GIULIA WITHEHORSE ► candice swanepoel

L’écrin du crépuscule était tombé sur Paris en ce jour de février. Un ciel étoilé, remplis des plus belles étoiles que le monde puisse avoir et deux tourtereaux, surement les personnes les plus adorables que vous pourrez voir dans votre vie. La seule chose qu’on pourrait leur reprocher n’est autre que leur différence d’âge qui fait trembler tout Paris, un homme d’une cinquantaine d’année main dans la main avec une magnifique demoiselle d’a peine trente ans. Tout le monde se retourne sur eux et parle encore et encore, pour les hommes c’est une question banale tous aimeraient l’avoir près d’eux le soir dans leur lit alors pourquoi lui ? Et pour tout le monde homme comme femme la réponse devient de plus en plus évidente : l’argent. Malgré les rumeurs, les attaques de plus en plus violentes des ex femmes du ministre français tous ne veulent qu’une seule chose une séparation rapide pour que personne d’autre ne profite de lui mais si simplement derrière tout ce cacher une chose simple que tout le monde recherche au fur et a mesure de sa vie : l’amour. Une ombre dans le tableau, tout semble parfait dans la vie des deux amoureux, tout ? Sauf une chose qui vient après l’amour : la famille. Notre ministre nommé Charles dans la vie de tout les jours, se trouve tout simplement trop vieux pour concevoir de façon naturelle un enfant, la seule solution qui vient n’est autre que l’adoption. Sans savoir vraiment pourquoi, ils avaient décidée de déménager dans quelques mois mais finalement voulant adopter un enfant français ils resteraient jusqu'à ce que l’adoption se fasse. Les démarches c’est long très long et encore plus compliqué quand ils ont appris l’âge du père, il est vrai qu’à cinquante il faut avoir les capacités physiques et mental d’élevées un enfant dans notre nouvelle génération différente de l’ancienne. Un an après, le trente mars mille neuf cent quatre vingt neuf, c’est avec une immense joie que l’orphelinat appelait leur signalant l’arrivée d’une petite fille qui pourrait être la leur. Ils étaient heureux, comme jamais a vrai dire ils allaient avoir une petite fille mais pour cela, ils devront être patient, très patient. Au début c’était des visites pendant l’après midi, quelques heures a passer avec leur fille, ensuite ce fut des week end, deux jours ensembles puis une semaine, un mois et après quelques mois comme ça, la signature des papiers devenaient officiel. Leur fille nommée désormais : Siloé Giulia Withehorse, sera leur seule et unique enfant. Après une longue réflexion il restait encore une année de plus a Paris, avant de s’envoler pour l’Amérique plus précisément dans le Massachusetts, pour une nouvelle vie loin de tout se cahot parisien et des rumeurs a n’en plus finir. Bien sur, tout était programmée arriver là bas, Charles aurait un poste de sénateur dans le gouvernement américain. Tout était fait pour que la petite Giulia est une vie de rêve.


Les années ont bien passée depuis l’arrivée de la famille Withehorse en Amérique. Giulia est devenue ce genre de fille sublime et superficielle. Etre file unique, c’est assez bien mais cependant dans une famille comme celle-ci il n’y a qu’a une chose a laquelle on ne pense pas, éviter de gâter l’enfant trop pour qu’elle reste quelqu’un de simple sans tout l’artifice que la richesse procure. Il faut dire que c’est ce genre de fille qui sait qu’elle est belle, une magnifique blonde, grande aux tailles totalement sublime ne peut qu’être apprécié de tout le monde et bien sur savoir s’en servir. Le grand pas de Giulia dans la vie a commencée quand elle avait encore dix neuf ans elle fut repérée par une grande marque de mannequinat spécialisée dans la lingerie : Victoria’s Secret. Tout semble parfait pour cette jeune femme, tout ? Sauf qu’en une mère s’en mêle. Le mannequinat se n’est pas un métier et c’est encore moins éternel, alors elle ne voulait qu’une chose obliger sa fille a faire des études dans une des plus grande université d’Amérique, mais bien sur les problèmes continuaient d’arriver. Giulia n’avait pas les notes suffisante pour rentré a Harvard pourtant c’est cette université et pas une autre que sa mère a choisit pour elle. Un coup de fil de papa au doyen et le tour était réglé. Giulia fera sa rentré scolaire a Harvard, après une longue négociation sa mère fini par acceptée le choix d’études de sa fille c’était comme un deal. Elle allait à Harvard et sa mère la laissait continuer le mannequinat. Il faut dire qu’elle trouva vite sa place dans cette grande université, directement dans l’élite du lycée ça n’a que du bon. En cinquième année désormais elle reste la petite fille a papa, superficielle et garce, surement la pire que vous pourrez croiser un jour.