler de joie. Pas que c'était gagné mais du moins elle avait dit ne jamais dire jamais, ce qui veut dire qu'un jour ou l'autre, elle sera ma mienne.
Des années après cette scène, je me suis retrouvé à ne plus courir derrière elle et désormais elle était devenue ma meilleure amie, une meilleure amie en couple et amoureuse d'un gars. Faut dire que mes années de gloire sont désormais terminées.
jesse&thayer/the brothers.Quand la vérité éclate au grand jour, on a toujours peur de perdre les personnes qui nous sont le plus chère, j’avais vraiment peur de perdre ma mère, quand elle nous avoua qu’une année avant ma naissance, elle avait eue une aventure pendant que notre père, son mari était en voyage d’affaire qui dura une année. Et c’est comme ça que Dorotha Callahan de son nom de fille Dorotha Becker, une femme sans secret et sans lourd passé s’était retrouvée confronter à une situation sans pareille, mon père décida de divorcer avec elle à cause de sa tromperie, mais venant de lui, je m’étais rendu compte que c’était sûrement à cause d’une autre femme qu’il avait agi comme cela. Une profonde haine envers mon père m’avait envahit dès l’instant où il avait donné son verdict. Ma mère, Tara et moi avions gardé la maison et la pension alimentaire de notre géniteur arrivé chaque moi, nous n’avions pas perdu de notre richesse, ni de notre renommée, cependant ma mère avait eue du mal à s’en remettre, elle avait de la peine s’était visible dans ses yeux. Nous partîmes après cela rencontrer notre frère qui connu enfin sa vraie mère. Ethan Alvarès, l’homme qui avait mis enceinte ma mère de notre demi-frère avait décidé de finalement se marier avec notre mère et du coup, Dorotha eue sa fin heureuse dont elle avait toujours rêver. Ethan, notre beau-père, était vraiment un homme bien, il nos accueillit dans sa famille, comme si nous étions ses propres enfants. Il y’avait aussi son fils, le fils de ma mère également, mon demi-frère, Thayer. Au début je ne l’ai pas du tout apprécié, il avait l’air d’un geek que personne n’aime, mais avec le temps quand j’ai appris à le connaitre j’ai compris à quel point les apparences pouvaient être trompeuses. Thayer était une version modifiée de moi-même, en moins beau et plus brutal. Nous nous sommes après beaucoup approcher comme nous avions à peu près le même âge, il était plus grand que moi de quelques mois. Sauf que nos disputes étaient aussi nombreuses que nos mauvais coups faits ensemble. Disputes car Tara –ma petite sœur-, ainsi que sa demi-sœur, lui plaisait énormément, et donc du coup comme il voulait le lui dire, nous nous disputions beaucoup.
Non mais t’es complètement tombé sur la tête mec, c’est ta demi-sœur bordel ! Je le fusillais du regard. Un rictus traversa ses lèvres.
Je t’ai pas dis que j’étais amoureux d’elle Jesse. J’ai juste dit qu’elle me plaisait et qu’elle devrait le savoir. Un bruit retentit dans l’autre pièce. Je fis un saut jusqu’à la porte et la ferma d’un coup de pied sec.
Plus bas. Ton truc c’est à moitié de l’inceste. Merde on ne va quand même pas parler de ma sœur et de tes fantasmes sur elle. Thayer l’air déçu leva ses deux bras en l’air. Comme pour dire qu’il n’y pouvait rien.
Ce n’est pas de l’inceste du tout. Ce n’est pas ma vraie sœur. Ce qu’il pouvait être con celui là. Mais je vous jure, il l’a touche et c’est de moi qu’il va rêver pour le restant de ces jours.
Sujet clos. Tu l’oublies un point c’est tout.Et mauvais coups, parce que l’un comme l’autre nous étions adepte des sorties nocturne, ou bières et filles étaient les diversions les plus en vogue. Et donc nous nous couvrions l’un l’autre, avec bien sûr un peu d’aide de la part de Tara. Et comme ça quant les parents nous prenaient en plein dans le sac, nous réussissions à faire diminuer notre sentence au minimum.