Confessions. Part 1 | Nolwenn&Aaliyah

Confessions. Part 1
Nolwenn

Mes amis, je pouvais les compter sur les doigts d'une main tellement j'en avais peu. En même temps, il faut dire que j'en laissait peu entrer dans mon cercle très privé. J'avais énormément de mal à faire confiance. Je tenais cette froideur de mon père et je pense qu'il serait bien difficile de m'en débarrasser alors pour le moment, je faisais avec sans me plaindre. Après tout, grâce à mon caractère de garce et certains de mes agissements, j'arrivais parfaitement à voir qui était vrai avec moi et qui ne l'était pas. Car oui, très peu s'amusait à faire semblant d'être mon ami car il savait que le boomerang risquait d'être très douloureux lors de son retour vers son propriétaire. Mais passons. Nolwenn, une Cabot, dont j'étais très proche m'avait invitée à passer une sorte de soirée pyjama avec elle. C'était la meilleure amie de Darnell, je l'avais connue grâce à lui et depuis, il était difficile pour moi de m'en séparer bien que nous ne soyons plus ensemble lui et moi. Je savais que cette situation était difficile pour elle mais elle ne trahissait jamais Darnell. Elle lui donnait toujours raison, enfin, quand il avait raison et je faisais avec. Je savais parfaitement qu'elle ne pouvait pas aller contre ses principes. Puis il est difficile d'en vouloir à ce visage d'ange. Cette fille était un vrai amour. Comme les nounours, elle était rempli d'amour pour chacun. J'espérai tout de même que sa gentillesse n'entraînerait pas les autres à lui marcher volontairement sur les pieds.
J'étais en pyjama. Enfin, en pantalon et débardeur. Confortable pour dormir et surtout pour passer la nuit à parler allongée sur le lit de son amie. Je m'étais promenée ainsi de la Lowell House à celle des Cabot. Arrivée sur les lieux, je pris les escaliers menant à la chambre de celle-ci. Je me dépêchais, ne voulant pas croiser l'une des Kovalevski. La dernière fois que l'on s'était vu, ça ne s'était pas bien terminé du tout. J'en avais d'ailleurs parlé à Nolwenn et elle avait prit le partie de Liyah. Elle m'avait dit que je l'avais bien cherché, que je l'avais provoqué, que c'était mal et que c'était normal qu'elle ait réagit ainsi, c'était donc normal qu'elle m'ait cassé le nez. Mais elle avait raison, j'avais fait ça pour la provoquer et j'avais réussi à la perfection. J'entrais donc dans la chambre de Nolwenn après n'avoir frappé qu'une seule fois. Et je m'installais sur son lit, tendant les bras vers elle qui était assise dessus également. « Ma rose préférée ! ». Pas seulement rose préférée. Fille préférée. Elle était simple et surtout pas prise de tête. Et tu étais sûre qu'avec elle, il n'y avait pas d'hypocrisie. Pas pour te blesser hein, mais parce qu'elle n'aimait tout simplement pas mentir.

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ft. Zara et Aaliyah.

Qui aurait pu croire que moi, Nolwenn, je sois aussi proche d'une garce telle que Zara ? Et pourtant, c'était le cas. J'avais appris à la connaître du temps où elle sortait avec mon grand homme, Darnell. Ils étaient tout simplement géniaux tout les deux, mais séparément. Disons qu'en couple, ils s’entre-tuaient tout les deux. C'était une sorte de relation malsaine et si étrange que je n'arrivais pas à concevoir. J'étais heureuse le jour où Darnell était venu me voir pour m'annoncer la bonne nouvelle, leur rupture. Puis, il était récemment venu me dire aussi qu'il sortait avec Aaliyah, une Cabot. Non mais sincèrement, il avait un don pour sortir avec les mauvaises filles. Comme si les filles au passé de dingue était tout ce qui l'attirait. Je ne comprenais pas. Mais je restais tout de même proche de lui. Mon meilleur ami. Je ne pouvais pas m'en éloigner.

J'avais invitée Zara à passer la nuit avec moi. Je voulais que l'on mange un peu de tout et surtout du n'importe quoi et je voulais avant tout que l'on discute. Je savais qu'elle était en froid avec l'une de mes consoeurs. L'une de mes consoeurs qui vivait les jours les plus sombres de sa vie. J'avais du mal avec elle, à cause de son passé de droguée et alcoolique qui couchait un peu partout mais je savais que dans le fond, c'était une femme bien qui était juste mal en ce moment. Je parlais évidemment d'Aaliyah. Je ne lui cachais pas mon dégoût pour elle, bien que le mot dégoût soit un peu fort, mais je n'étais pas une grande fan d'elle. Mais je voulais qu'elle aille bien. Je savais que Darnell venait de rompre avec elle en apprenant comme tout le monde grâce à CS pour sa grossesse. Je savais qu'aujourd'hui, elle était dans sa chambre alors je comptais tout faire pour que Zara y aille et discute avec elle.
En parlant d'elle, elle entrait dans ma chambre après avoir frappé une fois à la porte. Je n'avais même pas eu le temps de répondre. Elle s'asseyait à côté de moi et me prit dans ses bras par la même occasion. Ma violette en sucre ! Quel surnom nul sérieusement. Mais je souriais comme d'habitude de toutes mes dents. Alors t'as appris pour la nouvelle concernant la Cabot et Darnell ? Les murs ont des oreilles alors je ne voulais pas dire son prénom. Sait-on jamais !

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Nolwenn

Elle allait droit au but et disons que je ne m'attendais pas à ça. Parler d'entrer de jeu de ce couple qui me brisait sincèrement le coeur, non, c'était dur. J'étais pas prête à parler d'eux mais comme elle me lançait là-dessus, je savais parfaitement que je n'avais pas le choix. « Oui, elle est enceinte. Mais je me dis que personne ne sait réellement si c'est l'autre ou Darnell le père. CS n'est pas voyante, elle voit pas dans les utérus et ne voit donc pas si le foetus est métisse ou pas. Enfin, je sais pas si tu vois ce que je veux dire quoi ! ». Pour moi, tant que je ne voyais pas le bébé, je me disais qu'il y aurait bien des chances que Darnell soit le père. Bien que je sois la seule à voir cette possibilité. Mais j'espérais tout de même que j'ai tord. Je ne voulais pas qu'il soit père, pas avec elle comme mère. J'étais toujours mordue de lui c'est vrai mais je savais parfaitement que c'était lui et moi contre le reste du monde. C'était comme ça avant et je savais parfaitement que ça n'avait pas changé. Je savais aussi qu'il allait très bientôt revenir vers moi pour me dire que j'avais raison concernant Aaliyah. « Sérieux Nolwenn, j'ai pas envie de parler d'elle. Elle m'a frappée je te rappelle ! ». Non, ce n'était pas la raison pour laquelle je n'avais pas envie de lui parler. Je n'en avais pas envie tout simplement parce qu'elle aimait l'homme que j'aimais également. Et surtout parce que c'était réciproque vis à vis d'elle. Je n'existais plus aux yeux de cet homme.

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ft. Zara et Aaliyah.

Je voyais parfaitement ce qu'elle voulait dire par là mais je ne comprenais pas pourquoi elle pensait ça. J'ai parlé avec elle. Darnell n'est pas le père et ensuite, tout le monde a démentit ce qui était écrit sur eux dans l'article, sauf elle. Crois en elle, en ce qui est dit, en Darnell. Arrête de douter de tout le monde. D'ailleurs, je ne comprenais pas comment elle s'était mise Aaliyah à dos. A ma connaissance, elles étaient meilleures amies toute les deux. Et du jour au lendemain, plus rien. Darnell m'avait juste dit qu'elle s'était comportée comme une salope, mais ça n'expliquait en rien ce qui s'était passé, car c'était Zara quoi et ça ne m'étonnait pas. Et si personne ne voulait en parler, il n'y avait que deux possibilités. Soit les faits étaient très graves et mieux vaut tout cacher alors, soit les actes fait par Zara étaient minimes et en parler ne servait à rien. Je préférai opter pour la seconde option. Gardant ainsi en tête que Zara n'était peut-être pas une garce fini en fin de compte.
Mais logiquement, pour moi, il fallait donc qu'elle discute avec Aaliyah et qu'elle s'excuse. Je n'aime pas savoir les gens en froid, surtout s'il n'y a pas de réelles raisons alors, pour moi, il fallait qu'elle aille s'excuse auprès d'Aaliyah. Pour moi, il n'y avait pas de meilleur moment que maintenant. D'ailleurs, arrête de te mettre tout le monde à dos. Je pense qu'il faudrait que tu ailles t'excuser auprès d'elle. Votre ancienne relation ne te manque pas ? Je savais parfaitement que c'était le cas. On n'oublie pas une meilleure amie comme ça, quoiqu'il se soit passé entre les deux.

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Nolwenn

Elle avait raison, je doutais de tout le monde. Pour moi, j'étais la seule à avoir toujours raison alors que dans le fond je savais parfaitement que ce n'était pas le cas. Il n'existe personne au monde qui ait toujours raison alors il fallait qu'un jour, je m'y fasse. (57)« Tu veux savoir pourquoi Zara doute autant de tout le monde ? Car tout le monde la juge par son physique. Certain traînent avec elle parce qu'ils n'ont sans doute pas le choix, d'autre pour pouvoir coucher avec moi sans doute. Elle ne sait pas ... tout le monde est louche autour d'elle et elle pense qu'elle est la seule à être honnête autour d'elle. Si on ne te compte pas parmi les gens louchent bien sûr car toi tu es un peu trop honnête au goût de Zara ! ». J'essayais de détendre l'atmosphère ou de donner une tournure plus amusante à ce que je disais en parlant de moi à la 3ème personne. Mais parler comme ça, c'est vraiment louche. Je me demande réellement comment font les célébrités pour parler ainsi d'eux, tout le temps, tous les jours. Ca doit être lassant à force. Enfin, moi pour le moment, je trouvais ça assez amusant. « Oui c'est vrai, son ancienne relation avec Liyah lui manque terriblement. Leur complicité, leurs multiples délires. Mais pas maintenant, Zara n'ira pas s'excuser maintenant sachant que le jour de la bagarre, elle était justement venue les voir pour s'excuser. Zara est venue te voir toi aujourd'hui, alors Zara restera avec toi pour le moment ! ». Oh lala, j'adorai parler ainsi en fait. C'était vraiment classe.

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ft. Zara et Aaliyah.

Euuh... On en parle de sa façon de parler ou pas ? J'étais comme entrain de rêver, je ne sais pas. Je clignais des yeux plusieurs fois avant de rire. Je ne répondais même plus à ce qu'elle disait. Ca n'avait aucun sens. Elle ne voulait pas qu'on parle d'Aaliyah, de Darnell, aucun problème, on allait parler d'autre chose alors. Ca ne me dérangeait pas tant que ça finalement. Mais arrête de parler comme ça, qu'est-ce qu'il te prends là ? Je ne pus m'empêcher de rire à l'absurdité de la situation. Ca ne lui allait pas du tout de parler ainsi, bien qu'elle soit hautaine comme les personnes ayant pour habitude de parler ainsi, ça ne lui réussissait pas à elle.
Puis, j'eus une soudaine idée en tête. Je voulais m'amuser un peu. Elle voulait qu'on change de sujet et qu'on ne parle pas de ma soeur Cabot, alors allons-y. J'allai lui faire vivre une soirée particulièrement étrange. Je vais faire un truc, assieds-toi ! Es el momento de mostrar me que tienes confia en mi ! Je me levais de mon lit, allant droit vers ma salle de bain où j'ouvrais le tiroir afin d'y prendre une brosse à cheveux et une paire de ciseaux. Je revenais vers Zara. Je la coiffais avec la brosse pour le moment et c'est comme si les idées fusaient dans ma tête, Au fait, je t'ai pas raconté. J'ai fait un rêve étrange : Genre c'est un lapin sauvage sous amphét' qui rencontre un escargot. Ayant peur de se faire écraser par le lapin, l'escargot accélère tout en hurlant sur le lapin, lui demandant de le laisser, de ne pas lui faire de mal. Et t'as le lapin qui lui dis qu'il ne veut pas lui faire de mal, qu'il veut simplement faire sa connaissance, devenir son ami. Mais ce que l'escargot ne sait pas, c'est que le lapin est un gros pervers et qu'il fantasme sur les escargots. Il rêve de s'en taper à un jour. Alors évidemment, le lapin ne lâche pas l'affaire même si l'escargot l'envoie chier et lui dit qu'il ne veut pas devenir ami avec lui. Et évidemment, le lapin allant plus vite que l'escargot arrive à sa hauteur. Il sort son petit quiqui de lapin de sa fourrure pour la montrer à l'escargot, espérant ainsi que celui-ci acceptera ses avances et... V'lan, une voiture les écrase ! Parce que ouais, ils étaient sur la route en fait ! Tu penses que ce rêve a un quelconque sens ? Oh mon dieu, je n'arrive pas à croire que ve genre de conneries venaient de sortir de ma bouche.

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Nolwenn

J'étais obligée de rire en entendant sa question. Elle ne comprenait vraiment pas pourquoi je parlais ainsi et je trouvais ça assez hilarant pour être honnête alors j'allai continuer encore un peu. Je fis non de la tête afin de répondre à sa requête que je refusais évidemment. Puis elle s'approcha de moi, me demandant de m'asseoir ce que je faisais. Puis elle me dit un truc en espagnol. J'avais compris la moitié, c'était déjà ça. En gros, elle me disait d'avoir confiance en elle. (57)« Parle avec Zara en anglais s'il te plaît ! Elle a beaucoup de mal avec l'espagnol vois-tu ? Mais elle te fait confiance, ne t'en fais pas ! ». J'étais assise, je regardais ce qu'elle faisait. Elle allait dans la salle de bain et en ressortais avec un peigne et autre chose que je ne voyais pas. Puis elle se plaçait derrière moi, commençant à me coiffer ... Les minutes passaient et j'explosais de rire en entendant son ... rêve étrange. « Elle se demande vraiment si ce n'est pas toi qui état son amphét' en fait ! Mais c'est quoi ce rêve sérieusement ? Ca n'a pas de sens, non, absolument pas ! ». Un lapin et un escargot. Puis le lapin qui veut se taper l'escargot ? Elle dit ne prendre aucune substance mais en entendant ça, j'en doutais réellement.

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ft. Zara et Aaliyah.

Je la coiffais en prenant le soin de la distraire pour qu'elle ne s’aperçoive de rien et surtout qu'elle ne remarque pas la paire de ciseaux posées à côté d'elle. Sigues hablando así y entendera tu dolor ! Elle m'énervait à parler comme ça autant que je l'énervais à parler en espagnol. Mais sérieusement. Cette soirée prenait une tournure vraiment étrange. Comme s'il y avait une substance étrange qui flottait dans les airs et qui nous rendait connes... Mais pendant qu'elle traduisait ma phrase, je pris les ciseaux et je lui coupais une mèche. C'était si silencieux qu'elle avait sûrement due entendre le bruit de la coupe. Je me levais, m'éloignant d'elle et avec mon plus beau sourire, je regardais la mèche dans mes mains en hurlant, Mon préciiiiiieuux ! Et je fus pris d'un gros fou rire, je m'allongeais littéralement par terre, me tordant de rire, les mains sur le ventre tant j'avais mal à force de me foutre d'elle. Elle voyait sûrement rouge actuellement mais je ne voyais pas ayant les yeux fermés. Quoiqu'il arrive, garde toujours en tête que je t'aime et que tu ne peux donc pas me tuer Nayla ! Pour être honnête, en disant ça, je me faisais rire d'avantages. Parce qu'elle allait penser que je disais ça pour l'amadouer, l'émouvoir, la calmer. Bon, elle n'aurait pas tord en pensant ça mais je le pensais tout de même. Je l'aimais. Et puis, cette soirée me détendait réellement. Elle me faisait un bien fou. Je n'étais pas prête de l'oublier et ce n'était que le début en plus de ça.

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Nolwenn

En effet, j'essayais de traduire ce qu'elle venait de me dire car j'avais beau avoir beaucoup voyagé, je ne comprenais pas quand même toute les langues. J'étais assez douée certes mais il me fallait quand même un petit temps de traduction comme maintenant. Mais au final, je me fichais de ce qu'elle me disait quand j'entendais un bruit ressemblant à une paire de ciseaux découpant quelques choses. Elle se levait du lit tout en riant et je me retournais vers elle aussi rapidement que ce qui sortait de sa bouche. Une mèche de cheveux blonde. Oh mon dieu ! OH MON DIEU ! Adieu Nolwenn, tes jours sont finis ! Mais la façon dont elle s'allongeait par terre en riant déclenchait un fou rire incontrôlable en moi. Mais j'avais ma petite vengeance en tête ! Elle était toujours par terre entrain de rire, alors je m'approchais lentement, (42) me mettant ensuite à califourchon sur elle. Je plaquais ses mains au sol, au-dessus de sa tête, je l'embrassais longuement. Telle est pris qui croyait prendre. Enfin là, je venais surtout de prendre ses lèvres. Et dire qu'elle avait osé m'appeler Nayla et me dire qu'elle m'aimait en plus. Je n'allai pas lui pardonner ce geste aussi facilement. Elle sait et voit très bien à quel point mes cheveux comptent pour moi. (57)« Personne ne touche aux cheveux de Zara c'est compris ? Personne ne sait de quoi elle est capable si quelqu'un venait à y toucher ! ». Bon, j'aimais trop ma petite Cabot pour lui faire quoique se soit de méchant mais que je l'y reprenne pas à faire ça. Puis je l'aidais à se lever. Mais voulant la faire flipper d'avantages, je m'approchais d'elle, pour déposer un baiser sur le coin de ses lèvres (84)tout en lui pinçant les fesses. « Fais gaffe à toi, tu pourrais tout à fait être le type de femmes que Zara recherche et apprécie ! ». Je revins m'asseoir sur le lit, coiffant mes cheveux à l'aide du peigne qu'avait utiliser Nolwenn. Ca va, la mèche qu'elle avait coupée n'était pas si longue que ça en fin de compte.

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ft. Zara et Aaliyah.

Harcèlement sexuel quoi ! Au secours ! Je pensais qu'elle se vengerait en tuant, en me giflant, je ne sais pas. Mais je ne m'attendais certainement pas à ça. A ce qu'elle se mette sur moi, au sol et m'embrasse. Je ne pouvais même pas bouger, elle m'avait cloué les bras au sol. Je me retrouvais prisonnière, sous son poids plume et son baiser, mais je n'avais guère plus de forces qu'elle. Mais elle finit par se lever, par le laisser vivre, respirer et je lui en était très reconnaissante. Mais si vous pouviez voir mon regard. J'étais comme paralysée, choquée. Elle était amusée par la situation mais ce n'était pas mon cas. Enfin, si un peu au fond, mais sans plus. Et elle m'aidait à me relever. Je pensais que c'était terminé, mais elle déposait de nouveau ses lèvres sur les miennes suivi d'un pincement de fesses. Elle avait un de ces culots celle-là. Elle repartait s'asseoir, comme si rien ne s'était passé. Elle se coiffait tranquillement. J'allai me placer devant elle, les mains sur les hanches. J'étais peut-être son type de femmes mais me concernant, je n'étais pas attirée par des personnes ayant le même engin que moi entre les cuisses. T'es au courant que je ne suis ni gay, ni bi hein ? Il ne manquerait plus qu'elle me sorte qu'elle ne le savait pas. Je pense que tout le monde le sait à Harvard. Enfin, tout le monde à Harvard doit penser que je ne suis ni l'un ni l'autre, n'étant pas du genre volage ou à m'afficher avec un quelconque mec aux yeux de tous. Je préfère être discrète et faire mes petites affaires intimes loin des regards.

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