We can do it all night long, never say never Ҩ Pv Pryam

Prytemis ▬ Deux fourchettes, deux couteaux, un verre de vin et pas de câlin.

Une journée de plus, une routine quotidienne, le réveil de la belle venait de sonner, malheureusement pour Artemis, il suffisait d'un petit bruit et la belle au bois dormant ce se réveillait aussitôt, n'ayant pas le sommeil très lourd. Une petite tape -sur le monstre qu'elle avait- pour réveil avant de se redresser en grognant, bah ouai ce n'était pas l'envie de se rendormir qui lui manquait, seulement elle avait tout pleins de choses à faire notamment les cours et ce n'était pas demain la veille qu'elle terminera si elle ne se dépêchait pas. C'était pourtant un vendredi, mais pas de répit pour la blondie.

C'est vrai qu'elle n'avait pas assez de temps pour elle, mais c'était une battante et comme le dicton le dit, il faut souffrir pour être récompensé nan ?. Artemis traîna cependant des pieds jusqu'à sa salle de bain, on était en janvier et il faisait encore froid. Après sa petite toilette du matin, elle enfila des vêtements bien chauds et attrapa son grand sac burberry où était déjà placé ses affaires d'art plastique et chichi de femme, ouai elle préparait tout ça la veille pour ne pas perdre le temps sur ça au matin. Ils commençaient à neuf heures, elle avait donc largement le temps étant donné qu'il n'était que huit heures. Elle profita donc pour descendre à la cafet pour prendre un bon petit verre de chocolat chaud avec un croissant, son petit-déjeuner avant tout, elle pouvait rater n'importe quel repas, mais pas son petit-déjeuner.

Quelques minutes plutard après avoir fini son petit-déjeuner, elle fixa sa montre, huit heures quarante-cinq, déjà oO elle se dépêcha de monter dans son dortoir, direction la chambre de sa meilleure amie, attrapant son crayon plume, un crayon assez marrant, puisqu'il y avait une longue plume décoratif. Elle se dirigea immédiatement dans la chambre d'Elia la grosse dormeuse comment elle dormait grave cette nana, mais trop mignonne quoi. Cette dernière dormant sur son ventre, Artemis se mit discrètement à cheval sur ses fesses avant de légèrement se pencher vers l'oreille de sa petite choue pour introduire un peu de plume dans son oreille, cela chatouillait, mais grave, d'ailleurs sa brunette d'un reflex bougea la tête pour finalement la retourner légèrement histoire de regarder Arty. « Réveille-toi grosse dormeuse va ! » Fit la demoiselle en affichant son sourire diabolique « Ou rendors toi, mais seulement après m'avoir écouté ! » Dit la blondie en rangeant son crayon plume dans son sac toujours à cheval sur Elia. Elle aimait tellement la réveiller avec ce crayon, cela avait toujours l'effet qu'elle souhaitait. « Ce soir tu n'as absolument rien de prévu, je le sais parce que ce soir la soirée est à nous. Alors, je te conseille d'annuler tout ce que tu avais à faire, m'en fou si tu avais un rendez-vous avec un beau mec, t'annule ou sinon je te boude pendant un siècle. » Roulant des yeux, comme-ci elle pouvait la bouder, impossibleee !. Dafné descendit du lit avant de déposer un bisou sur la joue de sa brunette. « J'y vais & réveille-toi sinon tu vas aussi être en retard pour les cours ! » Termina la demoiselle en sortant de la chambre d'Elia, direction sa salle d'art plastique. La matinée se passa comme prévu, la douce avait comme à son habitude comblée son prof d'Art avec son attention et ses magnifiques chers d’œuvres. Après chaque cours, elle devait non seulement se rendre dans le club d'Art, mais aussi dans celui de musique, car depuis toute petite elle est passionnée du piano et en joue magnifiquement bien. Bref, une fois la nuit tombée, elle se prépara, toilette, habillage d'une mini jupe protégée en dessous par un collant noir, accompagné de bottines en cuire et en haut un top decolté blanc avec des motifs noirs, ainsi que sa petite veste en cuire noir. Maquillage fait, elle décida de laisser ses cheveux lisse tomber en cascade sous ses épaules. La voilà enfin prête, fixant sa montre qui affichait 22heures, il était temps pour elle d'aller en boite. Seulement, lorsqu'elle se rendit dans la chambre d'Elia, cette dernière avait éteint la lumière recouverte tout entière de son drap. Sans plus attendre elle alluma la lumière découvrant un paquet de mouchoir et des éternuements, Elia était malheureusement cloué au lit avec un gros rhume et un mal de tête affreux. Comprenant qu'elle ne pouvait pas insister, elle lui déposa un bisou sur le front, avant d'éteindre la lumière et de sortir pour lui laisser du repos. Quant à Artemis, elle décida de se rendre toute seule en boite. Tant pis, ce sera pour une autre fois cette soirée à deux, car en attendant la boite l'attendait. Une fois arrivée, elle montra sa carte VIP au videur qui la laissa immédiatement entrer. D'autres ne comprenaient pas vraiment pourquoi elle passait avant eux, mais ne s'attardèrent pas là-dessus. Aussitôt à l'intérieur, elle se dirigea difficilement vers le bar étant donné la foule immense de ce soir et se commanda une vodka orange pour bien commencer.

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La journée de Pyam fut tout ce qui a de plus banal. Le matin, il avait rejoins sa soeur au café du coin pour lire le journal et papoter de leurs prochains projets. En fait c'était un rituel, chaque matin ils avaient besoin de se voir pour se parler, faire des paries, se conseiller éventuellement.
Puis il alla en cours d'histoire, il étudia Charles VII et ses nombreuses maitresses. Le choix de Pryam d'étudier l'histoire n'était pas banal, il aimait connaître les rois, leur vie, leur fonctionnement, le culte qu'on leur vouait, le dépassait complètement. Le midi, il n'avait pas beaucoup de temps pour manger, il prit donc un sandwiches et se dirigea vers le théâtre car Pryam fait partie de la troupe de théâtre, en fait, il en est même le metteur en scène. Ça pourrait paraître étonnant mais en fait pas tant que ça si on prend en compte que Pryam a toujours été passionné par l'art et les bonne choses, il était même quasiment sur d'avoir eu une vie antérieur en tant qu'aristocrate française assistant au représentation de Molière. Au lycée, c'était l'endroit il amenait toutes ses conquêtes. Les filles était impressionné de ce geste, ça changeait du fast food du bout de la rue, de cette façon il les attirait facilement dans son lit. Après le théâtre, Pryam rentra à la Winthrop House. Dans sa grande chambre de président, il était bien mais le bruit des mâles dans le salon qui passait leur temps à jouer avec des « babales ». Pryam n'était pas vraiment sportif, en dehors de l'équitation et du golf, il ne toucha a rien de sportif, c'était un intellectuelle, il préférait allé au théâtre et au musée. Ce soir, il ne voulait pas resté à la Winthrop house et sans rien dire à personne, sortie du bâtiment pour se rendre en discothèque. Il y allait souvent seul en fait, c'était pas exceptionnel : Pryam n'avait pas vraiment d'amis et en plus c'était l'un des garçon les plus solitaire, plutôt accompagné de belles filles que d'hommes. En arrivant, il demanda une table VIP, on l'installa alors à l'une des tables au balcon avec une vue sur la piste de danse et sur le bar. Au bar, il vit une jeune femme qu'il connaissait déjà. Il appela alors un serveur, lui murmura dans l'oreille. Ainsi, celui-ci arriva alors vers Artemis verre de Champagne à la main :

« Monsieur Eastwood vous invite à sa table... » il luisuffisait à présent de lever les yeux pour voir Les yeux de Pryam posé sur son corps. Il pensa alors *si elle monte les escaliers, j'ai gagné !*

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Elle était tranquille là, même s'il y avait des vas et viens incessants. C'est vrai que les boites elle n'y allait pas tous les jours juste de temps en temps histoire d'oublier et pensé à autre chose. Avec les cours et tout le reste elle n'avait pas assez de temps pour errer les nuits. N'empêche qu'elle avait bonne réputation dans cette boite, elles connaissaient absolument tout le personnel de cette boite, les videurs, les barmans, les serveuses et bien entendu le patron, d'ailleurs c'est bien grâce à lui qu'elle avait obtenu une carte VIP, un service qu'elle lui avait rendu en échange de cette carte VIP. Voilà donc pourquoi, elle avait le droit de passer avant bons nombres de personnes. Ce service qu'elle lui avait rendu était tout simplement de remplacer un barman qui avait malheureusement eu un petit accident de dernières minutes, du coup le voyant paniqué ce soir-là, elle s'était proposée sa personne pour revêtir cette lourde tâche, pourtant pas habitué à le faire. Bizarrement cette nuit là, elle avait été au top, la boite marcha surement mieux qu'à son habitude, foule derrière foule s'était empressé de venir au bar commander une boisson juste pour admirer la nouvelle barman. Pourquoi les envoyer balader puisque grâce à elle, le patron s'était attiré le double de la somme de chaque jour. Bref ce fut une belle expérience pour la blondie qui avait bizarrement adorée cette lourde tâche. Surtout que ce soir-là, elle avait été au centre de l'attention des 90% des mecs.

Sur la piste, la musique était assourdissante. Une envie irrépressible de danser l'avait soudainement prise, mais elle préféra observer tant bien que mal la salle bondée et obscure dans laquelle elle se trouvait. Autour d'elle s'agitent des dizaines de jeunes sans doute trop éméchés pour se rendre compte de leur état. Les adolescents bougeaient sur la piste au rythme de la musique, criant au DJ de ne pas s'arrêter. Tandis qu'elle, avait commencé à bouger son corps au rythme endiablé de cette chanson, tout en restant sur place, assise sur son tabouret. Elle ne voulait pas pour l'instant se rendre sur la piste, il y avait beaucoup de trop de monde et danser parmi eux serait un véritable combat. Alors qu'elle termina sa boisson, un serveur accompagné d'un champagne s'approcha d'elle. « Monsieur Eastwood vous invite à sa table... » Ce dernier lui montra du doigt ou se trouvait actuellement ce Monsieur Eastwood qui n'était autre que la personne à qui elle avait pensé en entendant ce nom, car il fallait bien l'avouer, Pryam n'était surement pas le seul homme à porter ce nom de famille. Un sourire se dessina naturellement sur ses lèvres, elle attrapa cependant le champagne et trinqua à distance en lui envoyant un de ses sourires qu'il connaissait tant bien que mal. Elle but cependant une petite gorgée avant de s'adresser au serveur. « Dite à Monsieur Eastwood, que s'il veut me voir à sa table, il faudra d'abord attraper le micro du dj et chanter une chanson devant tout ce monde... » Dit-elle avant de tourner dos, bien sûre elle savait que Pryam ne relèvera jamais ce défi, car malheureusement pour lui, il ne possédait aucun talant pour le chant et qu'il allait à coup sûre se ridiculiser, ou au contraire séduire son public par son courage, l'ambiance qu'il devra mettre et son charme. Enfin ce n'était pas gagné parce qu'il fallait aussi arriver à séduire la blondie. N'empêche qu'elle aurait bien aimé voir la manière dont il s'y prendra. Ce n'était pas fait, car pour elle, Pryam n'osera jamais le faire.

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Pryam regarda Artémis lui lancer un sourire et trinquer à distance, il sourie également, d'un sourire charmeur qu'elle connaissait aussi très bien. Il se pinça la lèvre une seconde *elle va pas monter...* ce n'était qu'une intuition et pourtant il avait pas tord, il regarda le barman se retourner et repartir vers les escaliers. Pryam se retourna alors sur son siège et se servit un verre en attendant de savoir ce que le barman avait à lui dire. Il vint lui annoncer : « la dame veut que vous chantiez une chanson au micro ». Il monta alors les yeux vers le ciel est-elle devenue folle pensa-t-il.
En même temps qu'il réfléchit à la proposition ou plutôt au défis, une belle jeune femme vint s'assoir près de lui, il l'a connaissait bien, elle trainait toujours ici, elle n'était invité à aucune table mais s'asseyait après des plus riches hommes, si elle venait s'assoir avec Pryam se soit là c'est que ces milliardaires du quatar n'était pas présent aujourd'hui. « Dégage rachel, je t'ai déjà tirer la semaine dernière ça me suffit ! ». Il était cru mais cette fille était l'une des plus grandes garces qu'ils connaissaient « Tu es un enfoiré Pryam! ». Il se retourna encore sur son siège et regarda Artemis toujours assise au bar « J'étais déjà au courant, merci » . Rachel suivit le regard de Pryam « Et c'est pour ça que t'es testicules sont en repos ce soir ? Je t'en pris Pryam une blondasse qui te laisse espérer indéfiniment, je préfère couché avec tout cambridge que d'être élevé au rang d'allumeuse comme cette fille ». Il se retourna et regarda rachel qui ajouta « en plus c'est une ancienne serveuse de la boite Pryam, une pauvre petite serveuse et allumeuse, tu descends bien bas ». Rachel avaient les mots pour blesser, elle savait très Pryam que la femme que Pryam choisira dans le futur, viendra de la même classe sociale que lui : la classe des aristocrates. Alors qu'il était dans ces pensées, Pryam fit un signe au serveur de venir près de lui et lui glissa quelque chose à l'oreille, on vit donc le serveur partir vers le bas de la salle. Pryam re-regarda Rachel qui s'empressa de l'embrasser, elle savait qu'elle avait toucher Pryam en plein coeur mais elle avait tord en pensant qu'elle réussirait à l'avoir pour la soirée. Il l'embrassa également et même avec fougue lorsque le serveur les interrompit et tendit un micro à Pryam. Il avait en effet demander au barman d'aller chercher le micro du dj. Il décolla sa bouche de celle de rachel, prit le micro et ajouta « je te l'ai dit Rachel, ça ne m'intéresse pas de te tirer une deuxième fois, alors va voir ce merveilleux pakistanais plein de frique la bas et dégage de ma table! ».
Il se leva alors, en même temps que Rachel qui, furieuse, prit ses affaires et s'en alla. Il s'appuya sur le balcon et fit un signe au DJ. Le dj coupa le son qui était sur LMFAO, grosse déception pour la plupart de la salle. Puis, il alluma le micro en pointant son regard vers Artemis.

« Artemis, ma chère, il est hors de question que je chante pour toi. Pourtant, il est vrai que j'aurais même été prêt à chanter pour passé du temps avec toi mais je pense que la plupart de la salle m'aurait huer encore plus fort qu'ils sont en train de le faire présentement. Cette coupe de champagne t'a été donné avec beaucoup de respect et de sympathie de ma part. Et si je t'invite à monter c'est parce que depuis la dernière fois que je t'ai vu tu n'as eu de cesse de pensée à moi, n'est-ce pas ? Ne t'inquiète pas je ne le dirais à personne » Les gens de la salle arrêtèrent de huer et se mirent à rire et enfin se turent.

« Plus sérieusement, je serais ravie que tu sois ma partenaire de la soirée parce qu'il se peut que dans certains de mes rêves, ta chevelure blonde, tes lèvres rouges et tes pommettes saillante, ait eu raison de moi... » Il recula le micro, la regardant fixement et attendant une réponse, un signe, quelque chose...

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Artemis s'était retournée laissant maintenant le serveur apporté sa réponse à Pryam. Pour l'heure, elle ne le croyait pas capable de le faire. Alors qu'elle se retourna pour voir où il en était, elle put apercevoir une nana sur sa table et en plus qui la fixait, tiens dont, ça devait surement parler d'elle là-bas. La blondinette les observa un petit moment avant d'arquer ses sourcils en voyant la scène qui venait de se produire. Cette fille avait littéralement sauté sur Pryam pour lui voler un baiser. Ce dernier ne semblait pas du tout contre, puisqu'il prolongea ce baiser. Était-ce parce qu'il savait qu'elle les regardait et donc il voulait la rendre jalouse, ou simplement qu'il trouvait ça tout à fait normal de ne pas refuser un baiser venant d'une jolie femme. En tout cas, elle préféra tourner la tête et se contenter de finir de boire son champagne. Jusqu'à finalement entendre. « Artemis, ma chère, il est hors de question que je chante pour toi. Pourtant, il est vrai que j'aurais même été prêt à chanter pour passer du temps avec toi, mais je pense que la plupart de la salle m'aurait huer encore plus fort qu'ils sont en train de le faire présentement. Cette coupe de champagne t'a été donné avec beaucoup de respect et de sympathie de ma part. Et si je t'invite à monter c'est parce que depuis la dernière fois que je t'ai vu tu n'as eu de cesse de pensée à moi, n'est-ce pas ? Ne t'inquiète pas je ne le dirais à personne » C'est bien ce qu'elle disait, il n'en était pas capable, toutefois, ces dires lui ont fait rire plus qu'autre chose, surtout cette phrase "Et si je t'invite à monter c'est parce que depuis la dernière fois que je t'ai vu tu n'as eu de cesse de pensée à moi, n'est-ce pas ?" Il montait sur ses grands chevaux là. Elle avait hâte d'entendre la suite qui ne tarda pas.

« Plus sérieusement, je serais ravie que tu sois ma partenaire de la soirée parce qu'il se peut que dans certains de mes rêves, ta chevelure blonde, tes lèvres rouges et tes pommettes saillante, ait eu raison de moi... » Voilà qui est mieux dit, la demoiselle se leva sous le regard de toute la boite qui s'écartèrent la laissant passer et rejoindre Pryam. Elle monta les escaliers et une fois à sa hauteur, elle s'empara du micro et lança au DJ qui reprit le contrôle de la boite. Artemis le poussa légèrement sur le petit fauteuil et s'assit juste à côté de lui avant de s'exprimer à son tour. « Tu es sûre qu'elles vont bien tes chevilles ? Non parce que, j'ai surement pleins de choses à faire que penser à toi tous les jours t'sais... » Dit-elle avec large sourire et concernant la deuxième réplique de Pryam, elle décida de lui en toucher un mot à ce sujet aussi. « Et dit-moi, à combien de filles tu as fait le coup des rêves ?... » Paff en pleins dans le mille, c'est vrai, elle ne pouvait pas le faire confiance, surtout pas après le baiser qu'il avait échangé avec cette nana. Ce n'était pas une fille qui se laissait berner par de belles paroles, oh que non, elle n'accordait pas sa confiance aussi facilement et à Pryam, c'était presque impossible. C'est Pryam quoi. Fin bref, elle pourrait certainement le remballer en lui disant qu'elle était en couple non exclusive et mariée par erreur qui plus est. Mais bon elle ne savait pas pourquoi elle ne lui fournissait pas cette information. Ou peut-être le savait-il déjà et cela lui était égale du moment que la blondie était libre de faire ce qu'elle voulait dans cette relation libre avec Jesse.

HS: Désolé pour ce gros retard :shh: Pryam - We can do it all night long, never say never Ҩ Pv Pryam 2511619667

pryam

« Une petite soixantaine, j'ai est mis une quarantaine dans mon lit avec cette phrase, l'autre vingtaine étaient un peu plus prude, une dizaine sortait tout droit de couvents je pense et l'autre dizaine était aussi septique et méfiante que toi presque frustré. »

Pryam

« Tu prend une autre coupe ? »

Pryam

« Alors parle moi un peu de toi... »

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« Une petite soixantaine, j'ai est mis une quarantaine dans mon lit avec cette phrase, l'autre vingtaine étaient un peu plus prude, une dizaine sortait tout droit de couvents je pense et l'autre dizaine était aussi septique et méfiante que toi presque frustré. » Waw une réponse claire et net, autant de femmes avaient succombé à son charme, j'avoue que Pryam était tout à fait mon genre d'homme comme beaucoup d'autre. Mais ayant cette petite peur d'être déçu et de tomber amoureuse de lui, je ne pouvais pas me permettre de succomber, ou ne serait-ce qu'effleurer ses lèvres. J'avais toujours peur de souffrir dans une relation, voilà pourquoi je me suis mise avec Jesse en relation libre, au moins là, je ne me cassais pas la tête et je pouvais tout autant avoir des aventures personnelles à côté, tout comme lui d'ailleurs. Je souris légèrement avant de lui balancer un regard qui en disait long. « Tu ne vas donc jamais abandonner ? Qu'est-ce que j'ai de plus que les autres pour que tu t'y accroches comme ça ? Je ne suis pourtant qu'une fille banale. » Bon pas temps que ça en fait. Vu que j'étais une princesse et ça personne ne le savait encore à part quelques personnes qui m'étais proches. Mon rang de princesse ne faisait pas pour autant de moi, une fille différente et plus intéressante que les autres. Non pour moi, j'étais une fille banale et c'est comme ça que je voulais vivre. Non pas avec un titre de princesse qui me suivra partout. Je m'approchais doucement de son visage, mes lèvres étaient à quelques centimètres des siennes, je le regardais dans les yeux et je ne savais pas pourquoi, mais mon cœur c'était mis à battre à une vitesse incroyable. Alors, avec un sourire je m'exprimais. « Attention à me désirer autant, tu finiras par tomber amoureux. » Bon ceci n'était qu'une plaisanterie de plus. Je n'étais pas sérieuse dans ce que j'avançais, car pour moi, Pryam ne savait pas ce que signifiait l'amour. Je ne le sentais pas capable de tomber amoureux. Pour lui collectionner les filles suffiraient. Je repris tout en reculant un petit peu. « Je plaisantais... Oh fait si je t'avouais que j'étais en couple ? Cela te fera-t-il enfin abandonner l'idée de me mettre dans ton lit ? » Fit-elle en attrapant la coupe de champagne que venait de servir Pryam. « Merci. » J'attendais avec impatiente sa réponse, quant à Jesse, je savais bien qu'un jour ou l'autre nous devrions prendre des chemins différents. « Alors, parle moi un peu de toi... » Devrais-je vraiment lui parler de moi ? La vraie moi ? Après tous je n'avais rien à perdre. « Si je te dis qui je suis, je devrais te tuer ensuite ! » Disais-je en rigolant avant de reprendre. « Pour tous te dire, je suis une princesse de la longue ligné des De Luca, futur reine d'Italie. Je pense qu'une recherche sur mon nom de famille devrait davantage t'éclairer. Si je suis ici aujourd'hui, c'est tout simplement pour fuir ce statut de Princesse, j'en avais marre de vivre comme un pantin qu'on manipulait, je sais que beaucoup penseraient que j'ai une vie de rêve. Mais non, parce que je ne suis pas libre du tout. Avant que mon père réagisse et décide de m'envoyer ici voler de mes propres ailes, ma mère avait tout organisé pour mon mariage, avec un prince que je n'aimais pas du tout. Je n'avais pas le droit de sortir de la demeure, j'étais comme enfermée et je ne pouvais que regarder de ma fenêtre. Alors, tu comprends mieux pourquoi je me suis révolté et mon père a fini par comprendre et c'est comme ça que je suis arrivée ici. Je ne sais pas pourquoi je te raconte tout ça, mais puis-je avoir ta parole que tu ne diras rien ? Je ne veux pas que les autres me voient comme une fille différente. Je veux juste vivre comme la plupart des personnes normales tu comprends ?. » Bon je m'emportais un peu, mais j'espérais pour une fois lui faire confiance. « Ah oui, une dernière chose, j'aime beaucoup les Roses, je passais la plupart de mon temps, dans mon petit jardin secret à les entretenir. Bref assez parler de moi et si tu me parlais de toi ? » Je lui souris tout en buvant une petite gorgée de ce délicieux champagne, il ne fallait pas que j'abuse non plus, vu que je ne supportais pas bien l'alcool.

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- Tu ne vas donc jamais abandonner ? Qu'est-ce que j'ai de plus que les autres pour que tu t'y accroches comme ça ? Je ne suis pourtant qu'une fille banale.
- Ce que les autres n'ont pas ? Mon regard posé sur toi !
- Attention à me désirer autant, tu finiras par tomber amoureux.
- Si tu me fais découvrir ce qu'est l'amour...qui sait !
- Je plaisantais... Oh fait si je t'avouais que j'étais en couple ? Cela te fera-t-il enfin abandonner l'idée de me mettre dans ton lit ?
- Pourquoi n'est tu pas avec ton homme dans ce cas là ? Ta présence ici est le signe même que ton copain a moins de chance de te garder que moi de t'avoir.
- Si je te dis qui je suis, je devrais te tuer ensuite !
- Consommons d'abord notre attirance l'un envers l'autre, ensuite, tu pourra me tuer.
- Pour tous te dire, je suis une princesse de la longue ligné des De Luca, futur reine d'Italie. Je pense qu'une recherche sur mon nom de famille devrait davantage t'éclairer. Si je suis ici aujourd'hui, c'est tout simplement pour fuir ce statut de Princesse, j'en avais marre de vivre comme un pantin qu'on manipulait, je sais que beaucoup penseraient que j'ai une vie de rêve. Mais non, parce que je ne suis pas libre du tout. Avant que mon père réagisse et décide de m'envoyer ici voler de mes propres ailes, ma mère avait tout organisé pour mon mariage, avec un prince que je n'aimais pas du tout. Je n'avais pas le droit de sortir de la demeure, j'étais comme enfermée et je ne pouvais que regarder de ma fenêtre. Alors, tu comprends mieux pourquoi je me suis révolté et mon père a fini par comprendre et c'est comme ça que je suis arrivée ici. Je ne sais pas pourquoi je te raconte tout ça, mais puis-je avoir ta parole que tu ne diras rien ? Je ne veux pas que les autres me voient comme une fille différente. Je veux juste vivre comme la plupart des personnes normales tu comprends ?
- Je ne donne ma parole à personne. Mais pourquoi irais-je divulguer ce que seul moi connait ? Cela me donne un pouvoir sur les autres qui m'enivre de plaisir.
- Ah oui, une dernière chose, j'aime beaucoup les Roses, je passais la plupart de mon temps, dans mon petit jardin secret à les entretenir. Bref assez parler de moi et si tu me parlais de toi ?
- Les roses sont mes fleurs préférées.

Quand à la question qu'elle venait de posé, elle agaçait pas mal Pryam qui ne racontait jamais sa vie. Néanmoins il décida de lui divulguer quelques petites choses que tout le monde pouvait savoir mais pour cela il fallait le lui demandé et personne n'osait demander quoique se soit au jeune homme.

- Je suis fils d'un aristocrate anglais. J'aime l'équitation et le théâtre. Mes parents sont divorcé et...je ne vois plus ma mère depuis des années...Je ne sais même pas où elle est pour dire vrai.

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« Ce que les autres n'ont pas ? Mon regard posé sur toi !. » Olalalala c'est qu'il savait parfaitement parler aux femmes ce jeune homme, mais, cela était il suffisant pour que je tombe dans ses filets ? Jusque là, je ne lui avais pas rendu la vie facile, à chaque fois qu'il essayait une approche, je le repoussais aussitôt. En fait, ce n'était pas parce que je n'étais pas attiré par lui que je refusais, mais bien parce que j'avais peur d'avoir le coeur brisé. Je n'avais pas confiance en lui et de nature assez possessive, je ne supporterais pas de voir mon petit ami batifoler avec d'autres femmes. « Ah... Et comment être sûre d'être la seule à posséder ton regard ?. » Je fus étonné de la suite de sa phrase, « Si tu me fais découvrir ce qu'est l'amour...qui sait !. » Voilà une proposition intéressante, mais ici encore je doutais. « Ne serait-ce pas un piège ? Pour ensuite me larguer, comme tu viens de faire avec cette femme ? » S'il voulait vraiment de moi pour plus qu'une relation d'une nuit, il devait vraiment mettre la barre haute, pour avoir une total confiance en lui. Je ne demandais que cela en fait, lui faire simplement confiance pour qu'à l'avenir mes peurs ne prennent pas le dessus.« Pourquoi n'est tu pas avec ton homme dans ce cas là ? Ta présence ici est le signe même que ton copain a moins de chance de te garder que moi de t'avoir. » Qu'est-ce que je le détestais quand il avait raison. En ce moment rien ne va avec Jesse, non en fait, j'étais persuadé que plus rien n'irait désormais entre nous et qu'il était peut-être temps que je laisse parler mon coeur. « Je déteste lorsque tu as raison, rien ne va plus... » Il n'avait pas besoin d'en savoir plus, c'était l'essentielle que je venais d'annoncer, il comprendra bien vite que je ne pourrais plus continuer cette relation avec mon soit disant petit ami. « Consommons d'abord notre attirance l'un envers l'autre, ensuite, tu pourras me tuer. » C'est qu'il était prêt à tout pour me mettre dans son lit, quitte à accepter d'être tué après m'avoir eu dans son lit. Enfin bref je ne répondis pas et j'écoutais plutôt son histoire à lui. Chacun à son tour venait de se raconter une petite partie de leurs passés et c'était déjà un grand pas. « J'adore l'équitation aussi, hum, enfin, où qu'elle soit ta mère, je suis sûre qu'elle pense à toi, parce que vraiment un enfant c'est le plus beau cadeau qui puisse exister, je suis sûre qu'elle reviendra et si ce n'est pas le cas et qu'elle se fiche de toi, bein oublie là, ta vie continue !. » Son histoire me touchait un peu, malheureusement je n'étais pas très doué pour réconforter et d'ailleurs je ne savais même pas pourquoi je le réconfortais. « Une danse ? » Je lui proposais donc une danse histoire d'oublier un peu leurs fâcheux passés, qu'il soit riche ne m'importait peu, c'est ce qu'il était au fond qui m'attirait, malgré son air froid et celui qui se fichait de tout, était caché une personne beaucoup plus posé. De plus, c'est une chanson slow qui passait, parfait pour adoucir la salle.

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- Ah... Et comment être sûre d'être la seule à posséder ton regard ?

- Suis-je en train de regarder quelqu'un d'autre ? Dit-il en la fixant d'une manière intense.

- Ne serait-ce pas un piège ? Pour ensuite me larguer, comme tu viens de faire avec cette femme ?

- Cette fille là... c'est la pire peste qui existe sur cette terre. Si elle avait l'occasion de tuer sa mère pour dix minutes de gloire, elle le ferait.

Pryam

« avec plaisir... »

(Invité)

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